Virgile Lukadnua

rénom : Virgile
Age :
Ville :
Jeux de rôle pratiqués : Vampire Mascarade, JdR perso.
Connaissances de D&D : Nulle
Connaissances des RO : Nulle
Lectures concernant les RO : Nulle
Je suis tombé sur ce site : En tapant le mot "taverne" sur google.
Fréquentation envisagée sur la taverne : Très Chaotique neutre.
Mes attentes par rapport au site : Du jeu de rôle !
Mes attentes par rapport au jeu par forum : Encore plus de JdR !

Description :

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Alors que vous regardez la route vous voyez la silhouette d'un homme s'approcher. De taille et de stature moyenne, avec ses habits de voyage sur le dos il ne vous fait pas grande impression.

Maintenant qu'il est plus proche, vous n'apercevez aucune arme sur lui, pas même un arc. Qui se risquerai dans ces contrées désarmé ? Un simple d'esprit, un puissant mage, un prêtre ou un fou ? Mais votre intuition vous dit qu'il n'en est rien.

Malgré la barbe noire fournie mais soignée, on devine l'âge mur de l'homme. Or nul n’atteint cet âge juste par chance et sans avoir certaines aptitudes. Maintenant qu'il est près de vous, vous devinez une souplesse féline dans ses mouvements.
C'est donc un moine qui passe devant vous, en vous dévisageant un instant sans ralentir sa marche. Ses yeux ainsi que ses cheveux coiffés vers l’arrière sont noirs. Il n'a cependant aucun ornement visible qui permettrait de déterminer son ordre.

Finalement, alors qu'il s'éloigne, vous vous mettez à penser qu'il s'agit d'un étranger quelconque. Mais quelque part au fond de vous, vous vous surprenez à penser que lui aussi vous a jaugé … et qu’il ne vous a pas trouvé digne d'intérêt..

Backrgound

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Genèse du Monastère
Dans une vallée reculée de Téthyr, se trouvait un monastère.
A sa création, et pendant ses premières années d’activités, ce monastère abritait une poignée de moines qui partageaient de manière égale leur temps entre méditation et entretien des terres aux alentours. Sans une aura suffisante pour attirer les dons qui permettraient d’assurer son autonomie, le monastère entretenait toutefois des bonnes relations avec les hameaux aux alentours.
Malheureusement les tâches agricoles indispensables à la survie du monastère furent à l’origine de départs réguliers de moines qui recherchaient davantage de méditation. Les nouvelles vocations étaient rares, et peu de familles confiaient alors un de leurs enfants à l’éducation du monastère.
Ainsi aurai dû s’éteindre ce monastère, après une vingtaine d’année de subsistance lorsque le dernier des pères fondateur serait mort.
Mais tel ne fut pas le cas, car un jour après plus de 15 années depuis son départ, un des moines de la première heure revint. Quelques années après la fondation du monastère il pressenti que malgré l’abnégation de ses pairs l’ordre se survivrai pas longtemps, aussi était parti chercher une solution.

Convaincu que la vocation des moines n’étaient pas simplement de survivre en élevant quelques vaches et en faisant du troc avec les villageois, mais bien conscient que sans apport extérieur les moines ne pouvaient se concentrer uniquement sur l’entrainement et la méditation, il était parti parcourir Faerûn en quête de soutient.
Il se rendit compte que rares étaient les hommes ou communautés prêt à soutenir un monastère dont ils ne tireraient aucun avantage. Mais selon lui, la survie en échange d’une allégeance n’était pas la solution car elle détournait les moines de leur occupation primaire : le perfectionnement. C’est pourquoi après 2 ans de quête insatisfaisante, il se rendit à l’évidence : il faudrait un financement simple, sans contrepartie.
Mais pour obtenir cet argent, il lui était impensable de simplement se mettre à travailler et abandonner une grande partie de ses aspirations. De plus, l’argent qu’il gagnerait en une vie de travail honnête ne permettrait l’autonomie des moines que pour quelques temps.
Il prit alors la décision de vouer son corps et son esprit à la recherche d’une technique idéale pour gagner, garder et générer de quoi faire fonctionner le monastère. Il ne savait pas encore comment, mais il se mit à parcourir le monde avec une ardeur renouvelée.

Homme de garde à l’entrée d’une salle au trésor, apprenti chez un monnayeur, conseiller financier d’un châtelain, agent de douane, prospecteur d’or, convoyeur de bijoux, recouvreur de dettes pour une banque… s’approcha de près ou de loin tous les lieux et métiers où l’argent semblait circuler ou se rassembler en grande quantité, pour essayer d’en comprendre l’origine, le mécanisme.
Il se fit également mettre en prison afin de se rapprocher de voleurs, faux-monnayeurs et escrocs de tous poils pour se renseigner sur les techniques d’escroquerie, de chantage, de vol, etc... Bien que non désireux lui-même de réaliser les techniques dont il entendait parler, il estima acquérir ainsi avoir une idée précise de comment s’en prémunir.
Une fois en liberté, avec seulement 1po en poche, il décida qu’il était temps de mettre à l’épreuve ses aptitudes…
Un an plus tard, au début de l’hiver suivant, il construisait de ses mains une échoppe de vente de fourrures à l’entrée d’une riche ville du nord. Il se constitua une solide mise de départ en vendant toutes les fourrures qu’il avait chassé durant l’été précédent. En quelques semaines de nombreuses boutiques à l’intérieur de la ville commencèrent à fermer, par manque de clients et par manque de marchandise (car beaucoup de chasseurs qu’il avait côtoyé dans l’année écoulée lui avaient promis l’exclusivité de leurs fourrure). Et de fil en aiguille, et après avoir convaincu quelques riches notables de s’associer à lui, il prit la direction d’une grande partie des boutiques de fourrure de la ville.
Puis, après deux ans d’une direction clairvoyante et d’une gestion sans faille, ainsi qu’une extension de ses acquis sur d’autres commerces de la ville, il décida de se retirer avantageusement de la ville avant d’attirer la convoitise des brigands de tout poil.
La somme ainsi amassée était insuffisante pour satisfaire les besoin d’un monastère sur une longue période, mais peu importait car désormais il se savait capable d’en assurer l’autonomie financière.

C’est ainsi qu’à son retour le monastère exsangue connu un second souffle. Sous sa houlette, il se rénova, s’agrandit mais surtout pris une dynamique nouvelle qui le fit rayonner dans un grand nombre de vallées aux alentours : la formation et l’éducation de jeunes moines jusqu’à un certain niveau d’accomplissement, puis leur perfectionnement par l’exploration du monde, et enfin leur retour au monastère pour partager à leur tour la sagesse acquise.

Pendant plus de douze générations de Maître du monastère, la tradition perdura..

Passé de Virgile
Partie I : La jeunesse

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Partie I : La jeunesse

C’est en l’an 1332 de notre être que Virgile fut confié au soin des moines, vers l’âge de 8ans.
Fidèle à sa tradition, le monastère accueillait des jeunes issus de tout horizon pour les former. De moins en moins cependant car après de longues décennies de prospérité, les activités du monastère avaient fortement décrues et seules les familles les plus pauvres continuaient à donner leur enfant à la charge des moines. Plus par espoir de lui offrir un avenir meilleur que le leur, que par réelle conviction. Ainsi, Virgile fut élevé et éduqué par les moines et selon leurs préceptes, sans ne plus jamais revoir ses parents.
Le monastère n’avait plus son rayonnement d’antan.
Peu de temps après sa renaissance un grand nombre de disciples y étaient accueillis chaque année, puis formés patiemment, et chaque année un petit nombré était sélectionné pour « se perfectionner au contact du monde ». Enfin, un nombre encore plus restreint finissait par revenir après 5, 10, 20ans de quête. Les registres relatent la plus grande quête comme étant celle de Tel Kompost, qui revint après 52 ans de pérégrinations. Il avait, dit-on, fait le tour de toutes les côtes du monde et était remonté aux sources des rivières qui s’y jetaient sans jamais n’en avoir traversé aucune. Il n’eût malheureusement que peu le temps de partager la sagesse acquise au cours de son voyage car il mourut rapidement après son retour.

Lorsque la formation de Virgile commença, voilà 17ans que nul n’était revenu de sa quête. Et avant ce dernier moine qui avait acquis une science de combat sans les mains, il fallait remonter 8 années supplémentaires pour trouver le précédent.
C’était peu, trop peu au regard des 2-3 retours annuels qui avaient lieux pendant les bonnes années, mais surtout vis-à-vis de la dizaine de moines qui partaient chaque année et dont on attendait, tôt ou tard, le retour.
Le cercle semblait rompus et les villages aux alentours ne soutenaient plus le monastère, de même quelques moines quittaient l’ordre car ne croyaient plus à son précepte.

Ce fut tout de même dans ces valeurs que Virgile fut éduqué et entrainé.
Entrainement, méditation, et leçons en tout genre furent son quotidien. Et les écrits d’anciens moines revenus de quêtes furent ses principales lectures.
Comme le voulait la tradition, il fut aussi initié aux différents domaines qui lui seraient indispensable lors de sa quête.
Mais à l’âge où habituellement les jeunes apprentis choisissaient des spécialisations en fonction de leurs affinités et de leur futur projet de quête, les maîtres décidèrent de poursuivre pour les apprentis un enseignement plus classique pour un monastère, par manque de ressources et de professeurs, et amorcèrent ainsi la fin du système de voyage d’élévation spirituelle.
Il fut toutefois décidé que 5 derniers disciples incarnant particulièrement la volonté du Premier Maître seraient choisis d’ici quelques années pour le dernier des départs.

Virgile avait alors 17ans, et ses maîtres le savaient loin d’être prêt pour un tel voyage. Physiquement encore faible bien que particulièrement agile, c’est surtout sur sa psychologie et sa volonté qu’ils avaient le plus de doute. D’autre que lui semblaient moins talentueux ou sage mais montraient une appétence particulière envers un domaine, gage d’un voyage qui serai dédié à se perfectionner.
Ainsi passèrent 7 années sans qu’il ne fût choisi parmi aucun des 4 premiers départs.
Pourtant il redoublait d’efforts, dans sa pratique et dans son étude des écrits. Chaque jour, il passait plus que quiconque du temps à lire, méditer et disserter sur les traités et thèses issus des pérégrinations de ses prédécesseurs, sans parvenir toutefois à se fixer un sujet. Sa motivation n’était donc pas à mettre en cause, mais le doute était permis quant à la réussite d’une quête sans but..

Aussi, quand à l’aube de sa 25ème année fut annoncé qu’il serait le dernier des disciples à partir pour l’ultime voyage initiatique, sa surprise fut grande tout comme celle de nombreux condisciples.
Mais la décision des maîtres était prise.
Après des décennies à encourager et sélectionner les disciples les plus proches de la perfection dans leur domaine, et devant l’échec d’une telle pratique, ils choisirent Virgile.
Ils espéraient ainsi ne pas trahir leurs valeurs, car il semblait véritablement pétri de la volonté de ses prédécesseurs, mais firent le pari qu’un disciple vierge de toute aspiration au départ de sa quête saurait peut être mieux que d’autres tendre l’oreille aux murmures du monde et s’en approprier la sagesse..

Partie II : L'age adulte

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Partie II : L'age adulte

Virgile savait que sa quête serai longue, aussi il ne se précipita pas dans l’approfondissement d’une voie en particulier, et se laissa guider par les rencontres et le hasard.
Après 2 ans à se rendre utile auprès de fermiers et modestes villageois, et une autre année à suivre des caravanes de marchands il se mit à douter d’un jour devenir un Maître par cette méthode.
Bien sûr il avait appris des choses, des techniques et des savoir-faire. Il s’était approché du bonheur d’une vie simple, côtoyé des hommes dont l’ignorance confinait à une vie médiocre, et avait été confronté au bien ainsi qu’au mal. Mais à moins de se lancer avec dévotion dans le négoce de fromage de chèvre, ou la culture de pomme de terre, il ne lui semblait pas pouvoir se rapprocher de la Maîtrise d’un art comme les écrits avaient nourri sa jeunesse.
Il se mit à penser qu’auprès de personnes qui étaient déjà des sommités dans leur domaine, il lui serait plus simple (ou plus rapide) de se perfectionner. Mais n’étant toujours pas conquis par une science en particulier il décida d’aller dans une grande ville où il espérait qu’un choix évident s’offrirait à lui.

C’est ainsi qu’il arriva à Lunargent vers l’âge de 28ans avec, la ferme intention de trouver « sa voix », celle qu’il suivrait avec abnégation jusqu’à en détenir toute l’essence.
Malheureusement vivre dans une ville fut moins aisé qu’il ne le pensait, et quelques mois après son arrivée il en était réduit à faire de menus travaux pour survivre. La situation était évidemment insatisfaisante mais il passait le peu de temps libre que lui laissait son travail à arpenter la ville, attentif à tout ce qui l’entourait espérant voir naître une passion.
Après presque un an, il était intégré à la ville, avait ses habitudes et c’était fait des connaissances. Devenu commis d’un herboriste, il utilisait son temps libre à se rendre à divers chantier de construction à travers la ville car il s’intéressait aux bâtiments et à l’architecture.
Durant l’année qui suivit il étudia les bases de la construction et essaya de se faire accepter comme apprenti pour des architectes. Il réussit à se mettre au service d’une guilde de rénovation de bâtiments mais continua à chercher, car assez vite il réalisa que ce n’était pas tant la construction qui l’intéressait que la conception du bâtiment. Aussi quand il entendit parler d’un grand chantier visant à construire un hôpital en lieu et place d’anciennes écuries, il fit tout son possible pour y participer.

Le projet devait durer 5 ans, il en dura 7.
Virgile le suivi de bout en bout, essayant d’occuper successivement un maximum de postes possible tout en se rapprochant de celui du maître d’œuvre. Il ne réussit pas tout à fait, mais pu à chaque étape consulter les plans et se les faire expliquer, tout en étant régulièrement sur le terrain confronté aux contraintes physiques, matérielles, et humaines.
Une fois l’hospice terminé Virgile ressenti un soulagement. Un projet avait été commencé, et terminé. Il s’était plu à y participer, et envisageait d’approfondir son savoir-faire et ses connaissances en la matière.

Mais un mois plus tard, alors que Virgile se questionnait encore sur la meilleure suite à donner à apprentissage, un incendie ravagea le bâtiment. Il fut bouleversé comme jamais il ne l’avait été au cours de sa vie. Bien sûr il avait déjà connu des déceptions, et des échecs. Des malheurs aussi, mais voir que le travail de plusieurs année pouvait être réduit à néant si facilement le plongea dans une torpeur profonde.

Il s’avéra que le bâtiment avait été plutôt bien résisté, et que seule la toiture (en partie effondrée) n’était à refaire. On découvrit également par hasard l’homme à l’origine de l’incendie qui, voulant nuire à la compagnie de construction pour une obscure raison de femme infidèle, avait décidé de brûler un à un les bâtiments qu’elle avait construit. On le retrouva mort sur le toit d’un hôtel particulier avec son matériel de pyromane.. tué par un voleur qui devait également s’y trouver avant ou après avoir dépouillé la bâtisse de ses richesses.
La confusion était totale dans l’esprit de Virgile, encore plus quand on vit le chercher pour superviser la reconstruction du toit. Quand il demanda pourquoi lui et pas le maitre d’œuvre du projet initial, on lui expliqua qu’il avait quitté la ville pour se rendre au mariage de sa fille à plusieurs semaines de voyages, et que le nom de Virgile apparaissait au bas de quelques plan de construction de la charpente (qu’il avait recopié à l’époque, pour s’entrainer, d’après les originaux).

C’était à ça qu’allait se résumer sa vie ?
Progresser ou reculer en fonction du hasard, du comportement erratique des autres, de la chance ?
Bien sûr, même si la ville entière devait être rasée, et s’il était le seul survivant d’une épidémie, rien ne pourrait lui retirer ce qu’il avait appris, ses connaissances, ses expériences. Mais avec le recul, il se rendit compte que ce n’était pas la perte du bâtiment qui lui portait le plus peine, ni même (dans une certaine mesure) le temps « perdu » à le construire. Mais plutôt de se rendre compte qu’il n’avait rien Maitrisé ces 7 dernières années.. et même plus.
Du retard pris pendant la construction à cause de l’approvisionnement irrégulier suite à une révolte d’ouvrier je-ne-sais-où jusqu’à la poutre tombée à quelques pas devant lui alors qu’il s’arrêtait pour s’enlever de la sciure de l’œil..
C’était donc ça ? Il allait devenir l’architecte officiel de la ville parce que son nom était en haut de la pile, ou mourir empoisonné parce que l’herboriste était distrait par une jolie cliente pendant qu’il préparait son médicament ?
Etait-ce possible que tous les Maître aient acquis leur statut et leur expérience uniquement par une succession de hasard ?


Désemparé et avec l’impression d’être passé à côté de quelques chose toute sa vie, Virgile décida de quitter la ville pour méditer. A proximité d’un village quelconque, à l’orée d’un bois, il se construisit une chaumière et y passa sa 38ème année. Il reprit une vie monacale, espérant en s’éloignant des hommes s’affranchir de leur inconstance et des aléas de la vie.
Il crut un temps y arriver, dans la routine qui était la sienne il « maitrisait » chaque chose à chaque moment de la journée. Mais lorsqu’un jour pour rentrer à sa cabane il se surprit à emprunter un chemin plutôt qu’un autre uniquement parce qu’une plume tombée au sol avait attiré son attention, il se rendit à l’évidence qu’ici aussi, il était soumis au hasard.

Alors il se rendit compte qu’il était dans l’erreur à vouloir dominer le hasard, en le fuyant..
Au contraire, comme tous ses maitres avant lui l’avaient montré, pour s’approprier une connaissance, un savoir, un domaine de compétence, il faut s’y adonner sans relâche et s’y abandonner complètement.

Quand Virgile reconnu et accepta son erreur, il réalisa aussi que vers l’âge de 39ans, il commençait seulement maintenant la quête pour laquelle il quittait le monastère 14ans plus tôt.


C’est ainsi qu’il passa les 8 années suivantes à scruter le monde, observant et se mêlant aux êtres vivant source inépuisable d’imprévisibilité, étudiant les rudiments de la probabilité et l’ancien culte de Tyche, sans oublier de se confronter au hasard et d’en tester sa maitrise.
Ce que Virgile fait encore aujourd’hui se promenant presque toujours avec un Dé dans la poche..

é bien c'est sommaire comme présentation
Sois le bienvenue ici Virgile !
N'hésite pas à nous parler de ton "concept" de perso même s'il n'est pas complet à 100%. Qui sait on peut peut-être t'aider!?
Sache que tu n'as qu'à demander et nous ferons notre possible.
Autrement tu as aussi le chat de la taverne qui fonctionne très bien avec des personnes compétentes !

Sur ce bon courage dans la création de ta fiche
A bientôt
Lin

erci.

Je passe surtout par la taverne, je ne sais pas si ceux qui y trainent son de très bon conseil, mais je vais faire comme si.

Je dirai que la feuille de personnage est maintenant à 60%.

Je la soumettrait à vérification d'ici ce soir je pense.

on, j'ai mis en pièce jointe une ébauche de profil.

Pour l'équipement.. Un balluchon d'aventurier, et de quoi m'habiller ^^

on séjour dans notre Taverne, j'espère que tu y trouvera ce que tu cherche.
Je te donne pèle mêle quelques informations générales et sur les inventaires.

J’imagine que tu as consulté le sacro-saint MANUEL. Sinon tu n’aurais pas trouvé ta feuille de personnage. A lire avec application car un certain nombre d'informations y sont.

La Taverne des Royaumes Oubliés exige une taille particulière pour les avatars qui est de 105 x 148 pixels. Ils se doivent en outre d'être :
• Au format JPG ou GIF
• De bonne qualité
• Sans cadre ni bordure
• Centré sur la tête
• De style compatible avec l’univers des Royaumes Oubliés
Tu trouvera dans le manuel des liens permettant d'en trouver.

Pour tes affaires, tu as droit à une tenue de base gratuite qui ne pèse rien parmi la liste qui suit:

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- Tenue d'artisan
- Tenue d'artiste
- Tenue d'explorateur
- Habit de moine
- habit de paysan
- Habit d'érudit
- Tenue de voyage
- Tenue polaire
- Tenue sacerdotale
- Tenue de marin.

Tu connais les baluchons mais pense à un sac pour mettre les affaires dedans. Il faut aussi une bourse pour tes pièces ainsi que tout ce qui peut être nécessaire pour un aventurier.


Originaire des Vaux, tu as droit à ceci:

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Région : Vaux, les
Ethnies recommandées : Chondathien, vaasien
Langues connues d’office : Chondathan
Langues supplémentaires : Damarien, elfique, géant, gnome, orque, sylvestre
Divinités de prédilection : Chauntéa, Lathandre, Mailikki, Oghma, Shaundakul, Sylvanus, Tempus, Torm, Tyr
Dons régionaux : Caravanier(RF), Chance des héros, Forestier, Milice, Racé
Équipement supplémentaire : (A) arc long composite (For +2) ; ou (B) arc long*, lance* ou bâton*

* équipement de maître

Si tu ne prend pas l'équipement régional, tu as droit à 100 PO de plus.

Consulte tout cela tranquillement

ça n'est pas très gentil ça ^^

Bonsoir à toi aventurier, j'ai jeté un coup d'oeil sur ta fiche et me permets quelques petites remarques.

A chaque caractéristique est attachée un modificateur, note les à côté stp.

En temps qu'un humain tu as droit à un bonus de +4 points de compétences au niv1 et +1 point à chaque niveau, ce qui donne:

Nombre de points de compétence au niveau 1 : (4+1 modif. INT)x4 +1= 24
Nombre de points de compétence par niveau : (4+1 modif. INT) +1 = 6

Ta race te donne droit également à un don supplémentaire:

• (race)
• (niv1)
• Coup étourdissant (niv1 classe)
• Science du combat à mains nues (niv1 classe)

Il t'en reste donc 2 à choisir. Ce n'est pas une obligation mais choisir un don régional peut être intéressant...

Au niveau de tes langues, tu as d'office le commun + le Chondathien et le vaasien ainsi qu'une langue sup grâce à ton modif INT de +1. Elle doit faire partie des langues sup de ta région natale et malheureusement le duidique est une langue réservée au initié. Aucun druide ne peut l'apprendre à un nom-initié sous peu de bannissement =/

Pour ton équipement, tu as droit à une tenue de base gratuite qui ne pèse rien ainsi qu'un équipement régional à choisir entre la pack A ou B de ta région natale (voir quote plus haut)

Voilà je te laisse continuer tranquillement
A bientôt
Lin

EDIT: excuse gwen , j'avais pas vu ta réponse

'ai effectivement consulté le manuel.
Mais n'ayant jamais joué à D&D, il m'est difficile de tout assimiler.

Je cherche encore un avatar, je n'ai rien trouvé qui "me" corresponde.

Effectivement, j'ai omis de mettre les deux autres dons, alors que j'ai choisi cette race pour eux ^^.

Pour la langue supplémentaire.. je n'ai pas d'avis particulier.
Des suggestion ?


Pour l'équipement :
- Tenue de voyage
- Pour le reste, je ne pense pas prendre de "pack de région". Je vais me pencher dessus, mais plus tard ^^.



Sinon :
"Nombre de points de compétence au niveau 1 : (4+1 modif. INT)x4 +1= 24
Nombre de points de compétence par niveau : (4+1 modif. INT) +1 = 6"
Donc, j'ai droit à 30 points de compétence ?
Si c'est bien ça, c'est super, je me trouvais limité avec 24.


MaJ de la feuille de perso.

Désolé, ce sera bien 24 Points au niveau 1. Le nombre de points de compétence par niveau s'applique pour les niveaux suivants.

ah.. La fausse joie ^^


Bon, j'ai trouvé un avatar, mais je le trouve trop vieux (Virgile est censé avoir 37 ans. Ca ne me gène pas de le vieillir à 40-45 (j'ai modifié et mis 42). Mais l'image fait plutôt 55..)
Donc, c'est en attendant.

Pour la langue, j'ai choisi Gnome (car je n'exclue pas que Virgile devienne un peu scientifique.. quand j'aurai de quoi prendre le don "connaissance"), mais j'hésitais avec Sylvestre (si certains veulent me faire changer d'avis, ça doit être possible).


Pour l'équipement, je suis parti sur une base de 120po (20po parce que Moine, et 100parce que je prends pas l'équipement régional).
J'ai bon ?
Avant que je termine mon équipement, avec les objets achetable Là. Est-ce qu'il est possible que mon personnage ai un objet magique particulier (qui sera "justifié" par le BG) ?
Il s'agit d'un objet qui n'apporte aucun bonus, et assez petit : Une bourse contenant un "dé magique". Enfin pas forcément un Dé, un truc aléatoire (un galet avec une rune qui apparait et indique le résutat du "lancé" marche aussi). Il s'adapte à la situation. (Bon, on ferai aussi bien avec un certain nombre de Dé dans la bourse et en en prenant le bon nombre.. mais c'est moins drôle).

oilà une ébauche du matériel :

Balluchon de Base (4 PO)
Le baluchon contenant le minimum vital pour tout aventurier qui se respecte.
Il contient :
- 1 Sac à dos en cuir bouilli,
- 1 outre pleine (contenance de 2L taille M)
- 1 couverture épaisse,
- 2 rations de survie,
- 1 bourse en cuir

5,5kg taille M

1 ration de survie (5pa)

4bougies (4*1pc)
2 morceaux de craie (2*1pc)

Paillasse (1pa)
2,5 kg

4 bandages 1mètre (4*2pc)
Aiguille a coudre (5pa)

Fronde

Sacoche de trésorerie (1pa)

Dague (2po)
La dague traditionnelle a une lame pointue généralement à double tranchant, contrairement au couteau doté d'un seul tranchant et un peu plus court.

Arme : à une main légère
Bonus d’altération :
Dégâts (P) : 1d3
Dégâts (M) : 1d4
Critique : 19-20/x2
Facteur de portée : 3m
Poids : 500g
Type : perforant ou tranchant


Soit :
6po+12pa+14pc.
Me reste 113po+2pa+6pc


Il manque quelque chose d'évident qui m'aurai échappé ?
J'ai pris la dague, pour avoir quelque chose de tranchant pour couper la nourriture, j'ai pas trouvé de couteau ^^.


Edith :
J'ai maj la feuille en premier post.
Je pars en week end, mais la prochaine fois, promis je reviens avec la description physique/psychologique et le BG.