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Dans Cormanthor, à la recherche des enfants, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 3
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Frère Cerf
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La dernière fois qu'il avait tenté de défier la gravité, Narvarth s'était écrasé rapidement au sol et ses compagnons du moment l'avaient appelé bouillie de halfelin, ce n'était pas peu dire. Cela s'était passé dans quelques souterrains parcourant le sous-sol des Monts Néthères en Anauroch. Il avait eu beaucoup de chance cette fois là qu'un sol assez meuble l'ait accueilli pour le final de sa chute. Il s'en était donc tiré avec plus de peur que de mal, malgré quelques contusions et des muscles froissés qui s'étaient remis au fil du temps.
Depuis cet incident, le halfelin avait tenté de s'entrainer à déplacer plus loin son corps dans les airs, ces essais pour s'améliorer semblaient ici avoir porté leurs fruits. Lorsque le second piège fut enclenché, il n'eut d'autre choix que de changer de comportement. Il ne put se permettre d'attendre la fin de la discutions entre les deux elfes et se résigna à courir quitte à leur passer devant. Cependant son "inquiétude" de les couper fut vaine comme ceux ci s'étaient également mis en route pour éviter la pierre qui venait à eux.
Il prit encore sur lui de garder quelque contrôle sur lui, car il fallait bien qu'il se l'avoue, lorsqu'il comprit que les vies des aventuriers étaient menacée par quelque chose qu'ils ne pouvaient combattre, il succomba à une peur intérieure, peur de mourir ici bas, sans avoir tenu ses engagements envers les innocents enfants qu'ils tentaient de rejoindre, peur de ne pouvoir revoir sa forêt exotique des Monts Trempefeu. Il y avait si longtemps qu'il avait pris la route en s'éloignant de leur campement qu'il ne pouvait que frissonner à l'idée de mourir loin des siens, sans être retourné auprès du clan pour prendre ses responsabilités.
Il ne devait pas y rester dans cette tour, il se l'interdisait. Ses pensées envers les siens lui donnèrent des ailes, la vitesse à laquelle ses pieds se succédaient sur le sol accéléra jusqu'à être au maximum des capacités du hin. Il était parti trop vite à son gout, jamais il ne tiendrait à cette allure et pourtant la pierre dans son dos lui rappelait qu'il n'avait pas le choix.
Lorsque le trou se profila devant ses yeux il se félicita d'avoir abandonné la tente à l'entrée de la tour, car il est certain qu'avec celle ci il lui aurait été impossible de faire ce qu'il fit. Et ce qu'il fit, après une dernière pensée à son entrainement à sauter, fut de se jeter au maximum de ses forces au dessus de l'obstacle. Et alors qu'il était en l'air redoutant de la seconde qui allait suivre, il vit dans son esprit défiler les images d'un cervidé parcourant les bois du site de chasse des Languelion, lancé à toute allure pour distancer ses poursuivants, le majestueux animal fut comme lui confronté à l'attraction Torilienne lorsqu'il dut contourner la fosse par le dessus. Lorsqu'il sentit le sol du couloir sous ses pieds, Narvarth sut que comme le cerf il avait réussi à éviter le piège. Pour l'animal cela correspondait à la liberté provisoire, car en général sa chasse s'arrêtait à cet instant, les chasseurs du clan lui laissant une chance de profiter de sa merveilleuse agilité.
Quand il ouvrit les yeux et se retourna, sans voir leur poursuivant minéral, il stoppa immédiatement sa course. Il avait lui aussi gagné quelque liberté face à ce chasseur mécanique. Tournant la tête autour de lui il vit qu'il n'était pas le seul à jouir de cette chance et il s'en réjouit.
Seulement tous n'avaient pas réussi à passer et ce constat coupa net son élan d'enthousiasme. Il vit le loup à ses côtés penché au dessus du rebord, à la recherche de son maître, et comme l'animal il se précipita sur le rebord, s'agenouilla et commença à chercher les autres de leurs compagnons du regard. Mais la poussière couvrait tout le fond de la fosse, masquant les malchanceux au regard du sagespectre.
La vision lui manquait mais pas l'ouïe, aussi ne put il contenir un soupir de soulagement en entendant son frère des marches signaler son état. Le constat qu'il fit était des plus malheureux, mais au moins il y avait des survivants, le destin et la fatalité auraient pu être plus gourmands.
La question du membre du peuple vigoureux fit relever la tête du halfelin, qui la replongea dans le trou pour répondre. -Oui ici ça va, plus de peur que de mal apparemment. Tenez bon on va vous sortir de là. Sa phrase montrait son envie de se rendre utile, mais elle sonnait faux dans sa tête lorsqu'il réfléchit à ce qu'il pourrait faire pour aider les malheureux. Il se redressa et se tourna vers les autres rescapés, et d'une voix plus basse pour ne pas être entendu de ceux du fond de la fosse il reprit. -Mais je n'ai rien d'utile pour les aider, pas la moindre corde à leur lancer, rien de rien... Si vous avez quelques cordages à leur faire parvenir, je pourrais toujours tenter de descendre rejoindre Mirtzar pour l'aider à faire remonter nos compagnons, si vous penser pouvoir faire contrepoids à vous deux. C'est envisageable d'après vous?
Tout en attendant des réponses, le hin s'était déjà défaussé de son sac qu'il posa à ses cotés. Il entreprit d'enlever son armure de cuir pour se défaire de tout poids inutile en cas de descente.
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Il n’allait pas revenir sur les actions d’Yvhann, ni le juger. Ce qui est fait est fait, et même si il regrettait la nature du geste il se tût. Il fallait avancer. Ils n’eurent vite plus guère de choix, la grosse pierre qui arrivait droit sur eux les forçait à prendre leurs jambes à leurs cous en se lançant dans les escaliers au risque de déclencher d’autres pièges.
Sa petite taille ne lui était d’aucune utilité ici, au contraire. Il n’allait pas assez vite à son gout, mais ses petites jambes l’empêchaient d’accélérer, et il commençait déjà à se faire distancer. Il ne voyait pas loin devant lui, les grandes gens du groupe lui cachaient en quelque sorte la vue. Si bien qu’il ne put voir l’obstacle qu’au dernier moment : un trou immense, bien trop large pour lui.
Dans un élan de désespoir il s’élança à la suite des autres. Au lieu de regarder devant lui comme lui avait enseigné Neblegear son maître, il regarda sous ses pieds, et le vide qui s’y trouvait l’horrifia. Il leva les yeux juste à temps pour apercevoir le hin atterrir juste à la limite de la crevasse. Il savait que ce dernier avait eu plus d’élan. Le gnome compris alors que ses espoirs seraient vains. Et ce fût malheureusement le cas.
Quand il comprit qu’il ne pouvait plus rien faire, il se laissa tomber. Et plus il tombait plus le temps semblait ralentir. Il était l’exemple même que les Sentesbattues n’étaient pas fait pour les aventures risquées. Puis il y eu l’impact suivit du quart de seconde avant la perte de connaissance. Sans aucun doute le quart de seconde le plus long et le plus éprouvant qu’il n’ait jamais vécu.
Il eu le temps de revoir toute sa famille à divers moment de sa vie, puis ses amis. Tous le regardaient en souriant. Ensuite ce fût le tour de son maître rôdeur. Ce dernier le regardait avec le même regard dépité qu’il avait lorsque Notar baissait les bras et voulait abandonner. Il l’entendit lui répéter encore et encore cette même phrase : -Allez !! Bat toi !! Notar aurait voulu crier, mais le seul bruit qui émanait de son corps fût le craquement de ses os.
Le quart de seconde se termina enfin. Tout devint sombre. Le visage du jeune gnome se figea dans une expression de douleur, avant de sombrer dans l’inconscience. Son corps serait bientôt recouvert d’un mélange de poussière soulevé par la pierre, et de son propre sang.
La perfection n'est pas chez les gnomes, mais souvent dans leurs intentions.
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
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Dès qu’il perçu le danger, le serviteur de Corellon Larethian se mit à courir aussi vite qu’il le put. Lorsque la fosse s’ouvrit devant lui, il ne ralentit pas. Et d’une prise d’appuie sure, il banda les muscles de ses jambes pour effectuer le saut, qui devait le mettre à l’abri du danger. D’un bond, Aël’Telàwërith franchisa l’obstacle avec une certaine aisance. Grâce à la légèreté de son corps elfique, et un entrainement physique qu’il lui restait de ses années passées à l’académie des armes d’Evereska, il s’envola dans les airs. Le Haut-Elfe se réceptionna de l’autre coté de la fosse, avec souplesse. Le temps de se retourner, il vit Yvhann à ses cotés, ainsi que Khell et Narvarth. Si le prêtre de la couronne d’Arvandor ne fut pas surpris de voir son cousin. Il eut un certain respect pour le Sagespetre. Un tel bond pour être aussi petit, était un réel exploit. Et dire qu’ils s’en faisaient pour une simple petite marche. Cela aurait été risible, si tout le monde avait répondu à l’appel.
Mais cela était loin d’être le cas. Un rapide coup d’œil, Notar, Mitzar, Jereicia et surtout Enoriel n’étaient pas là. Il n’y avait pas besoin d’être devin pour savoir où, ils étaient.
Réellement inquiet sur le sort du Sy’Tel’Quess, le Faernsuor en oublia les autres. Pour lui, la vie de l’elfe était bien plus précieuse que n’importe quelle autre. En tant qu’elfe du soleil, il était intimement persuadé que la vie d’un elfe, quel que soit sa famille, valait bien plus que celle d’aucune autre race. En temps que prêtre, il avait un devoir de protection et de guide envers ses frères de race. Et en tant que Ana-Sic-Silistri (noble elfe du soleil), il se devait d’être exemplaire.
La voix de Mitzar monta des profondeurs de la fosse. Et les propos du nain étaient des plus rassurants. Apparemment, Enoriel était vivant et pas trop blessé. Si Alël’Telàwërith se fiait aux jugements du fils de la pierre, pour la détection des pièges. En ce qui concernait l’étendue des blessures, il ne s’en remettrait qu’à lui-même. Le prêtre, n’y croirait que lorsqu’il entendrait le druide répondre à ses appels. Pour Aël’Telàwërith, le fait qu’Enoriel venait de rejeter sa confrérie, n’avait aucune espèce d’importance. C’était un elfe, et même si leur relation était des plus chaotiques jusqu’à présent, il n’en restait pas moins un enfant de Corellon Larethian.
Apprendre la mort de la demi elfe, ne lui fit pour le moment aucun effet. La seule chose qu’il regretterait, serait de ne jamais savoir ce que la sang-mêlé lui avait fait. Dans le doute, et une fois qu’il aurait rejoint les terres sacrées, il adresserait de longues prière à Corellon et aux Seldars pour se purifier d’une quelconque souillure. Car au fond de lui, le Ar’Tel’Quess ne croyait pas vraiment que Jereicia eut usé de magie profane, pour le sauver. Mais pour le moment, tout ceci était anecdotique. L’important pour lui, c’était de sortir Enoriel de ce piège et de lui prodiguer les premiers soins. Puis, et seulement après, le prêtre ferait ce qu’il pourrait pour les autres. Ne voyant pas ce qui se passait au fond de la fosse, à cause de la poussière soulevée, le Haut-Elfe usa de la voix. D’instinct, ce fut l’Espuar qui lui vint naturellement à la bouche. ’ ’ Le Haut-Elfe avait entendu les propos de Narvarth, et lui-même serait bien en peine de pouvoir sortir l’elfe et les autres membres du groupe du guêpier dans lequel ils étaient. Car tout comme le Hin, l’elfe du soleil n’avait aucune corde à disposition. Tous les espoirs reposaient donc sur le Grugash à ses côtés. Il lui adressa donc la parole, mettant juste ce qu’il fallait dans le volume de sa voix, pour ne pas inquiéter ceux qui étaient au fond trou.- Yvhann de Yössmar, je n’ai pas non plus de corde à ma disposition. Nous devons à tout prit sortir Enoriel et les autres de là. Seldarine, dites-moi que vous avez ce qu’il nous faut !
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Ly'Aegisir Gardien Errant
Chambre 24
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N'avait il pas terminé sa phrase qui s'adressait à son compatriote que tout son corps cria alerte. Son tatouage, sa vigilance, le cri de Floyr, la réaction spontané du noble, avait ensemble, participé a se que le grugach pousse sa course vers le bas de l'escalier.
Il ne voyait que l'autre coté de la fosse, en fait la fosse n'existait pas pour l'instant, se qui importait était le planché de l'autre coté. Se qui l'aida fut Khell, pour le rôdeur qu'était Yvhann dépassé Khell aurait été le summum, mais comment rivaliser avec une tel bête, peu importe l'elfe poussa au maximum. Quand le loup d'Enoriel sauta, le sauvage le suivit de près pour se retrouver de l'autre coté. A se moment son coeur battait encore une fois le tempo de la course appuyé de l'adrénaline de se dernier moment.
La réalité lui revint rapidement, trop même. Le résulta de ceux qui avait put passer était surprenant, car l'être mètre avait fait un saut remarquable et Yvhann ne pu retenir une tape d'encouragement sur l'épaule de celui-ci soutenu d'un léger sourire. Ceci n'était pas de propos, mais pour le grugach, il ne pouvait passer à coté. Le semblant de sourire disparut tout aussi rapidement qu'il était apparut.
Les jappes incessants de Khell lui remit le fait du dramatique. Lui de même, il baissa les yeux vers le fond de la fosse durant que le nain faisait l'état de la situation critique. Le gardien errant regarda le symbole du loup argenté qu'il tenait toujours dans la main puis vint pour dire un propos qui aurait été sans doute déplacé à l'endroit d'Enoriel, mais cette fois, sa sagesse ne lui permit pas, il se tut, grimaçant de son état d'âme qui le répugnait. Il remit a plus tard se qui le tracassait en haut point. La broche, il faillit la lancer au druide gisant au fond, mais sagement il la mit dans son havresac.
A la demande de l'être mètre et du noble, sans mots dire, le sauvageons enleva son havre sac, fouilla a l'intérieur pour y sortir un baume à soin puis délova sa corde et la lança vers le fond de la fosse. L'autre bout de la corde, il se l'enroula autour de la taille d'un noeud de cabestan, un noeud simple mais comment efficace en de tel occasion. Il offrit à Narvarth le baume à soin puis se tournant vers Aël’Telàwërith, il lui offrit le pendant de la corde pour qu'il puisse tirer le moment venu.
Son visage redevenu impassible, il avait agit comme si rien ne c'était passé. Intérieurement il s'obscurcissait et cela ne présageait rien de bon pour son attitude future. Floyr vint se déposer sur son havresac, lâcha un cri que seul Yvhann connaissait, un cri qui en d'autre occasion, avait redonné au sauvage un support moral, mais là, rien. Le druide-rôdeur n'entama même pas son serment qui lui redonnerait la force de corriger ses erreurs d'esprits, il était autre, Enoriel n'avait pas put répondre et cela le tracassait, le tourmentait...
* La confrérie... Comment?... Quand?... Il me faut me libérer de ce secret... * Ses méandres répandaient son fiel à même l'âme individuel du grugach.
La terre, pendant longtemps ma demeure dans l'obscurité de l'hiver, a fléchi sous le souffle d'air du matin. Le plan me presse maintenant de donner mon souffle. Pourquoi suis-je ici? Pour quelle raison suis-je revenu cette fois-ci? Et l'air souffle sur moi sa réponse rieuse. "Tu es la vie. Tu es le tout en train de devenir Un. Fais ton expérience."Fiche Yvhann Niv.0:Assistance divine 2x, Résistance, Illumination, repérage. Niv.1:Détection des collets et fosses*, Enchevêtrement, soin léger*, Grand pas. Niv.2:Peau d'écorce, Puissance animal*, Soins modérés*, lien tellurien. Niv.3:Morsure du loup garou, croissance d'épines*, Croissance végétal, Appel de la foudre*. Niv.4:Soins importants*, Dissipation de la magie. Niv.1 Rôdeur: Grâce du chasseur 2x, tir assisté*.
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Frère-Ours
Chambre 31
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ne voix venait de résonner au-dessus de lui et il l'avait reconnue sans même que l'halfelin ne se nomme. Sans aller jusqu'à éprouver de la joie il était tout de même toujours au fond d'un gouffre d'une bonne douzaine de mètres de profondeur, blessé superficiellement, sa coéquipière en bouillie et l'un de ses compagnons agonisant, Mirtzar était soulagé d'apprendre qu'au moins la moitié de leur petite troupe avait réussi à s'en tirer sans encombre. Les dieux, même s'il n'était pas certain de considérer que tout ce qui leur arrivait était dû à une décision d'un dieu malgré le fait qu'il se sentait de plus en plus investit d'une mission divine, avaient été clément et, comme Narvarth semblait être en pleine forme, il ne pouvait que comprendre que ce qui leur arrivait n'était aucunement une malédiction lancée sur les non-elfes. Rien que cela était une bonne nouvelle.
Mirtzar ne pouvait rester trop longtemps à rêvasser, la survie de Notar pouvait dépendre de ses capacités à rester concentré, à jauger la gravité des blessures et à essayer de les empêcher de saigner, à défaut de les empêcher de s'infecter. Mirtzar ne connaissait rien aux diverses maladies qu'on pouvait attraper en laissant une part notable de sa peau et de sa chair sur des rochers mais il ne pouvait que craindre que malgré ses efforts le pauvre gnome ne finisse par mourir d'une maladie qu'aucun d'entre eux ne serait capable de soigner avec le peu de moyens qu'ils avaient. Le nain se passa les mains sur les yeux, un rituel qu'il avait appris alors qu'il était petit enfant et dont on lui avait dit qu'il permettait aux dieux d'aspirer nos craintes, nos colères ou tout autre sentiment qui pourrait nous empêcher d'agir calmement. Jusqu'à cet instant, cela avait été efficace et cela le restait. D'un point de vue purement objectif, si les blessures de Notar semblaient être assez sérieuse le nain d'or estimait que le principal danger était pour l'instant qu'il perde trop de sang pour pouvoir continuer à vivre.
Tout en essayant de panser les plaies, il regarda de nouveau autour de lui. La première chose qu'il vit était, bien évidemment, la pierre qui avait essayée de tous les tuer et qui n'était pas passée si loin que cela de réussir. Voir cette pierre lui faisait repenser à Jereicia. Ils n'avaient jamais été très proches mais le nain se souvenait de certains moments avec elle qu'il avait tout particulièrement appréciés. Il la revoyait sourire, il la revoyait courir, il la revoyait danser, ... sans savoir s'il l'avait véritablement déjà vu faire tout cela. Sous la pierre, tout ce qu'il voyait était une mare de sang et des lambeaux de membres impossibles à reconnaître. Il ne voyait plus sa coéquipière, il voyait un cadavre dans un état tel que même les pires charognards des plaines du Shaar n'aurait osé laisser un corps ainsi. Mirtzar avait envie de vomir et s'il ne le faisait pas ce n'était que parce qu'il s'efforçait de penser à Enoriel et Notar qui avaient encore besoin de lui ici. Sans parler de Clothilde qui avait besoin qu'il se dépêche de sortir de ce trou puant la mort.
Au fond de la fosse le silence était pesant. Mirtzar entendait ce que disaient leurs camarades rescapés mais comme à travers une chute d'eau car il était tout particulièrement concentré sur sa tâche et sur ses pensées. Enoriel était muet depuis qu'ils étaient tombés et Mirtzar commençait à craindre qu'il ne fut plus gravement blessé qu'il ne l'avait d'abord cru. Un nouveau passage de main sur les yeux le convainquit que le silence de l'elfe n'était dû qu'à sa souffrance intérieure bien pire que sa souffrance extérieure et que le nain ne pouvait pas essayer de soulager. Un proverbe nain disait qu'avec le temps une blessure physique devenait une colline alors qu'une blessure morale devenait un gouffre et Mirtzar se disait qu'il n'avait pas tort. sans doute le gouffre était-il dangereux mais il était surtout instable et causé par quelque chose de violent, quelque chose qu'il fallait laisser agir et essayer de détourner en douceur, de transformer peut être mais quand il serait calmé.
Mirtzar gardait l'espoir dans son cœur et le bout de la corde qui tomba non loin de lui était une preuve que l'espoir existait. Leurs camarades ne les abandonneraient pas et feraient tout pour essayer de les sauver. Le guerrier aurait voulu hurler "Merci" mais il ne le fit pas. Les remerciements n'ont leur place que dans le calme, dans le trouble, un regard est bien plus éloquent, un sourire bien plus frappant. Mirtzar savait qu'ils allaient s'en sortir et qu'ils allaient tous s'en sortir. Sauf Jereicia mais il était trop tard pour elle. Regretter ne la ramènerait pas, tout ce qu'il fallait faire était lui montrer qu'elle n'était pas morte pour rien. Ça elle le comprendrait où qu'elle soit.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Frère Cerf
Aucune chambre
Aucune gemme
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Narvarth se savait plus endurant que la majorité de ses frères êtres mètres, et cela grâce aux années à parcourir les terres de son clan, mais tout comme il s'était entrainé à sauter, sa vitesse de déplacement qui avait permis de prendre suffisamment d'élan pour un tel saut, était due à des années de pratique. Et cette pratique était due à une nécessité bien plus qu'à une volonté de bien être vu. Aussi fut-il déstabilisé lorsque l'elfe sauvage lui posa la main sur l'épaule. Narvarth ne s'attendait à aucune félicitation pour cette réussite. Le fait qu'il soit passé était largement suffisant pour lui, il n'avait eu aucune intention d'impressionner ses camarades. Mais il semblait qu'eux ne l'ait pas décidé ainsi.
Le sagespectre tourna donc sa tête vers le propriétaire de la main, en essayant de sourire, pour le remercier de son geste qu'il n'était pas certain de mériter. Mais il ne s'attarda pas pour recevoir d'autres éventuels éloges dont il n'aurait de toute manière pas compris le sens, il avait à faire et ses compagnons comptaient sur lui semblait-il. Il fut heureux de voir Yvhann sortir une corde de ses possessions, et bien plus encore lorsqu'il comprit que l'autre chose qui avait quitté son sac était un onguent curatif.
Seulement maintenant qu'il s'était débarrassé de son sac et de ses autres affaires encombrantes pour faciliter sa descente, il ne savait comment prendre l'onguent. Il n'avait pas de main de disponible à moins de prendre des risques insensés pour la descente, aussi vida t-il son sac à terre pour y mettre ensuite l'onguent. Il fit passer le tout sur son dos, sans se sentir gêné du poids négligeable que ça représentait, pas plus qu'il n'était perturbé par l'encombrement de son sac.
Il était prêt à descendre, il n'agenouilla à nouveau au bord du trou, tête en avant pour se faire entendre au mieux de leur compagnon qui, d'en bas, avait été le seul à leur répondre. -Mirtzar, tenez bon, je descends. Maître Yvhann a un baume pour essayer d'améliorer l'état de l'un de vous en bas. J'arrive. Il avait hésité à employer le terme de Maître pour Yvhann du fait que celui ci il y a à peine quelques instants, avait cherché à se débarrasser de ses responsabilité. Mais le halfelin était ainsi, il se sentait inférieur aux personnes plus hautes que lui, et il n'arrivait pas à changer cela.
Il releva la tête, prit la corde entre ses mains, s'assura qu'il en avait une bonne prise avec ses gants, se glissa par delà le rebord du trou, puis commença sa descente après s'être assuré par un dernier regard que ses compagnons d'en haut tenaient bien la corde pour retenir ses quinze maigres kilos.
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
2 gemmes
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¤ La Seldarine soit louée ¤
Yvhann avait une corde, les opérations de sauvetage allaient pouvoir commencer. Toutefois, le prêtre de Corellon mis dans un coin de sa tête, que trouver cet ustensile si simple, mais qui pouvait se révéler d’une telle nécessité ne serait pas un luxe. Bien entendu, si cette corde était de conception elfique, elle n’en serait que meilleur. Plus légère, plus résistante, d’une conception nettement plus aboutie que celle d’aucune autre race de Faerûn. Aël’Telàwërith regarda d’un œil circonspect les tergiversations du Hin avec son sac, sans son sac puis avec un sac vide. Le temps s’écoulait et si habituellement cela était bien égal au Ar’Tel’Quess, cette fois était différente. La vie d’un Tel’Quess pouvait dépendre du temps perdu ou non.
Lorsque le Gardien sylvestre fit signe au Faernsuor de prendre la corde pour aider à sortir de cette fosse Enoriel et les autres membres du groupe. Le Haut-Elfe acquiesça d’un signe de tête. Mais pour le moment, le solide Sy’Tel’Quess n’avait pas besoin de lui pour faire descendre Narvarth. Alors que ce dernier, se mit en position pour rejoindre le fond de la fosse, Aël’Telàwërith lui adressa la parole.
- Soyez prompt, et ne perdez pas un temps précieux. Plus vite, les blessés seront ici, plus vite nous pourrons leur prodiguer des soins.
Le serviteur de Corellon aurait voulu pousser le Halfelin et prendre sa place, pour porter assistance au plus vite à son cousin de race. Mais cette solution n’aurait pas été sage. Mieux valait que ce soit Narvarth et son poids plume qui descende. Lui-même serait certainement plus efficace pour aider à remonter les survivants de cette chute.
- La Seldarine vous guide, Narvarth.
Le sous entendu était bien sûr que si la Seldarine guidait effectivement le Hin, elle le dirigerait directement vers l’ex-gardien. Aël’Telàwërith laissa donc pour le moment le destin de fils de Corellon entre les mains des Seldars. Quand à lui, il se retourna et avança avec précaution de quelques pas. Le prêtre ne voulait pas laisser dans l’ombre un quelconque danger, qui les prendrait par surprise en attaquant leurs arrières. Il prit donc le temps de d’observer avec attention son environnement. Il fallait dire que tout avait été si vite, qu’il ne lui était pas venu à l’esprit immédiatement qu’un autre danger puisse se trouver tapis derrière eux. Lorsque la touffe de poils trouvé par le Hin lui revint à l’esprit.
C’était également un moyen de se sentir moins inutile. Yvhann n’avait pas besoin de lui, et il ne pouvait rien faire de plus tant que les premiers survivants ne s’agrippent à la corde.
Aël’Telàwërith utilise Survie pour tenter de savoir si autre danger guette le groupe ?
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Ly'Aegisir Gardien Errant
Chambre 24
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Les mots que Narvarth prononça pour Mirtzar, eurent un effet troublant pour le grugach. Le fait de se faire appeler, Maître, lui fit comme une gifle au visage, une aiguille sous le pied, un poignard au coeur, puis dans son songe il vit disparaître l'être mètre dans la fosse. A se moment, il se demanda si il réussirait cette mission qui lui avait parut banale mais qui en fait se révélait complexe sur plusieurs point.
Il entendit à peine le noble parler au brave Hin, ce qu'il retenu sur le coup, il se le répéta... * La Seldarine vous guide, Narvarth. Mais pourquoi toujours s'en remettre à un être que l'on croit supérieur? *
Cette question le ramena devant un fait accomplit. Il était furieux, furieux à cause des autres ... Non, il était furieux car lui même avait du mal avec les autres, puis vint doucement en lui se qu'il aurait dû faire avant de jeter Kana sur la marche. Il récita mentalement son serment des Gardiens Errants, en faisant une attention particulière à chaque mots.
Doucement, son esprit s'éclaira. La confiance revint, sa respiration se fit plus lente, il devint plus calme, le moment, l'espace, le lieux, la situation, se précisaient de plus en plus. Sa poigne sur la corde se raffermit, il soupesa le poids plume de l'être mètre, il entendait sa respiration, il sentait l'humidité de la fosse emplit d'un parfum de fer, le pelage aux effluves des verdure extérieur de Khell puis il entendit aussi les pas de Aël’Telàwërith qui cherchait à savoir si un autre malheur les prendraient en surprise.
Là, le grugach se sentit revenir maître de lui même, non pas le maître que l'on attendait de lui, mais bien son propre maître, lui avec ses défauts et ses qualités. Il n'en voulait plus a Enoriel de sa faiblesse de sentiment, il n'en voulait plus au autres de lui taper sur les nerfs, car il était le seul responsable de son sort, c'est lui même qui avait accepté cette mission dans l'attente que la confrérie lui en soumette une autre.
Le sauvageons avait choisi d'accepter pour 100 po. et pour revenir dans les bois, sur le coup il se foutait de la disparition des enfants, il n'aimait pas les enfants, il ne les aimeraient d'ailleurs jamais, surtout des enfants humains, quand avait il à faire qu'ils disparaisse, de toute façon leurs parents les auraient sûrement laissé a l'abandon très jeune.
Son véritable feu intérieur c'était produit lorsqu'il sut qu'il venait de se faire rouler par un maudit drow. Le druide-rôdeur n'avait pas comprit le pourquoi, qu'il lui avait fait confiance à ce Rylack et c'est véritablement à ce moment qu'il avait prit cette mission d'une façon personnel, peut être trop même. Il avait agit de façon égoïste, il était parti à la chasse, seul.
La honte le prit de nouveau, il se soumit, encore une fois au serment des Gardiens Errant et cette fois il sentit dans son être l'ensemble de la confrérie qui l'appuyait dans son travail. Le grugach n'avait jamais été seul, sa véritable famille l'accompagnait en tout temps.
La terre, pendant longtemps ma demeure dans l'obscurité de l'hiver, a fléchi sous le souffle d'air du matin. Le plan me presse maintenant de donner mon souffle. Pourquoi suis-je ici? Pour quelle raison suis-je revenu cette fois-ci? Et l'air souffle sur moi sa réponse rieuse. "Tu es la vie. Tu es le tout en train de devenir Un. Fais ton expérience."Fiche Yvhann Niv.0:Assistance divine 2x, Résistance, Illumination, repérage. Niv.1:Détection des collets et fosses*, Enchevêtrement, soin léger*, Grand pas. Niv.2:Peau d'écorce, Puissance animal*, Soins modérés*, lien tellurien. Niv.3:Morsure du loup garou, croissance d'épines*, Croissance végétal, Appel de la foudre*. Niv.4:Soins importants*, Dissipation de la magie. Niv.1 Rôdeur: Grâce du chasseur 2x, tir assisté*.
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Gardien Errant
Aucune chambre
Aucune gemme
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Enoriel avait mal. Oui bien sûr sa cheville le lançait depuis sa chute. Il ne savait pas s'il allait pouvoir atteindre la cordre qu'il venait de voir tomber. Mais il ne savait surtout pas s'il le souhaitait. Enoriel avait mal à son coeur. Pendant qu'il descendait les marches avant de commettre l'irréparable quelques instants plus tôt, il réflechissait à ce que lui avait lancer Yvhann dans son dos. Comment avait-il pu en arriver là... Voilà qu'Yvhann lui adressait un ultimatum. La prise en main des Gardiens Errants ou la mort... Enoriel ne voulait pas d'une telle responsabilité. Mais peut-être que la deuxième solution était la meilleure. Il s'était laissé emporter par ses sentiments et n'avait pas cherché à comprendre pourquoi son dirigeant avait agi de la sorte. Pour Enoriel celà avait été un choc, la destruction de ce en quoi il croyait et c'est tout... Il n'avait pensé qu'à lui. Il n'avait écouté que son coeur et pas son esprit. Une fois de trop.
Maintenant, par sa faute, trois de ses camarades avaient chuté avec lui, et la demi-elfe avait payé de sa vie son emportement et son erreur... Par sa faute, elle était morte. Bien sûr, il n'avait jamais eu grande affinité avec la prêtresse d'Aurile. Mais jamais il n'aurait souhaité sa mort, surtout ainsi... Pourrait-il faire face à ses compagnons après un tel comportement ? Peut-être était-ce mieux pour tout le monde qu'il reste ici croupir et mourir au fond de ce trou. Sa famille il l'avait quitté il y a bien longtemps déjà et il ne pensait pas que quiconque dans ce groupe le regrette vraiment. Même Yvhann maintenant devait le haïr pour avoir rejetter la Confrérie des Gardiens Sylvestres. Lui-même n'aurait pas réitérer son geste en y repensant... Il avait agi sous le coup de l'émotion de la colère. Et maintenant il regrettait. D'avoir déçu son mentor, d'avoir causé la mort de la demi-elfe, d'avoir blessé ses compagnons...
Il n'avait plus qu'une envie c'est de rester là. Il n'avait même pas envie de pleurer. Il se sentait vide. Même les japements inquiets de Khell ne le faisait pas revenir à la réalité... Enoriel resta là, allongé sur le sol froid, à quelques mètres de la corde salvatrice. Il ferma les yeux et se laissa aller aux doux vents de la mélancolie...
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
Aucune gemme
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Premier jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage 1er flammerige 1372 (CV)Lieu : Tour de Fabian, Cormanthor Temps : / Moment :/ MJNarration: Tous Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Notar: Stabilisation (10%) : 47= Echec Dégâts : 1 PV Notar= -2 PV Notar est mourant
Mirtzar se déplace vers Notar et tente d’endiguer les saignements. Jet de premiers secours Mirtzar sur Notar DD 15: 13 (dé) + 4 (comp)= 17 : Réussite PV Notar= -2 PV Notar est stabilisé
Narvarth descend le long de la corde
Jet de survie Aël’Telàwërith DD 15: 7 (dé) + 2 (comp)= 9: Echec Jet de détection Aël’Telàwërith DD 15: 9 (dé) + 2(comp)= 11:
Jet de connaissance Aël’Telàwërith(religion) DD15: 11 (dé) + 6= 17: Réussite n moment de flottement de quelques secondes entoura les compagnons qui étaient parvenus à éviter la fosse mais rester dans l’expectative ne faisait pas partie de leurs priorité et c’est rapidement que chacun s’activa pour aller au secours des survivants. Le Faernsuor en digne fils de Corellon prit la décision d’assurer les arrières du groupe pendant qu’Yvhann aidait gardait une main ferme sur sa corde pendant que le frère des Marches descendait la corde avec une certaine dextérité malgré le fait que la paroi du mur était parfaitement lisse. Il était difficile pour eux de communiquer, surtout que Khell aboyait plus que furieusement, couvrant toute tentative de conversation entre la « surface » et le trou.Alors que l’elfe sauvage bandait ses muscles pour assurer la meilleure prise possible, Aël’Telàwërith regardait avec attention leur environnement immédiat. Devant lui à peine une vingtaine de mètres devant lui, au bout du couloir, deux portes sur lesquelles étaient portées des symboles s’offraient à son regard. L’elfe doré s’en approcha avec prudence, et rien ne vint troubler cette fois son avancée, il arriva à la hauteur des deux portes. La première, celle de gauche portait un symbole rond contenant une flèche brisée surmontant une larme couleur bleu qu’il reconnut sans peine, c’était le symbole du Chasseur Nocturne, La seconde porte, quant à elle arborait dans un cercle un parchemin vierge qui selon les connaissance était le symbole de Archiviste de ce Qui Est Connu.Dans la fosse la poussière retombait, Mirtzar, malgré son état de faiblesse, réagit instinctivement et porta secours en premier lieu à celui qui se trouvait près de lui, Notar le gnome. Même si ce dernier faisait preuve d’une discrétion absolue depuis leur entrée dans la tour, bien qu’il avait montré une belle combativité dans leur lutte contre les méphites, il était retombé ensuite dans un certain mutisme, se mettant de lui même à l'écart.
Pour le moment inconscient, ce dernier ne sentit pas Mirtzar bander ses plaies et faire son possible pour arrêter le sang qui s’écoulait de ses blessures. Il y parvint.
Une chose était certaine, dans l'adversité et les difficultés, le groupe devait se serrer le coude et aller de l'avant.Tandis que le nain s’affairait sur le corps du rôdeur, Narvarth touchait terre. Il se détourna pour faire face au bloc de pierre qui avait entraîné leur fuite éperdue. L’air était saturé de poussière mais sur sa gauche il réussit à repérer une silhouette qui devait être celle du nain qui était penchée sur le corps d’un de leur compagnon. Sur sa droite, à se fier aux aboiements de Khell, l’elfe sauvage devait se trouvait par là.
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