La Fleur de Lune, Rendez vous à la rue des Cloches

MJ
Narration : tous

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Noisette utilise diplomatie sur Phalantar
5d20 +10 = 15 ~ DD ?? -> Echec.

Karion utilise diplomatie sur Phalantar
9d20 +4 = 13 ~ DD ?? -> Echec.

Le maître Phalantar avait perdu son sourire, le visage très crispé. Ses poings étaient serrés au dessus de son bureau. Pourtant il ne dit rien laissant chacun prendre la parole. Peut être qu’il se comportait comme le volcan qui fulmine avant l’éruption…Le groupe n’eut pas le temps de le savoir car Zakline qui elle aussi était restée silencieuse prit la parole avant le Maître. Surtout elle n’attendit pas la réaction de la prêtresse après les propos tenus par la barde à son encontre…

- Oui il est temps de partir…

Alors que tout le monde sortait du bureau sous l'empressement de la demi elfe, Zakline la dernière à sortir fut retenue par les paroles de Phalantar

- Zakline, attends ici quelques instants, j’ai à te parler.

La porte se referma derrière elle. Les deux gardes accompagnèrent le groupe jusqu’à la grande salle où ils avaient fait leur enregistrement. Ils étaient de nouveau enfermés. Le temps d’attente fut très court jusqu’à ce que Zakline les rejoigne, traversant la pièce jusqu’au vestibule. Elle ouvra la porte qui menait au vestibule

- Vous pouvez sortir et m’attendre dehors sauf la prêtresse et vous Noisette. Je dois m’entretenir avec vous avant.

MJ
Narration : Iélénia, Noisette

Lorsque que presque tout le monde fut conduit dehors après avoir récupéré leurs affaires, Zakline s’approcha d’Iélénia et lui remit dans sa main un gourdin.

- Prêtresse du Seigneur de l’Aube, vous allez pouvoir apprendre à cette femme à ne pas blasphémer…

Elle sortit, rejoignant le groupe dehors sans un mot. Les deux femmes étaient seules et enfermées maintenant dans la salle...

Le damarien parvint tant bien que mal à ne pas sourire, voire ricaner, devant la mine déconfite et rouge du maître. Peu de choses le différenciaient d'une écrevisse en train de bouillir à ce moment là. Tout cela confirmait ses pensées, la brune en avait trop dit.

Le guerrier s'attendait à le voir exploser tout en la congédiant sans ménagement avec la force brute des deux gardes. Mais il n'en fut pas ainsi, Zakline prit la parole rapidement, sans doute pour tenter de calmer le maître, invitant les aventuriers à sortir. Elle resta cependant avec maître Phalantar à la demande de ce dernier qui avait réussi à se contenir pour le demander calmement. Elle les laissa donc, referma la porte derrière elle, ne laissant filtrer aucun mot de leur conversation.
Elle ne mit cependant pas longtemps avant de revenir vers eux après que les aventuriers aient été guidés par les deux robustes gardes. Là, la demi-elfe les rejoint rapidement avant de leur donner l'autorisation de récupérer leurs affaires et sortir.

Le damarien cacha son soulagement lorsqu'il récupéra son épée qu'il s'empressa tout de même d'accrocher à sa ceinture. Il enfila sa cape noire et accrocha sa dague à la ceinture dans le dos, dissimulée ainsi par le vêtement sombre. Il remit en bandoulière son vieux sac et sans attendre les autres membres, à savoir Areevne et l'autre Hafelin, il sortit dehors. Il respira profondément l'air frais de la nuit, le soleil s'étant désormais couché, avant de le recracher sous la forme d'un nuage de vapeur. Il avait trouvé l'air lourd et oppressant à l'intérieur du bâtiment mais il n'avait su se l'expliquer.

Cependant il était interpelé par le fait que la prêtresse et l'insolente "Noisette", car c'est ainsi qu'elle s'appelait, aient été retenus à l'intérieur par Zakline. Le damarien ne prévoyait rien de bon à tout cela mais il était quasi sûr d'avoir une explication dès qu'elles sortiraient.

Faisant rouler ses épaules et craquer sa nuque, Hannibal en profita pour regarder d'un peu plus près l'échoppe de ce fameux employeur. Peut être trouverait-il quelques chose d'intéressant.

L’ambiance semblait se dégrader plus vite qu’un nain ne descends une bière et Karion fit tout se qu’il put pour ne pas exploser de rire a la vue de leur nouvel employeur, aussi rouge qu’une tomate en plein soleil.

*Bon sang avec un groupe pareil je sens que l’aventure ne va pas être de tout repos. Au moins il y en a un qui sait tenir sa langue, pensa-t-il en regardant le dos de l’homme au crane rase qui venait de le précéder, j’aurais sans doute du faire de même devant le vieux mais bon tant pis pour sa bonne humeur.*

Il fut étonné de voir l’étrange femme encapuchonnée demander a la prêtresse pinailleuse et a la femme aux cheveux roux de rester derrière avec elle mais haussa simplement les épaules et suivit le mouvement retournant dans la petite salle ou se trouvait leurs affaires.

Il regarda un instant l’impressionnant personnage ramasser ses affaires puis se tourna vers son propre matériel. Il soupesa rapidement la petite bourse de tissu afin de s’assurer que son symbole en argent y était toujours avant de glisser sa dague dans son fourreau. Un courant d’air froid lui indiqua que la porte venait d’être ouverte et il eu tout juste le temps d’apercevoir la silhouette du géant avant qu’il ne disparaisse vers l’extérieur. Suivant le même chemin, sa cape de daim sous le bras, il sortit à son tour dans l’air piquant de la nuit, heureux de quitter cet endroit désagréable.

*Pourvu que l’endroit ou l’on va nous faire dormir ne soit pas du même acabit, sinon ça ne veut pas arranger l’humeur du groupe…*

Sentant le froid se faire plus agressif, il noua sa cape autour de son cou et, relevant la tête, suivit le regard du guerrier qui semblait scruter la façade de l’échoppe mais préféra observer les ombres de la porte pour voir qui en sortirait ensuite.

lors que la petite voleuse récupérait ses affaires, les deux autres femmes furent invité à rester dans la pièce qu’Hannibal et l' halfelin venait de quitter. Elle s’empressa d’ajuster son épée dans son étui sur ses hanches, remit sa dague sur le coté de ses bottines, et reprit son sac sur son dos. Le poids du sac se fit sentir sur ses épaules lorsqu’elle quitta la boutique de maitre Phalantar en bonne dernière.

Lorsqu’elle sortit, le petit personnage était en train de la fixer de la même manière que s’il fixait un coin de mur vide. Etrange impression qui poussa Arveene à aller le réveiller de ses pensés. Elle fit les quelques pas qui la séparait de lui et entama la conversation.

- Bien le bonjour monsieur, je voulais juste savoir comment vous vous nommiez ? N’attendant pas sa réponse elle continua, Et je vous ai entendu poser une question à notre vieux employeur, peut-être avons nous un peu de temps pour nous occuper de votre bête, je veux dire que je peux vous accompagner jusqu'à elle pour s’assurer qu’on nous attende pour le départ de la quête. Faisant un tour de tête, elle remarqua que le Damarien fixait la vitrine de son air toujours aussi froid et vide que lors de leurs précédentes chevauchées, Et pour s’assurer que l’on nous attendent tous les deux, il serait sage, par exemple, de prévenir Hannibal…

Elle s’arrêta net, elle venait de dire le nom du géant sans réfléchir encore une fois, elle n’avait aucun moyen de s’avoir son nom sans le connaitre auparavant.

¤ Encore une gaffe ma petite, essaye de réfléchir avant de parler…¤

En attendant la réponse de son collègue, elle se tourna vers l’humain pour voir si il avait entendu quelque chose à la conversation, ou a défaut, si il avait entendu son nom sortir de la bouche de la petite halfeline.

Karion fronça un instant les sourcils devant la proposition de sa jeune camarade, l’idée n’était peut-être pas des meilleures que de disparaitre ainsi des les premiers instants de leur aventure. Mais rapidement un fin sourire vint jouer sur le bord de ses lèvres, au diable les convenances, il serait toujours temps de présenter des excuses et d’être gentil plus tard, il lui fallait impérativement récupérer ses affaires, notamment son armure et son arme. Pris dans sa petite réflexion ce fut plus la réaction de l’halfeline que la conversation qui lui fit noter le nom de leur froid compagnon.

*Hannibal ? Bon au moins je saurai son nom si je dois lui parler… bien qu’il ait pas l’air vraiment bavard.*

Posant a nouveau son regard sur sa compatriote il lui fit son plus beau sourire et dit :

- On me nomme Karion Eaucroisée, jeune dame, et je serai ravi d’avoir votre compagnie dans cette affaire. Mon auberge n’est pas très loin d’ici, une dizaine de minutes tout au plus mais je suis d’accord qu’il nous vaudrait mieux prévenir… Hannibal, c’est ça ?

Il se retourna vers l’homme qui attendait toujours, presque aussi immobile qu’une statue a quelque pas de la.

La réponse du prêtre ainsi que son petit sourire réconforta l’halfeline. Il fallait maintenant prévenir Hannibal, Chose difficile vue la difficulté qu’il pouvait avoir a la conversation. Avant de se tourner vers le colosse, Arveene fit un petit sourire à Karion, et ajouta :

-[commun] Enchanté Karion EauCroisée, mes parents mon surnommée Arveene Aumble, mais appelle moi Arveene, je préfère laisser mon nom de famille pour les formalités administrative, ou quand je signe des papiers. Réalisant qu’elle parlait beaucoup pour ne rien dire, elle enchaina : je vais prévenir Hannibal que nous nous absentons une dizaine de minute.

Sans laissé le temps à l’halfelin de répliquer, elle partie en direction du guerrier qui s’intéressait, dirait-on, de plus en plus à la vitrine de l’échoppe. A quelques pas derrière lui, Elle l’interpella :

- Salut mon ami, comment va tu depuis tout ce temps Hannibal ? Je vois que tu n’as pas réellement changé depuis nos aventures à PortCalim. Toujours discret et efficace ? Dans le même débit de phrase inutile et impatient qu’avec le petit prêtre, elle enchaina rapidement, Je vais partir quelques minutes avec Karion pour qu’il récupère son sac et ses affaires. Nous revenons rapidement. Cela ne te dérange pas de prévenir Zakline ou Maître phalantar ?

Elle attendit ses réponses tout en se demanda si prendre tant d’initiative était une bonne idée vu le problème qu’avait posé l’humaine aux cheveux châtain rien qu’en soumettant une hypothèse sur la fidélité des aventuriers embauché…

Le damarien ne prêta que peu d'attention à la conversation des deux hins tant il tentait de trouver quelque indices ou informations concernant l'échoppe du maître. Seul la mention de son nom lui fit dresser l'oreille, il ferma les yeux en soupirant légèrement. Alors la petite n'avait pas put se retenir... soit, après tout le damarien pouvait toujours tenter de bluffer un peu en prétextant qu'ils s'étaient rencontré au préalable dans une quelconque taverne tant que la hin décidait de ne pas trop mettre en avant leur relation. Cette dernière vint d'ailleurs l'aborder, laissant son compagnon hin derrière.

Les yeux du guerrier passèrent de la vitrine de l'échoppe à la petite Arveene sans adopter une quelconque autre expression que de l'indifférence.

-Efficace, je ne sais pas... mais discret, je le suis toujours plus que toi.Le damarien essayait de ne aps parler trop fort, il ne tenait pas vraiment à ce que le dénommé Karion, un nom de plus sur un visage, n'entende tout ce qu'ils avaient à se dire.

Pendant un moment, le guerrier hésita à refuser la demande de l'halfeline, à savoir partir chercher les affaires de l'autre hin. Mais en reconsidérant la chose, cela pourrait lui être utile finalement. Il avait trop peu d'informations sur leur employeur et il aurait bien aimé avoir quelques pistes. Il hocha positivement de la tête avant de répondre.

-Soit mais vous devrez revenir exactement ici une fois que vous aurez fini.Il désigna la devanture de l'échoppe. Faites vite avant que l'autre ne revienne car m'est avis qu'elle ne sera pas d'accord.

Le damarien espérait juste que la fameuse Zakline dont il parlait n'allait pas revenir assez tôt pour voire les deux hins disparaître dans les ruelles.

Voyant le gourdin tendu en sa direction Iélénia eut un moment d'hésitation. Elle aurait été ravie de faire comprendre à la langue fourchue que s'attaquer à une prêtresse du seigneur de l'aube pouvait être assimilé à un acte de folie ou d'hérésie. Mais Lathandre lui-même pardonnait aux incultes et aux moins que rien quand ils n'étaient plus vraiment responsable de leurs actes. Elle refusa donc le présent d'un large sourire et ajouta.

-Laissez cela. Je suis une prêtresse de Lathandre et non du Vigilant ou de la loyale fureur et c'est tant mieux pour elle. La pauvre, il serait déloyale de sanctionner son inculture et sa bassesse d'esprit par quelque coups de gourdin. Mais il est vrai qu'il y a eut affront envers moi et ce que je représente. Cependant le temps n'est pas à la vengeance, la lumière de l'aube elle même ne l'accepterait pas. Nous nous devons de préserver la vie de tous, même ceux qui sont nés avec quelques tares et certaines plus que tous les autres. Que voulez-vous, il faut bien que les dames de petite vertu vivent aussi en ce monde. Tout le monde ne peut atteindre la perfection que j'incarne. De plus je m'en voudrais d'abimer un de nos membres de l'expédition et de cette manière, je me pénaliserais moi-même. Avouez que ce ne serait pas fort judicieux n'est-il pas ?

¤Et je n'ai pas envie de gâcher les dons de Lathandre pour une bonimenteuse dans ton genre. Elle ne le mérite même pas.¤

Elle fixa la jeune femme directement dans les yeux. Il n'y avait aucune haine, juste de la pitié. Une pitié qui s'accompagnait d'une totale condescendance de sa part envers la femme aux cheveux de feu. Un peu comme une grande personne corrigeant un très jeune enfant ayant fait une énorme bêtise. Elle resta tout de même attentive à la réaction de la jeune femme, car elle espérait bien que ses paroles avaient été clairement comprises. Elle avait en effet un doute à la capacité de compréhension de la jeune femme.

¤ Enfant, enfantin. On a beau me prendre pour l’idiote écervelée, ce cher Phalantar n’était pas mal non plus dans ce rôle. Pour un peu, je m’attendais à ce qu’il trépigne des pieds et des mains. ¤

Il semblait à la jeune barde qu’elle ne s’était pas fait que des amis. On pouvait même se demander si elle s’en était fait durant les courts instants de l’entretient. Seuls les deux être-mètres et l’humain taciturne ne semblaient pas s’être fait un avis sur la personne de Noisette. Quand aux sentiments de la prêtresse. Ils étaient semble-t-il clairement évoqués. La prêtresse était entièrement jalouse du charme et de la minceur de la jeune saltimbanque. Mais cette attitude de jeune sœur aspirante d’une quelconque école ou province ne sciait pas vraiment à l’intégrité demandée à chaque prêtresse. Lathandre devait sûrement demander à ses adorateurs de rester digne et courtois en toutes occasions, et par là de ne surtout pas faire preuve d’humilité. Pardon, d’une infime parcelle de majesté et de fierté déguisé et imperceptible.

Le cynisme de la jeune femme pouvait lui servir à beaucoup de chose, comme se faire avoir par la fureur divine de la femme dorée. Seulement Noisette garda ses pensées secrètes. Hésitant toutefois à imposer une nouvelle fois son point de vue divergeant du reste du groupe, elle se contenta de se taire, méditant une vengeance de la plus haute vilenie vis-à-vis de la prêtresse. Se faire tuer par les sbires de Maitre Phalantar serait aisé en ville. Beaucoup moins dans la campagne. Le plan de Noisette continuait de s’échafauder dans sa tête et ce à toute vitesse.

- Enfin ! Dites aussi par la même occasion de ce ne serait que vous salir les mains d’un sang impur. Impur de diabolique, tellement vil qu’il vous faudrait psalmodier pendant des jours pour vous purifier de toute cette noirceur. Certaines légendes racontent que le sang d’un barde injustement versé reste des années à entacher la peau de l’heureux possesseur du bâton attiré par un carotte.

Encore une fois la jeune femme se retrouvait à débiter de nombreuses absurdités sans aucun lien logique. Peut être était là sa manière de montrer son embarrât et sa frayeur, mais il était plus probable qu’elle croit réellement ce qu’elle débitait comme âneries avant d’en extrapoler d’autres.

- Allons donc nous rejoindre les autres ? Ou auriez-vous encore quelque chose à nous faire faire ? N’imaginer pas qu’il va se passer quoi que ce soit de sadomasochiste entre nous Monsieur Phalantar, ce serait d’un très mauvais goût révélateur d’un esprit des plus populaire.

Provocation et bâton ne font jamais bon ménage à ce que l’on dit.

MJ

Narrattion :tous



Hannibal, le guerrier damarien, jetait un coup d’œil à la vitrine de l’échoppe du maître Phalantar. Malheureusement, un épais rideau y cachait le contenu. L’oreille du guerrier perçut un grognement à l’intérieur, Qui sait quelle bestiole gardait la boutique…

Arveene et Karion commençaient à comploter une petite excursion nocturne. L’un des gardes qui gardait l’entrée secoua la tête, en faisant les gros yeux…

- Si Zakline vous surprend, vous êtes bon à nourrir les cochons...

La porte vint à s’ouvrir, par laquelle sortit la demi elfe au visage sévère….Elle fixa le garde puis les deux hins.

- Si Zakline surprend quoi ?

Le garde, pourtant bâti comme une armoire à glace, ravala sa salive. Son regard fixa les deux hins comme pour les dénoncer. Cela eut le mérite de lâcher à Zakline un grand soupir…

- J’espère que vous allez vous montrer loyaux et à l’écoute des ordres. L’autre donzelle m’a déjà mis les nerfs en boule. J’espère que la prêtresse de l’Aube va lui mettre une de ses raclées pour l’avoir outragée comme elle l’a fait. Elle pourra me remercier de lui av...

Zakline s'arrêta de parler en voyant Iélénia et Noisette, sortir. La moue pouvait se lire sur son visage de voir que la barde n’avait aucune trace de coups.

- Bon…ce soir vous dormez tous à la maison des éphémères. Karion, un serviteur ira chercher vos affaires. N’ayez aucune inquiétude sur ce sujet. La maison des éphémères se trouve à quelques pas d’ici. Elle abrite des aventuriers de passage. Cette maison appartient au maître Phalantar.

En effet, il ne fallut pas trop de temps pour rejoindre cette demeure. Cette maison était des plus simples : un grande salle avec tables, chaises et cheminée ; à l’arrière salle sans doute une cuisine ; un étage avec plusieurs petites chambres. Chaque chambre comporte du simple mobilier et deux lits. Pour ce soir , il faudrait partager les chambres, sauf Zakline qui se prenait une chambre individuelle. La maison est tenue par un couple d’humains aux prénoms de Zazigue pour la femme et Demos pour l’homme. Ils ont un fils d’une quinzaine d’années, un peu niais, les vêtements plein de pailles. L’hospitalité fut simple mais agréable. Chacun put avoir un repas chaud s’il le souhaitait. Zakline se montra des plus solitaires et avant de se coucher rappela quelques consignes

- Zazigue vous montrera les trois chambres dans lesquelles vous pourrez dormir. N’oubliez pas que nous partons dans l’heure qui suit l’aube. Aucune sortie nocturne n’est autorisée. Personne n’entre n’y sort.