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A la poursuite de Melkinnvar le Mystérieux, La chasse à l'homme commence...
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Le rôdeur regarda la hache posée sur la table et écouta très attentivement la menace non voilée qui l'accompagnait. Cet homme et ses menaces ne lui faisait pas du tout peur et cela, Pipo allait le comprendre. Mais Branick décida de rester courtois et poli, si toutefois il y arrivait, afin d'être sûr de l'embarquer avec lui.
- Jolie hache. Ici, le chef c'est moi. On est à la rechercher d'un groupe et voleurs et d'assassins. Ils ont tué un enfant à Naskel. Après ils sont armés et dangereux, donc si tu veux les prendre par derrière, c'est très bien aussi. Sinon, moi c'est Branick et voici Caldo et Galdo. Si tu as d'autres questions, n'hésites pas à les poser, je te répondrai au mieux.
Le rôdeur déchu plongea son regard dans celui du guerrier, sondant son esprit et vérifiant certaines choses. L'humain, du moins d'après ses dires, était un combattant et savait se battre. Cela se vérifierait sur le terrain et Branick était sûr qu'en traversant les pics brumeux, il allait avoir la possibilité de faire ses preuves.
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Aventurier
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Voilà!... une fois de plus Pipo s'était mis dans une situation embarrassante, alors que rien ne l'y poussait. D'ailleurs, c'est pour cela qu'il s'appelait Pipo. Depuis tout petit, il avait le chic pour se mettre dans des situations inextricables. Ses petits camarades lui criait *pipo, pipo le Ruf! * le poussant à faire le pari dans lequel il s'était embringué. L'avantage, c'est qu'il avait pris l'habitude de se sortir de tels imbroglios
- Oui heu...il était impressionné par le regard profond de Branick. il ne voulait pas le montrer mais il en bafouait ...non !... heu oui chef! mais non! Je ne veux pas poser d'autres questions.
Sa situation frôlait le ridicule et il n'avait en rien impressionné ses ses futurs collègues. Mais surtout il avait trouvé un chef et il était entrain de se le mettre à dos
- je peux quand même vous offrir un verre pour sceller cet association? Il me reste quelques pièces.
Il en profita pour tourner son regard vers Caldo et Galdo qui seraient plus enclin à accepter la proposition
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Habitant des Royaumes
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eureux des confidences de Pipo un peu plus tôt, les deux gardes semblaient plutôt amicaux avec cet étrange personnage. Aussi avaient-ils commencé à leur raconter une partie de leur histoire quand Branick revint les interrompre.
Ces derniers n’avaient eut le temps que de lui révéler qu’ils étaient des gardes de la ville de Nashkel, qui se situait à une cinquantaine de kilomètres de là en direction du nord, et qu’ils étaient devenus mercenaires par la force des choses. Ils avaient d’ailleurs confié au marin avec une certaine ironie que leur nouvel employeur savait se montrer particulièrement persuasif quant il le voulait. Mais que ce n’était ni par sa prestance ou sa carrure imposante. Il était juste le genre de personne entêtée qui ne lâchait rien et qui finissait par obtenir ce qu’il voulait. Les personnes qu’il harcelait cédaient à ses requêtes pour se débarrasser de lui car nulle argumentation n’aurait su venir à bout de son un esprit borné. Caldo et Galdo ajoutèrent aussi dans un murmure que même si le combat n’était pas son fort, il restait tout de même une tête de groupe compétente en matière de survie dans les environnements hostiles.
Les deux gardes suivirent avec étonnamment le recrutement qui s’en suivit et furent étonné de la promptitude de Pipo à accepter l’offre alors qu’il ignorait encore ou cette chasse à l’homme le mènerait. Peu après que le marin et le rôdeur déchu eurent celé leur pacte, Branick acceptant le verre offert par son nouveau subordonné, le tavernier arriva vers eux un air passablement énervé.- Holà, messieurs ! Je sais que ma taverne n’est pas comparable aux plus dignes établissements de Lunargent mais quand même ! Ca va pas de planter une hache dans mon mobilier ?! Vos querelles ou vos histoires j’en ai rien à secouer ! Si vous voulez vous battre entre vous, ca m’est égal mais allez dehors, sinon c’est moi qui vous fout à la porte ! Pendant la diatribe, les deux soldats rentrèrent leurs têtes dans leurs épaules, regardant leurs mains gantées sans mot dire, laissant passer l’orage. Les deux pensaient simplement qu’eux n’avaient rien fait de répréhensible.
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La venue plutôt sonore du tavernier poussa Galdo et Caldo à s'enfoncer la tête entre les épaules afin de se faire tout petit et Branick en fit de même, car il n'était pas responsable de se que le guerrier venait de faire, surtout que ça n'avait eu aucun impact sur lui. Enfin, en tant que chef du groupe, il se devait quand même d'en prendre la défense afin que tout aille mieux. Aussi prit il la parole calmement pour une fois.
- Ne n'avons pas d'histoire et nous ne comptons pas nous battre, ne vous inquiétez pas. Cette hache dans votre table est un regrettable accident qui ne se reproduira pas et d'ailleurs, Branick se leva, attrapa la hache qu'il rangea aussitôt dans son sac faisant un clin d'oeil à Pipo pour essayer de lui faire comprendre,qu'il lui rendrait plus tard, il n'y a plus de hache donc plus de problème. Et acceptez toutes mes excuses pour cet acte malheureux.
Le rôdeur déchu regarda le tavernier droit dans les yeux afin que celui-ci voit qu'il était sincère et qu'aucun autour de cette table ne désirait faire n'importe quoi dans cette taverne. D'ailleurs, pour changer de sujet, l'adepte de Sylvanus décida de réattaquer sur sa commande.
- Au fait, pourriez vous s'il vous plait apporter tout se que je vous ai demandé tout à l'heure. Nous avons encore beaucoup de route jusqu'aux Pics Brumeux et il nous faudrait tout cela. Je vous remercie.
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Suite à l'intervention de l'aubergiste, Pipo fit comme ses collègues; il baissa la tête et son regard se fixa sur cette hache plantée au milieu de la table. ¤ Mais comment ai je pu faire cette bourde. Trois secondes après mon embauche, je mets mes nouveaux compagnons dans l'embarras. Et en plus Branick ne prends, même pas, ma défense. Cela veut dire que je dois nous sortir de cette situation... Est ce un test?¤ Son regard restait fixé sur l'objet du délit, cette hache. ¤Maudite hache¤ Pensa t'il ? quand Branick repris la parole. Aussitôt, Pipo releva la tête, les yeux grand ouverts. Intérieurement, il était ravi que son chef prenne sa défense. Aux sein des flibustiers, c'était la coutume. il étais seul depuis près de deux mois. Et là, enfin, il retrouvait une attitude où il se sentait soutenu. Pour Pipo, un chef peut avoir le caractère qu'il veut mais il faut qu'il soit juste pour être respecté par son équipage. Il savait qu’il était débiteur de son chef, il fallait maintenant lui montrer qu’il était capable de confiance. Et il prit la parole :
- Oui, Monsieur le tavernier ! Excusez moi de ce geste malheureux. Les gens de la mers sont parfois excessifs… la preuve ! Nous n’avons aucune raison de nous battre. Surtout que nous avons été très bien reçus. Dans votre chambre, j’ai dormi comme un dieu. Cela ne m’était pas arrivé depuis plus de deux. ¤ Normal, je fuyait depuis cette période.¤
Tout à coup son visage devint interrogateur, Pipo fit le tour de la table avec un rictus de questionnement, pour rejoindre le tavernier
- Mais j’y pense, vous vouliez me mettre dehors ? Alors que je n’ai pas encore payé cette merveilleuse nuit de sommeil que je viens de passer chez vous. Ce serait bien la première fois qu’un commerçant me fasse un tel cadeau. Ceci me prouve à quel point vous avez été inquiet de ce dérapage . je vous le redis ne vous inquiètez pas "la voix se fit plus douce et grave à la fois", je vais vous dédommager . A ce propos allons faire les comptes de cette nuit passée et du matériel pour quatre personnes dont Branick vous a fait la liste.
Il pris la direction du comptoir espérant que l'aubergiste le suivrait et lança un regard à Branick pour qu'il comprenne qu'il prendrait les consequences financières de ce coup de hache à sa charge
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a hache maintenant ôtée de la table en bois et les aventuriers courbant calmement l’échine sous ses remontrances, le tavernier se calma. Celui qui s’était désigné comme un marin lui proposait même de rembourser les dégâts qu’il avait causé, mais l’entaille dans le bois n’était que minime. A vrai dire, il se remboursait largement sur le tarif qu’il pratiquait au niveau de ses manteaux de fourrure, n’hésitant pas à les vendre quatre pièces d’argent plus cher que le tarif normal du marché aux clients qui lui revenaient le moins. Et c’était le cas personnes sous les yeux.- Ce n’est rien. Je ne vais pas vous faire payer pour si peu. Il disait cela de telle façon que tous semblaient croire qu’il leur faisait une faveur. Il mit alors son pouce dans sa bouche et c’est humidifié de salive qu’il le posa sur la table. Il frotta le bois, à l’endroit ou la hache était plantée quelques secondes plus tôt, comme si cela allait l’effacer. Aussi étrange que cela puisse paraître c’est bien ce qu’il se passa car une fois son cirque terminé, nulle trace ne venait trahir la hardiesse d’un jeune guerrier quelques instants plus tôt.
Il s’éclipsa quelques instants, disparaissant derrière son comptoir avant de revenir les bras chargés de quatre manteaux de fourrure soigneusement plié. Il les déposa alors sur la table avant d’ajouter : "Je suis plutôt physionomiste, je suis sûr qu’ils vous vont à merveille. Le premier est pour vous, monsieur le marin, le suivant pour vous." Il désigna Branick du menton. "Le troisième pour vous et le dernier pour vous" dit-il, regardant tour à tour Caldo puis Galdo.- Avec la nuit, je vous ferais normalement le tarif de six pièces d’or et de cinq d’argent mais je suis prêt à arrondir le tout à six d'or. Cette ristourne vous offre la merveilleuse nuit que vous avez passé en mon établissement monsieur le marin. J’ai une question cependant. Comment savez-vous que les personnes que vous recherchez sont parties pour les pics ? Disant cela, le tavernier d’habitude si avare en renseignement leur divulguait que l’intuition de Branick avait été la bonne.
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-MerciLâcha Pipo d'un air un petit peu suspect. En tant que marin, il n'avait pas trop l'habitude des manteaux de fourrures. Rarement, il avait navigué très au nord et, dans ces cas, les hommes de la vigie préféraient s'équiper de couvertures de peau ou même de fourrures mais pas de manteaux qui les limitaient dans leurs mouvements. mais surtout, au sein de l'équipage, la coutume était de se moquer des gens qui en portaient, en les traitant de barrique poilues.
- Bon je vais essayer, je vais bien voir si vous avez le coup d'œil que vous prétendez avoir?Dit il avec une pointe d'ironie. Pipo dû reconnaitre que le tavernier avait vu juste. Pour lui, la pilule devenait amère. Il sentait qu'il s'était fait piégé par ce commerçant. Et qu'il n'avait aucun argument pour négocier le prix de six pièces d'or.
¤je dois lâcher plus de la moitié de ma fortune pour avoir l'air d'une barrique. Mais pourquoi ai je donné ce coup de hache¤
Pipo, réalisait qu'il n'était plus dans son élément, maintenant qu'il était profondément à l'intérieur des terres. il préférait se taire, payer ses six pièces d'or et apprendre avec son nouveau chef ces nouveaux comportements. Ces derniers événements le confortait dans son choix de rentrer dans un groupe d'aventuriers. Maintenant il attendait la réaction ou plutôt les ordres de Branick. Il commença à sortir sa bourse quand il s'adressa à à son chef, pour essayer de lui faire comprendre qu'il attendait son avis
- Alors chef, ce manteau vaut le prix demandé?
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Branick regardait le tavernier et Pipo et haussa les épaules quand le marin lui demanda si le prix était correct. Le problème était que le rôdeur déchu n'en savait rien et qu'il ne s'intéressait pas à ce genre de choses, surtout quand ce n'était pas sa bourse qui devait connaitre un régime draconien de ce genre.
- Je ne sais pas Pipo.
Mais, une question interpella Branick et fit qu'il se retourna vers le tenancier de la taverne pour le regarder beaucoup plus attentivement. Il était surpris qu'on lui demande s'il était sûr de ses informations, mais se l'étonnait le plus était bien le fait que c'était le tavernier qui avait posé la question. Le rôdeur réfléchit quelques secondes, le yeux perdus dans le vague avant de répondre en le regardant droit dans les yeux.
- Je le sais car je connais leur destination et aussi car j'en ai eu confirmation à Naskel par un contact douteux sur bien des points mais pas sur les confidences. Disons que mon " informateur " a eu des rapports privilégiés avec un des membres de ce groupe, une femme qui est d'ailleurs une très mauvaise arbalétrière et qu'il en a appris beaucoup. Mais pourquoi cette question exactement ?
Branick se retourna alors vers Caldo et Galdo pour savoir si c'étaient eux qui avaient lâchés des informations importantes ou alors si c'était bien le tavernier qui avait des choses à leur apprendre. Personnellement, il préférait la seconde hypothèse car il voulait avoir un maximum de connaissances sur le groupe et sur ses motivations. Lui n'en connaissait que deux, la femme et l'homme qui avait failli l'envoyer directement aux Neufs Enfers. Mais il savait grâce à Ronan qu'ils étaient accompagnés d'un homme étrange très grand ainsi que du prisonnier drow qui avait été supplicié sur la place publique. quant à Caldo et Galdo, Branick les soupçonnait de ne pas avoir plus de renseignements que ça sur cette affaire, étant deux simples soldats de base. Il se retourna ensuite de nouveau vers le tenancier et demanda d'une voix claire et précise :
- Auriez vous des informations à me donner ?
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Maintenant qu'il avait eu confirmation qu'il se dirigeais bien vers le nord, il pourrait suivre ses nouveaux collègues et s'impliquer dans la vie du groupe.
Un…Deux… Pipo comptait à voix haute mais pas trop forte. Il savait que l’aubergiste attiré par l’argent suivrait le décompte. C’était une façon de se venger de la manière dont le tavernier l’avait roulé en réparant la table fendue, d’un coup de pouce.
…Trois…
Pipo jetait de temps à autre un œil soit en direction du tavernier soit en direction de son nouveau chef pour signifier à l’un qu’il fallait savoir attendre soit à l’autre pour lui faire comprendre que le fait de payer pouvait amener à d’autres informations.
…Quatre…Cinq…
Pipo arrêta son décompte et s’adressa à son Branick :
- Chef, je sais que la chambre était parfaite, que j’ai passé une très bonne nuit, que j’ai mangé copieusement, que l’aubergiste passe sur le coup de hache et qu’il nous a fourni en matériel apparemment convenable. Mais je trouve que c’est un peu cher pour 6 pièces d’or.
… et de six !
Il commença à tendre la somme en direction du tavernier puis tout à coup se tourna vers Branick et rajouta.
- Pardon chef ! je vous fais offense. C’est à vous de payer! Car vous négociez et vous connaissez la valeur des informations supplémentaires Dit il en insistant sur ces deux derniers mots.
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D’une main vive et preste comme l’oiseau, le tavernier s’empara des pièces que Pipo tenait dans sa main. Il trouvait le marin bien simplet avec ses sous-entendus maladroits, demandant à torts et à travers l’approbation de son supérieur. L’image qu’il se faisait des boucaniers qui traversaient le territoire d’Umberlie sur de petites coques de noix était bien différente de ce qu’il avait sous les yeux. Selon lui, ils devaient savoir être réactifs, précis et surtout dotés d’une certaine capacité d’adaptation. Lors d’une tempête, si l’on demandait à son commandant l’autorisation de faire quelque action que ce soit, le navire aurait le temps de couler dix fois.- Hum, c’est vrai qu’elle n’avait pas l’air commode la dame, déclara l’aubergiste sur un ton égal, voire pensif. Il soupira. L’énergumène qu’il avait sous les yeux, celui qui avait été élu chef par ses paires, ne savait décidément pas y faire lorsqu’il s’agissait d’être poli. Il se demandait même comment ses compagnons pouvaient encore lui obéir. Son air renfrogné aurait eut vite fait de lui courir sur le haricot. Heureusement qu’il n’était pas l’un de ses hommes songea-t-il.- On m’a effectivement remit un mot à transmettre aux représentants de la loi qui passeraient par ici. Mais vous ne m’inspirez guère, mon bon monsieur. J’abrite dans mon humble établissement toute personne désirant passer la nuit donc je ne pose pas trop de questions, en règle générale. Sauf que lorsque je dois transmettre un message, je préfère le donner aux bonnes personnes, voyez-vous. Et vous n’avez rien qui pourrait me laisser à penser que vous êtes bien le destinataire de se message. Caldo et Galdo se regardèrent alors avec un air ahurit. Tous deux fouillèrent dans leurs affaires pour en sortir l’insigne de la garde de Nashkel. L’homme les regarda un instant, reconnaissant sans peine les armoiries de la ville voisine. Il n’alla pas jusqu'à essayer d’identifier si ces signes étaient des vrais ou des faux. Il était surtout las de ces clients et souhaitait les voir partir au plus vite. Il fit alors volte face pour se diriger vers le comptoir et tira de celui-ci un bout de parchemin. Il le déplia reprenant connaissance de son message et revint vers le groupe, le bout de papier déchiré toujours dans les mains.- Je me suis trompé, c’est à une personne en quête de justice que je dois remettre ce mot. Il jaugea Branick dont l’hostilité était palpable. "Soit, monsieur, faites ce que bon vous semble avec ceci." Il lui tendit la feuille. "Je ne débâterais pas sur le sens du mot justice avec vous, mais si vous voulez mon avis, vous êtes sur la mauvaise voie. Maintenant, je vous prie de sortir et merci de votre visite. Je ne vous raccompagne pas." Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Je ne sais si ce message aura une utilité. Je suis Ascha, un barde passé récemment à Naskell, il semblerait que certains de mes compagnons de route aient commit des délits dans la ville, il est malheureux que je compte la dessus, mais j'espère que quelqu'un nous cherche pour faire parler la justice. Un de ces compagnons court un grave danger, il s'agit d'un humain qui s'est retrouvé possédé par une chose malveillante. Je cherche tous les moyens possibles de lui porter secours, mais j'ai besoin d'aide.
Nous partons traverser les Pics Brumeux, j'essayerai de laisser d'autres messages.
Ascha. Pipo perd 6 PO, gagne un manteau de fourrure. Branick gagne un manteau de fourrure et le parchemin d'Ascha.
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