Les Complots du Seigneur Caché, Chapitre 4: La Sphère des Âmes

Dans la tentative de ce dégagé, la folle de Torm n'eu d'autre choix que de marmonner mentalement, quelques jurons sans gravité.
* #$$&*&@#$?&*(&#$$%?&*()&? *

Et au moment qu'elle allait crier non chaland, le dit géant ce releva en les ignorant totalement.
* Il ne nous a même pas vue!??? *

S'exclamait-elle indigné mais compréhensive de la situation. Puis soudain, aux paroles étranges du géant qui semblait gentil, des points d'interrogations fusèrent dans le regard devenu un peu niait de la sotte de Torm.
*????????. Mais de quoi parle cet abruti de géant? Il connait Karmeth et ... Moi aussi? Mais... *

Bouche béa, la paladin ne faisait guère office d'intelligence.

Rapidement elle repassait les présents et ceux qui avaient été statufiés... Le géant ne pouvait qu'être l'un d'eux mais qui? Soudain elle vit Jen étendu au sol ainsi que le Pantin. S'approchant de Jen pour l'aider elle en profitait par la même occasion pour le glisser hors de l'ère du géant qui semblait ne pas savoir qu'ils étaient sous lui. Furieuse elle lança d'un aplombs et une délicatesse toute Rashéminienne...

- Non mais le sot géant, en plus de ne pas savoir te tenir debout tu ne te rends pas compte que nous sommes sous toi. C'est que tu va nous écraser sans office!-

Les arcades sourcilière bien déformé par la colère présentait son mécontentement éminent.

Puis la douleur lui prit au jambes, elle s'était blessé et par déformation professionnel, elle se massa les jambes pour faire passer cette douleur désagréable, mais voyant Jen avec des grimace de douleur lui aussi elle ne tardait pas à localiser ses blessure et tenter d'en apaisé la douleur. Ensuite elle regardait le Pantin et lui offrit le même traitement, c'est seulement après son aide désintéressé qu'elle s'offrit à elle même les premier soins en écoutant ce qui allait ce dire au sujet du géant et de sa transformation.


Premier soins sur Jen, Pantin et elle.

Jen fut passablement soulagé au propre comme au figuré en entendant les premiers mots émient par le géant. Dans un premier temps, il tata chacun de ses membres afin de s'assurer que chacun d'eux était en place. Rien ne semblait véritablement cassé mais il souffrait de contusions multiples et il apprécia l'aide que lui apporta Vëla d'autant plus qu'il n'avait jamais été hostile à l'idée de ce faire dorloter par une personne du sexe dit faible.
Bon, il est vrai que les soins prodigués par la jeune femme étaient plutôt martial mais ils avaient le mérites d'êtres efficaces à défaut d'être doux. Ayant prit soin de sa petite personne, le mage se pencha plus sérieusement sur l'étrange énigme que soulevait le géant.

-Ben mon gars, il fallait nous chercher sous tes grosses fesses et j'ai dans l'idée qu'il ni a pas que nous que tu a perdu de vue. Je dirais même plus, il semblerait que tu n'ai pas ta place dans ce corps. Si je ne me trompe pas, tu as été libéré de la sphère comme nous mais quelque chose n'a pas totalement marché.

Le géant n'avait dit que quelque mot mais à première vue, il connaissait chacun des membres du groupe ce qui semblait clairement indiquer qu'il en faisait parti.....Hors, du groupe, il ne manquait que Blissps et le baron. Il se lança donc bien qu'un peu hésitant.

-Baron! C'est vous ? Si je devais parier, je miserais 10 pièce d'or que c'est vous qui vous retrouvez dans le corps de ce géant.

Jen ne pensais pas que Blissps ce serait exprimé comme le géant l'avait fait mais il devait bien avouer ne pas être un expert dans ce domaine.

-Bref, qui que vous soyez, vous pourrez peut être nous dire si ca vaut le coups de monter la haut. A ce propos, votre aide nous permettrait d'atteindre le haut des marches sans qu'on y passe la journée.

Bien qu'il ait échappé au jeu de quilles, Amur était on ne peut plus surpris par la situation. Sautant au bas de la marche pour rejoindre ses compagnons -après tout, le cri du lion semblait les dispenser d'une longue et fastidieuse escalade- le guerrier se rapprocha du petit groupe qui se formait au niveau du sol, n'en croyant pas ses oreilles. Non seulement le géant parlait, et de façon fort convenable qui plus est, mais en plus il connaissait Karmeth et les autres.

Les derniers échanges éclaircirent un peu les choses dans l'esprit du guerrier, sans grande surprise pour lui. La magie avait mal fonctionné. Quoi de plus normal, en soi, bien que les conséquences le soient moins ?

¤Décidément, c'est pire que jouer aux osselets avec un halfelin ces histoires de magie.¤

Finalement, le guerrier se décida à intervenir : la curiosité prenait peu à peu le dessus sur l'étrangeté de la situation. Encore une bonne histoire à raconter au Bastion... Mais dans l'immédiat, il souhaitait surtout clarifier un point, aussi se lança-t-il en demandant à Jen et Vëla :

- Un ami à vous je suppose ?

Garjzlasa se pencha du haut de la marche pour observer la scène. Le reste du groupe semblait maintenant être un ami du géant, ce qui permit à l’ensorceleur de se rassurer quelque peu. En effet, combattre la bête aurai été ardu. Cette dernière semblait mal à l’aise dans son corps et assez familière avec le groupe pour en être un compagnon direct. L’ensorceleur ne savait en revanche quoi penser du lion. Ce dernier était une énigme a ses yeux, et il ne savait pas vraiment comment interpréter sa présence ici. Il resta perplexe quant a la présence de l’animal.

Lorsque les débats allaient autour de la magie, l’ensorceleur se mit a comprendre un peu plus de choses, ce qu’il savoura, perdu jusque là dans un flot d’informations incompréhensible. La magie avait donc joué des tours aux âmes des différents membres du groupe. Mais a ce moment la, ou pouvait bien être l’âme qui habitait le corps du géant ? En tout cas, pour l’instant avec un allié comme lui, Garjzlasa se sentait en sécurité.

¤Peut être faudrait il de la prudence quant aux créatures d’apparence inoffensives, car ces changements de corps peuvent nous jouer des tours…¤

Sirth dormait toujours dans le col du manteau de l’ensorceleur, et ce dernier vint le caresser tranquillement, étonné de remarquer qu’il ne n’était pas réveillé.

Il s’apprêta a poser une question aux autres membres de la compagnie quand Amur le devança. Trouvant la remarque de son compagnon bien plus intéressante que la sienne et bien mieux formulée, il écouta simplement la réponse, appuyant la question du regard.

Que le géant s'adresse à lui en un commun parfait aurait pu choquer le nain si le fait que le colosse avait commencé par citer son nom n'avait pas déjà remplie sa cervelle de consternation.

¤Heuuu...Ah¤

Alors que Velä réagissait prestement, il lui fallut un moment pour reprendre pied. Jen le tira de sa stupeur en résolvant l'énigme fort simplement. Evidemment, "vrai apparence" suggèrait qu'ils avaient affaire à un raté magique des plus comiques, à partir du moment où ce n'était pas vous la victime bien entendu.

Par automatisme il répondit le plus naturellement du monde à la double demande du baron et d'Amur et Garjzlasa en faisant les présentations :

-Baron, voici... Amur et... Gar...jslaza. Messieurs voici le baron... de Nesmé, fit-il en regrettant sa mémoire chaotique des noms. Qui n'est habituellement pas aussi grand, se sentit-il obligé d'ajouter.

C'est alors que ses neurones s'interconnectèrent d'une manière originale, faisant naitre une idée qui l'était tout autant.

¤Et si le baron n'avait pas été le seul victime d'un aléa magique ?¤

Neuvième jour d’Alturiak 1373
Nord de l’Anauroch
Nuageux
12h00
-10°C


En réalisant qu'il avait entrainé dans sa chute plusieurs personnes, et ce qui ressemblait à une marionnette en bois capable de se mouvoir seule, le géant se recula et porta sa main à sa bouche. Pendant que Vëla prodiguait des soins à Jen et à elle-même, Pantin, étant en bois, n'avait pas les douleurs dues à la torsion et au choc qu'éprouvaient ses coéquipiers, le géant se plia en avant. Il fit cela avec fort peu de grâce et manqua chuter à nouveau. Ensuite il se releva complètement et commença à s'excuser.

-Vëla, je vous prie de m'excuser. Je ne vous avais pas vue avant de tomber, et pas plus une fois que je me fus retrouvé au sol. J'espère ne pas vous avoir fait trop mal. Même chose pour vous, Jen. J'ai été surpris et ce corps est incroyablement difficile à manœuvrer. Sans compter que son odeur n'est pas vraiment agréable, non plus.

Il fit une nouvelle courbette, cette fois-ci vers Amur et Garjzlasa, avec un peu plus de dextérité et se releva la main droite posée sur le cœur. Il regarda alors attentivement les deux nouveaux compagnons en gardant le plus parfait sérieux.

-Je suis en effet Vassili, Baron de la belle ville de Nesmè. Ce n'est plus qu'un titre honorifique et j'ai maintenant moins de pouvoir politique que le plus humble serviteurs de la cité. Serviteurs que je n'ai jamais eu, d'ailleurs. Je suis enchanté de vous rencontre Amur et Garjzlasa. D'autant plus que vous pourrez sans doute me dire comment ma pauvre personne s'est retrouvée dans ce corps ... difforme.

Les présentations et les excuses présentées en bonne et due forme, il se gratta la joue avec une moue qui rappelait plus à Amur les orques que les nobles qu'il avait côtoyé dans sa jeunesse. Sa réflexion était visiblement profonde et il se passa quelques secondes avant que le Baron ne prenne la parole.

-De ce que je me souviens, une sphère est tombée près de nous. Ensuite, je me suis réveillé dans un corps qui ne ressemble en rien au mien en haut de marches que j'ai dévalées le nez le premier à votre rencontre. Je ne me souviens pas vraiment de ce qu'il y avait en haut des escaliers mais je dirais que c'était une sorte de grande pièce, grande même par rapport à ce corps, vaguement ronde avec des sorties. La plus proche de l'endroit où je me trouvais menait à cet escalier. Dans la salle, il y avait aussi des corps de géants, une demi-douzaine peut-être, et beaucoup plus de corps d'homme-lézards. Cela vous aide-t-il? Je peux bien sûr vous porter mais il faudra vous accrocher. Même avec ce corps, il va me falloir mes deux mains pour monter chaque marche. Je dois pouvoir transporter deux d'entre vous à la fois. Si cela vous convient.

¤Mais quel merveilleux coup de pouce de ma déesse ! Elle s'est rendue compte qu'en combat vous ne valiez rien et a décidée de pallier à cet inconvénient !¤ pensa très fort Karmeth, se rendant vaguement compte que le dire à voix haute manquerait incroyablement de diplomatie et de tact.

Il n'en était pas moins certain que cela les avantageaient énormément. Echanger celui qui, lors du dernier combat, s'était contenté de lancer quelques pierres sans force ni précision par un être aussi énorme ! Quelle bonne affaire !

¤Et même s'il ne veut pas aller au contact, son lancer de "cailloux" aura sans doute plus d'impact.¤ se réjouit le nain.

Bon il y avait les détails comme le fait qu'on le repérait à 3 lieux à la ronde, qu'il ne passerait plus dans bon nombre de tunnels, qu'il ne pourrait sans doute plus jamais entrer dans une ville, et qu'il allait probablement mourir de faim étant donné qu'il ne savait pas chasser et que leurs provisions ne suffirait pas à remplir un tel estomac. Entre autre.

Néanmoins pour l'instant présent c'était bon à prendre.

Surtout s'il pouvait les aider à monter les marches.

D'autant que d'après sa description, la salle d'où il venait était celle où le combat pour l'arme s'était livré. Certainement l'endroit idéal pour commencer à chercher la sphère, bien que sans doute un peu encombré par des cadavres en putréfaction.

¤Sans compter que c'est là que se trouve l'auteur de l'effroyable cri de tout à l'heure.¤

Ayant attendu que quelqu'un se dévoue pour avouer au baron la cause de son "infortune", le prêtre saisi donc la première occasion qui se présenta afin de se porter volontaire pour le premier trajet.

-Je ralentirais tout le monde autrement... ajouta-t-il encore un peu frustré d'avoir été handicapé par sa taille.

Jen ne put s'empêcher un geste de triomphe faisant mine de rafler une mise qui n'existait pas lorsque le géant se présenta bien comme le baron. ¤Ben mon gars, avec un tel corps, on peut supposer qu'il va nous être diablement plus utile. ¤

-Baron, ce serait un peu long a vous expliquer mais Amur, Garjzlasa et pantin ont été envoyés par la compagnie des marches. Voilà un bon moment que nous étions figés par cette étrange sphère et ils ont permis que nos âmes retrouvent leur corps. Enfin quand je dis retrouvent leur corps, il semblerait que certain se soit trompé de chemin. Il eu un regard éloquent vers le géant. " Toutefois, on va tout faire pour vous sortir de la ainsi que pour aider nos compagnons qui sont restés figés eux mêmes. "

Endor avait donc réussit à envoyer un bon nombre d'hommes lézards à l'assaut des géants gardant le sceptre. Le mage avait toutefois un peu de mal à suivre la chronologie des évènements, l'envoi de leur groupe, l'attaque de la sphère ainsi que l'escouade de lézard, il se tourna vers pantin.

-Vous êtes sur que le Bâton d'Esmeren est en lieu sur ? Parce que notre adversaire semble avoir de la ressource et pas qu'un peu. Bref, en tout cas, pour l'instant je ne vois rien de mieux que de nous faire porter la haut par le Baron. Doucement hein, j'aimerais avoir mes cotes intacts en arrivant à destination.

Jen ne savait pas trop quoi espérer de cette visite mais cela lui donnerait le temps de réfléchir et ce qu'il y trouverait permettrait peut être de les aiguillers. Il songeait également aux otages détenues par Endor, étaient ils seulement vivant ? Que devraient ils faire une foi l'artefact entre leurs mains ?

Aux paroles du géant Baron, la folle de Torm fit un signe d'accord. Ne fallait quand même pas lui en vouloir pour ça chute. Ce qui la troublait sur l'instant était surtout à savoir, si l'âme d'Abby, son fidèle destrier, s'était retrouvé dans un autre corps. Cherchant en vint une réponse, elle s'approchait de Courage, le lion qui avait eut le loisir de leurs montrer un chemin fort moins exténuant que les marches interminable qui leurs faisaient face.

-Merci à toi brave bête Courage. Nous retrouverons l'âme de ta maîtresse et vous serez à nouveau ensemble.-

Dit-elle avec un tremblement dans la gorge. Peiné de n'avoir auprès d'elle, Abby. Sa main droite vint caresser l'arrière de l'oreille gauche de l'imposant félin en lui envoyant un amour véritable. Il faisait si longtemps qu'elle oeuvrait avec Abby qu'elle se sentait un peu seul, même si son dieu était en tout temps en son coeur, depuis peu, sans douté de lui elle le sentait distant.

Elle avança doucement vers l'entré de la grotte que le lion avait emprunté et lançait d'une voix autoritaire...

-Personnellement je vais emprunter le passage que le lion nous a si adroitement désigné. Qui m'aime me suivre!-


Elle resta surprise d'elle, d'avoir dit la dernière phrase. Ce n'était tellement pas elle qu'elle en fut subitement perplexe.

* Mmmmm... tu froisse du crane Vëla!? Aller reprend tes esprits sotte, il reste beaucoup à faire. *

Se dit-elle sévèrement.

En passant auprès d'Abby, elle profitait du moment pour prendre une gourde d'eau, sa couverture de laine, des pansements, un peu de pommes de terre, carotte, navet, oignon et légumineuse pour la suite. Elle ne se chargeas pas, mais fit une petite provision pour la route, ce qu'elle avait oublié auparavant. Ensuite instinctivement elle fit un câlin à Abby puis suivit le tunnel qui allait vers le haut des escaliers, pour rejoindre les autres membres du groupe.

Neuvième jour d’Alturiak 1373
Nord de l’Anauroch
Nuageux
12h00
-10°C


Pendant que le Baron cherchait des poches dans ce qui lui servait de pantalons pour y mettre les quelques aventuriers qui avaient choisi de grimper grâce à lui, Vëla rassemblait quelques affaires et saluait Abby. Pantin, sans doute un peu meurtri par sa dernière rencontre avec le géant et ému par les actions de la paladin de Torm, choisit de suivre le même chemin qu'elle. Amur et Garjzlasa, n'ayant sans doute pas encore la confiance de Vëla dans les qualités de Courage, préférèrent tenter l'escalade avec le géant.

Comme grimper avec deux personnes faisant presque la moitié de sa taille accrochés à sa chemise n'est pas une tâche simple, même avec beaucoup d'entrainement, Vassili choisit de ne transporter que Jen et Karmeth pour son premier voyage. Sa tenue, quoique le terme soit clairement exagéré étant donné qu'il ne portait guère plus que des vêtements en lambeaux, ne contenait pas vraiment de poches et le mieux qui pouvait se faire était de s'accrocher dans le linge et espérer qu'il tienne jusqu'à l'étage supérieur. Ce qui fut le cas.

Pendant ce temps, Vëla remontait le couloir en compagnie de Pantin. Comme les jambes de la marionnette en bois ne lui permettaient pas de suivre le rythme de la paladin, celle-ci le déposa sur Courage qui accepta de servir de monture pendant quelques temps. La grotte avait une odeur assez horrible. En tout cas au début. Après une douzaine de mètres, la grotte se sépara en deux morceaux qui n'avaient pas grand chose en commun. Celui de droite semblait s'enfoncer dans le sol et semblait être dû principalement à un éboulement qui avait libéré l'accès à une autre grotte qu'à un travail manuel. Au contraire, le tunnel devenait une sorte de couloir muré comportant de manière régulière des torches éteintes dans l'autre direction. Courage n'hésita pas une seule seconde et s'engagea dans le couloir. Après une nouvelle vingtaine de mètres, le couloir longeait ce qui ressemblait clairement à une porte métallique mais complètement fermée. Il y avait visiblement des caractères gravés sur la porte mais ce n'était pas une langue que connaissait Vëla. Au bout d'une distance plus longue par la suite, et quelque peu plus pentue semblait-il, le couloir arrivait dans une vaste pièce où, approximativement au même moment, un Baron essoufflé arrivait en se hissant au sommet de la dernière marche.

Comme l'avait décrite le Baron, cette pièce était particulièrement vaste et comportait, outre le tunnel par lequel arrivait Vëla et ses compagnons et l'escalier, six autres issues particulièrement larges. De nombreux cadavres, principalement des cadavres d'homme-lézards mais aussi certains de géants, jonchaient le sol et il y avait des débris de pierre vers le centre de la pièce. Visiblement, le plafond s'y était écroulé et de la neige tombait dans la pièce rendant difficile de voir ce qui se passait à son autre bout malgré la lumière plus importante que cette ouverture laissait entrer.