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Le Sceau du Dragon
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Aventurier
Aucune chambre
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Syriam sauta de la charrette et arrivé par terre s’étira dans tous les sens avant de se mettre à marcher un peu. Finalement voyager en charrette avait ses inconvénients, mais uniquement quand on en descend, il sautillait donc sur place pour tenter de dégourdir ses membres endormis. Quoi qu’il en soit, la région lui semblait assez calme pour un endroit réputé pour être infesté de brigands, mais pour le moment d’autres soucis tracassaient Syriam, plus précisément quelques soucis qui tracassaient son ventre. Il s’assit donc non loin de Tùrambar, mais suffisamment pour éviter la fumée, et sorti à son tour quelques ravitaillements pour se les mettre sous la dent. Pendant qu’il mâchait, il regardait d’un air absent les filaments qui sortaient de la pipe de son compagnon, absorbé dans ses pensées comme il lui arrivait de temps en temps. Puis la voix de Nyr le tira de ses rêveries et il vit le Hin s’éloigner dans les bois.
-Ne t’éloigne pas trop, on ne va pas s’éterniser ici, lui cria-t-il. Et surtout tu fais rien d’imprudent, hein…
Il savait que le Hin pouvait veiller sur lui-même, mais on ne sait jamais ce qu’il pouvait exister dans cette forêt. Sur ce, comme tout le monde semblait se reposer et s’occuper dans le même moment, il pensait aussi se laisser aller à une occupation et sorti de son sac sa vielle, vérifia vite fait si elle était bien accordée pour les sons qu’il voulait produire puis se mit à jouer une petite musique de fond, discrète et laissa à nouveau ses pensées s’envoler au loin et son regard se plonger sur un buisson en face de lui, bougeant au rythme du vent.
La fiche de mon personnage : Syriam
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Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
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Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Nyr :
Détection : 10(dés)+5 Survie : 14(dés)+1 Syriam
Naïrod
Mei'Y'An
Discretion : 13(dés)+11 (environnement forêt) Nym'E'Ria Discrétion :20(dés)+3
Année de la Magie Sauvage Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement Voyage vers ProskurMei'Y'An se frayait un chemin parmi le sous-bois, cherchant vaguement la route vers Proskur. Elle ne s'en faisait pas trop, se sentant tout à fait à l'aise sous cette canopée et entre ces buissons tantôt garnis de baies, tantôt portant corolles de petites fleurs blanches. Sa petite taille laissait entrevoir mille et un sentiers possibles que son fidèle compagnon explorait en avant, revenant sur ses traces et repartant de plus belle, affairé à reconnaitre les différents arômes que seul son nez pouvait percevoir. Soudainement il s'arrêta levant la tête vers la droite, pointant les oreilles. Un bref balancement de queue donnait une indication précieuse à la petite rôdeuse : il avait perçut soit un gibier qu'il n'hésiterait pas à aller chercher soit une activité humaine qui l'emplissait toujours de curiosité. Mei'Y'An entendit à son tour le bruit caractéristique d'une charrette qui semblait avoir besoin au niveau des roues d'une sérieuse révision tant elle grinçait. Des éclats de voix d'hommes s'élevait alors que le bruit de la charrette s'arrêtait.
Il était toujours rassurant d'entendre des éclats de voix, même quelqu'un qui fredonnait, c'était d'habitude bon signe, le Mal ayant plutôt des tendances vers le silence et la sournoiserie. Aussi encouragée par Nym'E'Ria la gnomette s'avança curieuse vers la clairière pour y apercevoir des hommes occupés à se dégourdir les jambes et à se manger un petit encas. L'un d'eux, un halfelin s'approchait du sous-bois et regardait avec attention le sol et les fourrés. Un peu plus à gauche de l'explorateur, Mei'Y'An et Nym'E'Ria restèrent hors de sa vue...
Marsha se reposait, broutant ici et là, des touffes délicieuses d'herbe fraîche, tandis que Pancha lui s'était étalé une petite nappe où il avait disposé son repas. Il se coupait quelques rondelles de saucissons, un morceau de pain tout en buvant quelques goulées à une outre, qui le mit d'humeur inhabituellement sombre... Entre bouchées et goulées il se mit à raconter ce qui semblait l'attrister :Il fut un temps où non loin d'ici, je m'arrêtais à la maison d'un homme fort étrange. Celui-ci devait avoir du sang mêlé, d'orque sans doute ou quelque chose dans cette veine, et devait porter des malformations de naissance. Il portait sans cesse une une cape et cachait une effroyable laideur relevant capuche et évitant de se montrer. Il était totalement fou et torturé par le futur. Il me contait que de terribles choses naissaient dans les profondeurs de la terre. Il le voyait dans les étoiles, il guettait le retour d'un terrible fléau qui anéantirait bien des Royaumes. Il avait, disait-il, pour mission de trouver les quelques êtres vivants qui seraient préservés et se devait d'y conduire ce et ceux qui voulaient bien le suivre... Pancha s'arrêta un instant, reprit une grande goulée puis refermant le bouchon en tapant dessus d'un geste brusque reprit Il divaguait c'était certain... Il entassait des piles de livres mentionnant des dragons, l'histoire d'une orbe, une clé aussi pour entrer je ne sais plus dans quel endroit dans le grand Nord, où Tiamat elle-même avait enfermé des rejetons magiques des plus terrifiants... Il y a longtemps que je l'ai vu le Quosim, me demande ce qu'il est devenu... Le silence retomba dans la clairière, ne laissant que l'aspiration du fumeur de pipe dont la fumée était captée par un doux vent de passage, le craquement de quelques branches signalant l'exploration de l'halfelin Nyr et la mastication de Marsha qui ayant relevé la tête semblait vaguement intéressée par quelque chose du côté du bois...
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Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
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En entendant les voix masculines, Mei’Y’An, intriguée s’avança tout en restant cachée. Ne voulant pas être repérée pour l’instant elle appela Nym’E’Ria tout bas :
-Nym’E’Ria, au pied.
La chienne regarda sa maîtresse, puis après quelques secondes d’hésitation se glissa vers la gnomette. Elle regarde de nouveau à droite ou l’halfelin observait les trace aux arbores du sous-bois. Elle avait rarement eu des contacts avec ce peuple. Elle observa attentivement les traits du visage ce celui-ci et trouva qu’il avait un air malicieux malgré sa concentration sur le sol. La gnomette jouait rarement des tours aux gens, mais cette fois-ci sa balade dans la forêt l’avait mise de bonne humeur. Elle regarda de nouveau le camp d’où s’échappaient une légère odeur de fumée et la mélodie. Elle regarda plus attentivement ce groupe de voyageur. Elle regarda en premier l’homme qui fumait sa pipe. Il n’avait pas l’air très joyeux et faisait presque peur. Il n’avait pas l’air ravi d’être ici. L’homme qui jouait d’un instrument quant à lui avait l’air perdu dans ses pensées. Pour jouer aussi bien se devait sans doute être un barde. Cela lui rappela vaguement le temps où elle faisait des spectacles avec son ancienne troupe. Elle eu un pincement au coeur mais revint vite à ses moutons. Pendant qu’elle observait ce camp de fortune, le vieil homme se mit à raconter une histoire. Elle écouta vaguement ce qu’il disait puis regarde de nouveau de hin.
¤Hum… ils sont un groupe de voyageur bien étrange. Peut-être auraient-ils besoin de mes services de rôdeuse. Ça me permettrait de remplir quelque peu ma bourse. Mais ce hin m’intrigue. J’ai bien envie de le surprendre en lui jouant un tour. ¤
Elle regarda sa chienne puis de nouveau hin qui n’était pas très loin. Certes, jouer un tour à un potentiel client n’était pas forcément le meilleur moyen d’obtenir un contrat, mais si elle avait vu juste sur l’air malicieux de l’halfelin, elle aurait justement peut être plus de chance d’être embauchée. Elle avait appris qu’il fallait s’adapter au caractère des clients pour pouvoir décrocher un contrat ou pourquoi pas avoir un petit supplément une fois la mission accomplie.
-Nym’E’Ria, dit-elle en chuchotant pour attirer l’attention de sa chienne qui regardait partout autour d’elle quelque peu impatiente. : "-Suis-moi et en silence." La chienne suivi docilement sa maitresse. Elle avait déjà décidé ce qu’elle allait faire. Elle allait lui jouer un tour l’air de rien et faire comme si ce n’était pas prévu et advienne que pourra ! Elle fit un petit détour avant de se mettre en face de l’endroit où l’halfelin observait la piste et ordonna à sa chienne : "-Va le voir et saute", en désignant du doigt le hin.
Elle espérait que la chienne comprendrait qu’il fallait qu’elle saute sur le hin ce qui n’était pas sûr. Mais bon comme la chienne était plutôt sociable envers les gens de petites taille et qu’elle était d’humeur joyeuse ça pouvait marcher. La chienne toute joyeuse regarda sa maitresse. La gnomette ne savait pas si la chienne allait faire ce qu’elle voulait mais bon on verrait bien. Nym’E’Ria regarda dans la même direction que sa maitresse. Elle regarda le hin la tête toujours baissé sur le sol. Il était à environ 6m d’elles. La chienne s’élança d’un coup sous le regard de la gnomette qui espérait que son tour allait marcher.
Après le rire, les pleurs, Après les jeux, les douleurs. Mais la vie est faite pour être vécue, Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue. Fiche Mei'Y'An
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Aventurier
Chambre 55
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Le temps se faisait de plus en plus humide, ses articulations piquait le paladin. Naïrod avait écouté avec attention se que disait Pancha.Ses réflexions se faisaient profondes.
*Un homme qui parlait de dragon, d'orbe, de clef et de Tiamat, sa vaut le coup de s'y intéresser, surtout si dans ses livres, il est question du sceau.*
Naïrod rangea sa pipe, après en avoir vidé les cendres, personne n'avait voulut de son tabac, chochotte, rassembla ses affaires puis s'approcha du charretier, en s'étirant et sifflotant sur les airs de Syriam.
-Dis moi bon père, sa te dirais pas qu'on passe le voire ton ami ? Comme ça tu sera fixé sur son sort et surement tu sera rassuré. Et je serais ravie de discuter avec lui de ses histoires...Il baissa la voix de dragons et de clef...
Il se tourna vers la jument. -Enfin si tu es d'accord gente Marsha ? Il s'inclina comme devant quelqu'un d'important et ce avec tout le sérieux du monde.
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Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
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Année de la Magie Sauvage Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement Voyage vers Proskur, l'heure du déjeunerAller voir Quosim ? répéta l'homme d'un air songeur en réponse à la question du paladin. Hum, c'est vrai que cela ne ferait pas un grand détour, et ce serait un bon refuge pour la nuit. Il habite dans un peu plus loin dans les profondeurs de la forêt, où il s'est bâtit une enclave, en squattant une ancienne mine... Pancho se tourna vers les aventuriers, songeur, les yeux clairement calculateurs. Il reprit : normalement on devrait arriver à la Porte de Proskur demain en fin de journée, mais si on s'arrête, ça nous prendrait un peu plus de temps, ce serait la nuit. Notez, il y a une auberge là juste à l'entrée, où même si on arrive tard la nuit, nous ouvrirait les portes... De toute façon les portes sont fermées la nuit, et des soldats vraiment pas commodes y sont en factions. N'entre pas qui veut, même si la ville reste accueillante, du moins à sa façon... Il se pouvait que Syriam fut pareillement intéressé, même si pour l'heure il ne disait pas grand chose. Le barde semblait s'ennuyer et pressé d'aller voir si la campagne au-delà de l'horizon serait bien plus intéressant. Le barde pouvait trouver le temps long, lorsqu'il vit sortir des fourrés, non pas Nyr, comme il se devait logiquement, mais un chien qui avait tout, sauf une allure agressive. Ce dernier plongea vers Pancho qui terminait de ranger son sac à dos.
Nyr Ramassebricole, s'était éloigné, et entra bientôt dans la forêt, ses habits se confondant bien rapidement avec le feuillage. Ce dernier n'était pas rassuré, il avait un sentiment étrange, comme une prémonition. Son regard furetait les buissons, alors qu'il s'engagea plus loin encore. Un autre sentiment le saisit, celui plus confus, qu'il n'était pas vraiment à sa place. Il se sentait d'humeur inhabituellement morose, et ce sentiment là trompait rarement, il y avait d'autres choses à faire que de voyager avec ce groupe là. Il prit le cadeau que lui avait donné Saphir, faisant rouler la pierre entre ses doigts. Des pensées de retour à Eversult le taraudaient : il était bien plus à l'aise dans une ville qu'en rase campagne, il n'avait aucun doute là-dessus. Soudainement, levant les yeux il aperçut une forme sauter des buissons : un chien, qui passa près de lui, droit vers les jambes de leur conducteur de charrette.
Nym'E'Ria battait furieusement la queue, le regard plein de malicieuse envie de jouer ou peut être autre chose, quoiqu'il en soit elle était contente de pouvoir lâcher sa garde. Enfin il pouvait aller chercher de l'humain pour sa maîtresse, à qui il jeta d'ailleurs un regard d'or empreint de cette dévotion typiquement canine. D'un bon il traversa les fourrés, mais au lieu de se diriger vers l'halfelin, il le dépassa, et alla droit sur le charretier qui finissait de ranger sa nourriture. C'est important pour un être à quatre pattes tout au service d'une petite gnomesse de penser non seulement à jouer, mais aussi au fait que pour jouer il fallait d'abord se sustenter convenablement. C'est que cela prend de l’énergie ça, mine de rien !
Loin de s'évanouir de terreur, Pancho se tourna juste à temps pour voir arriver le chien. Ce dernier s'arrêta devant lui, langue pendante, en une révérence invitant à jouer, le séant haut avec la queue qui remuait furieusement, jappant sans agressivité comme si il lui demandait quelque chose. Maitre Villa comprit vite qu'il n'avait rien à craindre...Alors mon beau ! D'où tu sors toi ? On a envie de quoi donc ... Je te parie que le lancement d'un morceau de viande séchée ferait ton plus grand bonheur... Nym'Y'Ria semblait entièrement d'accord avec les propos de Pancho, et le fit savoir en un nouveau jappement joyeux et excité. Marsha un peu plus loin laissa échapper de son museau une longue échappée d'air qui ressemblait furieusement à un soupir de jalousie agacée. Elle tapa du sabot, soit pour exprimer cet agacement, soit, tout simplement pour en chasser les mouches, qui depuis peu avaient trouvé nouvelle compagne à explorer. Son maître sortit du sac quelques morceaux de viande séchée en bâtonnet, et en choisit un qu'il montra au chien. Puis d'un geste précis et pleine de dextérité il le jeta au milieu de la clairière. D'un bon élégant Nym'Y'Ria sauta happant le bâtonnet au passage, ce qui lui fallu un compliment appuyé de la part du lanceur. Tout heureux il s'assied, et entreprit de décortiquer ce morceau de viande, tout en gardant un oeil sur son bienfaiteur du moment : qui sait, il aura peut-être plus à recevoir.
Non loin de là, la gnomesse observa la scène, il était peut-être temps de s'annoncer, d'autant plus que l'halfelin avait fait demi-tour et s'approchait du chien, l'oeil intrigué et la mine curieuse, jetant un regard scrutateur dans la direction d'où Nym'Y'Ria était sorti. Dans quelques secondes, c'est sûr il la verrait !
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Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
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La gnomette toujours cachée vit sa chienne s'élancer vers un homme âgé. Elle vit que Nym'E'Ria avait un comportement joueur aussi ne fut-elle pas inquiète, celle-ci n'allait pas attaquer l'homme. Mais celui-ci allait-il apprécier qu'un chien vienne vers lui comme ça ? Elle n'en était pas sûr, beaucoup de gens se méfiait de sa chienne parfois un peu trop enthousiaste. Aussi la jeune rôdeuse s'élança elle aussi en direction du campement des voyageur à travers le chemin que venait de créer sa jeune chienne dans les fourrés. Pendant sa course elle vit sa chienne qui recevait un morceau de viande et qui commençait à manger joyeusement.
¤Hé bien! Nous n'avons pas ratées notre entrée! Et en plus elle a même réussi à avoir à manger.¤
Un grand sourire se dessina sur les lèvres de Mei'Y'An. Elle sorti tout à coup de la forêt et passa devant l'halfelin et s'arrêta devant sa chienne :
-Nan mais dis donc Nym'E'Ria, c'est quoi ces manières ?! Puis se tournant vers le vieil homme l'ayant nourri : Je vous remercie d'avoir nourri ma chienne, et je m'excuse qu'elle vous ai presque sautée dessus. Elle se frotta la tête avec la main gauche avec un sourire gêné. Puis elle reprit avec un grand sourire: Au fait, moi c'est Mei'Y'An!
Après tout si on voulait un contrat, rien de valait quelques sourires. Elle aurait le temps d'être sérieuse plus tard. Et puis sa chienne avait presque sauté sur cet homme alors autant essayer d'être aimable.
Après le rire, les pleurs, Après les jeux, les douleurs. Mais la vie est faite pour être vécue, Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue. Fiche Mei'Y'An
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Aventurier
Aucune chambre
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Syriam continua d'écouter la conversation entre les deux, mais se disait qu'il n'était pas nécessaire d'intervenir, il entendait les informations qui intéressaient. Ainsi il continue de laisser glisser ses doigts sur ses cordes, en divaguant légèrement dans ses pensées. Mais tout d'un coup quand une créature sauta vers eux, ses compagnons semblaient peu surpris, mais lui sursauta et manqua d'arracher une corde. Un chien se tenait maintenant près d'eux, dont l'envie de jouer était littéralement imprégnée dans ses yeux.
¤ Pourvu qu'il ne veuille pas jouer avec ses dents… Ou du moins, pas avec moi.¤
Syriam examina le chien. Il n'avait absolument pas l'allure d'un chien sauvage, d'autant qu'il avait l'air de s'approcher facilement des humains. Aussi, ne fut il pas étonné lorsque sortit du buisson un être de taille réduite pour se pointer devant l'animal. Les gnomes qu'il avait pu rencontrer auparavant étaient pour la plupart plus petit, mais celle-ci dépassait légèrement Nyr. Une idée venait de traverser l'esprit de Syriam la voyant a coté de son chien.
¤ Tiens, moi aussi je devrais me procurer un animal, ca a l'air de bien marcher pour récolter de la nourriture, peut être des pièces aussi.¤
Quoi qu'il en soit, il était étrange de trouver ces 2 là dans une telle forêt. Quoique, leur petite troupe aussi n'avait que peu de normalité. Syriam commenca a se lever, quand il repensa a la taille de la gnomette et resta finallement assis, mais en éloignant néanmoins son instrument de l'animal.
Enchanté Mei'Y'An, on me nomme Syriam. Puis-je te demander ce qu'un petit être tel que toi fais ici seule, avec son chien ? Ce n'est pas une région très tranquille pour voyager seule.
La fiche de mon personnage : Syriam
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Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
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Tùrambar n'avait pratiquement pas sursauté, un chien et sa petite maîtresse n'avait rien d'inquiétant selon le damarien.
C'est sens ne l'avait prévenue d'aucune présence mauvaise.
Il se contenta un moment d'observé les volutes vaporeuse de son souffle, ainsi que de ceux des autres tandis qu'ils parlaient.
Son regard fut attiré par les petits jets de vapeur rapprochés et rapides, du chien, qui il le remarqua de suite était une chienne.
*En voila une belle bête, le poile brillant, l'œil alerte, sa maîtresse la traite extrêmement bien.*
Il passa sur le côtés de la jument, en prenant le temps de la caresser, il ne fallait pas que la brave conductrice de l'attelage se sente délaissé. Puis il approcha du trio et s'accroupie puis tendis une main paume vers le haut vers la chienne, une foi qu'elle eu fini de manger et le gratta le dessous de la gueule, en souriant.
-La ma toute belle, la, oui ca c'est une belle bêtes ca.
L'homme se redressa.Et s'adressa à la nouvelle venue
-C'est un animal splendide, je ne doute pas qu'il face un bon compagnon. Je me nome Tùrambar enchanté. -Mon chers Syriam les gnomes sont les êtres les plus adapté aux forets, même plus que les oreilles pointues-mangeurs de salades enfin si tu veus mon avis.
Il se retourna a nouveau vers la jeune gnome, qu'il étudia attentivement.
-Tu es une sorte de soldat de fortune toi aussi ? Nous nous rendons dans la petite ville de Proksur, enfin nous ferons un crochet par une mine, voire quelqu'un avant. La nuit tombe vite en cette saison et la région est peut sur, tu pourrais venir avec nous jusqu'à la ville, qu'en dis-tu ? Ho et mon brave Pancha, ne t'inquiète pas pour l'entrée en ville, je pourrais leurs faire ouvrir ne t'inquiète pas.
Naïrod attendait certes ses réponses mais avait une grande envis de quitter cette clairière geleante.
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Aventurière
Aucune chambre
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Mei'Y'An, ravie qu'on reconnaisse qu'elle s'occupait bien de sa chienne s'adressa avec un grand sourire à l'homme prénommé Tùrambar, elle avait déjà la réponse à sa question, pas besoin de cogiter bien longtemps :
Merci bien pour votre compliment messire! Flatter un potentiel client était important. Mais la gnomette rigolait aussi à moitié en disant ceci. Après tout, elle était de bonne humeur: Et pour vous répondre, je me ferais une joie de vous accompagner jusqu'à la ville. Et même plus si cela vous dit : je suis une rôdeuse, et je me ferais une joie d'être engagée dans votre compagnie et Nym'E'Ria aussi!.
Elle eu un grand sourire à l'adresse de l'homme en face d'elle. Voyager avec ce groupe pouvais s'avérer intéressant et amusant. De plus elle aimer bien la mélodie de l'homme un peu en retrait et trouver Tùrambar intéressant. Il lui était d'abord apparut renfermé, voire même grognon mais il finalement il pouvait être aimable aussi.
Puis son regard circula sur les différentes personnes présentes :
-Bien sûr, je me ferais un plaisir de vous accompagner au moins jusqu'à la ville si vous êtes tous d'accord. S'adressant à Pancha : J'ai cru comprendre que c'était votre charrette qui était utilisée pour voyager. Bien sûr, si vous le désirez je peux vous dédommager pour le transport. Et toi Nym'E'Ria, tu est d'accord pur voyager avec eux hein ?
La chienne regarda sa maîtresse lorsqu'elle entendit son nom et pencha sa tête sur le côté comme elle le faisait lorsqu'elle ne comprenait pas en gémissant d'un air intrigué et se remit à se nettoyer consciencieusement. La jeune rôdeuse éclata de rire :
-Toi, tant que tu as à manger tout te va n'est-ce-pas ?! Reportant son attention sur les membres du groupes toujours souriante : Bien sûr vous pouvez en discuter avant de me donner votre réponse.
Après le rire, les pleurs, Après les jeux, les douleurs. Mais la vie est faite pour être vécue, Aussi, vaut-il mieux inverser ces points de vue. Fiche Mei'Y'An
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Intendant de la Main
Aucune chambre
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Année de la Magie Sauvage Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement Voyage vers Proskur, l'heure du déjeunerL'oeil plein de sagacité de Pancho observa la gnomesse avec un sourire fendant sa face ronde. Il hocha la tête, tout en indiquant de sa main qui s'agitait, qu'elle pouvait oublier la question du dédommagement. Nym'Y'Ria semblait presque comprendre qu'il allait pour l'heure avoir plein de compagnon de jeu, et poussa des aboiement joyeux, sautillant ici et là, évitant de justesse une patte nerveusement jetée en arrière de l’irascible Marsha qui ne semblait pas du tout heureuse de voir ce chien gambader autour de ses jambes.- Ce n'est pas tout ça, mais il faut qu'on s'y remette ! clama soudainement le charretier. C'est que ma jolie Marsha va avoir les muscles trop froid après, il n'y aura plus aucun moyen de la faire avancer convenablement ! L'homme se frotta les pantalons, puis fit un clin d’œil au paladin qui lui avait assuré que les portes de Proskur allaient s'ouvrir pour les laisser passer. Je pense jeune homme que vous auriez tort d'insister. Il faut savoir quand même que cette ville est géré majoritairement par des personnes dont la réputation n'est plus à refaire en matière de commerce et roublardise. Il eut un rire heureux en voyant la surprise de Naïrod et reprit Mais nous aviserons la chose ! Tiens vous ai je raconté l'histoire de Sente, un halfelin d'un grand âge que je rencontre parfois dans les parages de Proskur. Cet homme est le plus vieux voyageur que je connaisse. Il est né sur les routes, et m'est d'avis qu'il y mourra ... Tout en racontant mille et une anecdotes de son vieil ami Sente, Pancho poussa tout le monde sur le chariot, puis tout à coup s'arrêta... Ha j'oubliais de vous dire : votre ami là, il m'a confié tout à l'heure qu'il s'en retournait en ville, il n'a aucune envie de continuer le chemin... Je devais me taire jusqu'à l'heure du départ. Pancho accrocha le regard de Syriam où une lueur de gentille compassion s'était allumée. Il pensa sans nul doute que le barde et le roublard étaient des amis proches. Aussitôt il se remit à parler de Sente, comme si Nyr Ramassebricole n'était plus qu'un vieux souvenir.
La route s'achemina à nouveau cahotante sous les roues grinçantes du chariot. L'après-midi se fit soirée, la route devint sentier lorsqu'ils approchèrent une maison adossé à une colline comme un terrier. Le chemin avait été rude pour les voyageurs, Pancho étant intarissable, racontant le pays, les souvenirs à chaque coin d'arbre ou de petit monticule de terre. Si bien qu'ils avaient l'impression d'avoir voyagé cette route depuis des mille d'années. La petite maison était simple, avec un petit porche sur une porte en bois peinte en violet. Les volets ouverts de même couleurs avaient des vitres qui reflétaient les roses du soleil couchant. Marsha s'arrêta sous la demande de son maître- Tiens ... fit Pancho pensif et sérieux tout à coup, la porte est ouverte ? Nym'Y'Ria descendit du chariot humant l'air ambiant. Ses poils s'étaient dressés, et son regard s'était éclairci prenant des teintes dorées de fauve...
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