près ce BG convenable et validé, passons à ta description psychologique est celle-ci:
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Description psychologique:
Buliwyf a été élevé au jour le jour par ses parents, Kayana et Tharask au sein de la Tribu du Grand dragon et dans les plus pures valeurs de survie. Voulant prouver qu’il est fier guerrier, il est donc impulsif et prompt à croiser le fer. Imprévisible et impétueux, il n’hésite jamais à se jeter dans les problèmes et les bagarres. Ayant déjà été emprisonné, il supporte difficilement les villes et les bâtiments fermés et fera tout pour ne jamais être de nouveau captif, quitte à y laisser la vie. De ce fait, il lui arrive de prendre la défense d'une personne qu'il ne connait pas, simplement parce qu’il peut s’agir d’injustice. S’il lui semble innocent, Buliwyf tentera de le libérer avant de poursuivre son chemin. Seule sa justice compte. Il a très peu confiance en l'homme principalement, ni envers les autres races à une moindre mesure. C’est certainement parce qu’il ne les connait pas encore assez.
Incroyablement sadique face à ses ennemis, faire souffrir tous ses adversaires est un plaisir indicible pour le barbare. D’un autre coté, s’il accorde difficilement sa confiance, c’est un excellent compagnon de route, dont l’amitié et la loyauté ne seront pas remises en cause lors d’une situation de crise. Buliwyf respecte les adversaires qui font preuve de bravoure et ne se sent réellement libre qu’en pleine bataille.
Le jeune barbare craint les dieux et reste excessivement superstitieux, il demeure persuadé de l’existence de la Bête Noire, dont parlait le chamane Mähal de sa tribu. (La créature n’a aucune existence réelle. Elle n’est qu’une projection des craintes des guerriers, en quelque sorte une personnification démoniaque de la peur en bataille.)
Buliwyf prie plus le dieu Uthgard par crainte de réprimande plutôt que par véritable conviction, tout simplement car un jour il fut, lui aussi, le gibier et non le chasseur. Malgré tout, son éducation a surtout été basée sur la survie du plus fort et ces dogmes restent profondément inscrits dans l’esprit de Buliwyf : ne vit que celui qui a le courage de le faire, les autres ne méritent aucune clémence à ses yeux…
Il ya moyen de faire plus court et de synthétiser la chose. Peux-tu revoir l'ensemble en quelques lignes?