onjour bonjour.
Sacrifions, donc, au rituel de la présentation.
Je m'appelle Aurélien, comme l'aurons deviné ceux qui ont regardé mon adresse mail, et je suis né en mars 1990(je trouve une date plus pratique qu'un âge sur les forums, le calcul reste simple).
J'habite dans le sud de la France, au pays du soleil, sauf en automne, quand on paye pour le rste de l'année...
Je ne vais pas vous ennuyer avec mon passé, mon actif et mon passif, je me contenterai de signaler que je suis un grand amateur de littérature fantastique (et de littérature tout court, d'ailleurs), que je n'aime pas la musique(ça c'est fait) et que j'aime beaucoup le jeu de rôle, que ce soit sur internet, en GN ou sur table(bien que je ne pratique plus ces deux derniers cas).
J'ai été successivement joueur et MJ(mauvais MJ) sur papier, et joueur sur forum. A ce titre, je pense avoir lu pratiquement tous les manuels et en connaitre un bon nombre sur le bout des doigts, ce qui veut seulement dire que je sais où chercher les éléments qui me manquent. L'omniscience est le domaine de Savras, pas le mien...
J'ai joué à diverses jeux de rôles sur PC (Baldur's Gate 1, 2 et extension, Neverwinter Nights 2 et extensions) et je suis toujours à la recherche d'autres jeux intéressants dans ce domaine, même si ordi ne suit pas toujours mes envies
.
Je suis tombé sur ce site par des recherches sur le net, j'ai en particulier fait un usage abusif de la carte en ligne, que je trouve très pratique, mais je ne suis inscrit qu'il y a peu, après diverses discussions avec des joueurs de la Taverne et (au moins) un MJ. Ils se reconnaitront, je ne sais d'ailleurs pas comment on les appelle ici.
Qu'ai-je oublié ? Rapide coup d'oeil sur les suggestions...
Fréquentation envisagée de la Taverne ? Si c'est en terme de temps ou de régularité, pas de souci, j'ai beaucoup de temps en ce moment. Ce serai donc au moins une fois par jour.
Si on parle en terme d'utilisation, j'espère bien y jouer avec plaisir, et j'avoue que je continuerai volontiers à utiliser la carte et les infos mises à disposition. Voilà qui répond aussi pour mes attentes.
En ce qui concerne mes attentes par rapport au jeu, je cherche plutôt les bons moments au pointillisme(même si l'un n'empêche pas l'autre et que j'ai parfois tendance à me laisser emporter par mon côté méticuleux. Ah, ça s'est vu ?). Je suis assez attaché aux règles, mais elles ne doivent pas prendre le pas sur le RP en lui-même. A part ça, je suis ouvert au jeu en groupe, mais à ce moment-là, les rencontres se feront d'elles-mêmes, par le RP.
Passons maintenant au personnage, et commençons par le plus important : la fiche(que j'ai enlevée après qu'elle soit devenue caduque au vu de toutes les modifications. Comme elle est en pièce jointe, je n'ai laissé que les description et le background).
Description
physique
Amur est plutôt costaud, comme on peut s’y attendre de la part d’un guerrier, mais sans donner dans l’armoire à glace. Ses cheveux coupés courts sont bruns, et il arbore généralement un barbe soigneusement taillée. Le trajet en bateau ne lui a pas occasionné de cicatrices, signe de sa dextérité. Vêtu d’une armure d'écaille, il porte au côté, dans un fourreau spécial, une épée-fléau, et sur son dos un lourd sac. Son écu d’acier arbore le blason de sa famille, qu’un observateur attentif reconnaitra sur la chevalière passé au majeur de sa main droite. Son regard droit laisse entrevoir un homme marqué par la vie malgré sa jeunesse. Il revêt habituellement des vêtements sombres, qui reflètent son état d’esprit. Peut-être cela changera-t-il…
Description psychologique
Ses rares mais intenses expériences ont marqué le jeune homme, qui a durement appris quelques leçons. Il a ainsi appris à respecter la vie d’autrui et à apprécier l’aide apportée aux autres. Malgré sa bonté, il est toutefois conscient, et durement conscient, que son opinion est loin d’être universelle. Il commence tout juste à réfléchir aux notions de bien et de mal, mais une chose est sure pour lui : lorsqu’il aura trouvé sa place, il fera tout pour la conserver. Du moins, tout ce que sa conscience lui permettra.
En ce qui concerne son éthique, Amur est un homme droit, presque rigide. Ses convictions et ses principes ont une grande importance pour lui, et l’idée de les enfreindre lui est très désagréable. Pour lui, l’Ordre est très important, presque le pilier de la civilisation. Il est à ce point important pour lui qu’y contrevenir pour le préserver lui semble logique. Pas souhaitable, mais logique.
Background
Amur Mardilack naquit au Chessenta l’Année de la Couronne (1351 CV) dans la famille Mardilack, l’une des familles nobles de la cité d’Akanax. Second des trois fils, il était destiné à faire carrière dans le métier des armes. C’est pourquoi, dès son plus jeune âge, il fût envoyé à l’académie militaire par ses parents, qui attendaient de lui qu’il se montre digne de son nom. C’est ainsi que commença sa formation à l’art militaire.
On lui enseigna ainsi le combat à l’épée et à la hache, le maniement des piques, hallebardes et autres corsèques ; le tir à l’arc et à l’arbalète, ainsi que le lancer de javeline, dague et lance, mais il se distingua surtout à l’aide d’une arme étrange, mélange d’épée et de fléau, dont il expérimenta peu à peu les subtilités, si l’on peut dire. Il apprit à monter à cheval et à réparer armes et armures, à se déplacer en formation rangée et dispersée. En outre, il reçut une formation à l’art des négociations et, pour pouvoir l’utiliser, à certaines langues étrangères.
Les années s’écoulèrent jusqu’à ce qu’il soit jugé apte à rejoindre le champ de bataille. En effet, le commandement des hommes et les tactiques militaires n’étaient enseignés qu’à des hommes ayant déjà connu le combat. Amur rejoignit donc l’infanterie akanaxe pour sa première bataille, qui se déroula sur les plaines de Soorenar, le 16° jour de Kythorn de l’Année de la Magie Sauvage. Ce jour resta à jamais gravé dans sa mémoire.
A l’approche du solstice, la chaleur était terrible. L’armée avait campé hors de vue de Soorenar, puis avait avancé jusqu’à la cité à marche forcée. Les hommes fatiguaient déjà, transpirant sous leurs armures, lorsqu’ils s’alignèrent en ordre de bataille face à la cité. Pourtant, la fierté se lisait dans leurs yeux, ainsi que le triomphe. Car face à eux, au pied des murs de la cité, s’alignaient un petit nombre de fantassins appuyés par quelques compagnies mercenaires. Il était évident que l’importance et la discipline de l’armée akanaxee lui permettraient de l’emporter aisément. Seuls les plus observateurs, ou les moins stupides, comprirent que quelque chose clochait. En effet, l’armée adverse n’avança pas vers eux, mais resta sous le couvert des murs. Attitude étrange car, s’il fallait rester près de la ville, pourquoi ne pas poster les hommes sur les murailles ?
La réponse devint évidente lorsque la charge des Akanaxans fût stoppée par une violente rafale de sortilèges. Les hommes tombèrent par centaines puis, quand l’enfer se calma, il était trop tard pour prévenir la contre-charge menée sur les premières lignes. Et si l’enfer s’était calmé, ce n’était que pour reprendre sur les lignes arrière. La débâcle était totale.
Les illusions d’Amur moururent ce jour-là, avec ses compagnons d’armes. De toute l’armée, seul l’état-major avait échappé au massacre, ses membres s’étant enfuis dès qu’ils avaient compris que la bataille était perdue. Quelques Akanaxans survécurent pourtant à leurs blessures, ou plutôt furent soignés par les hommes de Soorenar qui avaient recueillis tous les blessés sans distinction. Amur était de ceux-là, il avait survécu à la vague de magie pour tomber sous la charge, victime d’un coup de bouclier au visage, qui lui a valu son nez cassé.
Après s’être remis de leurs blessures, presque tous choisirent de rester à Soorenar. Quelques-uns partirent pour diverses destinations. Seul Amur retourna à Akanax, poussé par son devoir envers sa famille. Le seul problème, de taille, était qu’afin d’éviter la disgrâce, les survivants de l’état-major avaient fait courir le bruit d’une trahison. On accusa donc Amur, seul survivant avéré de la bataille, de trahison et de collusion avec l’ennemi. En l’absence de preuves, il ne fût pas condamné, mais déchu de son rang. En disgrâce, renié par sa famille, il n’avait pour possessions que le reste de son matériel militaire et un peu d’or donné par les habitants de Soorenar. Quelle ironie que ses ennemis soient les seuls à lui être venu en aide, lui qui était venu chez eux les armes à la main !
Cette prise de conscience décida Amur à quitter le Chessenta, gangréné par les guerres entre cités, et changea sa vision du monde. Il retourna à Soorenar et, après quelques mois à rendre service à ceux qui l’avaient sauvé, il embarque pour le Cormyr. C’est ainsi qu’il débarqua à Suzail, en terre inconnue, cherchant à oublier sa disgrâce et à retrouver son honneur.
A quoi j'ajoute un ou deux détails&précisions :
Le nom du personnage est donc Amur Mardilack.
Le blason est : De sinople au griffon rampant d'or (ou pour éviter le langage héraldique, griffon couleur d'or tourné vers la gauche sur fond vert).
Explication :
J'aime bien jouer des guerriers, et j'ai une affection pour la classe de prestige de Kensaï(que ce soit ses capacités ou sa place dans le monde), ce qui explique en partie l'orientation du personnage.
En ce qui concerne le blason, s'il y a des curieux, j'ai simplement retranscrit le blason d'un bouclier en bois que j'ai acheté à une fête médiévale quand j'étais tout petit.
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AmurTDRO.doc