onjour Delendir,
Décidemment, je ne suis pas un bon correcteur ces jours-ci, je ne passe pas souvent ... Je suis vraiment navré, je devrais retrouver mon rythme aujourd'hui normalement.
Tu approches cependant du but !
Pour l'inventaire, je te fais gagner 0,01kg par rapport à ce que tu trouves toi
Résultat tu es à 21,14, ce que tu peux arrondir à 21,1 si tu veux. Par contre, à moins que tu ne considères porter tes pièces dans ton sac, je trouves que tu es à 12,8kg sans sac ...
Bien, pour le BG.
Les descriptions sont bien. Le corps maintenant ... sont en rouge les fautes, en bleu les incohérences vis-a-vis des RO, et en violet les remarques perso ou les commentaires ou les propostions (pot pourri XD)
Cliquez ici pour dérouler le parchemin...
Delendir Vaëld est un Illuskien né dans la région de la Côte des Epées. Il n'est pas particulièrement fort, mais son adresse et son ingéniosité ont été de précieux alliés tout au long de sa vie. Enfant de parents trop pauvre pour vivre décemment, il trouva vite de l'injustice quant au (dans le fait que ?) fait que certains puissent vivre à leur aise et d'autres non. C'est donc dans l'objectif de rééquilibrer la balance qu'il s'est, aux alentours de ses sept ans, mis à chaparder du pain dans les boulangeries. Il n'était au début pas très discret, si bien que les premiers vols, il se fut prendre et pris plusieurs raclées de la part des boulangers. Toutefois, ses haillons et son aspect squelettique faisait pitié à son entourage, si bien qu'on ne lui coupa jamais la main, comme il avait entendu qu'on le faisait parfois aux voleurs.
Sa situation ne s'arrangea guère lorsque, à ses douze ans, sa mère décéda d'une longue et douloureuse maladie. Il avait eu beau demander de l'aide, il n'était jamais tombé sur une personne prête à l'aider. Tout juste le prenait-on pour un mendiant et qu'on lui jetait une pièce (la syntaxe correcte est symétrique ici : "tout juste le prenait-on pour un mendiant et lui jetait-on une pièce"). Un profond chagrin l'envahit, et il comprit que s'il voulait réussir dans le monde et se sortir de la rue, il devrait agir pour lui, et lui seul, sans se soucier des autres. C'est ce que faisaient ces gens habitants de si belles maisons. Malgré sa misérable condition, ses parents lui avaient appris les rudiments de la lecture et du comptage, en plus de lui inculquer quelques préceptes dictés par Shaundakul, ce qui s'avéra très utile par la suite. En effet, c'est grâce à cela qu'il put rapidement se repérer dans des lieux qui lui étaient étrangers, ou qu'il trouvait (Idem, donc passé simple ici) de bonnes cibles pour ses chapardages.
Les années passa, et Delendir subvint aux besoins de son père et lui par des larcins, ayant pris ces derniers temps une plus grande ampleur. Cela ne l'empêche guère de faire preuve d'une certaine honnêteté : jamais il ne volerait de pauvres, et s'il pouvait se le permettre, rien ne l'empêchait de payer. (Oup là ! Vu que tu ne met "Aujourd'hui" qu'au début de la phrase suivante, tu ne peux pas introduire subitement du présent de vérité générale après le passé simple de la phrase précédente ; ou alors, tu remets cette phrase dans ta desc. psycho ...) Aujourd'hui, Delendir devient de plus en plus obsédé par l'obtention de bien qui ne lui appartiennent pas. Ce qui n'était au départ que de la survie devint une passion, qu'il considéra comme un art, au point de devenir légèrement kleptomane. Son père n'approuve guère sa conduite, c'est pourquoi Delendir ne lui en souffle aucun mot.
Notre roublard, ayant eu vent de nombreuses aventures à la taverne, s'est mis à penser. Et si, lui aussi, il parcourait le monde à la recherche de richesses ? Après tout, rien ne l'en empêchait. Il laisserait assez d'argent pour laisser son vieux père se débrouiller, et il irait quérir la fortune. Peut-être deviendrait-il un personnage important, et alors ceux qui l'avaient négligé enfant l'acclameraient ou le craindraient. Peu lui importait, dans le fond, du moment que son envie de gloire et de richesses serait (subjonctif présent) satisfaite. C’est dans cette optique qu’il s’en alla, à l’âge de 17 ans, du domicile familial –que ses « acquisitions » avaient permis de rendre légèrement plus confortable- avec une certaine soif d’aventures. Son père, qui éprouvait tout de même l’inquiétude naturelle des parents, remis à son fils un objet qu’il conservait depuis bien des années : une dague, héritée de son propre père, transmise depuis que son grand-père l’avait acquise en aidant un forgeron attaqué par des orques. Remerciant son père, c’est ainsi qu’il partit pour un voyage qu’il pensait long et couronné de succès.
La réalité, toutefois, se révéla bien plus dure que les rêves du jeune homme. Ne sachant trop où aller, et ayant entendu parler d’Eauprofonde comme la plus grande ville de la Côte, il décida de s’y rendre. En chemin, toutefois, sa route croisa celle de marchands nains qui semblaient transporter bien des trésors. C’est avec une assurance certaine et une grande attention qu’à la nuit tombée, il tenta de se glisser dans leur campement. Utilisant sa cape foncée pour se fondre parmi les ombres, se déplaçant à pas de loups pour ne pas attirer l’attention, il parvint à se faufiler dans une tente proche du rassemblement de marchandises. Il observa rapidement la tente, et, ne voyant rien bouger, se déplaça en direction de ce qu’il convoitait. Alors qu’il allait à nouveau se faufiler sous la tente, mais pour en sortir cette fois, il entendit un grondement étrange et puissant, un bruit lourd qu’il n’avait jamais entendu de sa vie. Cette surprise, qu’il apprit par la suite être le ronflement d’un nain, le fit sursauter, entraînant avec lui la toile de la tente et, par là même, réveillant plusieurs nains. Il se retrouva vite entouré, sans moyen de se cacher. Effrayé, certain de ne pas s’en sortir, il porta la main à sa dague en implorant paix et pitié. Les nains, fort intimidants, lui firent vite avouer ses intentions, et l’un d’eux voulu le frapper avec sa hache. Il la leva haut, et alors qu’il s’apprêtait à trancher la tête du roublard, il fut stoppé net par la voix d’un autre nain. L’image de son sauveur se grava à jamais dans sa mémoire : une barbe grise et imposante, des petits yeux de fouines, un nez semblable à une grosse pomme de terre, et des vêtements colorés et en tissus, au contraire des armures des nains qui l’entouraient. Pour une raison inconnue, ce nain –qui se révéla avoir pour nom Thorduin- voulait l’épargner. Il s’en suivit une discussion houleuse que la frayeur rendit inaudible pour Delendir, mais ils parvinrent finalement à un accord. Il ne serait pas tué pour ses crimes, à la condition qu’il accepte de les servir gratuitement pendant deux ans. Il serait nourri, logé, et les nains et lui partageraient leurs connaissances, mais il ne verrait pas l’ombre d’une pièce tant que sa dette ne serait pas payée. Il voulu protester, mais il se rendit vite compte que c’était soit ça, soit la mort, et il fut donc contraint d’accepter. Certains diraient que c’était un temps bien trop long, les nains répondraient qu’une paillasse, le couvert et le logis pour deux ans, ça n’est pas donné.
Il apprit bien vite que le convoi de nains étaient composés de plusieurs groupes : Il y avait tout d’abord les marchands, au nombre de trois, dont Thorduin était le porte-parole, et réglait tous les détails administratifs. Les deux autres, quant à eux, géraient plutôt les marchandises et leur vente. Le deuxième groupe était la garde, et était composé de quatre membres au total –Tout du moins jusqu’à son arrivée, où (après laquelle plutôt non ?) ce nombre s’éleva à cinq. Le chef de la garde était une prêtresse nommée Dumna, dont les sorts de soins s’avérèrent bien pratiques par la suite. Durant le trajet, il combattit donc aux côtés des nains contre leurs ennemis : bandits de grand chemin, groupes d’orques isolés, parfois quelques adversaires plus intéressants… Il apprit ainsi à manier sa dague avec une précision grandissante, et surtout à esquiver les coups. Lors des arrêts en ville, toutefois, il continua sa petite activité pour ne pas perdre la main, mais avait pour habitude de dépenser tout avant leur départ pour des mets savoureux ou quelques babioles intéressantes. Son don, bien vite remarqué par Thorduin qui l’avait pris sous son aile, pour ainsi dire, servi parfois à dérober quelques articles qui intéressaient les nains (Bon ... je veux bien, passe pour cette fois. Mais sache que les nains ne sont pas du tout dans cette optique là : ce qu'ils veulent acquérir, ils l'acquériront certes, mais certainement pas en le volant!) On aurait pu croire qu’il était à la botte des nains, mais il trouva des aspects non négligeables à cette « captivité » : il apprit de Thorduin le langage des nains, aussi bien parlé qu’écrit, ainsi que celui des orques et des halfelin –Ce dernier langage lui fut appris par Dumna, qui s’était jurée de ne plus jamais se faire avoir par une de ces « sales bestioles ». On lui inculqua les subtilités du marchandage, comment se comporter face à telle clientelle, quelques brins de psychologie entre les clients et le prix d’un objet pouvant parfois améliorer les gains… Ces dernières connaissances restèrent relativement basiques, toutefois, Thorduin ne voulant sans doute guère dévoiler tous ses secrets, et l’apprentissage des langues étant quelque chose demandant beaucoup de temps. De son côté, en plus de leur rendre quelques services, il parla à Thorduin de Sahundakul, et trouva quelques fois le temps de rire de cette ironie, sa divinité protégeant les caravanes de marchands. Les deux partis gagnaient quelque chose dans cette collaboration forcée, ce qui ne fut nullement déplaisant.
Puis arriva la fin de leur collaboration, deux ans après. Ce fut à Eauprofonde qu’ils se séparèrent, non sans s’être attachés les uns aux autres. Le jeune homme avait toutefois envie de revoir son père et de lui compter les événements des années écoulées. Le père et le fils furent très contents de se retrouver, et il resta une quinzaine de jours au domicile familial. Il avait toutefois pris goût à l’aventure, et se sépara à nouveau de son père, en promettant toutefois de revenir le voir de temps à autres. C’était plus un besoin qu’autre chose : il ne pouvait pas oublier ces lieux qui l’avaient vu grandir, et ses bons souvenirs, d’autant plus rares que précieux, ne le quittaient guère. C’est donc peu après son anniversaire qu’il partit, à nouveau, en étant toutefois plus instruit et bien moins téméraire, bien décidé à ne plus être forcé à faire un tel marché que celui conclut deux ans auparavant, aussi profitable fut-il.
Beau BG. Reste à corriger toutes les petites imperfections
Ensuite, j'ai vu que tu avais déjà fait ton inventaire MOD ... si celui-ci est exactement celui qui est sur ta feuille -y compris au niveau des pièces-, très bien, sinon, dis le, nous le remettrons à zéro pour que tu puisses le faire correspondre exactement avec celui de ta feuille (c'est la seule partie du MOD que nous utilisons vraiment).
A te lire,
Nxebz