۝ Abysses ۝, Traité de l'Eau - IV

Narration

Lieu: inconnu
Température ressentie: 12°C,
Humidité relative: 80%
Obscurité: faible lueur de l’intérieure de la Conque + bâton éclairant (lumière normale dans un rayon de 9m, faible lumière dans un rayon de 18m)

Le roublard lui tendit une potion avec l’empressement de celui qui se rend compte qu’il aurait du le faire d’initiative au lieu d’attendre la demande.

- Une potion ! Bien sûr ! Ils t’ont pas raté … une chance que je l’ai gardée à la ceinture … Mon sac …

Euréka récupère 8PV sur les 16PV perdus

La Magouille aurait voulu soulager son ami, lui proposer un bandage, un peu d’eau –maintenant qu’ils n’y étaient plus plongé, les bienfaits d’une gorgée d’eau refaisaient surface- ou une aide pour porter ses affaires … parce que son sac trônait toujours au milieu du chemin et qu’il était évident qu’il ne prendrait pas le risque de retourner le chercher. De tout son attirail, il lui restait deux dagues qu’il avait sorti de Dobun ne sait où, qu’il tenait comme on s’accroche à la corde de la vie. De s’activer de la sorte, il avait repris contenance, même si l’évocation des créatures ailées qu’il n’avait pas vues le fit déglutir.

Et tandis qu’il parlait, le bruissement d’ailes se fit à nouveau entendre comme les têtes ailées reprenaient leur ronde improbable autour des rochers volants. Euréka se retourna malgré lui pour s’en rendre compte et voir que les chiens de l’enfer étaient, eux aussi, de retour à leur place, sur leur socle de statue, comme s’ils ne s’en étaient jamais décrochés.

Au seuil de la super structure, Euréka eut la certitude qu’elle n’avait pas que la forme d’une conque, sa surface interne était légèrement brillante, comme si une fine couche de nacre la recouvrait. Il n’en fallait pas plus pour imaginer qu’elle avait dû être la coquille d’une créature titanesque. Le sol par contre, à la suite du dallage de pierre noir, de par un chemin central clairement dessiné dans une mosaïque usée indiquait qu’elle avait effectivement été utilisée pendant un certain temps, la poussière accumulée et l’état général de celle-ci que plus personne n’y était entré –à pied- depuis longtemps.

Sur la droite, cinq anfractuosités étaient visibles, à gauche rien que la surface lisse et tournante.

Mis à part les battements d’ailes brisant le silence, il n’y avait aucun bruit.

e gnome avaça à pas prudent. Il faut dire, il avait assez souffert jusqu'ici. Et d'un naturel... bon, pas vraiment prudent, ni tout à fait couard non plus, disons que naturellement Dobun avait une forte propension à éviter au mieux les situations qui risquait de mettre sa vie en danger. Ce qui mentalement lui faisait se dire qu'il était bien mieux au milieu de toute cette eau au sein du mythal.

Mais il y avait un livre à la clef, un livre ancien, perdu (enfin, caché plutôt... ils n'auraient pas put le ranger proprement dans une bibliothèque plutôt, à la rigueur sous scellé, ou même dans une salle secrète et oubliée...), et fondamental pour l'Ouroboros. Bref, assez de raison pour vouloir aller de l'avant.

De toute façon, rebrousser chemin était pour l'heure hors de question.

Craignant les pièges, et se doutant qu'il y avait peu de chance qu'ils proviennent du mur nacré, le gnome s'approcha du mur, afin d'en surveiller tout les recoins et caches à mécanismes potentiels, avant de poser le pied plus avant. Il invita d'ailleurs la magouille à faire de même s'il avait un quelconque talent dans ce domaine.

Toujours prudemment, le gnome cherchait surtout à s'approcher des anfractuosités pour voir ce qu'il s'y trouvait. Tout en s'en tenant suffisamment loin pour le cas où il s'agirait encore de l'un de ces chiens qu'il ne savait qualifier autrement que « des enfers ».

Une chose était certaine. Après cette affaire, le gnome se prendrais des vaccances bien méritée. Ou même un boulot, mais un boulot dans une bibliothèque, ou un laboratoire, ou un atelier, ou alors il suivrait des cours dans une école de magie... Une chose est sure, il ne repartirait pas trop vite à l'aventure (bien que foncièrement, il ne pouvait se cacher qu'il y retournerais sans doute tout de même).

Mais là, l'objectif était d'éviter les pièges, et le gnome retourna à l'observation de ce qui l'entourait. Agissant avec précaution et raisonnement.


Fouille, en cas de piège, et toutes les autres capacités de détection pour voir s'il y a un truc louche dans les anfractuosités

Tous les sens aux aguets, le Gnome cherchaient les marques d’un piège, d’une barrière de plus entre leur entreprise et deux rescapés perdus et pourtant si près du but. S’ils y avaient eu le cœur, ils auraient pu philosopher sur le besoin de se perdre parfois pour trouver ce que l’on cherche, voilà bien une activité qui aurait plu à La Magouille qui, comme son confrère, appréciait de trouver des réponses non-violentes aux embuches.

Le roublard n’était d’ailleurs pas en reste et, tandis qu’Euréka commençait ses recherches par le bas, lui étudiait le haut, aussi loin que la luminosité de son bâton le lui permettait.

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Fouille des 2 Porteurs (+recherche de pièges)
Dobun : 18(dé)+10 = 28

Mais rien, aucun piège d'aucune sorte et rien de louche ... avant d’arriver à la dernière anfractuosité.

Il y avait là, au sol, un gros tas de boue séchée qui ne semblait pas à sa place dans ce décor. A y regarder de plus près, ça ressemblait à la masse recroquevillée d’une créature vaguement humanoïde.

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Jet de Connaissances (plans) de Dobun : 11(dé) +5 = 16

Même si sa connaissance en la matière était assez générale, il comprit bien vite qu’il devait s’agir d’une de ces créatures élémentaires, un Mephit, celui-ci semblant associé à la Terre. Mais il différait singulièrement des illustrations qu’il avait pu voir par la forme de ses ailes, la finesse de ses membres dont il devinait les contours … il était moins massif qu’un Mephit de Terre.

Et il semblait dormir.

e gnome ne savait plus trop comment agir. L'attaque des chiens l'avais malgré lui mit à bout de nerf. Et la présence d'un méphite n'était pas pour le rassurer.

Ou alors au contraire?

A vrai dire, il ne savait plus. Son dictionnaire intérieur s'enclencha. Méphites : créatures élémentaires, généralement du même acabit que les éléments, c'est à dire ne se souciant ni du bien, ni du mal, ça n'aidait pas trop le gnome à vrai dire... Les terreux sont robuste, mais ce n'étais pas le cas de celui-ci. Peut-être existait-il des méphite de boue? Cela expliquerais d'ailleurs la présence de la créature par ici. Dans un milieu plutôt aqueux (ou du moins à proximité d'un tel milieu).

Les méphites sont souvent, lorsqu'ils sont invoqué, les premiers gardiens, ou les premiers messagers, en ce qu'ils sont invocable aisément par les mages puissant, et que justement, étant ni porté au bien ou au mal par nature... hé bien tout maître peut globalement leurs correspondre...

Mais tout ça ne l'aidait pas. Mais alors pas du tout.

Le gnome suivit alors son instinct. Il avait pour principe que lorsque la raison ne permettait pas de trancher, alors, il fallait s'en remettre « aux tripes » comme auraient dis d'autre. Mais Dobun préférait lui parler d'intuition.

De fait, il devait admettre, il n'était pas très fort dans ce domaine ci. Mais bon, son intuition lui disait que rester indécis ne l'aiderait pas à avancer dans sa quête.

Il jeta un regard à la Magouille, qui sans doute pensait comme lui : ils n'étaient pas combattants... Mais beaux parleurs, doublés de curieux damnés. Il lui fit un geste explicite, indiquant clairement son intention, et laissa un blanc pour permettre à la Magouille de réagir.

Si la Magouille ne réagissait pas. Le gnome se tournerait alors prudemment vers le méphite. Près à réagir au quart de tour si besoin. Et dans un souffle de parole s'adressa à la créature avec la douceur de quelqu'un qui cherche à réveiller quelqu'un d'autre.

- Dis moi gardien ou agent, créatures née des éléments, qu'as tu à nous apprendre sur ces lieux et tes semblables, maîtres ou alliés? »

Comme il s’y était attendu, La Magouille ne réagit pas plus. Lui n’avait jamais même entendu parler de Méphite, ses connaissances élémentaires se limitant strictement aux explications qu’ils avaient tous reçu quant à leur lien avec un élément précis déterminant la couleur que prenait leur Teouxvilit et les Pouvoirs qu’elle leur offrait. Il avait déjà croisé des Génasi, se souvenant très bien d’un Génasi de l’eau en particulier qui les avait abandonné alors qu’il aurait dû être leur clé pour Myth Nantar et leur offrir un accès beaucoup plus aisé à la Cité et n’en gardait de fait qu’un a priori particulièrement négatif.

Quand le Gnome commença à lui parler, la marre de boue lui sembla frémir, provoquant quelques minuscules fissures dans sa surface sèche et dégageant une légère odeur de vase. Quand il se rendit compte que rien d’autre ne se passait, son compagnon d’infortune lui parla plus fort, se souvenant peut-être que quelques minutes au part avant, Euréka avait hurlé en pensant sa dernière heure venue … et que ça ne l’avait pas réveillée.

Il eut alors une idée qu’il mit tout de suite à exécution, proche de la pensée de son ami sans que celui-ci ne l’ait exprimé : il détacha le foulard qui lui servait de ceinture et qui était toujours trempé de leur séjour prolonger dans l’eau et sa chemise qu’il portait par-dessus son armure pour commencer à les tordre l’un et l’autre pour qu’en coule un fin filet d’eau, presqu’argenté pour lui, dans cette semi-obscurité, et tandis que la surface craquelée se faisait lisse, son odeur de vase se fit plus forte et … la créature commença à se détendre, à étirer ses membres boueux et ses ailes faites de membranes verdâtres.

S’étirant d’un sommeil d’un nombre d’années dont il n’avait aucune idée, le Méphite clignait des yeux pour reprendre connaissance de son environnement. Au bout de quelques clignements, il se rendit compte qu’il était face à face avec Dobun et se limita à un : - « Bonjour ! Comment puis-je vous aider ? »

e gnome fut fort aise, et particulièrement rassuré que la créature ne leur saute pas à la figure comme les précédentes. Voilà qu'ils tombaient sur une aide bien précieuse, qui les aiderait sans doute en leurs fournissant quelques informations de première main. En espérant qu'ils ne fournisse pas trop de fausse informations, ou en y laissant volontairement trop de lacunes.

Mais Dobun était d'un naturel confiant, et après ses dernières épreuves, il était tout disposé à se reposer (sans doute un peu trop) sur la bonne volonté potentielle de son interlocuteur.

- Bonjour à vous, c'est pour un renseignement. On se demandais quel était la nature exacte de ce lieux, et si possible quelques informations générale quand à ce et ceux qui s'y trouvent. Je n'irais pas jusqu'à vous demander une carte (sauf si toutefois vous en avez une) mais quelques indications seraient bienvenue.

Sachant tout de même pertinemment que si le méphite était un gardien des lieux, il finirait par trouver étrange la présence de ces étrangers, et pourrait sonner l'alerte. Dobun lui servit un beau sourire amical et plein d'assurance. Un peu comme un invité dans une grande maison qui se serait perdu, tandis que le maître des lieux se serait absenté pour des raisons personnelles. Il restait à espérer que la magouille reprendrais le rôle, et que les taches de sang ne fassent pas trop tache vis à vis de cette attitude.

au fait, il me faut mes PV pour mon nouveau Level, roublard, tu me lance le dé?

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Diplomatie 7(dé)+0 = 7

Le Méphite s’étira sans grâce ni démonstration de déférence envers les visiteurs. Il poursuivait ses étirements, augmentant encore l’odeur qu’il dégageait jusqu’à la rendre clairement désagréable pour quiconque n’avait l’habitude de respirer à plein poumons dans les marais.

- Ce lieu ? C’est la Conque, ça se voit non ? Dessinez une carte ça va être un peu compliqué parce que ça monte, ça tourne, y a les cinq chambres sur la gauche, puis l’autel …

Il levait les yeux et les faisait tourner dans ses orbites comme s’il leur faisait emprunter le chemin menant au sommet de l’édifice par l’intérieur, et que ses globes oculaires n’étaient reliés par aucun nerf. C’était perturbant, l’envie de ne pas le regarder de plus en plus forte. Mais la créature était prolixe et ils n’avaient rien de mieux pour l’instant, il leur faudrait faire avec ...

- C’est la première fois que nous avons des invités, je ne suis pas habitué à ce genre de question, vous comprenez, j’en suis sûr. Pour ceux qui s’y trouvent, ça dépend de ce dont vous parlez : une personne par chambre, ça c’est sûr, les gardiens du livre, même si je ne pense pas qu’on puisse parler de personnes, ils étaient deux je crois et vous deux. Ah oui ! Et moi évidemment ! Ahahah ! C’était une question piège, bien joué, vous m’avez presque eu ! Ça fait dix ! A mon tour !

Ajoutant une couche à l’absurde, le Méphite malodorant pris une posture étrange, une main sous le menton, une jambe pliée à la manière d’un flamand rose, le regard se perdant à nouveau à l’intérieur de son crâne. Il était probablement en train de réfléchir et d’essayer de se souvenir de quelque chose. Puis tout à coup, l’index pointé en avant, il leur lança : - « Combien est-ce qu’on peut mettre de gouttes dans un verre vide ? Si vous trouvez, je vous en dis plus. Si vous vous trompez, vous devrez trouver vos réponses tout seul. Après tout, je suis là pour nettoyer, pas pour servir de guide. »

Les Porteurs allaient-ils se prêter au jeu ?

e gnome ne put s'empêcher de sourire à l'énigme. Il adorait ça, et il fallait admettre que s'il n'étaient pas aussi pressé, et situé dans un tel environement, il aurait put passer des heures à jouer aux devinettes avec le méphite. Hélas, rien de tout ça, il y avait la mission, et un peu de sérieux était de rigueur. Aussi, consacra-t-il un instant à chercher la réponse... qui lui vint cependant rapidement.

- Une seule goutte, car après, le verre n'est plus vide. »

Le gnome avait un large sourire. Il n'était pas certain de l'exactitude de sa réponse, et était enjoué à l'idée d'entendre la réponse véridique. Mais dans le même temps, il restait certain de sa logique et ne doutait pas un instant de l'exactitude de sa réponse. C'était bien là une réponse typique d'une énigme de ce genre. Petit, Dobun se faisait souvent avoir car il répondait de façon trop rationnelle, trop calculée, et le piège était justement là. Les devinettes possèdent leur propre logique, quelque part très rationnelle elle aussi, mais jusqu'à l'absurde, en prenant en compte le moindre détail, et en donnant à ces détails une importance que sensément ils ne devraient pas avoir.

La créature fut surprise, peut-être plus par l’attitude du Gnome que par la réponse. Il devait avoir autant l’habitude des visites que de trouver quelqu’un qui accepte de se prêter à ses petits jeux d’énigmes.
- Mais oui ! C’est une excellente réponse ! On pourrait s’amuser à trouer le verre qui resterait vide à jamais ou faire de ce verre un élément si chaud qu’il mènerait au même résultat, le retourner, discuter de la taille de l’un et de l’autre mais c’est exactement ce à quoi je pensais, bravo !
La créature applaudit, un sourire aussi large que celui d’Euréka aux lèvres. Quittant se posture de penseur, il se plaça à côté de La Magouille et lui prit la main comme l’aurait fait un enfant pour un parent avant de prendre la route. S’en rendant compte de faire sursauter l’humain, il s’excusa et fit un petit pas de côté.

- Chose promise, chose due, parait-il, je vous écoute tous les deux si vous aviez des questions plus précises. Je peux déjà vous en dire plus sur cet endroit et sa fonction. Il y a très longtemps –ne me demandez pas combien de temps- c’était une créature. Vraie de vraie, gigantesque, avec des tentacules, des yeux, une bouche énorme pleine de trop de dents, elle venait d’un autre plan je crois. Lequel ? Pas la moindre idée. Si je l’avais vue de son vivant, je ne lui aurais pas demandé d’ailleurs. Il y a eu une bataille et ce sont mes maîtres qui ont gagné sans quoi je ne serais pas là pour en parler. Ils se désignaient comme étant des Batrachi si je me souviens bien, il y a fort longtemps que nous n’avons pas parlé ensemble je crois. Ils ont fait disparaître l’eau, c’était fort astucieux, puis ils ont désintégré le monstre, sa coquille exceptée, et nous en avons fait notre lieu d’étude.

La créature leur expliqua encore comment Ils étudièrent la structure des créatures marines, et torturé l’âme du monstre vaincu pour qu’il leur livre les secrets de son monde et ils ont tout rassemblé dans un livre, ce qu’il restait de l’âme et leurs savoirs. Son explication laissait clairement comprendre que tout cela le dépassait de loin et qu’il était resté ‘endormi’ très longtemps.

- Bien, si nous allions saluer les cinq ? Ou vous voulez aller tout de suite voir les deux Gardiens ?

urêka ne put s'empêcher de frémir à l'idée de ce qui était advenus à la créature d'un autre plan. Une histoire atroce, mais qui doublait l'intérêt du gnome pour le livre. Il n'y avait pas trop songé jusque là, ce livre était ce vers quoi sa quête tendais, l'objet à ramener. Mais il touchait maintenant à l'importance de ce livre.

Pas qu'il n'en doutait, ni même qu'il n'ai pas conçu que ce livre recelait d'important savoir. Simplement, après avoir entendu son histoire, il y portait un intérêt plus personnel. Bref, comme de coutume, il était curieux. Ce qui faillit lui faire manquer de prudence, car soudain, il se rappela des gardiens et des « autres » ou plutôt « maîtres ».

- Oh, avant de les déranger, j'aurais quelques questions. Qui sont ces gardiens exactement ? »

Plus insidieusement, Dobun cherchait à se rappeler ce qu'il savait des Batrachi. Une des cinq race créatrice s'il se rappelait bien. Tout comme les sarrukh... S'il avait su, avant de partir il se serait documenté sur ces peuples. Tout ce qu'il savait de cette époque, c'est qu'il n'aurait pas aimé y vivre. Et il n'avait que trop en tête que si certains sarrukhs étaient devenus des Liches, ce pouvait tout aussi être le cas des Batrachis.

- Ah, et concernant tes maîtres qui résidents ici, ce sont toujours des Batrachis ? On ferait peut être mieux de ne pas les déranger, peut être sont-ils en train de se reposer... »