|
|
Le Sceau du Dragon
|
Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Le Chemin de Shaundakul- Le Sceau du Dragon II Année de la Magie Sauvage Troisième Jour du Pourrissement Climat : Couvert, vent faible. Les choses s’organisèrent rapidement autour de la maison, juste après que Quosim eut répondu au paladin que ces sentinelles toutes issues de la guilde de l'Oeil, avaient en eux la vaillance, la pureté et le courage des grands Ménestrels d'Eauprofonde. Nul ne saura si leurs actions seront bénéfiques ou si elles contribueront effectivement à précipiter les temps sombres. Le tout reste affaire de grandes âmes comme vous semblez si bien le comprendre maitre Naïrod...
La petite gnomesse se sentait effectivement mieux et se vit confier la tâche de s'occuper de la bête de Pancho. Nym'E'Ria gambadait joyeux à côté d'elle, cherchant au pieds des arbres mille et une senteurs, puis revenant tourner autour d'elle comme pour s'assurer qu'elle n'allait pas une fois de plus retomber à terre. La bête de Pancho attachée, la jeune gnomesse vit les hommes affairés à enterrer les morts tout au fond du jardin, creusant bien profondément. La gnomesse regardait Naïrod qui venait de découvrir ce qui les poursuivait et se sentait d'humeur sombre. Creuser les tombes était un exercice ardu, mais se jetant dans cet effort physique, la tension accumulée se transforma en saine fatigue. Lorsqu'ils furent prêt, Quosim demanda un instant de recueillement et sa voix profonde résonna dans le ciel maintenant assombri par une nuit naissante. Quelques étoiles s'étaient allumées dans un ciel portant encore une faible luminosité de bleue, uniques témoins de cet enterrement. Que les dieux puissent prendre en pitié ces âmes de mortels qui furent déviés de la voie de lumière et les recueillir au sein du royaume des morts. Ils se sont battus et ont été vaincus. Ils ont été jugés par nous hommes, ils seront jugés par Vous Vénéré et Grand Kelemvor. Soyez témoins de nos actes pour la liberté des peuples et la sauvegarde de notre monde. Après quelques instants de silence, tous s'en retournèrent vers la maison de Quosim l'Ancien afin de s'y reposer. Pancho et Quosim assurèrent les voyageurs. Ils se chargeraient de surveiller afin que leur sommeil ne fusse pas troublé. Il y avait assez de place pour que les trois aventuriers puissent dormir de tout leur saoul, et se réveiller le matin, frais et dispos, les souvenirs de la bataille n'étant plus qu'un souvenir dans leur mémoire.
Ils découvrirent une table chargée de pain frais, de quelques fruits et de fromage. Une omelette grésillait sur le feu de la cuisinière. Quosim et Pancho étaient légèrement fatigué, mais brillait d'un même espoir. Leur nuit à veiller les avaient réunis en une longue conversation, renouant avec le passé et pensant déjà à l'avenir. - Le chemin de Shaundakul ! tonna Pancho d'un air triomphant ne sachant presque plus retenir sa langue. Il regarda les convives d'un air entendu puis continua très satisfait Ce chemin est secret et vous conduira directement sur Proskur, à moins que vous ne vous perdiez en route. Bon d'accord, vous devrez le faire à pied et seuls, mais il est discret et connu que par quelques initiés... - Ce chemin n'est pas sans danger. Il ne faut absolument pas quitter la route, ne pas s'attarder sur les choses que vous pourriez y voir. reprit Quosim d'une voix plus posée que celle de Pancho Je peux vous ouvrir le chemin de celui que je sers. Mais il vous faut une âme forte et une volonté inébranlable... Les deux hommes se turent regardant chacun comme pour y lire une réponse, un assentiment ou un rejet, le choix restait entier pour Naïrod, Syriam et Mei'Y'Ann
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Mei'Y'An, attablée avec les autres mangeait de bon appétit. Quoi qu'il advienne, son appétit ne faiblissait presque jamais, et il était rare qu'elle saute un bon repas. Malgré tout, elle sentait l'ambiance tendue, et mangeait doucement, tout en réfléchissant à ce que venait de dire les deux hommes. Elle avait nourri sa chienne, qui, une fois repu, s'était allongée à côté de sa chaise mais gardait les oreilles dressées et remuantes, sensible à la tension régnant dans la pièce.
Pour la gnomette, la décision fut facile à prendre.
-Moi, j'y vais. Si ces hommes trament vraiment quelque chose de grave, chacun finira par être affectée. Je ne rentrerais pas chez mon peuple tout en sachant que le danger arrivera tôt ou tard. Si je le peux, je veux les arrêter, ou au moins les retarder. Enfin non, pas si je le peux. Il le faut, c'est tout. Ce n'est pas en ignorant les intrigues et en passant notre chemin que cette histoire ce règlera. Et tout en regardant Quosim et Pancho : Moi et Nym'E'Ria emprunteront se chemin.
Elle se pencha pour gratter affectueusement sa chienne entre les oreilles, puis regarda tour à tour chacun des hommes présents dans la pièce, attendant la réponse de Tùrambar et Syriam.
Après le rire, les pleurs, Après les jeux, les douleurs. Mais la vie est faite pour être vécue, Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue. Fiche Mei'Y'An
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
|
|
|
La nuit de Tùrambar avait été relativement douce et calme. Le paladin avait retiré sa cuirasse, il faisait confiance en la garde de Pancha et Quosim, puis il c'était nettoyée un peu, pour ne pas salir sa couche avec le sang et la terre des tombes qui le maculait. Il avait tout de même gardé son morgensterne près de la main.*Soyons confiant, pas idiot, après tout, ils se sont fais surprendre à tour de rôle.* Aux première heures de l'aube, le paladin s'était levé, frais et complétement rétablit, puis était aller dehors, s'éloignant de quelque pas de l'entré.
Il s'était alors mit torse nus et s'était agenouillait face au soleil levant. Il frissonna en sentant l'air frais caresser ses anciennes blessures et ses nouvelles cicatrices. Puis quand les premier rayons du soleil touchèrent sa peau, le réchauffant un peu, l'impilturien commença à prier son dieu. Les minutes passèrent, puis tandis que l'homme communiait avec son dieu, son auréole s'alluma subitement, plus brillant que d'habitude et étrangement chaude. Celle-ci se concentra autour des mains du paladin, qui brillèrent d'un éclats presque insoutenable puis s'éteignirent.
Tùrambar sentit alors en lui un nouveau pouvoir, une nouvelle puissance sainte, il comprit de quoi il s'agissait : il venait d'obtenir le pouvoir d'imposition des mains. é L'odeur du petit déjeuner fit grogner l'estomac de Naïrod, qui s'habillant en hâte, puis passa son armure, retrouva ses compagnons levés et attablés. Il écouta la proposition de Pancha et de l'ancien.-Veuillez m'excuser, mais je ne vois pas l'intérêt de prendre une route dangereuse alors que nous pourrions rejoindre Proskur par la route. Nous avons été vus quittant la ville pour nous rendre à Proskur, les espions du culte trouveront étrange de ne pas nous voir entrer par les portes. Cela pourrait les alertés.
|
|
|
|
|
|
|
|
Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Le Chemin de Shaundakul- Le Sceau du Dragon II Année de la Magie Sauvage Troisième Jour du Pourrissement Climat : Couvert, vent faible.Un silence presque gêné accueillit la réponse de Naïrod. La jeune gnomesse semblait tout à fait d'accord d'aller explorer cette voie inédite, tandis que le paladin semblait plutôt enclin à suivre la route normale. Le choix était dicté non seulement par la prudence que l'attaque de Quosim eut lieu de provoquer, mais aussi par un souci de pratique. Pourquoi aller prendre des risques ? La réponse ne se fit pas attendre. Pancho prit des airs bourrus, tordant ses lèvres, claquant la langue, posa ses deux grosses mains croisées sur la table et d'un ton qui invitait à la réflexion - D'après ce que nous a dit Quosim, ces hommes là étaient commandité ici que pour lui, et personne d'autre mon ami paladin. On sait pertinemment que ces deux hommes étaient que des hommes de mains. Pensez-vous vraiment qu'on les mettrait au courant de tout ? Certainement pas. Leur mission apparemment portait sur des informations à retirer à propos du sceau. De plus à part la signature, nous ne savons rien sur le message que l'un d'eux portait. Comment se fait-il qu'il n'y a qu'une unique signature et un symbole. Il y a message là dessous je mettrais ma main au feu. - Très juste reprit Quosim, nullement besoin de te foutre la main en l'air mon ami. Jusqu'à présent nous n'avons nullement essayé de le lire. J'avais complètement zappé là... Des idées ? Sinon il va falloir le porter à La Maindor, un spécialiste de notre connaissance, retraité peut-être, mais diantrement fort pour craquer tout messages codés, portes blindées, antres secrets. Pancho hocha vigoureusement la tête complétant les dires de Quosim. Puis reprit :- Vois-tu Naïrod, la marque de tout bon stratège repose sur le fait de ne donner que des bribes d'informations à l'un et à l'autre, bien morcelés. Dès lors, trouver des informations devient difficiles pour les autres camps. Le Culte utilise ça depuis la nuit des temps, et a intérêt à le faire. Pour rester bien caché, c'est essentiel à leur politique. Il était évident que pour ces deux là, c'était la solution la plus évidente, même si ce chemin présentait quelques difficultés
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
|
|
|
Tout en avalant un beau morceau de pain avec du fromage, le paladin écoutait le débat, qu'il avait ouvert. Tùrambar eu un petit sourire en coin en entendant la réponse de Quosim.
-"Ne donner que des bribes d'informations à l'un et à l'autre, bien morcelés", j'ai presque l'impression d'entendre lut à haute voix les paroles de Khelben Arunsun.
Le paladin ouvrit deux grands yeux, il venait d'avoir une idée. Il sembla jauger un instant Quosim. Puis ce décida à lui demander :
-Père Quosim, je te pense aussis savant que Khelben Arunsun en matière de magie et de mystères, accepterais tu de jeter un œil au parchemin, s'il y a un moyen de le lire magiquement ?Le paladin tendit le parchemin au vieux prêtre demi-orc. Et si j'osais abuser, pourrais tu également nous dire se que sont ces potions, sont elles des potions de soin ou risquons de nous empoisonner avec ?Il avança les fioles.
Le paladin se tritura les mains, il avait encore beaucoup de question, dont une qu'il considérait comme évidente.
Combien de temps mettrons nous par le chemin secret de ton dieu ? Combien de temps gagnerons nous par rapport à la route classique ? Et surtout, un de vous aurait il une gravure du sceau du dragon, l'objet que nous devons trouver ? Ce serait bête de l'avoir sous le nez sans le reconnaître.
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Tout en mangeant de bon appétit son petit déjeuner (qui était loin d'être petit vu tout ce qu'elle engloutissait), la jeune rôdeuse écoutait avec attention le débat entre les trois hommes. Elle comprenait les réticences de Tùrambar mais elle pensais que si Pancha et Quosim voulait les envoyer par ce dangereux chemin, c'était qu'ils avaient une bonne raison. Après tout, ils étaient tous réuni ici pour la même quête. Bien qu'elle se méfia toujours quelque peu de ces deux hommes, ils étaient tout de même moins suspect que son compagnon de voyage au final, même s'il ne fallait pas juger sur les apparences.
Par contre, elle était tout à fait d'accord sur un point : il fallait qu'ils aient une idée de ce qu'ils cherchaient.
-Che chui tout à fait d'acchord... Elle avala sa bouchée avant de reprendre de manière plus compréhensible : Je suis tout à fait d'accord avec toi sur un point Tùrambar : il faut que nous ayons une idée précise de ce que l'on cherche, sinon, on pourrait bien le voir une centaine de fois qu'on ne le trouverais pas!
Elle prit ensuite un morceau de fromage dont elle régala sa chienne qui s'empressa de s'en emparer, de l'avaler et de se lécher les babines avant de la regarder d'un air plein de sous-entendus : donne-m'en d'autre ! Mais la jeune gnomette se contenta de la gratter entre les oreilles tout en attendant la réponse des deux hommes.
Après le rire, les pleurs, Après les jeux, les douleurs. Mais la vie est faite pour être vécue, Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue. Fiche Mei'Y'An
|
|
|
|
|
|
|
|
Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Le Chemin de Shaundakul- Le Sceau du Dragon II Année de la Magie Sauvage Troisième Jour du Pourrissement Climat : Couvert, vent faible.Le silence s'apensantit à nouveau alors que Quosim et son ami se consultèrent du regard. Ce dernier leva les épaules en geste d'ignorance quand à la bonne décision à prendre, et dans la foulée se retailla un beau morceau de pain sur lequel il appliqua généreusement une couche de confiture. Nym'I'Ria s'était couché au pieds de sa maitresse, attendant quelque geste généreux ou maladroit, peut-être même les deux.
Beaucoup trop de question mon cher ami, cependant je vais vous répondre à celle-ci : le sceau est une sorte de broche avec deux dragons entrelacés : l'un est en argent, le métal des alchimistes et l'autre en or, le pouvoir des dieux. Il est raconté qu'il a le pouvoir de briser toutes malédictions qui sont posés sur les objets, particulièrement les grimoires. C'est un artéfact ancien, très ancien qui pourrait ouvrir une base de connaissance vitale à la sauvegarde de notre monde. Je pense que c'est là déjà trop de vous le dire. Vous avez maintenant la mesure de ce qui pèse sur vos épaules, bien frêles je le crains... Après un moment de silence il reprit :La dernière fois qu'elle vu utilisée c'était au Nord, près de la mer de Lune. C'est par là qu'il faut aller, au Nord... Et puis je n'ai pas besoin de lire le parchemin, je sais pourquoi ils sont venus, au travers de leurs questionnement musclé Quosim fit la grimace, tout en se massant les épaules. Il est vrai que son visage portait ecchymoses et cicatrices déjà refermés certes, mais traces de la torture récente qu'il avait subi. Ils cherchaient la même chose que vous et, en outre des informations sur la réunion chez dame Braguelongue. Ils voulaient savoir si quelqu'un était à la recherche du Sceau et si oui, qui exactement. De toute façon, là ils ne pourront pas divulguer le fait de vous avoir rencontré. Très important ça : pas de témoins ! - Ouais ! Pancho avait reprit du poil de la bête et semblait tout à fait prêt à reprendre la route. Il se leva pesamment, avec un soupir de bien-être. En tout cas, moi je n'y connais pas grand chose à cette histoire et je ne veux pas en savoir davantage je m'en vais livrer mes tonneaux à Proskur et basta ... Alors qu'il s'apprêtait à dire quelque chose de plus, on frappa à la porte. Un tapotement léger mais distinct. Nym'I'Ria leva la tête dressant les oreilles, interrogeant du regard sa maitresse. Elle ne semblait pas fortement alarmée, plutôt aussi intriguée que leur hôte qui leva un sourcil interrogateur fixant la porte comme si il pouvait voir au travers.
Shorana était enfin arrivée. De fil en aiguille, au bout d'un long voyage des Marches d'Argent, elle portait peut-être tout l'espoir de voir cette mission réussir. Maitre Elentir avait de suite reconnu son goût pour les explorations audacieuses couplé d'une assurance hors pair. Cette jeune ensorceleuse avait pour mission de renforcer une mission. Maitre Elentir était resté vague, mais après qu'elle eut intégré la branche dont il était gardien, il l'avait rappelé l'enjoignant à se rendre à un endroit précis, qu'il avait indiqué sur la carte. Il l'avait aussi balancée dans la charrette de bardes et de jongleurs, qui l’avaient accompagnée jusqu'ici, avec comme couverture un groupe de joyeux drilles qui tous les soirs faisaient la joie des petits villages ou des feux de campements.
Elle avait un peu de regret de devoir quitter si bonne compagnie, surtout les trois frères halfelins qui non content d'être d'excellents musiciens, avaient aussi cette joie de vivre insouciante et totalement imprévisible, se jouant des mauvais coups du destin avec une bonne humeur constante. Soyez prudente belle Shoranna avait dit Flix Et n'oubliez pas de sourire avait rajouté Flex On va jusque Hautelune. Si vous avez besoin de nous, on accourt ! termina Flux. Il lui avait remis une étrange petite broche qu'il agrafa lui même (en rougissant un peu) à l'épaule de la jeune ensorceleuse, non sans se dresser sur la pointe des pieds. Si vous êtes près de Hautelune, il suffit de prendre cette broche et de la chauffer au rayon du soleil. Avec la chaleur et la lumière, un sort est libéré : vous penserez déjà lors très fort à l'endroit où vous vous trouvez, et je l'entendrais. C'est un sort de message continua-t-il, un truc que j'ai mis au point lorsque j'étais à l'Assemblée. Attention hein, ne l'utilisez qu'en cas d'urgence et pas trop loin de Hautelune. Il nous faut avoir le temps d'arriver. Surtout que cela ne marche qu'une fois. Après s'être assuré que Shorana avait bien comprit, il firent leur adieux. La charrette était repartie la laissant au bord d'un sentier qui l'amènerait droit vers une petite maison au toit de chaume. Le matin envoyait des rayons prometteur d'une journée sans nuage.
Le message à délivrer était simple : "je viens de la part de Stolig pour les voyageurs du Sceau. J'ai quelques objets à leur donner ..." Elle portait en effet une sorte de gemme au coeur d'un magnifique vert qui une fois par jour indiquerait la voie à suivre, si jamais ils étaient perdus. Elantir lui avait expliqué qu'il suffisait de la mettre au contact du sol et qu'un rayon de lumière jaillirait indiquant la voie. Elle avait aussi une fiole de poudre qui parsemée sur le chemin effacerait toutes traces de leur passage. Enfin elle portait trois bracelets, un pour elle, un pour chacune des deux autres personnes, qui avaient la propriété de se reconnaitre. Le porteur saurait plus ou moins où se trouve les deux autres, du moment qu'ils soient à moins d'une centaine de mètres de distance. La jeune femme avait frappé et attendit qu'on vienne lui ouvrir.
Dans la maison le silence surprit était tombé sur les convives qui se consultaient du regard. Depuis quand ma maison est-elle devenue un moulin ? rageait Quosim se levant doucement... Votre HRP
|
|
|
|
|
|
|
|
Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Shorana avait attendu quelque instant devant la porte de la petite chaumière à flanc de colline, un léger vent lui ébouriffait les cheveux, que Crocky le lézrad cornu perché sur ses épaules cherchaient a attraper au vol. Quand enfin, on vint répondre à ses petits coups sur la porte, un homme étrange portant des marques de coups était venue lui ouvrir, suivant les descriptions des maîtres Stolig et Elantir, la magicienne reconnut Quosim, le propriétaire des lieux
-Bonjour, vous devez être maître Quosim ? Je suis Shorana, je suis envoyé par les maître Elantir et Stolig de l'Assemblé.La magicienne montra discrètement sa gemme de Sanidine à l'ermite, prenant elle même le temps d'y perdre son regard, laissant errer son esprit dans le désert.. -Je suis la, pour aider au mieux les aventuriers dans la quette du sceau et j'ai également divers objets à leur remettre.Elle palpa d'une geste négligent sa sacoche. Du moins, s'ils sont encore ici ?Elle fit mine de se lever sur la pointe des pieds pour regarder l'interrieur de la maison, mais elle n'y voyait pas grand chose.
Elle fit de grand yeux presque triste au vieil homme. -Rassurez moi, ils sont encore la, hein ? J'ai pas fais tout ce chemin pour rien quand même.
|
|
|
|
|
|
|
|
Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
|
|
Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
|
|
|
Naïrod était resté attablé un moment, finissant sa bouchée, tandis que le maître des lieux était aller ouvrir. Tendant l'oreille, le paladin entendit la présentation de la jeune femme, Shorana de l'Assemblée.*L'Assemblé, l'Assemblé, est ce que j'en ai déjà entendu parler ? En tout cas, Quosim à l'air de savoir de quoi il s'agit.*
L'impilturien se leva le plus doucement possible, saisissant au passage sa nouvelle dague, il avait saisit au tont du prêtre qu'il n'était pas tranquille et voulait tester la jeune femme.
L'air de rien, Naïrod approcha donc tranquillement pour pouvoir observer cette Shorana.
Il la trouvait quelque peut étrange, elle lui rappelait un morceau de charbon dans un brasero se retenant de rougir et de flamber. Au vue de sa tenue et de son équipement, il lui parut évidant qu'elle était une sorte de lanceuse de sort.
Puis il concentra sur elle le pouvoir de son dieu, cherchant si elle était au service du mal, mais il ne ressentit rien en se sens.
Il savait, que cela ne voulait pas dire qu'elle ne serait pas une ennemie, comme le demie orque qu'ils avaient combattut juste avant, mais c'était tout de même encouragent.
Il demanda donc d'un ton cordiale :
-Maître Quosim, quelle est donc votre nouvelle amie, lui ferons nous une place à table ?
|
|
|
|
|
|
|
Suivre ce sujet
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’une réponse est faite dans ce sujet et que vous n’êtes pas présent sur les forums.
S’abonner à ce forum
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’un nouveau sujet est créé dans ce forum et que vous n’êtes pas connecté.
Télécharger / Imprimer ce sujet
Télécharger ce sujet dans différents formats ou afficher une version imprimable.
|
|
|