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Terres hostiles pour la Compagnie des Marches,, Chapitre 3
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Frère-Ours
Chambre 55
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Le géant vert grommela en entendant la réfléxion du kawarks aux yeux morts sur son dieu. -Le seigneur aux mains blanches n'a que faire des riches et de pauvres. Yurthus est la mort sous toutes ses formes. Il se peut en effet qu'il accepte d'épargné des individus. S'ils lui offrent assez de sacrifices, assez de sang.
Le guerrier vert tira alors sa hache de son baudrier. Il ne voulait pas laisser le temps à une "mauvaise rencontre de s'en prendre à eux ou de fuir pour prévenir des copains. Quand leut petit groupe arrive devant un spectacle fort étonnant. Corvo et Moira avec un des gardes qu'il avait vue escorter leur fil-de-l'air. L'orc était quelque peut suspicieux, était-ce une trahison, leur plan avait il été percé à jour ou quelque chose de plus sombre ? En écoutant les échange l'oc fut rassuré quelque peut. Il analysa la situation avant de donner son avis.
-Nan, Corvo. On reste tous ensemble. On a prit assez de risques pour une nuit. En plus, je ne pense pas que tout haut placé dans la garde qu'il puisse être ce kwarks puisse nous aider pour récupérer des objets dans un temple. On rentre, on met Elion et ton nouvel ami au même endroit que notre "colis" comme ça ils se surveilleront les uns les autre. Nous on avise avec Polby et on verra pour un plan a se moment. Mais pour moi. La perte de ton matériel, c'est un chatiment minime pour tuer quelqu'un au milieu de la route. Surtout en mettant comme ça la mission en danger... Ainsi que la compagnie.
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Frère-Loup
Chambre 7
2 gemmes
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Aux déclarations de l’orque, le paladin ne tourna même pas la tête pour répondre au mercenaire. Le flot d’inepties qui venait de sortir de la bouche de Glaurung n’avait réussi qu’à irriter un peu plus l’aasimar qui avait déjà les nerfs à fleur de peau. Il répondit en regardant droit devant lui, mais son regard portait en fait bien au-delà.
- Un châtiment ? Il n’y a aucun châtiment pour ce que j’ai fais. Quelqu’un, ce que j’ai tué n’est pas « quelqu’un ». Cette vermine malfaisante ne mérite pas cette appellation. C’est un suppôt des neufs enfers, sans honneur, sans courage et sans foi ni loi. Le genre d’étron qui colle aux bottes et qui pourri la vie de ceux qui ont la malchance de marcher dedans. Qui était-il pour considérer Horïn et les pauvres hères qui l’accompagnaient comme du bétail. Qui les a privées de toute humanité pour les vendre comme des objets ? Non, je ne regrette rien et je suis fier d’avoir exhaussé la volonté de Heaum en éliminant le Mal de cette terre. Cette ordure malfaisante à fait du mal aux autres autour de lui, j’ai réparé celui qu’il était entrain de faire et il ne pourra plus jamais en refaire. C’est pour cela que je me suis engagé auprès la Compagnie des Marches pour pourfendre les sources du malin, libérer les terres du Mal et protéger les plus faibles. Si Heaum estimait que je mérite un châtiment, je ne serai pas ici avec vous mais a croupir au fond de ma cellule en attendant la mort.
Le flot de parole du paladin commençait à s’accélérer, aussi marqua-t-il une courte pause pour ne pas perdre le contrôle. Le sujet était brûlant pour lui et c’était tout son idéal qui se basait sur le dogme de son dieu. Le remettre en cause était ni plus ni moins qu’un blasphème.
- Le Bras armé de Heaum lui a offert une mort qu’il ne méritait même pas. Ce lâche a refusé le duel que je lui ai proposé en se cachant derrière ses hommes, qui soit dit en passant ne l’on pas pleuré, ni défendu outre mesure lorsque la justice des dieux l’a frappé. J’aurai très pu être à sa place et retrouvé Veille-Eternelle, je ne pas pris en traitre, je ne lui ai pas préparé de guet-apens, j’ai été loyal dans mon combat en ne touchant aucun de ses hommes qui m’ont touché de leurs traits et je n’ai exposé aucun de vous dans ce combat. Que ceux de la Compagnie qui craignent le danger reste à l’abri au Bastion. Pour ma part, je suis et je reste prêt pour risquer ma vie et défendre l’idéal de cette guilde. Quant à mon arme, je ne suis pas attiré par les possessions matérielles, mais cette lame est bénie par Heaum. Elle m’a été confiée et je ne la laisserais pas tomber pas entre de mauvaises mains. Je ne partirai pas sans elle. Pour autant, je peux attendre que vous soyez tous à l’abri en-dehors des murs de cité de malheur avant de récupérer ce bien précieux. Ainsi soit-il !
La décision du paladin était prise et elle serait irrévocable. C’était son héritage, sa responsabilité aussi. C’était tout du moins ce que le paladin croyait et ce dont il était persuadé. Le Chevalier des Yeux Vigilants n’avait aucune raison de penser qu’en fait, cette arme était sous l’égide du dieu Mulhorandi Anhur, le Faucon de la Guerre.
« Force doit rester au Vigilant ! Hourra !! »Sorts du jour :Niveau 1 : Barbe d'argent, faveur divine Niveau 2 : Force du taureau, zone de véritéPouvoirs magique :Détection du chaos (x3/jour) ; Détection du poison (x3/jour) ; Détection des morts-vivants (x3/jour) ; Détection de la magie (x3/jour) ; Lecture de la magie (x3/jour) ; Détection du mal (à volonté) ; Lumière du jour (1/1)/jour (niv. 11) ; Protection contre le Mal (2/3)/jour (niv. 11) ; Bénédiction (1/3)/jour (niv. 11)
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Cornegarde
Aucune chambre
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Quatorzième jour de la Fonte, année des Dragons Renégats 14 mirtul 1373 (CV)
Lieu : Esmeltaran, Amn. Temps : Temps couvert, 7° Moment : vers 20h55
Narration tous :
La rencontre des deux petits groupes avaient vite tourné en une discussion houleuse. Certains donnaient leur avis. Certains prenaient des décisions. D'autres prenaient des décisions contraires. Finalement, rien ne sortait de concret et le groupe restait au milieu du carrefour, indécis sur une conduite à tenir.
Arumat restait en dehors des discussions, regardant tour à tour ceux qui prenaient la parole, écoutant sans rien dire.
Mais les dernières paroles d'Elion le décidèrent à intervenir :
- Elion, je peux vous rendre vos armes, et surtout cette épée qui semble si importante pour vous. Dès que je vous ai laissé à la prison, j'ai tout récupéré auprès du prêtre car je n'avais guère confiance en lui. Il n'a pas du tout résisté et m'a tout remis ce qui a nourri mes soupçon. J'ai dit à mes hommes que c'était un butin qui me revenait de droit, et personne n'a osé me contredire. Je l'ai ramené à ma maison. Nous pouvons y passer pour les récupérer.
Puis il s'adressa à ceux qu'il venait de rencontrer, les fixant tour à tour :
- J'ai proposé à vos deux compagnons, dit-il en désignant Corvo et Moira, de vous faire tous sortir de la ville. Une porte est gardée par les gens de ma maison et je peux ordonner qu'on l'ouvre pour vous laisser passer. Non, pour nous laisser passer. Car je souhaite quitter la ville et intégrer votre groupe si vous l'accepter. Je n'en puis plus de cette ville.
PJ : Rak de Delzoun
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Soeur-Ours
Chambre 36
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Une fois dans les écuries, l'ex folle de Torm réalisait qu'il n'y avait personne, nul n'avait répondu à son appel et décidait simplement de préparer elle même les destriers. Prenant un soin particulier à Abby la jeune fille s'aperçut que son fidèle compagnons avait un quelque chose de différent, il semblait plus propre, plus costaux, plus rayonnant. Bien heureuse que son destrier soit en forme elle le fit sortir en même temps que les poneys et chariot et le reste des montures du groupe, lesquels d'ailleurs qu'elle profitait pour encore une fois leurs montrer le sifflement de ralliement.
La Paladin approchait tranquillement du regroupement pour s'apercevoir que Polby et leur colis n'étaient pas encore présent. Croyant à une autres malchance elle devint plus présente et prudente dans la rue, profitant du moment pour observer les alentours proches.
Restant muette la Rashémienne attachait les montures et laissait Abby auprès d'eux en lui dictant un GARDE à ce dernier puis décidait d'aller quérir Polby et le colis. Elle ne passait par la porte centrale mais bien celle d'arrière qui rejoignait les chambres supérieurs pour se rendre jusqu'à la chambre désiré.
Trois coups sec se firent avec son gant droit accompagné d'un...
-C'est Vëla, ouvrez!-
Stoïque et impatiente sa posture militaire se détendit à peine quand elle entendit des pas sur le planché de bois dur et crasseux de l'établissement. Ce n'était peut être pas les pas de Polby ou d'Annaël et ceux d'une chambre voisine mais ce doute la rendit une fois de plus plus suspicieuse.
Je suis la chevalière Solitaire, non pas par peur des humains mais par respect des humains, par respect du silence des humains, par respect de l'intégrité des humains. Je m'achemine jour après jour vers le temple de mon coeur et le soleil s'y trouve, s'y féconde la Rose qui se déploie Chevalier d'O. Je regarde la Source, je devient Source, je coule Source... Telle est ta répétition mantrique, chevalière Solitaire. Faire quelque chose à contre-coeur c'est faire quelque chose à contre courant; alors que être au coeur des Choses, c'est toujours être au courant. Fiche Vëla 1-Bénédiction*, Sacrifice divin, protection contre le mal*. 2-Éveil du péché*, Précision bénie*, Force du taureau*. 3-Soins modéré.
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Frère-Loup
Chambre 7
2 gemmes
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L’espoir du Chevalier des Yeux Vigilant se poindre après les paroles du nobliau. Il fallait bien avouer qu’après autant de tourment, un rayon de soleil perçant la croute crasse de cette nébuleuse cité ferait bien à tout le monde. Mais, si la facilité aurait été de croire rubis sur ongle Arumat, le paladin savait que le chemin de la facilité était souvent un doux leurre.
Ainsi donc, ses armes n’étaient pas au temple, cela aurait d’ailleurs été étonnant vu que le prêtre n’en était pas un. La bonne nouvelle c’est quelles étaient, à priori, accessibles. Il ne restait plus qu’à aller les chercher. Mais le plus important pour l’aasimar était de ne pas compromettre la mission pour ses intérêts personnels.
Le paladin chercha donc le moindre indice, un regard fuyant, des mains crispées, une gestuelle qui pourrait lui permettre de savoir si l’homme qu’il avait en face de lui cherchait à le duper une fois de plus. Pour ce faire, il fallait d’une part le mettre à l’épreuve, en cela Moira avait complètement raison. Puis, le tenter et là c’était à lui de prendre ses responsabilités.- Vous allez d’abord faire sortir mes compagnons. Une fois qu’ils seront hors de cette cité, alors j’irai avec vous pour récupérer mes biens. Il ne nous restera plus qu’à sortir à notre tour. Dans cet ordre là, le paladin s’assurait de la protection du groupe jusqu’à ce qu’il soit hors des murs d’Esmeltaran. La suite le mettrait en danger lui et lui seul. Il n’était pas question pour l’aasimar qu’un autre risque sa vie pour lui ramener sa lame courbe. Au pire, il retournerait moisir dans sa cellule. Au mieux l’homme ne mentait pas et ils rejoindraient alors bientôt le reste du groupe. Arumat aurait pu se racheter une virginité aux yeux du Chevalier et lui-même serait prêt à poursuivre la route et assurer la protection d’Annaël l’émissaire. Elion utilise diplomatie sur Arumat pour savoir s'il y a quelque chose qui cloche.
« Force doit rester au Vigilant ! Hourra !! »Sorts du jour :Niveau 1 : Barbe d'argent, faveur divine Niveau 2 : Force du taureau, zone de véritéPouvoirs magique :Détection du chaos (x3/jour) ; Détection du poison (x3/jour) ; Détection des morts-vivants (x3/jour) ; Détection de la magie (x3/jour) ; Lecture de la magie (x3/jour) ; Détection du mal (à volonté) ; Lumière du jour (1/1)/jour (niv. 11) ; Protection contre le Mal (2/3)/jour (niv. 11) ; Bénédiction (1/3)/jour (niv. 11)
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Mercenaire
Aucune chambre
Aucune gemme
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*Oh, il a gardé toutes les armes de son côté, comme c'est pratique...*
Trop pratique, même. Trop facile. Le gaillard, en voulant se faire passer pour une aide providentielle, en avait trop fait. Comme elle le supposait, il avait été envoyé par les Arumats pour les infiltrer et déterminer qui dans le groupe était Annaël, et ainsi doubler les Barutans. Mais pourquoi tout le monde en avait après cet émissaire? Clairement sa tête valait de l'or pour quelqu'un. Et peut-être cet Arumat savait qui.
*Attend qu'on soit en dehors de la ville, je vais te faire chanter comme un canari, moi...*
Malheureusement, Elion tenait à être le dernier à sortir de la ville. Pour se l'interroger personnellement, peut-être? La perspective de se retrouver coincé avec un zélote dément suffirait-elle à faire craquer Arumat? Pas sûr, le gaillard semblait mentalement solide, et ses supérieurs l'auront choisi pour ses capacités à bluffer et supporter la pression.
De plus, Elion était très reconnaissable, n'importe quel garde l'ayant vu même de loin ne le raterait pas dans la rue. Et s'il se faisait reprendre, Vëla insisterait pour retourner le chercher!
Néanmoins, Moira garda le silence, attendant de voir ce qui allait se passer. Après quoi, il sera temps de passer à l'écurie reprendre les chevaux.
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Aventurier
Aucune chambre
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Tout au long de sa jeune vie, Corvo avait cherché à s'affranchir de toute empathie, de tout élan d'altruisme un peu trop prononcé et désintéressé. Sa trop grande bonté d'âme ne lui avait attiré qu'ennuis et souffrance lorsqu'il était enfant, aussi s'était-il jurer de ne pas succomber trop souvent à ce travers en grandissant. C'était donc l'un des ces rares élans d'altruisme que venaient de lui rejeter à la face Glaurung et Elion sans vraiment s'en rendre compte. Lui qui s'était proposé pour tester la fiabilité de Rossignol afin de garantir une certaine sécurité à ses camarades au mépris de la sienne. Par la même occasion, il aurait également pu récupérer les armes du paladin... Mais non, cela ne convenait pas visiblement.
Une fois de plus donc, l'humeur changeante de Corvo fit des miracles... ou pas. Souriant quelques instants auparavant, il retrouva de nouveau l'humeur massacrante qui l'avait gagnée lorsque Rossignol l'avait surpris en pleine filature avec Moira.
- Bien. Demerdez-vous avec Rossignol alors. Personnellement, je ne suis pas une cible ambulante recherché par une armée privé à la solde de la maison la plus puissante de la ville. A ce titre, je n'ai pas franchement besoin de son aide pour sortir. Je vais à l'écurie où Glaurung, Moira et moi avons laissés nos chevaux. J'attendrai hors de la ville un moment histoire de demander ma solde à Polby hors de ce panier de crabe. Si je ne vous vois pas rapidement, ne comptez pas sur moi pour venir vous chercher.
Joignant la parole aux actes, le voleur tourna les talons en direction de l'écurie. Le Cormyrien en était certain, si les membres de la Compagnie des Marches étaient fidèles à eux même, les mauvaises décisions allaient être prises.
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Cornegarde
Aucune chambre
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Quatorzième jour de la Fonte, année des Dragons Renégats14 mirtul 1373 (CV)Lieu : Esmeltaran, Amn. Temps : Temps couvert, 7° Moment : vers 20h55Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Test de diplomatie d'Elion sur Arumat DD15 : 14(dé) + 6(compétence) = 20 Réussite Arumat l'assure de sa bonne foie Narration tous :Vëla avait précédé tous ses compagnons à la taverne. Et déjà, ayant préparé Abby, les autres chevaux et le chariot pour un départ rapide, elle était montée à l'étage pour parler à Polby et Belgos. Ceux-ci lui ouvrit la porte dès qu'elle se fut identifiée. L'ex-folle de Torm leur résuma la situation en quelques phrases précises, l'évasion d'Elion, la rencontre avec Arumat et sa proposition. - Je suis d'avis que nous tentions ce que propose Arumat. Il faut absolument quitter la ville cette nuit, sinon nous serons fait demain matin, dès que l'évasion d'Elion aura été constatée. Allez ! Ne perdons plus un instant ! Comme toujours lorsqu'il pouvait être vu, Annaël revêtit une cape avec une large capuche qui dissimulait presque tout son visage. Il suivit Polby qui ouvrait la voie, tandis que Vëla et Belgos les suivait de près, porteur de toutes les affaires du groupe.
A l'extérieur, auprès des montures qui les attendaient tranquillement, ils retrouvèrent Corvo qui avait quitté les autres. - On part, lui apprit Polby. Tout le monde s'activa. Annaël monta rapidement à l'arrière du chariot dont Polby déjà sur le siège, prit les rênes. Chevauchant en tête, Belgos fit un signe pressant à Vëla : - Montre nous où sont les autres. Ainsi retrouvèrent-ils Arumat en discussion avec Elion, sous les regards conjugués de Glaurung, Horïn et Moira. Arumat tentait de persuader Elion qu'il fallait d'abord passer par son domicile tout proche, l'assurant de sa bonne foie. Horïn restait silencieux. Celui-ci désirait quitter la ville au plus vite, mais il se méfiait du soldat d'Esmeltaran. Moira également. Mais celle-ci était plutôt d'avis qu'il fallait quitter la ville avec lui. Il serait alors temps de lui faire cracher la vérité. Glaurung quant à lui ne faisait confiance à personne, ni à Arumat, ni à Elion. Il avait bien envie d'assommer ce dernier pour que cette conversation en finisse et qu'ils puissent bouger. - Ma maison est toute proche, insistait Aumat, je pourrai vous donner votre épée. Vous pourrez voir qu'il n'y a aucun piège. Je n'ai qu'une vieille bonne à mon service, et ce n'est pas elle qui va vous faire des difficultées. Et nous pourrons alors tous quitter la ville. Alors que si nous... - Nous n'avons plus de temps à perdre, coupa Polby. Arumat, prêtez votre épée à Elion pour montrer votre bonne foie. Elion et Glaurung, allez vite chez lui. A la moindre chose suspect, tuez-le. Au moins, s'il a menti pour sa maison, nous saurons qu'il l'a aussi fait pour la porte et nous pourrons chercher un autre moyen pour quitter la ville. En avant ! Elion et Glaurung n'eurent d'autres choix que de s'exécuter. Attrapant chacun Arumat par un bras, ils s'éloignèrent rapidement. - C'est ici, annonça Arumat après avoir parcouru quatre cent mètres, et tourné dans une rue qui les cachait aux regards du reste du groupe. Il désignait une maison de ville à un étage. Derrière les fenêtres, nulle lumière.
PJ : Rak de Delzoun
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Aventurier
Aucune chambre
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Après avoir quitté ses compagnons en étant pour le moins agacé, le roublard se calma néanmoins en préparant sa monture. Au passage, il sella également les chevaux de Glaurung et Moira histoire de faire gagner du temps au groupe. Plus vite on était prêt à partir, plus vite on serait hors de la ville...
Menant par la bride les chevaux des deux guerriers, il rencontra Polby, Annael et Vëla sortant de la taverne. Corvo apprit au passage que Polby venait de décider qu'il fallait quitter la ville au plus vite. Le roublard décida donc de tout de même à rester avec le groupe pour sortir d'Esmeltaran.¤ Sage décision...¤ Au bout de quelques mètres, le jeune-homme retrouva Moira et Glaurung toujours spectateurs des discutions entre Elion et le soldat Arumat. Il rendit alors les montures à leurs propriétaires, puis suivit le reste du groupe jusqu'au lieu où était supposé se trouver la maison du soldat.
Voyant le géant vert et le paladin s'éclipser avec le garde jusqu'à les perdre de vue, le roublard ne pouvait s’empêcher de penser qu'il s'agissait peut-être d'un traquenard. Annael et Polby étaient maintenant sortis de leur tanière et c'était peut-être là l'ultime objectif du membre de la famille marchande.
Aux aguets et du haut de sa monture, Corvo scrutait chaque recoins de la rue dans laquelle une partie de la compagnie attendait impatiemment.- Tenez-vous sur vos gardes et ne vous souciez pas de Glaurung et Elion... Si quelque chose arrive, c'est sur nous que ça va tomber ! Détection(+7)/perception(+5)
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Frère-Ours
Chambre 55
Aucune gemme
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*Trop simple. Trop facile, il aurait les armes d'Elion...* La réfléxion du géant vert fut ininterrompue par l'arrivé de Polby et du reste de la petite troupe. Avait il enfin comprit l'urgence ? L'orc allait remonter sur son cheval, que Corvo lui avait ramené. Quand le pacifique lui dit d'aller chez Arumate... avec Elion. Si ça c'était pas un plan de génie. * Quoi que, si c'est un piège, il sait que je pourrais m'occuper de quelque kwarksan. Et que si on est vraiment dans la mouwise, je les laisserais pas prendre Elion vivant, d'ailleurs moi non plus.*
Il rendit donc ses reines à "cheveux blanc" et lui glissa. .snwa, viv oriors orum'on ad num'cum'wa, snannarp orgri-um'q rum'op oriwa, ragrgrium'orbéd am aJ .orum'ov zarrwa, B .risroor na-or orwa, p sum'ap no-um'q sa agèip num' sora-c ior
L'orc se plaça derrière le capitaine et le fit avancer le poussant avec le manche de sa hache. Scrutant tout les coins sombres et les fenêtres autour, chacun des quatre cents mettre lui paru une éternité. Jusqu'à la porte. Ils ne voyait plus les autre et ce devait être pareil pour eux. -Passe devant kwarks, ta bonne aurait peur de moi. Pas de blague par contre, ou je jure que Yurthus aura de quoi manger ce soir.
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