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La route se poursuit sans fin..., Un voyage sans retour, chapitre 3
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Disciple de l'Art
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Jehal fut surpris, surpris par une embuscade, quelle ironie, une embuscade n'avait elle pas d'autre but que de surprendre? Dans tout les cas, leurs adversaires s'y étés prit à merveille. La situation n'était plus, mais alors plus du tout en leur faveur, l'ensorceleur remarqua que sa collègue semblait inconsciente. Pour Livien, il espérait que ce ne soit pas le cas. Les deux embusqué n'avaient pas hésité à sacrifier leur propres camarades, ce qui les rendaient très dangereux.
Sans hésitation, jehal déchargea violemment son arbalète sur l'homme armé qui l'avait grièvement blessé, espérant que la proximité de son adversaire empêcherait toute tentative d'esquive.
Pas le temps de se soucier de son agresseur pour le moment, il espéra que Livien soit prompt à réagir. Ils devaient, pour la survie de leur camarade, abréger au maximum le combat. Le jeune homme était bien incapable de voir si la blessure de Kipepeo était mortelle, mais en tout cas, ce n'est pas une blessure légère. Par reflexe, le jeune homme recula prestement en direction de la porte esperant y trouver Livien, il ne quitta pas des yeux l'homme qui l'avait blessé. Des qu'il juga respectueuse la distance entre lui et son agresseur il visa le sorcier ennemi est tira. Rendant hommage à Cyric, la bataille, comme il le savait pouvait encore se gagner.
Retraite en direction de la porte, tir sur le sorcier
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Chuchoteur
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Kipepeo ne vit pas grand chose au fond, qu'une ombre avant qu'une déflagration magique ne l'atteigne, faisant un éclat de lumière blanche dans sa tête. Elle ferme les yeux, une expression de douleur pâlit son visage, sa bouche se crispe comme si plus jamais il n'allait rire, le corps lutte un instant, puis s'affaisse, laissant sur le sol une petite forme frêle et recroquevillée, les cheveux étalés en un soleil qui se meurt.
Après le blanc, la nuit, la conscience de Kipepeo cherche la lueur, le fil ténu qui la retiendra à la vie. Un foulard d'argent se déploie dans ses pensées, elle y est accrochée de toutes ses forces. Elle ne doit pas lâcher, surtout rester là accrochée à ce foulard qui la guidera dans tout ce sombre. Peu à peu la nuit se fait moins dense, au loin une voix, une mélodie qui berce ses pensées affolées dans en un étonnement inquiet. Elle connait cette voix, elle l'a entendue un jour alors qu'elle cherchait sa route : le barde étrange qui a fait naitre l'étincelle de magie au fond d'elle. Sa voix empreinte de douceur mélancolique chantait l'épopée d'un mage aux prises d'un doute profond mais qui finalement choisit la voie de la lumière.
Kipepeo accrochée à son foulard écoutait cette voix qui se transforma peu à peu en de multiples grincements hérissant les cheveux sur sa nuque. Un sol froid, une odeur de sang et de sueur, des essoufflement de combat... Ses pensées se rassemblèrent brutalement ! Immobile, vaguement consciente elle serra les dents. Sa conscience dessina un noble visage ¤Livien!¤ Sa volonté était encore faible, mais elle lutta, pensant à la confiture de mûres, la table des villageois, le fils du bailli... Elle voulait vivre, vivre et vaincre ces démons. Peu à peu elle força sa volonté vers ses amis, vers la réalité aussi noire soit-elle.
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Frère-Ours
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¤ Sacré nom de… Mais qu’est-ce qu’il fout ! Fallait vraiment qu’il y ait un sacré chien de malheur ! ¤
La situation leurs échappait. Tout se passait trop vite et Ayllan mit quelque seconde à réagir. Il fallait gagner du temps pour que Krayt puisse agir, mais comment retarder les fermiers ? Une idée se présenta, c’était peut-être pas la meilleur, mais c’était la seule qu’il avait.
- Attendez ! pas si vite ! Si c’est le voleur de chevaux, c’est pas une mince affaire ! Je vais passer devant ! Laisser moi le temps de mettre mon bouclier, et vous vous ferriez mieux de faire le tour pour le prendre à revers, où s’il tente de s’échapper de le stopper. Le guerrier mit le maximum de temps possible pour mettre son bouclier, tout en paraissant crédible, il prit encore quelque seconde pour bien vérifier qu’il était bien fixé. Puis il se tourna vers le père, le regardant sévèrement :
- Et vous, vous ferriez mieux de vous trouver une arme ! A moins que vous n’ayez une autre idée, on devrait faire comme j’ai dit. Ce voleur est une brute ! Et toi jeunot, t’as pas une meilleure idée ?
Chaque seconde comptait, et Ayllan voulait instaurer le doute chez les fermiers pour qu’ils perdent encore un peu plus de temps en réflexion. Il fallait que Krayt se dépêche.
¤Qu’il le tue se maudit chien s’il le faut, mais qu’il se dépêche, sang et cendre ! ¤
Tente d'intimider les gueux
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Maître de l'Art
Chambre 31
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Troisième jour d'Eléasis Route du Gué d'Ashaba au Cormyr 10h00 Temps ensoleilléLe vieil homme sourit au gnome qui le saluait avec déférence. Il se dit que sa marche n'avait pas été complètement vaine si quelqu'un avait réussi à lui faire oublier pendant quelques secondes ses soucis. Mais il devait reprendre ses esprits au plus vite.-Veuillez m'excuser, je manque à tous mes devoirs. Mon nom est Aldébran et je suis, ou plutôt j'étais jusqu'à il y a peu, le prêtre responsable du temple du Vent Porteur à Tilverton. Mes compagnons sont Mildera, qui dirigeait le temple de la Magie Lumineuse, Annaeld, qui était la supérieure de l'ordre des Chevaliers de la Lumière Juste, Estear, qui était le doyen de la Bibliothèque des Cieux et Farmos qui était en charge de la construction d'un bastion en l'honneur du Dieu Manchot. Il y a de cela peu de temps, le hasard ou la faveur des dieux nous firent tous nous trouver en périphérie de Tilverton au moment où elle disparut sans que nous puissions découvrir comment. Nous nous sommes couchés tous à des endroits différents et quand nous nous sommes réveillés la ville avait disparu et nous avions tous quelques décennies de plus. Nous avons tous entendu des messages de nos dieux qui nous enjoignaient de partir à la recherche de personnes qui seraient prêtes à descendre dans le trou béant et obscure laissé par la cité pour trouver et détruire un objet qui semble responsable de notre vieillissement et qui pourra sans doute nous aider à comprendre ce qu'il est advenu de notre cité. Nous ne savons pas quel danger cela représente de nous aider mais nous imaginons non sans mal que les périls à affronter seront gigantesques. Près de la fermeCliquez ici pour dérouler le parchemin... Ayllan tente de convaincre les paysans de ne pas intervenir: 20(Dé) = Réussite automatique Krayt essaye de fracasser la porte: Dégâts: 4(Dé) + 7 = 11 Ayllan était capable de garder son sang-froid et cela était en train de lui être utile. Il n'était pas foncièrement honnête, certes mais il n'aimait pas verser le sang inutilement et là où beaucoup de personnes dans son cas n'auraient pas hésiter à simplement passer les deux paysans par le fil de son épée, il décida d'essayer de continuer de les berner pour donner un maximum de temps à Krayt et pour leur sauver la vie du même coup.
Et ce fut une grande réussite. Ayllan espérait les ralentir en les faisant réfléchir et parler mais ils s'arrêtèrent complètement et le regardèrent, des doutes pleins les yeux, en attendant de trouver une meilleure solution. Ce fut le vieil homme qui parla en premier, prenant ses responsabilité pour exprimer ce que maintenant ils ressentaient tous les deux: la peur.-Vous avez raison, il doit être dangereux. Très même. Vous êtes sûr que vous pouvez l'arrêter seul? Nous ne voulons pas que vous mourriez pour nous sauver alors si vous voulez on restera un peu en retrait pour vous aider s'il le fallait. Pendant que son compagnon recevait les doutes des deux paysan et comprenait qu'il avait réussi, Krayt entamai un combat avec la porte de l'écurie qui était loin d'être gagné. Le chien avait reculé instinctivement, conscient qu'il ne pouvait affronter seul son adversaire mais il continuait de grogner pour rameuter les membres de la famille, sans succès grâce à Ayllan.
Krayt chercha le point sensible de la porte et le frappa avec toutes ses forces mais, décidément, Beshaba devait s'intéresser à son cas. Le coup ne manquait ni de puissance ni de précision mais la porte au lieu de béer n'ouvrit qu'un trou de la taille du fer de la hache suite au coup. Ce n'était qu'un contre-temps mais Krayt n'avait aucun moyen de savoir comment se passaient les choses du côté de son compagnon et le chien continuait de faire un bruit particulièrement énervant.Quatorzième jour d'Eleinte Petit village 14h00 Ciel dégagé, vent légerCliquez ici pour dérouler le parchemin... Le magicien lance un sort Livien qui essaye de résister: 15(Dé) + 3 contre DD 14 =Réussite L'autre attaque Livien: 10(Dé) + 1 contre CA: 12(Dé) + 4 = Echec Livien attaque le roublard: 14(Dé) + 1 contre CA: 5(Dé) + 4 = Réussite Dégâts: 4(Dé) Kipepeo est encore inconsciente pendant 3 tours
Initiative: Adversaire 2: 19 Jehal: 11(Dé) +2 = 13 Adversaire 1: 11 Kipepeo: 8(Dé) +2 = 10 Livien: 10 Si la situation n'était pas catastrophique, ce n'était pas loin d'être le cas. Malgré la surprise, Jehal fut particulièrement prompt à agir mais il se trouvait dans une position si désavantageuse qu'il n'avait d'autres choix que de reculer quitte à ce que les deux ennemis s'acharnent sur Kipepeo. Ce n'était certes pas très galant mais c'était le seul moyen de s'en sortir vivant. Il recula donc venant se placer derrière Livien qui semblait être leur seul espoir.
Pourtant, le demi-orque fut moins vif que les deux adversaires. Le magicien, certain que Jehal était défait, s'attaqua à Livien en jetant un sort qui, par chance, n'affecta pas le moins du monde le Cormyrien. Ce fut ensuite à l'autre de se jeter lame en avant sur le demi-orque qui se trouvait maintenant entre lui et Jehal. Son coup n'était pas très précis et il manqua une cible pourtant assez facile. Visiblement, tout réussissait à Livien.
Et Tymora continua de le favoriser. Sa rapière ressemblait plus à une arme d'apparat qu'à une véritable lame mais il la maniait avec précision et vitesse et elle vint traverser la poitrine de l'adversaire entre deux côtes ne manquant le tuer que de quelques millimètres. Livien avait l'air déterminé à sauver Kipepeo qui était toujours inconsciente mais, maintenant, les deux ennemis avaient conscience que le combat n'était peut être pas encore terminé.
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Frère-Ours
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Alors qu’Ayllan palabrait, le bruit du coup de hache que Krayt avait donné dans la porte fut un précieux allié pour convaincre les malheureux paysans. Il venait à point pour ponctuer les paroles trompeuse du chanceux guerrier. Celui-ci vit la peur s’installer dans les yeux de ses interlocuteurs et senti qu’il avait la main mise sur eux. Cependant, on n’entendait toujours pas de galop ou ne serait-ce qu’un hennissement, ce qui n’était pas très encourageant.
¤Ça se passe jamais comme prévu, bon sang ! ¤
Il semblait à Ayllan qu’il avait joué toutes ses cartes dans cette partie de bluffe et il commençait à être sérieusement à court d’idées.
-Non, non, vous serez plus utiles en allant vous armer et en contournant l’écurie. Ne vous inquiétez pas pour moi, j’en ai vu d’autre. Mais ne vous faites pas voir, comme ça vous pourrez le prendre par derrière. Bon, on fait comme ça : je rentre dans l’écurie et je le fais sortir et après on lui tombe dessus. Mais d’abord surveillez l’arrière, au cas où il tenterait de s’échapper. Passez par là , ajouta-il en désignant d’un geste le coté opposé à l’écurie du bâtiment d’habitation.
Menteur, voleur, certes ! Mais pas assassin. Le Rashémi se donnait du mal pour sauver la vie de ces pauvres diables qui n’y voyaient que du feu. Il aurai été bien facile de les réduire au silence, mais le farouche guerrier répugnait à entacher le peu d’honneur qu’il lui restait du sang de ces innocents, même s’il allait leur voler des chevaux…
Il fixait le père et le fils de ses yeux de glace jusqu’à ce qu’il se mettent en branle et fassent ce qu’il avait dit, espérant qu’ils ne feraient pas une bêtise qui l’obligerait à faire parler son épée, dont le vocabulaire était plus tranchant.
N’attendant pas qu’il aient passé le coin, il s’avança dans la direction opposée, en se demandant se que faisait son compère.
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Explorateur
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erbo dut faire appel à l'ensemble de ses maigres connaissances en religion pour comprendre à quels dieux Aldébran faisait référence. øLe Vent Porteur, il doit s'agir de Shaundakul... Le temple de la Magie Lumineuse, Mystra ou Azouth peut-être ? La bibliothèque des Cieux... ça existe ça ? Les chevaliers de la Lumière juste... Hein ? Le Dieu Manchot, par contre, lui c'est Tyr.ø Mais cela tenait du détail, compte tenu de l'histoire abracadabrantesque qu'il venait de lui conter. Le gnome se gratta le crâne d'un air dubitatif, en regardant le prêtre dans l'attente d'une conclusion qui ne venait pas.- Bon... Et vous pensez que nous sommes ces personnes, c'est cela ? s'enquit-il avec inquiétude. "Car si c'est le cas, sachez que nous, nous n'avons pas eu de message de nos dieux nous demandons de descendre dans ce cratère... Nous sommes déjà en charge d'une mission, mais ce n'est pas celle-ci. Cependant, votre histoire est des plus édifiantes quant aux étrangetés qui ont eu lieu à Tilverton. J'espère que vous trouverez bien vite ceux qui seront aptes à vous aider." Gerbo était courageux, mais pas idiot, et accepter leur proposition -si c'en était une- eût été pure folie. Il aurait aussi pu leur dire oui, cela ne l'aurait pas engagé à grand chose, mais ce n'était pas son genre.- Cependant, si vous avez quelque autre besoin d'aide, de l'eau de la nourriture pour poursuivre votre voyage, nous vous en fournirons avec plaisir. Il proposait cela surtout par politesse, car il avait ouï dire que les prêtres pouvaient créer de quoi se nourrir. Curieux de connaître l'avis de Fisevent, qui ne s'était pas prononcé depuis la rencontre avec ces étranger, Gerbo lui jeta un regard en coin.
Cette simple illusion, sans aucune lésion, te fascine et te ronge, t'emmène dans les songes.Fiche de Gerbo
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Chuchoteur
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La route vers la conscience était longue. Son être entier meurtri par la violence du sort lancé sur elle ainsi que le choc de son corps tombant sur les pierre, lançait des signaux d'alarme dans tous les sens. Peu à peu la douleur arrivait au cerveau de la jeune barde, signe que sa lutte vers la réalité n'était pas vaine. Une chose pulsait sur son poignet, elle se faisait terriblement présente comme une conscience à elle toute seule. La gemme reçue par Maitre Joinon à l'Assemblée ramenèrent à son esprit un retour en arrière vers la guilde qui l'avait accueillie et où elle eut le privilège d'étudier quelque peu dans la grande bibliothèque. Elle revit le visage grave d'Enil et ré entendit l'urgence lorsqu'il confia la quête dans ses mains. Des mains bien frêles pour une si lourde responsabilité.
Mais sa conscience meurtrie ne put qu'y entrevoir les images, elle avait trop mal, elle avait échoué déjà dans tant de choses... Un découragement poignant la saisit, la pensée que jamais elle n'y arriverait l'arrêta un instant dans sa lutte. Kipepeo n'avait plus envie d'avancer. On était si bien dans le cocon de l'inconscience qui effaçait tout maux et toutes responsabilités. Mais la gemme pulsait de plus belle, un lien aussi ténu soit il entre Kipepeo qui se refermait et les vagues flux télépathique des consciences de ses compagnons. Ce fut peut-être son imagination, mais elle les sentaient dans cette gemme qui n'arrêtait plus de la haranguer afin qu'elle reprenne son douloureux chemin vers la conscience. Le combat extérieur faisait peut-être rage, mais celui de Kipepeo était tout aussi ardu, reprendre courage, oser ouvrir les yeux malgré le fait qu'elle découvrirait peut-être le corps inerte, sans vie d'un ou des deux aventuriers dépêchés par maitre Enil pour l'aider dans sa quête. Ouvrir les yeux sur un nouvel échec sur un chagrin plus intense encore. Une larme perla entre les cils clos de la jeune barde et tomba sur le sol glacé d'une dureté sans appel
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Maître des Chants
Chambre 8
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10h, le 3 Eleasis 1372 Route du Gué d'Ashaba au Cormyr Temps ensoleilléFisevent et GerboFisevent ne partageait pas l'avis du gnome. Il avait écouté avec attention le discours d'Aldébran et ce qu'il avait entendu l'avait marqué, car il comprenait une partie de la détresse de ces gens. L'ensorceleur se souvint de son ancien compagnon nain, qu'il n'avait pas retrouvé à son réveil après une nuit comme ils en avaient passé tant d'autres. Il n'osa imaginer ce que l'on pouvait ressentir si ce n'était non pas un seul être qui disparaissait sans explication, mais toute une ville...- Attends Gerbo , déclara le disciple de l'Art en sortant de son mutisme. Il se tourna vers les trois survivants de Tilverton.- Pardonnez-nous messeigneurs. Il tira ensuite l'Initié des Arcanes à quelques mètres de là.- Je ne sais pas si on doit rejeter ces gens. Ils cherchent des gens pour les aider, et nous allons de toute façon à Tilverton, qui plus est en compagnie des deux autres lascars. Ils pourront être utiles là-bas. Crois-tu que Maître Enil nous en voudrait de retarder un peu notre propre mission? Ou ne regretterait-il pas au contraire que nous ne sautions pas sur une telle occasion d'étudier en profondeur le drame de Tilverton? Qu'en penses-tu? Ayllan et KraytCliquez ici pour dérouler le parchemin... Chien, attaque; 1d20->11 +2 contre Ayllan, CA: 19 =échec Krayt inflige: 1d12->5 +7 -5(résistance) =7 En passant l'angle des écuries, Ayllan découvrit que Krayt, malgré son imposante stature, n'avait pas encore ouvert le bâtiment. Il n'eût guère que le temps de faire cette observation qu'il vit une masse sombre fondre rapidement sur lui. Le chien, par réflexe, tenta en effet de mordre la jambe du nouvel arrivant. Mais il en fallait plus au Frère-Ours qui esquiva aisément. L'animal se remit en position de défense à quelques pas des deux intrus.- Gaffe au clébard! lança l'orogue qui s'était retourné, soulagé de découvrir son compagnon de route et non pas l'un des agriculteurs.- T'en a fait quoi des fermiers? s'enquit-il en levant une seconde fois sa hache. La tête de métal s'abbatit une nouvelle fois sur le panneau de bois, avec un résultat concluant. La porte était plus solide que ne le laissait supposer son apparence, mais elle allait céder. Un ultime coup et ce serait bon. La faille s'était déjà largement agrandie et courait sur une bonne partie du bois.
Le chien aboyait toujours, menaçant de plus belle les voleurs. Restait à espérer que les villageois avaient suivi le plan d'Ayllan à la lettre.14h, le 14 Eleinte 1372 Petit village Ciel dégagé, vent légerJehal et KipepeoCliquez ici pour dérouler le parchemin... Magicien lance un sort Livien, jet de Vigueur: 1d20->3 +2 contre DD13 =échec Livien est ébloui pendant 10 rounds Jehal, jet de Vigueur: 1d20->15 +1 contre DD13 =réussite
Jehal, attaque: 1d20->9 +2 contre Magicien, CA?? =échec
Roublard, attaque: 14 + 1 contre Livien, CA14 =réussite Roublard inflige 1d4->1 => Livien est à ??pv
Kipepeo est inconsciente pendant 2 rounds
Livien, attaque : 15 +1 -1(ébloui) contre Roublard, CA15 = Réussite Livien inflige 1d6->5 +1 => Roublard est à ??pv Alors que Livien protégeait à la fois l'halfeline et l'halruéen, l'arcaniste qui s'opposait à eux incanta une troisième fois. Des mots que Jehal ne reconnut pas s'échappèrent de la bouche de l'inconnu alors qu'une lumière intense apparaissait au bout de son doigt. Il tendit sa main en direction du demi-orque.
La lumière magique s'intensifia soudain. Livien détourna la tête, partiellement ébloui. Le disciple de l'art, en partie protégé par la large silhouette de son défenseur, plissa les yeux assez fermement pour que la lumière ne vienne pas brûler sa rétine. L'éclairage magique disparut brusquement, et Jehal profita de cet instant pour décocher un carreau en direction du sorcier. Mais ce dernier esquiva de justesse le projectile qui vint se ficher dans un morceau de viande.
Enfin, alors que Kipepeo était perdue dans les méandres d'un lumineux passé qui plongeait peu à peu dans un sombre avenir, le roublard ferraillait toujours avec le demi-orque dont la vision se troublait suite au sortilège. Des coups furent échangés, dont certains touchèrent. Le sang des deux adversaires coula. Livien fut touché au flanc droit par un coup d'estoc tandis que l'inconnu eût le torse taillé par le cimeterre. L'issue du conflit restait indécise.
Malheureux le royaume qui n'a pas de héros. ♪
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Explorateur
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erbo adressa un regard agréablement surpris à son partenaire. Lui qui s'était d'abord méfié des étrangers, puis n'avait pas dit un mot depuis leur rencontre se montrait tout à coup bien plus expressif, montrant à la fois une certaine compassion et une logique indéniable ; de plus, lorsqu'il le fallait il savait s'exprimer comme il faut pour convaincre.- Alors soit ! répondit immédiatement le gnome, ravi, comme s'il avait attendu tout ce temps la réaction de l'ensorceleur. "Retournons le leur dire." Il se rendit de nouveau aux côtés des prêtres, presque en sautillant, et leur annonça :- Finalement, nous avons changé d'avis et nous sommes prêts à vous aider. Nous ne sommes pas moins aptes que d'autres pour une telle mission, bien que nous manquions peut-être un peu d'expérience en la matière... Quoi qu'il en soit, auriez vous rencontré, ou entendu parlé d'un groupe de mages dans les environs de Tilverton ? Il se peut qu'ils nous y attendent... Le petit magicien avait quelque peu hésité à révéler cette information, mais à présent il avait plus confiance en cette procession de prêtres. Si ceux qui étaient censés les attendre était déjà là bas, il était probable qu'au moins l'un des clercs les ait aperçus.
Cette simple illusion, sans aucune lésion, te fascine et te ronge, t'emmène dans les songes.Fiche de Gerbo
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Frère-Ours
Aucune chambre
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- Satané clébard ! laissa échapper le guerrier qui avait bondit sur le coté pour se soustraire à l’attaque. Un léger frisson se propagea le long de son dos et de ses bras et il jeta un regard noir au chien. Ayllan n’aimait pas les chiens et tout ce qui s’en approchait, il faut croire que c’était réciproque. Une attaque de loup dans sa jeunesse l’avait marqué à vie. Mais le temps pressait trop pour laisser son esprit divaguer.
Le Rashémi se tourna vers son comparse, ne faisant plus attention aux aboiements. D’une voix tendu et rapide il expliqua la situation :
- Ils font le tour. Ils ont gober le truc. Mais ça presse, alors pettes cette foutue porte ! Une fois dedans, tu me mets un gros pain dans la gueule et tu détales avec le canassons. Je te rejoindrai sur la route plus tard. Tu me pettes pas le nez, tu me sonnes un peu c’est tout, tu vois le plan ? Sans laisser le temps à une réponse, d’une voix sonore en regardant son complice dans les yeux, il cria : - Eh ! Toi là ! Arrêtes toi ! ¤ J’espère qu’il à bien comprit la peau-verte ! Faut que cette porte cède, bon sang ! Tiens la boule de poils, elle medonne une idée...¤
Il se rapprocha du chien son bouclier en avant et avec des geste brusques, venait agacerl’animal, le poussant à l’attaquer. Toutefois, il se gardait bien de s’approcher trop près, de sorte que la bête ne se heurtait qu’à son écu. Il le laissa mordre dedans.
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