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> Le Sceau du Dragon
écrit le : Mercredi 03 Avril 2013 à 21h32 par Kraël
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L'arme à la main Tùrambar souriait, comme son dieu, il avait certes du mépris pour la guerre et la souffrance qu'elle apporte, mais lorsque son sang bouillonnait que la fièvre du combat le prenait, Il aimait ça.

-Si tu veux qu'on te craigne et pouvoir traiter le gens de petit con, vise au moins juste. Infâme cèlera à visage de pourceau.

Le paladin cherchait à garder l'attention de son adversaire et tout en l'analysant se plaçait de fonçons à ce que celui-ci ne puisse s'enfuir par l'entrée.

*C'est un demi-orc, il a voulut m'atteindre avec une sorte de masse et ma raté, si au moins je voyais se qu'il a sous son manteau... Ce n'est surement pas un mage, ni un sorcier, peut être un prêtre ou un guerrier qui n' a pas eu de chance.*

Syriam venait d'entrer. Ils étaient en surnombre, il ne fallait pas laisser le temps aux deux tortionnaire de mieux s'organiser.

*Il faut les abattre aux plus vite et si l'un des deux est un prêtre encore plus !

L'impilturien gregnat et alluma son auréole, le temps n'était plus au faux semblant et il fallait rassurer le blesser, il voulait distraire son adversaire tandis, qu'il bondissait pour effacer la distance les séparant et lui assener un nouveau coup de sa Miséricorde.
Avec néanmoins cette foi une différence, tout en frappant il en appela aux pouvoir de son dieu pour l'aider à châtier ce malfaisant.



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La fiche de Naïrod
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écrit le : Lundi 13 Mai 2013 à 15h02 par Kipepeo
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Année de la Magie Sauvage
Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement
Voyage vers Proskur, fin d'après-midi


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La bataille faisait rage dans la pièce. Le chien n'hésita pas aux ordres de sa maîtresse et d'une charge digne de ses origine de loups, il se jeta sur l'elfe surpris par tant de fougue. Celui-ci ne résista pas à l'assaut et tomba lourdement à terre. Voir un gentil chien obéissant se transformer ainsi soudainement en machine de guerre avait quelque chose d'effrayant. Il infligea une profonde morsure à la cible indiquée. Ce dernier poussa un hurlement de douleur et de frayeur cherchant à se libérer de cette emprise canine.

Dans l'autre coin de la pièce, Syriam était venu en aide au paladin, plaçant ma foi un coup de serpe bien réussi. Comme quoi les armes les plus anodines dans les mains d'un utilisateur chanceux et averti peuvent infliger des blessures bien ressenties. Le demi-orque a dû être surpris par cette attaque, car son gourdin rata de peu la face de Naïrod qui entendit siffler à ses oreilles le lourd bois noir. Ce dernier n'hésita pas réagir, invoquant le pouvoir de son dieu et cherchant dans ses pouvoirs l'illumination du Juste. Malheureusement, le paladin omit de chercher la nature de son ennemi, son alignement irradiait-elle le mal ? Il n'eut comme toute réussite que le résultat des longues années d'exercices au combat. Joli d'ailleurs, car il est évident que le coup donné brisa une fois de plus et bien plus adroitement le cuir de l'armure orque. Un second jet de sang gicla tâchant le morgensten de la fureur du Paladin.

Mei'Y'Ann elle se faufila adroitement entre l'elfe et la table pour venir au secours de l'homme blessé. Mais son attention fut détournée par un bruit qu'elle entendit dans la pièce derrière le mur où l'homme était adossé. Était-ce Pancho qui ayant fait le tour de la maison entrait par la porte de derrière ? La jeune gnomesse ne pouvait vraiment le déterminer. Elle jeta un regard interrogateur à l'homme blessé, mais ce dernier ne semblait pas réussir à rassembler ses esprits. Il avait baissé la tête et fermé les yeux. Aucune aide n'était à attendre de ce côté. Cependant, l'elfe à terre murmura quelque chose, et à son murmure seul un petit gémissement lui répondit, le gémissement du chien même si pour l'heure il n'avait pas lâché prise. Mey'I'Ann eut juste le temps de voir l'homme sombrer dans l'inconscience et sentir un passager affaiblissement de sa volonté. Mais la gnomesse se ressaisit aussitôt, ne comprenant peut-être pas pourquoi elle s'était sentie faible pendant quelques secondes.


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écrit le : Jeudi 16 Mai 2013 à 19h05 par Mei'Y'An
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La jeune gnomette après s'être assuré que l'homme n'était pas en danger de mort immédiate, reporta son attention sur les combats. Elle vit le barde et le paladin se débrouillait parfaitement sans elle.
Son regard parti vers sa chienne qui avait parfaitement obéit et mit l'adversaire à terre. Mei'Y'An se précipita aussitôt, voyant là une occasion d'infliger une profonde blessure à l'abdomen ou à un membre de l'elfe, réduisant ainsi ses mouvement, si ce n'est l'empêchant de combattre.

Elle s'élança donc, petit, discrète et vive, vers l'elfe tout en dégainant son poignard dont elle ne se séparait jamais.

-Nym'E'Ria! Mord!!

Il ne fallait surtout pas qu'il se relève. Elle arriva rapidement sur l'homme et, tenant fermement son arme, lui assenât un coup aussi puissant qu'elle le pouvait, avec tout l'élan dont elle disposait pour que son coup soit plus fort.



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Mais la vie est faite pour être vécue,
Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue.


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écrit le : Samedi 25 Mai 2013 à 10h13 par Syriam
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Syriam entendit un bruit sourd, comme si quelque chose s’écrasait par terre. Probablement leur deuxième adversaire qui avait heurté le sol. Le combat tournait à leur avantage. Plus besoin de s’inquiéter du deuxième adversaire, s’il est bel et bien à terre, Mei pourrait lui apporter quelques souffrances.
Son attention se porta donc plutôt sur l’ennemi qui était devant lui. Ils étaient deux, lui était seul et semblait focalisé sur Nairod. Évidemment, un Morgenstern peut faire plus de ravages qu’une petite serpe. Le meilleur était donc de tenter de se mettre dans son dos le temps qu’il ne voie que Nairod pour lui asséner un coup vicieux, de préférence dans la nuque. Ainsi dès que son ennemi eu tenté de frapper Nairod, Syriam tenta un mouvement pour se placer derrière lui, et lui asséner un coup.

¤Finissons en vite, on ne connait toujours pas l’état de santé du pauvre homme blessé.¤



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écrit le : Mardi 28 Mai 2013 à 20h44 par Kraël
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es bras de Tùrambar vibrèrent quand le coup porta sur le cuire du demi-orc, exaltant et exacerbant sa fureur et son plaisir de la bataille.

La brume rouge commençait à envahir son regard, quand du coin de son œil encore lucide, il vit le deuxième tortionnaire tomber.

-! regorretni sel snorved suoN ! sap zeut sel eN

L'impilturien se focalisa de nouveau sur son adversaire, son sang bouillait toujours.
*Te prendre vif, oui, mais pas avant de t'avoir fais payer !*

Celui qui pour ses camarades, n'était qu'un simple guerrier, irradiait encore de lumière, rugit de nouveau en brandissant son morgenstern, ses mains crissant sur le manche, foudroyant ça cible du regard.

- é

[COLOR=green]Naïrod attaque le demi-orcs toujours à deux mains.



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écrit le : Jeudi 13 Juin 2013 à 12h03 par Kipepeo
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Année de la Magie Sauvage
Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement
Voyage vers Proskur, fin d'après-midi



Les batailles changent leur cours selon les gré d'un destin chaotique et souvent surprenants. On a beau croire gagner la partie, elle est aussitôt remise en question.

Nym'R'Ria balançait de la queue, comme si soudainement cette chose qu'il tenait entre les dents était devenu un jouet, une poupée avec laquelle il pouvait se faire les dents, alors que sa maîtresse, ignorant le bruit qu'elle avait entendu derrière le mur où était adossé le supposé propriétaire de la maison qui semblait respirer encore, se précipita vers le corps à terre pour y enfoncer sa dague. D'aucun aurait pu penser que ce n'était là nullement grand héroïsme de sa part, mais il fallait aussi s'assurer que plus aucune menace n'était à craindre de ce côté là. Le corps de la victime eut un dernier soubresaut alors qu'il fut précipité dans le couloir de l'acheminement vers sa mort.

Ce fut peut-être du côté du valeureux paladin que les choses se gâtaient vraiment : le demi-orque déjà blessé, jeta ses dernières forces sur celui qui l'avait gravement atteint. Sa force état immense et Naïrod pouvait dès lors en témoigner. Un coup formidable, que Syriam à côté sentit presque vibrer le sol sous ses pieds, qui aurait pu avoir des conséquences bien désastreuses si notre paladin n'était pas de ces hommes intrépides. Syriam n'eut pas plus de chance que Naïrod de blesser leur adversaire à la face presque animale même si sur son corps des couloir de sang s'échappant de ses blessures se frayaient un chemin vers ses pieds.

C'est alors que Mei'Y'Ann ressentit une piqûre dans son dos. Se tournant vivement, elle n'eut le temps que d'ouvrir les yeux de surprise, avant de sentir le sol se dérober sous ses pieds. Elle s'échoua doucement sur le sol en bois, profondément endormie...



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écrit le : Jeudi 27 Juin 2013 à 17h40 par Mei'Y'An
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Mei'Y'An ne senti qu'une légère piqure avant de sombrer dans l'inconscience et de s'écrouler lourdement au sol. Tout du moins aussi lourd que le pouvait une gnomette. C'est à dire plutôt légèrement en fait. Elle ne voyait plus que du noir et n'avait plus conscience de ce qui se passait autour d'elle.

Pendant ce temps Nym'E'Ria, voyant sa maitresse s'écrouler se précipita vers elle. Elle la renifla tout en poussant de petits gémissement inquiet de voir ainsi sa maitresse immobile avec du danger potentiel autour. Elle essaya de la réveiller à grands coups de langues sur la figure, mais cette technique resta totalement inefficace, la jeune rôdeuse ne bougeait toujours pas.

La chienne regardait nerveusement autour d'elle tout en retroussant les babines et en grognant. Elle regardait tour à tour les personnes présentes dans la pièce: l'homme au fond de la pièce, et le combat entre Syriam, Tùrambar et le demi-orque. Elle se souciant peu de l'elfe, celui-ci étant mort. Elle ne savait pas qu'il était mort mais son instinct le lui disait.

Tout en elle indiquait l'anxiété. Après tout, comme sa maitresse était au sol, elle n'avait plus aucune directive.



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écrit le : Mardi 30 Juillet 2013 à 08h55 par Syriam
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L’ennemi frappa violemment. Syriam n’avait pas l’habitude du combat, ou du moins il avait moins l’habitude que son opposant. Sa force fut démontrée par le coup qu’il avait réussi à asséner à son camarade. Un bruit se fit entendre du côté de Mei, mais il ne put y prêter attention pour le moment, son adversaire méritait sa toute attention.

Syriam connaissait ses limites, et cet adversaire n’est pas de taille pour lui, néanmoins il pouvait faire de son mieux pour soutenir Tùrambar. Mais il connaissait mal ces créatures. Peut-être que la provocation pouvait permettre de le déstabiliser ? Même s’il ne réussirait pas à le blesser, peut être qu’une occasion se présenterait pour le paladin.

Tout en lui assénant un coup dans le ventre, il lui lança :


-Viens donc là, face de porc ! Voyons si ta force équivaut à ta mocheté !

hrp.gif J'essaye de provoquer le demi-orque pour permettre à Nairod de le frapper plus facilement.



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écrit le : Mardi 30 Juillet 2013 à 16h04 par Kraël
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Turambàr avait entendu des cloches sonnées quand le maillet du demi-orc lui était tombé dessus.
Un genou plié et le tête tournée sur le côté sous la violence du coup, il vit la gnomesse s'écroulée attaquée par quelqu'un dans l'ouverture arrière, sa chienne se mit à grogner, l'impilturien l'entendait à peine au dessus des bruits des ses battements de cœur.


*Le chien, il faut tenter de fixer l'autre, bordel un troisième en plus, mais d'où ils sortent ?*

Le guerrier saint pria en lui même pour que le peu de temps passer avec l'animale soit suffisant pour qu'il lui obéisse cette foi.

-Nym'E'Ria attaque le ! Dit il en désignant l'endroit ou il pensait se trouver le troisième homme.

Il se retourna alors et voyant se que le barde tentait, il le comprit facilement par son entrainement, profita de la brèche ouverte dans la garde du demi-orc, pour tenter de le frapper aussi fort que possible.

Les gantelets de Turambàr grincèrent sur le cuir du morgenstern, tandis que celui-ci sifflait en filant vers la tête de sa cible.


hrp.gif Naïrod tente d'envoyer Nym'E'Ria sur l'homme.
Il attaque le demi orc en tenant son arme à deux mains.




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écrit le : Lundi 19 Août 2013 à 08h45 par Kipepeo
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Année de la Magie Sauvage
Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement
Voyage vers Proskur, fin d'après-midi


Au fil des secondes le couple d'aventuriers prirent en main la bataille. D'une manière fort surprenante, Naïrod réussit à faire comprendre à Nym'E'Ria ce qu'on attendait de lui. Peut-être y avait il aussi l'instinct de l'animal qui avait bien compris que cet étranger présentait une menace. Le canidé jeta un coup d'oeil rapide à Mei'Y'An endormie, hésitant à peine et se lança en avant, se jetant su l'homme avec une férocité pressée. Son attaque était sans appel, il lui planta ses crocs à la gorge, provoquant une blessure mortelle. Sans un mot, l'homme s'écroula. Le chien satisfait retourna vers sa maitresse tout en gémissant doucement comme pour l'appeler. Il se coucha près d'elle posant une patte sur son torse, en un geste protecteur.

Syriam chercha le point faible de leur ennemi, réalisant que sa serpe ne serait peut-être pas de taille pour un homme de cet envergure. Le coup de poing ne fit que rebondir sur l'armure, mais eut l'effet escompté sans doute puisque Naïrod put trouver la faille pour abattre la brute qui leur faisait face. Un jet de sang arrosa le sol et les murs alors que son morgensten abattit son homme. Il se peut que ce soit la tentative de Syriam de distraire leur adversaire qui eut cet effet, de toute résultat était sans appel. La pièce était maintenant parsemé de trois cadavres et d'une belle endormie.

Titubant Pancho fit son entrée par la porte de derrière. Il se frottait la tête l'oeil mauvais, le regard féroce. Mauvais perdant, il marcha sur le cadavre qui barrait la porte


- Je déteste les sournois, ha ce que je les déteste ! maugréa-t-il. Une bosse en forme d'oeuf d'un beau ton écarlate orna son front. Embrassant la pièce du regard il eut un sourire satisfait Bien travaillé dites donc ! s'exclama-t-il avec une fierté quasi-paternelle, lorsque son regard se posa dans le coin
- Quosim ! Pancho se précipita vers son ami qui eut un sourire mi-surpris, mi-douloureux.
- Pancho, c'est bien la première fois que je suis content de te voir dit-il d'une voix croassante tentant de se relever.

Mei'Y'Lin reprit doucement conscience, sentant la proximité de son compagnon. Le sommeil induit par la fléchette empoisonnée laissait la bouche pâteuse avec dans la tête l'impression d'avoir une bande de criquet qui vrillaient les oreilles. Elle entendit Nym l'encourager doucement et sentit la froideur de son museau sur sa joue.


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