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> A la poursuite de Melkinnvar le Mystérieux, La chasse à l'homme commence...
écrit le : Samedi 09 Mai 2009 à 12h18 par Callie Glazebille
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Branick, Elrin

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L’épée de Branick décrivit un arc de cercle dans les airs, et bien qu’Elrin c’était préparé à riposter la lame lui entama profondément les chairs. Mais il en avait vu d’autres dans la grotte du gobelin Mysterieux et la blessure même cuisante ne l’arrêterait pas. Sa lame courte piqua sa proie comme le dard d’un scorpion, rapide et incisif.

Le possédé ne loupa que de peu le cœur de son adversaire, l’acier transperça le corps de Branick de part en part au niveau de l’aisselle tenant son arme. Le banni de Thuldae ne pouvait dorénavant ne plus se servir de son bras pour frapper, la douleur étant trop forte. Déjà il sentait le sang coulé sur son flanc.


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Ascha, Quevven, Talvrae


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Le plus petit des deux hommes déposa la roue sur le sol. L’autre Agrippa Quevven avec force et le plaqua sur la roue. Son second enleva les fers qui lui maintenaient les mains puis l’attacha bras et jambes, ces dernières toujours prisonnière des menottes, à l’instrument de torture. Le corps du drow était posé de façon à ce que les coudes et les genoux reposent sur les extrémités de la roue. Appréhendant la douleur, l’assassin fut malgré tout soulagé qu’on ne lui casse pas les jambes. Marcher aurait été bien difficile pour lui.

Sans qu’il ne s’y attende un coup violent s’abattit sur son coude droit, qui coincer contre la roue n’eut d’autre choix que partir en miette. La douleur fut fulgurante et lui fit monter les larmes aux yeux. La nausée lui vint alors. Le second coup fut tel qu’il failli perdre conscience, mais les mains du bourreau avaient été moins expertes et ce n’était que le radius et le cubitus qui s’étaient briser sous l’impact. Ce fut trop. Le roublard ne put qu’hurler.

Les propos qu’il lança dans son délire ne furent compréhensibles de personne. Mais pour sur, chacune des parties en présence se faisait insulter copieusement dans la langue natale du supplicié. Ses propos étaient malgré tout entre coupé de « Haaarrrhh » et d’autres hurlements.

Le second du bourreau délia les bras et les jambes de Quevven. L’autre l’empoigna par le col et le remit sur pied et le lâcha aussi tot. La vitesse à la quelle le drow fut debout, la nausée aidant les hauts le cœur lui vinrent. Et il ne put se retenir de vomir son dernier repas, copieusement accompagné de bile. Les bras de l’assassin maintenant avaient une forme bizarre, se pliant dans des angles peut naturels.

La foule avait perdu sa soif de sang, comme si la torture les avait refroidit. Ils se sentaient salis. Le maire avait une mine déconfite et proposa à Ascha de le suivre.


- Ronan, finalement apportez le prisonnier avec nous. Ça n’est pas que je n’ai pas confiance en nos gardes, mais plus vite nous seront débarrassé mieux ce sera.

Le drow n’avait pas tous ses esprits mais s’ils les avaient eut, il aurait été soulagé. Rester dans les geôles avec les gardes ne lui aurait surement pas été bénéfique. Le maire, Ascha, Ronan et Quevven partirent donc vers la bâtisse qui servait de demeure. La mairie avait quelque chose de somptueux, draperies et tapisseries se dressaient un peu partout. Les hommes se dirigèrent vers le bureau du chef de la ville. Une pièce relativement grande avec un bureau massif.


- Bien, mettons nous d’accord sur les termes du contrat.

Talice

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Talice avait raison, l’armurerie n’était gardé que part un cadenas. Mais pas n’importe le quel. Sortant ses outils de cambrioleur et s’activant sur la serrure elle remarqua qu’il était de bien meilleure qualité que les cadenas qu’elle avait eut à crocheter auparavant. A croire que l’armurier ne voulait pas qu’on vole dans ses caisses.

Le gamin ne faisait toujours aucun signe de présence. Mais le maître lame de l’Amasstarte allait-il perdre du temps sur cette serrure qui ne semblait vraiment pas facile à forcer. D’autant plus qu’elle avait la sensation d’avoir fait quasiment de son mieux.



Le Manuel ? C'est par là !
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écrit le : Samedi 09 Mai 2009 à 22h39 par Branick
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Le coup que Branick infligea à son adversaire le fit sourire et c'est avec un peu d'espoir qu'il envisagea le combat à venir et une possible victoire. Seulement, il n'avait pas compté la réaction de son adversaire qui se fit violente. Prêt à parer le coup que son ennemi si étrange serait à même de lui remettre, afin de répondre à son agression, le rôdeur déchu vit avec surprise l'épée courte de Elrin passer sous sa garde et ressentit soudainement une douleur suraigüe sous l'aisselle gauche et lâcha son épée longue par réflexe. Avant d'avoir pu vraiment comprendre se qu'il venait de lui arriver, il se retrouvait à genoux, replié sur lui-même, sa main droite sous son bras gauche, deux doigts enfoncés dans la plaie en un geste aussi futile que vain d'arrêter le saignement important que la blessure avait produite ainsi qu'empêcher le sang rouge sombre quitter son mince corps démuni.

Les oreilles de Branick devait siffler, ce n'était pas possible autrement. Sinon, d'où aurait pu venir ce gémissement de douleur terrifiant qu'il entendait dans la ruelle. Il n'y avait que lui et son adversaire de présent dans cette partie de la ville et et ce ne pouvait être son adversaire qui poussait de tels gémissements de souffrance. Mais, en écoutant plus attentivement, le rôdeur put se rendre compte que les cris qu'il entendait sortaient de sa propre bouche et exprimaient sa souffrance propre. Branick était autant replié sur lui-même que possible et il n'attendait qu'une chose, la mort qui ne tarderait pas arriver s'il n'était pas soigné. Il souhaitait que son adversaire si bon l'achève d'un coup, mais il espérait surtout qu'il ne le ferait pas. Des idées confuses se battaient en lui. tre achevé montrerait que son adversaire avait pitié des combattants ennemis vaincus, ne pas l'achever montrerait à quel point l'ennemi n'était rien de plus qu'un léger et encombrant obstacle sur le chemin. Cependant, Branick ne voulait pas être achevé. Il voulait sentir sa vie le quitter lentement, voir son sang colorer les pavés, s'insinuer entre les pierres sèches, se sentir partir, son corps perdant toute notion de temps, de couleur, de douleur au fur et à mesure que Kelemvor étendrait au-dessus de lui son linceul blanc, son drap mortuaire. Branick en arrivait à espérer la mort. Il avait perdu la grâce de son dieu, il ne voulait plus vivre. Il avait perdu tout se pour quoi il se battait, tout se pour quoi il vivait. Banni de la Confrérie des Gardiens Sylvestres, forcé de quitter Thuldaë en complète disgrâce, sans pouvoir faire un dernier passage dans la ville sylvestre qu'il avait tant aimé, tant admiré, pour laquelle il aurait donné sa vie sans même réfléchir à son acte. Il se sentait comme une coquille vide, sans guide, sans raison de vivre. Et peut-être que, finalement, Sylvanus ne l'avait jamais quitté, peut-être que le père des arbres avait guidé son fidèle jusqu'ici afin de le mener à la meilleure solution, la meilleure fin concernant une vie tourmentée, désabusée, sans plus goût à se qui l'entourait. Cette mort, pire que celle d'un chien abattu par son maître était très bien le cadeau d'un père pour son fils parti depuis trop longtemps, un billet pour un retour auprès de sa foi, être enfin au plus prêt de son dieu.

Branick se sentait complètement étranger à tout se qui pouvait bien se passer dans son environnement proche à ce moment là. Il délirait à moitié, la perte trop importante de sang altérant son esprit qui semblait embrumer dans un brouillard de pensées, de souvenirs et d'images floues. Il revit les lieux portant son enfance, les endroits qu'il préférait pour courir, s'amuser, se cacher, s'isoler quand il connaissait un quelconque chagrin. Malgré ses larmes de douleur, un sourire apparut sur son visage sale, entouré de cheveux longs, détachés et emmêlés, légèrement crasseux. Il était en train de revoir ses parents. Son père avait un bras passé autour de la taille de sa mère et eux deux le saluaient de la main. Puis, tout aussi soudainement, l'image de ses parents disparu et une silhouette indistincte et et mouvante, aussi floue et opaque que la fumée produite par un feu de bois se présenter devant ses yeux vitreux et entourés de cernes. Même s'il ne pouvait voir son visage, Branick le reconnut aussitôt comme le père des arbres et il fut pris par un hoquet de surprise et de joie, s'étranglant à moitié à cause des larmes qu'il avala brusquement. Il tendit son bras gauche, son bras blessé vers sa vision et chuchota le nom de son dieu, qu'il aimait plus que sa propre vie, car sans lui, il n'était plus rien.

- ( illuskien )Sylvanus, oh père des arbres, je suis tellement heureux de vous voir. J'ai tellement cru que vous m'aviez renié. S'il vous plait, pardonnez mes pêchés te laissez moi la possibilité de vous montrer que je suis digne de vous.

Mais, la vision de Sylvanus disparut aussi vite qu'elle était apparue, avant même que son dieu puisse lui parler. Rouvrant les yeux pour être sûr qu'il ne rêvait pas, qu'il voyait bien et que malheureusement l'apparition était bel et bien terminée, il posa les yeux sur son adversaire qu'il l'avait presque tué d'un seul coup d'épée. De sa main droite, tremblante et maculée de sang, il se saisit de son épée, par la lame, et la ramena vers lui. Le métal tintait contre la pierre, dans un petit bruit assez désagréable à l'oreille humaine. Il l'attrapa et la saisie parut incertaine dans sa main rendues glissante et poisseuse par le sang séché qui s'y trouvait. Il se releva tant bien que mal et, contre tout attente, se jeta sur Elrin, en poussant un grand hurlement, mélange de douleur et de rage et se mit à crier, tel un fanatique.

- ( commun ) Pour Sylvanus le Père des Arbres !



C'est dans la paix que la guerre couve...

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Fiche de Branick Moën
 
 
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écrit le : Lundi 11 Mai 2009 à 03h30 par Talvrae
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a jeune elfe noire regarda avec intérêt l'exécution de la sentence et fût plutôt désappointé de cette séance, sa semblait si primitive à ses yeux une méthode si peu gratifiante. Elle regarda par contre aussi la foule et il sembla que sa semblait avoir fait son effet sur tout le monde, la foule semblait calmer et se dispersait maintenant.

Talvrae se retrouva rapidement seule alors que le village retournait à leur occupation primaire. Encore une fois la petite drow se demanda se qu'elle devait faire, elle était de nouveau séparer du reste du groupe et Ascha semblait inaccessible pour le moment, elle devait donc trouver un endroit où elle pourrait rejoindre les autres. Elle supposa do que les gens de la ville ne voudrait pas garder l'autre drow longtemps en ville, sa meilleur chance de les rejoindre serait probablement de les attendre aux portes de la ville. Donc elle se mit en marche en marche, gardant tout de même l'oeil ouvert pour voir si elle croiserait pas un autres de ses compagnons de voyage en chemin.


 
 
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écrit le : Lundi 11 Mai 2009 à 15h30 par Zelkior
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lrin sentit le métal froid déchirer sa chair, laissant derrière elle un sillon ensanglanté. Laissant un feulement de douleur s’échapper de ses lèvres. Un hurlement de souffrance mêlé de frustration lui parvint soudainement, un cri bestial, inhumain ; celui d’un ténébreux. Pour la première fois, la conscience de l’ôte venait de ressentir les douleurs extérieures .
¤Dark : Tue-le ! TUE-LE ¤
Une vague de haine mêlé de rage, d’une noirceur incommensurable se projetait contre les barrières de la conscience du rôdeur. Assaut après assaut, sa force démultipliait, grandissant sans fin, s’abreuvant des ténèbres d’une conscience non maitrisée.

Revenant à la réalité, l’Halruéen se rendit conte que sa lame transperçait de par en par l’homme face à lui. Sans s’en rendre conte Dark venait petit à petit conquérir son territoire. Les barrières de la conscience du rôdeur sautait une par une sous les assauts du ténébreux. Elrin le savait, ce jour devait arriver tôt ou tard, depuis la rencontre du ténébreux dans la caverne du gobelin mystérieux, la conscience du rôdeur se tenait sur un fil, entre lumière et ténèbres.

Regardant avec lassitude l’homme à terre baignant dans son sang, Elrin n’éprouva aucune peur, aucune angoisse. Depuis des décennies il menait maintenant un combat sans fin contre les ténèbres qu’ils l’habitaient. Le poids de ces nombreuses années lui pesait sur les épaules, un poids devenu maintenant trop important.

Dans la ruelle de la ville une voix calme teintée de fatigue s’éleva
.
-(commun) Pauvre imbécile. Je t’avais dit de partir sans faire d’histoire. Maintenant il est trop tard. Il arrive. Le peu de dignité qu’il te reste avant la mort, il te l’enlèvera, simplement pour son bon plaisir te tuant comme on tuerait une simple bête.
Fermant les yeux, il sentait les ténébreux s’engouffrer. Telle une brise, elles s’immisçaient dans chaque recoin de son esprit, prenant petit à petit le contrôle de chaque muscle de son corps.
-(commun) je me demande quand vais-je pouvoir revenir. Clôturant sa phare d’un long soupir de lassitude. Les derniers mots d’un homme vaincu .

Là, un homme nu se tenait sur les ruines d’une conscience. Regardant le sol se dérober sous ses pieds, il ne tentait plus d’essayer de survivre, laissant son corps sombrer dans un gouffre d’une noirceur sans fin.

La main portée sur le visage, un ricanement glacial sortit de la bouche du rôdeur. Ricanement se changeant petit à petit en un rire bestial sans la moindre once d’humanité. Découvrant son visage, ses traits possédaient quelque chose d’inhumain. Inspirant profondément, un large sourire se dessinait sur un visage bestial
.
-(commun) Enfin de retour.
Tendant l’oreille, il jeta un regard froid contrastant avec son sourire en direction de l’homme à terre, psalmodiant des phrases que Dark ne comprenait pas. Il le regardait souffrir se vidant petit à petit de son sang, posant sur lui un regard amusé, comme celui que l’on pourrait porter à un jouet cassé. Doucement il le vit reprendre son épée d’une main faible.
-(commun) Oui c’est ça ! Viens rejoins moi […]Un ricanement sortit de sa bouche […] que je prenne plaisir à t’égorger.

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Attaque branick



Fiche Elrin < = mise à jour le 23/05/09
 
 
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écrit le : Jeudi 14 Mai 2009 à 09h50 par Talice
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Maître-Lame
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Dans un soupir rageur, Talice répéta de nouveau la même opération, sans succès. Visiblement, l’équipement de sécurité conventionnel semblait de qualité suffisante à Nashkel pour se passer de protection magique. Rangeant nerveusement ses instruments, la jeune femme se résigna à abandonner cet aspect de son plan. Hélant le garçon qui faisait toujours le guet, elle l’entraîna avec elle, délaissant ce magasin qui risquait de lui faire perdre un temps précieux.

-Bon, écoute… Le plan a changé. Tu auras la seconde pièce pour une seconde mission de surveillance, d’accord ?

Au gré des rues qui défilaient, la tueuse accéléra le pas, priant pour que le temps ne joue pas contre elle.

¤Pourvu qu’Elrin ait rempli sa part de travail…¤

Sa destination était simple. Le fait qu’elle ait quitté le rôdeur en position sensible ne présageait en rien de la bonne réalisation de la tâche qui lui était dévolue. Il lui fallait en avoir le cœur net. Et pour cela, il fallait prendre les choses dans l’ordre. Pour commencer, un cheval. Ensuite, sortir de la ville le plus rapidement possible. Et ne pas se faire attraper par un garde. Ou du moins leur échapper. L’enfant à ses côtés, la téthyrienne progressait rapidement dans les rues, en direction de l’établissement qui pourrait lui fournir la bête recherchée.
Une fois là-bas, deux options s’offriraient à elle : soit le cheval était déjà sellé, auquel cas elle pourrait directement se précipiter vers la sortie. Soit il lui faudrait monter à cru et se diriger chez Fassin pour "emprunter" un harnachement. Si cette dernière opération s’avérait trop délicate, elle se verrait contrainte de voyager à cru pour le reste du voyage. Perspective inconfortable, certes, mais néanmoins moins éprouvante qu’une randonnée pédestre.


¤Dernières vérifications…¤

La maître-Lame vérifia une nouvelle fois la position de sa lame dans sa manche, ainsi que la prise de son arbalète sur son avant-bras. Il s’agissait d’être rapide et précis une fois sur place. S’il le fallait, Nashkel compterait ce soir deux commerçants de moins, dont un vendeur de chevaux et un marchant de charrettes. Et éventuellement un enfant de moins à nourrir, si ce dernier s’avérait incompétent.
Marchant le plus rapidement que son équipement le lui permettait, Talice songeait au reste de la journée. En fin de compte, celle-ci était d’autant plus difficile à gérer en termes de synchronisation, que les préparatifs du départ étaient nombreux. Heureusement que Marcus lui avait fait gagner un temps précieux en préparant un sac de provisions.


¤Allons, pressons…¤



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Fiche de Talice
 
 
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écrit le : Dimanche 17 Mai 2009 à 12h00 par Callie Glazebille
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Branick, Elrin

Nashkel, aux environs de 10h20.

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On parlait souvent d’énergie du désespoir lorsque les gens réussissaient avec brio les actions qu’ils entreprenaient alors que leur vie ne tenait plus qu’à un fil. Cette légende n’était pas vraie pour tout le monde. Combien de fois Elrin avait vu un homme dont l’existence allait s’achever simplement abandonner et attendre son châtiment ?

Néanmoins, étonnement et douloureusement, l’adversaire du possédé était d’une autre trempe. Et malgré les deux attaques qu’il lui porta sans parvenir à toucher sa cible, l’épée de Branick entama de nouveau ses chairs. Un dicton disait qu’il ne fallait pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Ce dernier convenait aussi bien au banni de Thuldae.


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Talvrae

Nashkel, aux alentours de 11h30.

La barde des profondeurs parcourut la ville pour sortir par la ou elle était arrivée. Elle sortie sans encombre de la cité de Nashkel qui n’était même plus gardée. Apparemment les gardes avaient délaissé leurs postes pour participer à la torture de l’assassin.

Talice

Nashkel, 10h50.

La voleuse arriva devant une écurie. On pouvait facilement voir quelques boxes, accessibles sans avoir à rentrer dans le magasin. Talice ne compta pas moins de quatre chevaux. Leurs carrures prouvaient qu’elles n’étaient pas dressées pour la guerre. D’ailleurs même un œil non expérimenté pouvait voir que les bêtes n’avaient rien d’exceptionnel, mais elles paraissaient somme toute en bonne santé. De quoi faire le chemin qu’ils avaient à faire sans trop de problèmes.

Mais, bien que le lieu ne semblait pas surveillé, une lueur brillait dans les locaux. Y restait-il quelqu’un ? D’ailleurs, les chevaux n’étaient pas harnachés. Mais facile de deviner que le matériel se trouverait dans l’écurie.

Le gamin suivait toujours, mais semblait moins enthousiaste maintenant qu’il avait compris que la jeune femme n’était pas honnête et qu’elle était dangereuse. Néanmoins ses craintes passèrent inaperçues aux yeux de la roublarde qui ne voyait dans le visage du gamin seulement de l’anxiété de bien faire son travail.



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écrit le : Dimanche 17 Mai 2009 à 14h01 par Branick
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Se relever avait était le plus douloureux dans l'affaire, la suite n'était apparue aux yeux du rôdeur déchu que comme un rêve, une hallucination grandeur nature à laquelle il ne croyait pas vraiment et qu'il ne considérait pas plus que cela comme quelque chose dont il fallait s'occuper. Etant souvent dans la nature, il avait voulu imiter, dans sa façon de se remettre debout, un loup ou une panthère qui attaque, attaque de la dernière chance, et même si cela n'avait pas eu l'esthétique escompté, le résultat fut là, et c'est avec une surprise non feinte que Branick parvint à esquiver la première attaque d'Elrin, mais surtout le frapper et voir la lame de son épée longue pénétrer les chairs et l'éclabousser d'un peu de sang. Aussitôt son visage se teinta d'un erzats de sourire, coupé par une douleur suraigüe sous le bras au moment de porter le coup. Par contre, il parvint à retenir un cri, et lorsqu'il esquiva le deuxième coup, il recula de plusieurs pas et reporta son regard quelque peu hagard sur son adversaire qu'il avait, par miracle, réussis à frapper une nouvelle fois.

¤ Sylvanus, Ô Père des Arbres, entends ma prière que je fais à ton encontre. Je te remercie de me soutenir dans ce moment difficile et je te promets que jamais plus je ne te décevrai. ¤

Une fois sa prière mentale effectuée, Branick regarda son ennemi droit dans les yeux et se décida à répondre à Elrin, autant pour se rassurer que pour se donner le temps de faire se qu'il voulait. Il recula ainsi de quelques pas, s'éloignant du rôdeur possédé.

- ( commun ) En quoi penses tu que je suis un imbécile ? N'est pas ta chère amie et toi-même qui êtes le dindon de la farce ? Elle a tenté de me tuer et a échoué, toi, tu as essayé et tu as failli réussir. Je reconnais ne plus être très vaillant mais je ne me laisserai pas mourir sans me battre.

Branick avait dit tout cela le plus vite et le plus compréhensible possible, cependant, il ne put le dire d'une traite. La douleur lui arrachait des grimaces, il ne put que parler d'une voix hachée, bégayant parfois. Cela ne gênait pas la compréhension de sa tirade, seulement ça lui retirait le peu de crédit qu'il essayait de récupérer. Il était à demi mort, et il comptait juste s'enfuir. Avant, lorsqu'il était encore au service de la Confrérie, s'enfuir aurait été la dernière chose à laquelle il aurait pensé, cependant, maintenant il était seul, déchu par la Confrérie qu'il aimait tant et il savait qu'il ne devait plus se laisser aller, se laisser mourir à petit feu. Pour cela, il avait fallu qu'il tombe sur un tordu skyzophrène qui ne voulait qu'une chose, le voir mort. Il y a encore quelques mois, Branick se serait fait un plaisir d'accéder à sa requête, en essayant par tous les moyens de l'emmener dans les Limbes avec lui, mais quelque chose était brisé en lui, et cela n'avait rien à voir avec sa blessure qui l'handicapait sérieusement. Il avait donné tout se qu'il possédait, corps et âme pour cette confrérie qui désormais lui laissait un goût amer dans la bouche et une envie de revanche. Cela n'était pas très courant parmi les fidèle de Sylvanus, seulement. Et c'est ça qui l'empêchait de vouloir se battre jusqu'à la mort, son envie de vengeance. Il recula alors encore de plusieurs pas, levant son épée, prêt à parer une quelconque attaque et prêt également à prendre ses jambes à son cou. Aussi vite que son esprit endolori le lui permettait, il réfléchit à l'endroit où pouvait bien se trouver le temple le plus proche.

- Je te propose quelque chose ennemi sombre. si nous remettions ma mise à mort pur plus tard. Je te promets que nous nous reverrons et que nous nous combattrons de nouveau. Vas donc rejoindre ta maîtresse serviteur du Mal et prépares toi à une autre rencontre qui se règlera une fois de plus par la pointe de nos épées.



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Fiche de Branick Moën
 
 
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écrit le : Lundi 25 Mai 2009 à 10h33 par Talice
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Maître-Lame
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¤Etrange…¤

Même si Talice était habituée à ne compter que sur elle-même, le manque de réaction du gamin l’accompagnant lui sembla soudainement suspect. Mais ses doutes s’évanouirent à l’approche de l’écurie.

¤Au pire, se débarrasser d’un enfant ne devrait pas poser de problèmes particuliers. Et cela fera une bouche de moins à nourrir…¤

Observant un instant les bêtes attachées, la tueuse modéra son enthousiasme, alors qu’elle remarquait la lumière émanant des locaux. En ce qui concernait la présence de chevaux dignes de ce nom, pas de problèmes notables, ce point-là était réglé. Maintenant, le plus délicat restait à réaliser, l’éventuelle "emprunt" de la sellerie. Bien entendu, il fallait penser aux divers éléments, et tenter de n’en oublier aucun.
Tout en s’approchant des locaux éclairés, la jeune femme se remémora ses quelques rudiments d’équitation, subtilisés ça et là lors de sa "formation" au temple. Dans un premier temps, une muserolle. Dans l’idéal, une croisée ferait l’affaire, elle était idéale pour les néophytes et permettrait de ne pas trop martyriser le cheval. Ensuite, une selle convenable, ce qui signifiait relativement confortable pour les trajets longue distance. Enfin, des sacoches pour pouvoir ranger les rations offertes par Marcus. Trois éléments, dont les deux premiers étaient indispensables au on harnachement de la monture. Prenant une bonne inspiration, la téthyrienne se lança.


-Petit, on répète la même opération ici, et si tu fais bien ton travail, la deuxième pièce est à toi. Sauf que là, tu siffleras en cas de besoin. Compris ?

La manœuvre serait sûrement délicate, mais s’avèrerait d’une grande aide pour la suite des évènements. Talice répéta mentalement une dernière fois les diverses étapes de son plan, avant de poursuivre plus avant son déroulement.
Dans un premier temps, jeter un œil par une fenêtre de l’écurie, voir si quelqu’un y résidait encore. Cet éclairage pouvait n’être qu’un leurre, destinée à tromper les éventuels curieux trop frileux pour prendre le risque d’affronter le propriétaire. Si les lieux s’avéraient occupés, il faudrait improviser. Un homme dans la force de l’âge représentait un combat trop risqué en termes de volume sonore et de temps. Par contre, menacer et exécuter une femme, un vieillard ou un enfant en cas de refus d’obtempérer ne posait aucun problème à la Lame. Talice baissa d’ailleurs son capuchon afin de masquer le plus possible son visage dans cette éventualité. Un avis de recherche ne servirait qu’à compliquer les choses.
Si elle parvenait à braquer l’écurie, elle pourrait ensuite tranquillement prendre muserolle, selle et sacoches, et harnacher un cheval en paix. Dans le cas où la résistance s’avèrerait trop importante, il lui faudrait en prendre un et monter à cru. Dans tous les cas, elle ne partirait pas sans une bête. Ensuite, direction les portes de la ville par où le petit groupe était arrivé. Là, elle attendrait les autres jusqu’au crépuscule, à environ une lieue de la ville. Passé ce délai, elle reprendrait la route.


¤Enfin, peut-être un plan qui a des chances d’aboutir…¤

La jeune femme s’apprêtait à jeter un œil dans l’écurie, quand une soudaine appréhension l’envahit. Ce gamin qui la suivait. Il avait vu son visage. Et un enfant prêt à travailler pour deux pièces d’argent pouvait très bien la dénoncer pour moins que ça. Réfléchissant un instant à cette éventualité, elle parvint à la conclusion qu’elle ne pourrait pas prendre un tel risque.
Deux solutions à cela. Soit le menacer pour qu’il garde le silence, mais ce choix n’avait rien de concret en termes de garantie. Soit éliminer un témoin gênant. Lui briser la nuque serait suffisant pour ne pas le faire souffrir, en guise de gratitude pour son aide. Elle lui laisserait même ses pièces, car tout travail mérite salaire.


¤Quoique…¤

Talice balaya de son esprit un troisième choix utopique, dans lequel elle se voyait laisser au gamin le choix de la suivre et de garder l’argent ou de mourir. Trop risqué, il lui fausserait compagnie à la première occasion. Mais, par contre, elle lui proposerait de la suivre. En cas de refus, elle le tuerait proprement et rapidement, et laisserait son cadavre à l’arrière de l’écurie. Si jamais il acceptait la proposition, il pourrait constituer une force sacrifiable à peu de frais, un atout que la tueuse avait appris à ne pas négliger.
Les dés était jetés. Un, le cheval et son équipement, deux l’enfant.


¤C’est parti…¤



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Fiche de Talice
 
 
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écrit le : Jeudi 28 Mai 2009 à 17h32 par Narvarth
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C’est à la vue de tous qu’Ascha détourna le regard lorsque les bourreaux démirent le second coude du Drow. Le spectacle était trop écœurant pour que le barde le supporte dans son entièreté, lui qui préférait les mots à la violence et au sang perdit un peu de sa superbe quand la barbarie de ces humains investit l’estrade.

L’Aasimar se retint de soutenir le drow pour l’aider à se remettre debout une fois la sentence exécutée, l’invitation du maire à poursuivre leur discussion au calme de son bureau l’empêcha de commettre une erreur que lui aurait surement aussitôt reprochée la populace.
Suivant le maire et Ronan, le barde prit le chemin de la mairie, jetant au passage un rapide coup d’œil sur les coudes et les avants bras de l’elfe des profondeurs, il devrait tâter les chairs meurtries de Quevven pour s’assurer de pouvoir bien remettre en place les os cassés, mais à première vue il pourrait utiliser la Toîle pour aider le supplicié à se remettre de cette cruelle sentence, seulement il ne pouvait rien en dire à ce dernier pour l’instant, il espérait donc que le blessé resterait dans un état second jusqu’à être sortit de la ville, pour ne pas avoir à supporter toutes les injures accompagnant habituellement l’expression de la douleur.

Ramené aux besoins du présent par son entrée dans la mairie, le Cormyrien demanda à Lutin de l’attendre devant le bâtiment, dont il passa la porte tout en laissant son regard se porter sur les tapisseries le temps d’arriver dans le bureau du maire. Le contraste de cet habillage des murs avec la rusticité de la ville étonna le barde. Il ne se serait pas attendu à voir un tel étalage de coquetterie dans Naskel, et inconsciemment, le barde comprit qu’ici il aurait affaire à un individu bien moins simple que les autres habitants des environs auxquels le semi-céleste avait eu affaire jusqu’alors. Peut être qu’en s’y prenant bien, le barde pourrait faire tourner cette information à son avantage. Même si Ronan lui avait assuré ne rien pouvoir faire pour lui dans sa volonté d’aider Lucius, son nouvel interlocuteur aurait surement d’autres moyens d’agir, et pour le barde ça valait le coup de retenter sa chance, une fois cette histoire de contrat réglé, il relancerait ce sujet qui lui tenait à cœur.


-Concernant cette idée de document, je n’ai pas votre connaissance du système administratif, et je ne sais pas du tout comment se dérouleront les choses là où mes pas me mèneront lorsque votre supplicié m’accompagnera, je ne sais donc pas ce qu’il est possible de faire en matière de document accepté par d’autres autorités, comme je vous le disais tout à l’heure, un papier officialisé relatant le procès du condamné et l’exécution de la sentence qui en a découlé me conviendrait bien.
Il regarda brièvement le mutilé avant de reprendre à l’intention du responsable de la ville.
-Commencer par expliquer que cet individu a commit un crime dans votre ville me semblerait approprié, ainsi que le fait qu’il a bénéficié d’une certaine clémence liée à sa volonté de se racheter.
-Peut être qu’une requête de votre part demandant aux autorités de reprendre en compte le crime commit ici en cas de retour de ce drow devant la Justice sera également appropriée.
Depuis qu’il avait rencontré le dévot de Tyr resté dans le monastère en ruine, le barde avait de plus en plus ce terme de justice en bouche, ça le fit sourire intérieurement car cette idée de s’attacher à un idéal le coupait de sa volonté de liberté et d’indépendance qu’avait été sa vie jusque là.
-Ce document permettrait à ce criminel d’être à nouveau confronté à son acte dans le cas où je me serai trompé sur son compte, ce que j’espère n’avoir pas fait.
¤Et cela me permettrait également d’avoir une certaine emprise sur ce Quevven dont j’ignore tout, j’espère que ça le forcera à m’aider à retrouver Melkinnvar et Enola.¤



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Unifier c'est nouer mieux les diversités particulières et non les effacer pour un ordre vain.


Fiche d'Ascha lvl3
Ascha Cheynn, Narvarth
 
 
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écrit le : Samedi 30 Mai 2009 à 11h26 par Zelkior
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lors que la lame courte de Dark fendit l’air, un son inhumain sortit des lèvres du rôdeur, mélange de souffrance et joie lorsque l’épée du bannit de Thuldae déchira sa chair. Pour la première fois, depuis ce qui lui semblait être une éternité, il se sentait enfin vivant, enfin libre et la souffrance qu’il ressentait le prouvait. Pourtant il se sentait toujours enfermé, emprisonné dans un cocon de chair et de sang dans lequel il ne pouvait échapper. Pourtant son large sourire narquois ne disparaissait pas.
Une voix s’éleva dans la ruelle. Malgré un langage compréhensible, sa tonalité n’avait rien d’humain. Posant des yeux amusés sur l’Illuskien
:
-(commun) Ne te méprend pas humain. Je ne suis pas la personne, qui tentait il y a encore quelques secondes, de te convaincre de partir. Il est bien trop faible pour se débarrasser de toi. A vrai dire Il n’aime pas vraiment prendre la vie de ces congénères. Que veux-tu personne n’est parfait. Un rire cynique sortit de la bouche du rôdeur.

Portant ces yeux sur la lame qu’il portait à la main, il parcourra de ces doigts le fer glacial. Inspectant le coupant de la lame, tel un enfant devant son jouet, ne se souciant plus de l’humain face à lui.
-(commun) vous êtes vraiment une race inventive. On peut bien vous reconnaitre ça.
Son regard ne cessait d’examiner chaque recoin de la ruelle, chaque matière qu’il portait. Tel un nouveau né il découvrait son environnement. A chaque fois qu’il prenait le contrôle du corps de son hôte, son esprit ne restait pourtant qu’a la frontière de la conscience et de l’inconscient. Un fil sur lequel il se tenait et qui se rompait à chaque reprise, le renvoyant dans les méandres d’un esprit divisé. Et pour la première fois, ces perspectives de son environnement s’étaient décuplées.
Les paroles de branick le firent sortir de ces pensées. Le regardant le sourire aux lèvres, il ne put s’empêcher de réfréner un ricanement
.
-(commun) ennemi sombre… tu sais trouver les mots juste pour flatter mon ego. En fait je commence à t’apprécier. Un sourire carnassier se dessina sur son visage. Les humains ont vraiment le don de s’accrocher à la vie et tu viens une fois de plus de me le prouver et j’avoue, commencer à apprécier cette faculté. Elrin la possède aussi et m’en a fait la démonstration à de nombreuses reprises.
Posant sa lame courte sur son épaule, il fit les quelques pas qui le séparait de branick.
-(commun) Très bien j’accepte ton offre humain.
Dépassant le bannit de thuldae, Dark se contenta d’un signe de la main ponctué d’un ricanement.
-(commun) a bientôt alors.
Rengainant sa lame courte, Dark s’engouffra davantage dans la ruelle. Ces yeux continuaient de décrire toute chose croisant son regard ténébreux, tel un enfant.

Melkinvar revint pourtant vite en son esprit. Elrin avait assez trainé en ces lieux. Ce marchand devait à tout prix cracher tout ce qu’il savait et au plus vite. Puisant dans les souvenirs communs qu’il possédait avec Elrin, Dark savait tout comme son hôte que cet homme se déplaçait en direction du sud. Le Ténébreux arrivait à la même conclusion qu’Elrin, il devait à tout prix intercepter ce marchand avant son arrivé dans une prochaine ville. Puisant de nouveau dans les souvenirs du rodeur, il se dirigea vers les écuries de la ville. Il devait trouver un moyen rapide de déplacement. Suivant le chemin que lui dictait sa mémoire, il se retrouva rapidement face à la bâtisse.
Malgré le changement de conscience, les nombreuses années passées en cohabitation forcé avait en quelques sortes marquées l’esprit du ténébreux, et sans s’en rendre compte il se mouvait de la manière identique à son hôte. Approchant de l’écurie le plus discrètement possible, il tomba nez à nez avec la Thétyrienne
.
-(commun) je m’occupe des chevaux.


utilisation de la compétence discrétion.
et tente de choisir les meilleurs animaux



Fiche Elrin < = mise à jour le 23/05/09
 
 
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