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Le Sceau du Dragon
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Aventurier
Chambre 55
Aucune gemme
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Tùrambar mangea rapidement. Son pain de route n'ayant guère de gout. Le seul but de se pain était de vous tenir sur pied et de se conserver longuement Il pouvait mastiquer et réfléchir pleinement. Il pouvait également refouiller dans sa formation. Il sortit sa gourde et après une longue gorgée, il fit part de ses impétrions.
-Je suis maintenant persuadé que ce plan-chemin a été créé par la magie divine. Il a dut être créer il y a longtemps, par au moins trois prêtres très puissant.
Ils ont dut être confronté à une terrible urgence pour le créer. Ce plan devait permettre aux adeptes de se mettre à l'abri. Ce genre de chemin est très rare et ceux qui fonctionne toujours le sont encore plus.
En générale, ces plans ont une durée de fonctionnement limitée, aussi ne trainons pas. Ce plan ne devrait pas présenter de danger pour nous. "on y trouve que les ennuis qu'on y apporte" comme l'a dit Quosim, je crois que cela veut dire qu'il y a une sorte de système de sécurité pour s'occupe des gens mauvais.
Le paladin se releva, se sentant étrangement revigoré, avança d'un bon pas. -Ce qui m'intrigue le plus, c'est que j'ai l'impression que Saudrakul lui même, s'attendait à ce que son passage soit encore utile de nos jour, voir même à nous même.
Le paladin écouta également les avis de ses compagnes de voyages, tout en avançant. Le chemin se faisait moins rassurant, mais Tùrambar n'y prit pas attention, persuadé que sa déduction sur les danger du plan était la bonne.
Quand ils arrivèrent dans le temple le paladin ouvrit de grand yeux admiratifs. Que ce temple soit la depuis longtemps et se soit retrouvé envahit par la végétation ou qu'il fut conçu ainsi, il en était d'une grande beauté.
Il secoua la tête et se rendit compte que le chemin était coupé. Il eu l'impretion que son cœur ratait un battement. Il courut sur la berge de la petite rivière et sauta par dessus. Il fut rassuré en voyant que le chemin continuait de l'autre côtés.
-Le chemin reprend de l'autre côtés. On doit approcher de la sortie.
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Aventurière
Aucune chambre
Aucune gemme
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Après avoir mangé, Shorana s'était senti des plus requinquée. Elle trouvait d'ailleurs cela étrange, qu'un simple sandwich à la viande séchée, qu'elle avait partagé avec Croky, lui avait fait un tel effet.
Elle repartit donc d'un bon pat, écoutant les explication de Tùrambar, tout en réfléchissant.
- Oui, je suis d'accord avec toi, c'est clairement pas un plan créé par manipulation de la toile. La preuve c'est que ces oiseaux me disais rien. Quand on connait le niveau de mégalomanie du peu de mage qui aurait été capable de créer un tel plan. Ils se seraient certainement ventés d'avoir pu créer une nouvelle forme de vie...
Pour ce qui est de ta déduction sur les danger du plan, moi, je resterait tout de même plus méfiante. C'est quand même un plan inconnu.
Le chemin passa à présent par une étrange et oppressante forêt. La jeune calishite sortit donc sa baguette. Le contacte familier du bois la rassurait, sans compter que si quoi que se soit sortait de la forêt pour s'en prendre à eu, il en aurait pour son argent.
Mais finalement, il passèrent sens soucis. Il entrèrent à présent dans un temple en ruine, du moins apparaissait-il ainsi pour la jeune femme.
Les temples n'avaient jamais été sa tasse de thé, aussi ne s’intéressa t elle pas plus que cela. Elle s'avança jusqu’à la petit rivière et la passa sans autre forme de procès.
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Intendant de la Main
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le Chemin de Shaundakul- Le Sceau du Dragon II Année de la Magie Sauvage Plan éthéré Climat : Frais Les aventuriers étaient inquisiteurs, et surtout fort imprudent de décider ainsi de pénétrer le temple sans même avoir observé les environs. Quoiqu'il en soit, ils avaient pris à coeur les conseils de Maitre Quorim, à savoir ne pas s'éloigner du chemin. En s'avançant il remarquèrent que l'eau tombait de vieux bâtiments, de ses fenêtres et de ses portes comme si ils pleuraient la disparition des êtres qui probablement vivaient ici à une époque reculée. Le sol restait assez spongieux et bientôt ils eurent les bottes totalement trempée de toute cette eau, jusqu'à ce que finalement ils arrivèrent à un endroit plus haut où ce sol fut remplacé par une surface dure et rocailleuse.
C'est ainsi qu'ils se trouvèrent devant cet haut édifice adossé à une haute paroi raide de roc qui se dressait aussi haut que l'oeil pouvait apercevoir, se perdant dans l'infini de cet étrange plan. C'était en effet la fin du chemin, et la sortie devait logiquement se trouver au sein du bâtiment.
Une brèche ouverte dans le mur latéral, les invitait à entrer directement dans une immense salle soutenue par des piliers, et dont la voute en ogive assez haute donnait presque le tournis. Elle devait faire une centaine de mètres de longueur et bien une vingtaine de large. A leur droite au fond de la salle un mur orné de vieilles tapisseries que le temps à totalement effacé et la moisissure envahie, rongeant la splendeur passée en lambeaux et les couleurs en pâtés indistincts. A leur gauche un escalier donnait sur un chœur garni de longs bancs cassés, là où peut-être se tenait les oraisons et les prières aux dieux avec au bout une abside qui semblait être un grand récipient peut-être un espace d’offrande à ces dit dieux. Restait à savoir quels dieux et quelles offrandes. Devant eux quelques ouvertures menant à d'autres pièces, trois au total : une à droite, une au centre et une à gauche,celle de gauche montrant au-delà le passage d'un couloir plus large qui devait aller au-delà du chœur peut-être même en faire le tour..
Le paladin se trouvait instinctivement à sentir les cheveux qui se dressaient sur la tête. D'ailleurs il ne fallait pas vraiment être paladin pour se rendre compte qu'ici c'était un espace où de hauts et terribles fait eurent lieu à un époque reculée et que seul régnait en maitre la mort elle-même. Le silence était absolu à tel point qu'on aurait voulu quelques grincements, ou le ploc ploc de quelques gouttes ou encore le bruit ténu d'un courant d'air qui parcourt les pièces. La seule chose qu'ils purent entendre était leur propre souffle, leur coeur qui battait sourdement dans leur poitrine, et le bruit de leur bottes qui se mouvait sur le carrelage.
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