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Panique à Fortnouveau, MJ Kolimar Velcor
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Gantelet de l'Amasstarte
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Neñved fût rapidement déconcerté par les évènements, très peu habitué à ce genre de situation, il préféra abandonner tout de suite son projet de s'approcher de l'auberge. Quelque chose n'allait pas. L'Illuskien se ressaisit, il ne fallait pas perdre le nord alors que sa mission venait à peine de débuter. Il empoigna d'une main son fourreau et ne le lâcha plus, de l'autre, il s'éloigna le plus possible de l'auberge, restant tapis dans l'ombre pour que personne ne puisse le remarquer, enfin, l'espérait-il.
Dans sa tête, une multitude de questions fusèrent, qui étaient ces hommes ? Avaient-ils un rapport quelconque avec la mission qui lui avait été confiée ? Il en doutait fort, pourtant, au fond de lui, il savait que les évènements louches, dans un certain périmètre, étaient toujours liés d'une quelconque manière.
¤ Si je pouvais atteindre la ruelle, peut-être qu'il me serait possible de me perdre dans la populace des couches tard, si bien entendu elle existe¤
Après quelques minutes de sauts et d'escalade, Neñved eu enfin la possibilité d'atteindre une ruelle, mais c'est avec stupeur qu'il découvrir que le groupe dont il avait entendu les pas se rapprochait dangereusement de sa position.
¤ Par Aurile, serais-je ainsi fait que de malchance ?!¤
Rapidement, il élabora une manière de s'en sortir, avant même que le groupe n'arriva dans sa ligne de vue, Neñved sorti à découvert entre deux bâtisses délabrées et couru vers la première porte qu'il vit. Avec souplesse, il décocha de sa ceinture son nécessaire de cambriolage et entreprit d'ouvrir la porte, par tous les moyens, son plan devait être mis à exécution.
Je m'appel Neñved, et j'ignore qui je suis vraiment. Je sais juste qu'il y a une partie obscure en moi. Et je la cache. Je n'en parle jamais.Mais elle est là, en permanence. Ce Passager Noir. Et quand il prend le controle, je me sens... Vivant.
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Habitant des Royaumes
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ans réfléchir, elle avait obéi aux indications de Kobalt, dont le ton méprisant n'était que très peu camouflé derrière des politesses stupides. Elle se moquait des faux semblants comme d'une guigne, car elle-même les pratiquait souvent, mais se demanda ensuite pourquoi elle avait agi si promptement au mépris de sa propre sécurité.
L'odeur de vin, dont le pouvoir réconfortant, que même les ivrognes livrés à la rue, au froid, et sans le sou ne peuvent ignorer, menaçait de faire perdre à Iona sa concentration. Heureusement, l'intervention de Kobalt lui rappela pourquoi elle se trouvait dans cette cave pleine de jambons si appétissants que son comparse semblait devoir se retenir de les dévorer.¤Bien, chercher dans les tonneaux? Je veux bien mais pourquoi se met-il à inspecter les murs après avoir dit ça. Enfin, les dires et les actes des humains ne peuvent pas s'accorder. Pas de quoi s'inquiéter.¤ Par souci pratique, elle commença son inspection par les tonneaux et caisses suffisamment grands pour permettre à un homme et une femme d'accéder à un passage secret, vérifiant en priorité ceux sonnant creux. Ils finiraient bien par découvrir par où le jeune couple avait pu disparaître. Elle savait que les fuyards prenaient de l'avance pendant qu'elle cherchait l'échappatoire, elle accéléra donc sa recherche.
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Grand maître
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Narration
Menthas, Neñved crochetage échec Chacun des deux hommes tentèrent une manœuvre pour se dissimuler aux yeux de ceux qui se rapprochaient toujours plus près de leur position. Etrangement ils ne réagirent pas du tout de la même manière. Menthas se cacha dans le noir que lui offraient les ruelles étroites et non éclairées alors que Neñved fila droit devant lui à la recherche d'une porte à franchir pour se cacher. Ce faisant l'espion se révéla aux yeux de Menthas. Ce dernier paru presque surpris de le voir sur le sol alors qu'il l'attendait un peu plus haut. Il fut encore plus surpris lorsqu'il vit se dernier se diriger directement vers la porte d'entrée de la maison placée juste à côté de l'auberge. Il s'afférait à une tâche ayant un rapport avec la serrurerie. Le groupe d'homme approchait de plus en plus et il n'arrivait pas à faire sauter le verrou devant lui. Pire que tout le groupe d'hommes arriva. Il s'agissait des gardes qui venaient maintenir l'ordre qui avait été brusquement perturbé ces temps-ci. Seulement ils tombèrent sur le roublard qui fut pris la main dans le sac si l'on pouvait s'exprimer ainsi. Seul au milieu de la rue, enfin presque seul. Menthas resté dans l'ombre attendait. A l'intérieur des cris retentirent. Une bagarre venait d'éclater. Les gardes s'élancèrent vers Neñved sans mot dire.
Kobalt, Iona Fouille Kobalt réussite Iona échec Justement à l'intérieur, dans la cave pour être plus précis, le couple de fortune commençait sa fouille systématique de la pièce. Soulevant les caisses, les tonneaux, Iona cherchait la moindre trappe pouvant se cacher dessus. Seulement il y avait beaucoup, beaucoup de récipients à bouger. Et tous les déplacer prendrait un temps fou. Elle se contenta donc d'examiner ceux qui pouvaient être intéressant. Elle fit chou blanc dans cette opération. Par contre son compagnon un peu plus aguerri à ce genre d'opération découvrit quelque chose d'inhabituelle. Alors qu'il tapotait sur les murs cherchant une sonorité différente des autres, il remarqua une simple déformation dans le mur. Non pas que ce dernier était d'une construction des plus achevée, mais le renfoncement de la taille de la main d'un homme présentait un défaut un peu trop parfait dans ce mur. Restait à savoir ce qu'allait faire Kobalt avec.
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Frère-Ours
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Pour être discret, il avait été discret. Mais il ne le devait qu’à la folie de Nenved. Qu’avait-il bien pu se passer dans la tête du roublard ? Cela semblait insensé aux yeux de Menthas. La seule raison que trouva le prêtre, était qu’une menace bien plus importante se trouvait sur les toits, mais de là à quitter sa cachette pour se retrouver à forcer les portes sous les yeux des gardes de la ville, il y avait une marge. Mais au moins, le prêtre avait une chance de ne pas se faire repérer, mais pour cela il fallait rester cacher. Peut être que cette rencontre pourrait lui permettre d’en apprendre plus sur cet étranger, savoir s’il faisait parti de la bande de l’auberge ou non. L’inconvénient, était qu’il ne pouvait s’approcher davantage, sous peine d’encourir lui aussi le risque de se faire attraper. Mais au même moment, il commençait à y avoir du grabuge dans l’auberge. Malheureusement Menthas n’était plus à la fenêtre pour voir ce qui s’y passait. Une chose était sûre, la situation était en train de dégénérer. Mais dans quel sens ? Etait-ce les noblions qui passaient à tabac l’aubergiste ? Ou bien alors leurs voleurs ? A moins que ce ne soit le contraire, et que Iona et Kobalt ait pu faire face et les corriger. Cette dernière idée paraissait peu évidente aux yeux du jeune prêtre, à deux contre six, leurs chances étaient minimimes.
L’adepte de la cavalière était dans l’embarras. Plusieurs solutions se présentaient à lui et les occasions d’agir ne manquaient pas. Le problème était qu’avec les gardes, toute tentative d’action paraîtrait louche et risquerait d’être très vite avortée. Mais le désir d’en apprendre plus sur l’étranger et suivre les évènements à l’intérieur brûlait en lui. Il préféra attendre et voir ce qui allait arriver. Il porta toute son attention sur les gardes et Nenved en essayant de saisir le moindre morceau d'une éventuelle conversation.
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Gantelet de l'Amasstarte
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Neñved écarquilla lentement les yeux, les gardes étaient tout proche, et pire que tout, ils l'avaient reconnu. Totalement perplexe face à son échec de crochetage, il décida qu'il était temps de changer de métier, ou bien d'être plutôt inventif. Plutôt décidée à l'interpeller pour lui faire passer un mauvais quart d'heure, la patrouille se dirigeait prestement vers lui, Neñved pouvait entendre le cliquetis de leurs armures, de plus en plus rapide.
A découvert, même si l'obscurité envahissait tout, Neñved resta un petit moment immobile, jaugeant la situation.
¤Que j'ai été bête de croire que cette porte me céderait, mais au moins je suis au plein cœur de l'action, j'espère juste que le spectacle sera à la hauteur¤
Neñved décida de garder son visage dissimulé dans la pénombre, plus que quelques secondes et les gardes seraient à sa portée. C'est au moment même où il semblait appercevoir le visage du premier milicien qu'il s'éloigna le plus rapidement en courant, feignant la panique ou la stupeur. Derrière lui, il était persuadé que les gardes avaient accéléré la course afin de le rattraper, que feraient-ils d'autre si ce n'est courser un cambrioleur ? C'était bien leur métier ?
¤Bon, au moins ce qui est certain, c'est que l'une de mes alternatives marche, pour l'instant en tout cas, c'était bien la partie la plus simple¤
Toujours dans la perspective que la garde continuait à le poursuivre, Neñved se mit à courir de toutes ses forces, toujours à demi dissimulé pour ne pas être totalement à découvert. C'est alors qu'il arriva à portée de l'inconnu qui l'avait repéré, c'était un homme fort, trapu et fortement armé, c'est en lui que Neñved comptait le plus à ce moment précis.
D'un geste vif, il héla le prêtre d'une voix rauque qui ne lui ressemblait pas, semblant imiter quelqu'un d'autre "Nous sommes repérés, fuis avant qu'ils ne te rattrapent, tu n'as pas bien fait ton travail de guet je vois !". Puis l'illuskien disparut presque instantanément dans une ruelle perpendiculaire, priant pour que le groupe le poursuivant se divise en deux, l'autre moitié cherchant à stopper l'inconnu qui, espérait-il pris de panique, serait parti à toute jambe. Toutefois, cela n'arrêta pas le roublard, bien décidé à grimper sur un toit, éloignant de ce fait la milice, mais l'avait-elle suivi ? Il n'avait pas le temps, ni l'envie de se retourner pour le vérifier.
Je m'appel Neñved, et j'ignore qui je suis vraiment. Je sais juste qu'il y a une partie obscure en moi. Et je la cache. Je n'en parle jamais.Mais elle est là, en permanence. Ce Passager Noir. Et quand il prend le controle, je me sens... Vivant.
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Frère-Ours
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L'inconnu essayait donc de l'impliquer dans son larcin pour que les gardes l'oubli. Sa ruse était certes très astucieuse mais guère noble. Bien que Menthas soit pris de court, il ne paniqua pas. Fuir serait la preuve d'une quelconque complicité. Il fallait arriver à rediriger l'attention des gardes dans une autre direction. Le "serrurier" ayant déguerpi, il ne restait plus beaucoup de solution. Mais la bagarre qui avait éclaté dans l'auberge tombait à pic. Le jeune prêtre trouva vite une solution à la situation embarrassante dans laquelle Nenved l'avait empêtré. Il sortit de sa cachette et se dirigea rapidement vers les gardes et leurs disant:
"Vous arrivez au bon moment. Dépêchez vous, des fauteurs de troubles ont déclenché une bagarre à l'intérieur de l'auberge et il semble qu'ils soient au nombre de six et qu'ils s'en prennent au seul aubergiste, et il n'ont pas l'air de plaisanter. Je crois qu'il ont aussi un complice qui viens de fuir à l'instant en vous voyant arriver."
Le jeune prêtre essayait de renverser la situation en sa faveur. Après tout il n'avait commis aucun mal et il n'était que justice que les noblions ainsi que l'inconnu soient pris pour cible par les gardes. Menthas ne faisait que rendre la monnaie de la pièce à Nenved, car il n'avait guère apprécié la manière de faire de ce dernier.
¤ Il a voulu me rouler l'autre, et bien on verra qui s'en sortira le mieux dans cette histoire. Et puis si on se retrouve on pourra s'expliquer. ¤
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Grand maître
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NarrationNeñved, Menthases deux "amis" du moment, s'étaient dénoncés l'un l'autre. De cette manière, ils ne risquaient pas de manquer d'actions à l'avenir s'ils restaient ensemble. Neñved voulu jouer au plus fin en tentant de s'enfuir dans la direction opposée d'où venait la garde. Mais celle-ci était rompue aux interventions de ce genre et occupait toutes les ruelles secondaires autour du lieu de l'intervention. Il fut cueilli comme une fleur. En fait il n'eut même pas le temps de sortir son arme ou tenter quoique se soit. Un violent coup à l'arrière de la tête le fit sombrer dans l'inconscience. Menthas se retrouva très vite cerné à son tour. De toute évidence, les gardes n'avaient pas envie de s'embarrasser de détails quant à la manière d'appréhender tout suspects sur les lieux. Ils se jetèrent sur lui jusqu'à le maîtriser complètement. Il fut attaché et posé à côté de celui avec qui il avait eu des mots il n'y avait que quelques instants. La seule différence fut qu'il était conscient. Trois hommes de garde restèrent avec eux alors qu'une bonne douzaine d'autres pénétrèrent dans l'auberge. En dix minutes tout était fini. La bande des six était arrêtée et ficelée. Certains d'entre eux étaient inconscients. Ceux qui continuaient de protester furent invités à se taire moyennant quelques coups bien donnés. Dans tout ce beau monde il n'y avait ni Menthas ni la femme qui l'accompagnait. Ils furent amenés à la prison de Sundabar. On les plaça dans des cellules en séparant les six des deux autres protagonistes. Menthas se retrouva donc seul avec Neñved. Ils étaient toujours attachés mais il n'y avait personne pour les surveiller. De plus les six autres étaient hors de vue de là où ils se trouvaient. Après cinq minutes environ, Neñved se réveilla avec un effroyable mal de crâne.Iona, Kobaltobalt et Iona entendirent du bruit à l'étage. Comme si les clients étaient revenus faire une danse pour des festivités. N'imaginant pas un tel scénario, Kobalt joua la carte de l'improvisation comme à son habitude. Il appuya sur la protubérance pierreuse et attendit le résultat. Celui-ci ne se fit pas attendre. La paroi du mur pivota pour laisser apparaître un couloir secret qui se poursuivait sous terre. Il était éclairé mais celui-ci n'étant pas rectiligne ils ne purent en apprécier la longueur. Des bruits se faisant entendre au sommet des marches d'escalier, ils prirent la décision de se faufiler à l'intérieur. Voyant un levier près de la porte, Iona tira dessus en suivant l'exemple de Kobalt et le pan de mur pivota de nouveau pour se refermer. Au moins, ils étaient tranquilles pour un petit moment.
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Frère-Ours
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Sans même avoir pu se défendre ou du moins s'expliquer, Menthas se retrouva enfermé avec l'homme qui l'avait embarqué dans cette galère. S'il n'avait pas eu les mains liées, il lui aurait bien fait comprendre sa façon de penser. Mais malheuresement ses liens l'en empêchaient en plus de lui procurer un sentiment d'inconfort. Alors que son voisin commençait à reprendre ses esprits et sortir de son douloureux sommeil, le jeune prêtre ne lui laissa pas le temps de souffler.
"Voila t'es content? Grace à toi on est dans le même pétrin. Je ne t'avais rien demandé, tu n'étais pas obligé de m'impliquer avec toi. Bon maintenant j'espère que tu vas trouver une solution pour te ratrapper, parce que je n'ai pas envie de croupir ici."
Le prêtre essayait d'imaginer quel sort lui serait réservé par les gardes. Si jamais les troubleurs de l'auberge s'avéraient être de dangereux criminels et qu'il viendrait à être injustement impliqué, il ne donnerait pas cher de sa peau. Mais une chose plus importante lui venait à l'esprit: d'abord se débarasser de ses entraves. Il commença à forcer sur ses poignets et à se tortiller pour frotter les liens contre le sol pour essayer de les abîmer pour qu'il se rompent plus facilement. Peut être qu'une fois débarassé de ses cordes, il pourrait voir plus clairement comment sortir de sa geôle.
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Frère-Rat
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Grand maître
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Narration
Nenved, Menthas
Nenved ne répondit même pas aux piques que lui lançait Menthas. En fait il cherchait un moyen de se sortir des liens qui l'entouraient. Menthas avait vidé sa colère mais n'était pas pour autant satisfait. Les deux hommes commencèrent à se tortiller dans tous les sens afin de se libérer de leur cordage à défaut de l'être de leur prison. Bizarrement, les noeuds de leurs liens n'étaient pas spécialement très serrés. Ils avaient été fait selon toute vraisemblance rapidement et sans application. Ils se libérèrent donc facilement. Cependant la cellule dans laquelle ils se trouvaient était bien verrouillée et les barreaux étaient solides. Profitant de leur enfermement ils observèrent les environs immédiat. Ils se trouvaient en fait dans une cellule placée au milieu de quatre autres. Symétriquement en face d'eux se trouvaient les mêmes cellules, qui contenaient pour deux d'entre elles les six hommes que Menthas surveillait avant de se retrouver ici. Ils étaient inconscients ou paraissaient l'être pour le moment. Les cellules se trouvaient réparties le long d'un couloir au bout duquel se trouvait une porte. Il n'y avait pas de gardes de visible tout comme la clé de la cellule.
Kobalt, Iona
Kobalt observait les alentours accompagné de ce qu'il considérait comme un "désamorceur" de piège. Ils avançaient en pensant à mettre le maximum de distance possible entre eux et ceux qui se trouvaient derrière le mur secret. Si le couloir n'était pas droit, il n'avait pourtant aucune intersection. A en voir les parois il s'agissait plus d'une veine de mine que d'un ouvrage construit de toutes pièces. Finalement au bout d'une cinquantaine de pas ils débouchèrent sur une grotte plus large. Devant eux se trouvaient quatre voies qui permettaient de sortir d'ici en plus du passage par lequel ils étaient arrivés.
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