Dans Cormanthor, à la recherche des enfants,, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 2

Aux paroles du nain Mirtzar, Yvhann le regarda avec un air presque condescendant. Il était évident que le grugach ne comprenait pas quelque chose puis fit suite de ...

- Mirtzar, vous vous méprenez, j'ai une tristesse au coeur en voyant cette si belle jeune elfe morte qui a tentez du mieux de ses capacités, d'aider son prochain et non nous. Elle n'a pas échoué, elle a réalisé se qu'elle devait vivre et a trépassé, trop jeune je l'avoue. Où ce que je peut avoir, peut être, manqué de respect, est sur l'aide que vous avez apporté avec vous. Et encore là je ne connaît pas les spécialités de ce demi homme, son aide sera la bienvenu, sans aucun doute... c'est juste que... C'est minime comme aide, mais ne doutez point, elle sera grandement apprécié. -

Il regarda Enoriel avec la défunte et resta impassible. Il ne comprenait pas le fait d'enterrer un défunt en terre. Chez lui on brûlait les corps pour que l'essence puisse aller rejoindre le grand bassin de lumière céleste et faire un avec l'ensemble. Lui même, avait toujours trouvé que d'enterré un corps mort en terre était des plus répugnant. * Pourquoi souiller la terre de notre putride corps!?* Pensa le sauvage...

Il se secoua l'esprit puis s'approcha de Jereicia. Contrairement a son compatriote, il n'avait pas de méprit envers elle, ni envers son dieu ou déesse. Pour lui c'était les dieux et les déesses qui choisissait leurs disciples et non l'inverse et si elle avait été choisi par une déesse froide pour être l'extension de ses pouvoirs et bien tant mieux et que cette déesse préfère la mort a la vie tant pis. Lui voyait en Jereicia un potentiel d'aide pour contrer les plans vils de se maudit drow qu'il fallait absolument retrouver.

Il tendit sa gourde d'eau a la prêtresse et demanda ...

- Que vous est il arrivé, pour revenir ainsi, aussi pauvre en aide!?-

La prêtresse pouvait amplement voir qu'ils avaient eux aussi fortement combattu durant leurs absence. Enoriel avait des cernes jusqu'au menton, Kana était recouvert tout comme lui, de pansements et ils sentaient tous le fer et la sueur.

Il ne pouvait pas nier, qu'il était fort heureux, qu'ils soient là, l'heure était grave mais une chose lui disait qu'ils réussiraient a percer se mystère.

n entendant les paroles d'Yvhann, le nain se sentit rougir. Il se doutait avant même de parler qu'il avait du mal interprété les paroles de l'elfe mais il n'était pas parvenu à ne pas intervenir. Certes, Yvhann s'excusait d'avoir effectivement été légèrement insultant quand à la qualité de l'aide que pourrait leur fournir Narvarth mais Mirtzar s'en voulait d'avoir injustement accusé Yvhann de froideur. Il avait fait une erreur et il devait maintenant la corriger.

Le nain se courba donc face à Yvhann pour s'excuser. Son geste manquait de grâce, c'était évident, à cause de sa petite taille et du corps de la jeune elfe qui le gênait, mais le nain espérait qu'il exprimait correctement le message que voulait faire passer Mirtzar, si possible mieux que ses futurs paroles.

- Excusez-moi, maître Yvhann, d'avoir douté de vous. Je vous promets que cela ne se reproduira plus.

Ensuite, Mirtzar se tourna vers Enoriel pour attendre qu'il lui indique une terre suffisamment pure pour pouvoir servir de dernière demeure au corps physique de la pauvre Syliel. Soudain, Mirtzar réalisa qu'il ne connaissait quasiment rien à propos d'elle et qu'Enoriel devait en savoir encore moins. Il lui semblait donc qu'aucun d'eux deux ne pouvait décemment célébrer l'enterrement de Syliel en psalmodiant des prières sinon en disant des platitudes qui seraient loin d'être dignes d'elle.

La seule personne qui semblait digne de faire cela lui semblait être celui dont Yvhann doutait tant: Narvarth. Le nain trouva que c'était une bonne idée et décida donc de demander à l'halfelin si cela ne le gênait pas de s'occuper de l'enterrement de Syliel. Un sourire triste traversa son visage tandis qu'il proposait au barbare de les accompagner.

-Narvarth, mon ami, il me semble que vous êtes le seul parmi nous qui connaissait un tant soit peu Syliel et que, par conséquent, vous devriez être présent à son ensevelissement pour prononcer quelques prières relatives à sa courte existence terrestre. Si cela ne gène pas Enoriel, évidemment.

a demi-elfe rangea ses armes. Une boule s'était formée dans sa gorge. Elle avait échoué dans la bataille qui s'était engagée avec les mercenaires. Elle avait perdu une aide supplémentaire. Voyant Yvhann s'approcher et lui oser la question elle haussa les épaules.
- "J'aurais aimé que Mirtzar et moi rapportions beaucoup plus d'aide. Sinon je suis heureuse de vous revoir. Mais voyez-vous Cormanthor est une forêt à la sombre réputation.
Quand nous nous sommes quitté, mes compagnons et moi avons marché afin de rejoindre au plus vite la civilisation. Nous sommes arrivés devant une auberge décrépit, le "Satyre Cornu" à Erevorn. Là-bas nous y rencontrâmes l'aubergiste Gond, sa fille Clothilde et d'autre. Nous nous renseignâmes afin d'avoir de l'aide mais malheureusement l'intendant n'a que faire de la sécurité des valiens.
Donc nous avons passé la nuit là-bas, dans l'espoir au matin de repartir requérir de l'aide ailleurs. Mais voilà plusieurs choses étranges se sont produites. La première est l'arrivée de deux harpies qui s'en sont pris à la fille de l'aubergiste. Entendant des choses anormales se passer, Mir tzar et moi sommes descendu et avons affronté ces créatures. Alors que nous terrassions la première, la seconde harpie en profita pour kidnapper la jeune valienne. Mirtzar n'attendit pas plus et les poursuivit. Pour ma part j'ai récupéré mes affaires et c'est là que j'ai remarqué que Rwandrall ne s'était pas réveillé. Le pauvre s'était fait piquer part un serpent. Il faudra éclaircir les évènements qui ont conduit à la mort de l'humain ! De plus c'est là que j'ai rencontré Syliel et Narvath. D'après ce que j'ai compris Narvarth est une connaissance de Mirtzar.
Bref nous nous sommes rendu à la poursuite de Mirtzar pour espérer pouvoir l'aider. Une fois la harpie et Mirtzar retrouvés, nous avons prêté main forte pour faire trépasser la créature. Mais nous n'avons pas retrouvé la jeune femme enlevée. Je suis sûr que cela à un rapport avec notre ami le drow !
Bref ensuite une fois de retour à Erevorn, le village où nous avions passé la nuit, nous décidâmes d'essayer de vous retrouver. En cours de route nous avons rencontré ces charognards. Et vous connaissez la suite..."
La jeune femme observa l'elfe morte. De la peine passa fugacement sur son visage.
- "Et vous avez-vous avancé dans la recherche ?"

-Je me permets de vous reprendre dame Jereicia, je ne connais Mirtzar que depuis notre rencontre a l'auberge, ainsi que par l'intermédiaire des objectifs communs que nous poursuivons.

Il n'en dit pas plus à la prêtresse, la laissant s'inquiéter des recherches des ces elfes.

La réalité pour Syliel le rattrapait pour son ensevelissement, aussi suivit-il l'avis du nain, non sans donner quelques explications.

-Bien que je voyageai avec cette dame depuis plusieurs journées, je ne puis me permettre de dire que je la connaissais vraiment, qu'est ce que quelques levers de soleil dans la vie des elfes?

¤Malgré le fait que lors de notre voyage, de nous deux, c'est elle qui prenait le plus régulièrement la parole, je ne connaissais que peu de choses de sa vie.¤

-J'essayerai de narrer au mieux sa joie de vivre, ¤joie malheureusement éteinte¤, sa bonne humeur et sa douce voix d'artiste. Je lui dois bien cela Maître Mirtzar.

-Seigneur Enoriel? Le hin n'était pas sur du nom de son interlocuteur, il se basait sur ce qu'il avait entendu sortir de la bouche du nain, quitte à se faire reprendre. De ce que j'en ai vu, les environs semblent fortement souillés à proximité, non uniquement par ce combat, mais par la sombreté inhabituelle de cette forêt. Elle m'avait parlé de son foyer dans une cité au sud de cette forêt, aussi pourrions nous la rapprocher de ce foyer en l'ensevelissant en direction du sud?

-Peut être que ces hommes auraient sur eux des affaires en relations avec les enfants disparus, si quelqu'un pouvait vérifier pendant l'enterrement. Dit-il à voix haute, un peu pour tout le monde.

Le grugach fut mal a l'aise suite a la réaction de Mirtzar et il devint avec les traits sévère et ajouta... - Tu n'as pas a t'excuser Mirtzar, ta bonne foi est garante de tes actes et paroles. Et de grâce, ne m'appelle plus Maître, je n'en suis pas un.-

Il se tourna par la suite pour discuter avec Jereicia, et ajouta pour elle, car elle venait d'établir un bon rapport qui lui donnait l'heure juste sur leurs fait et gestes d'auparavant .... - Nous avons croisé deux personne, l'un infecté d'une maladie, l'autre, un vieux fou qui nous a donné de l'info sur les événements, mais cela il va falloir tous étudier et bien lires les parchemins que nous avons trouvé sur lui après que les gnolls l'aient tué.
Nous avons essuyé une féroce bataille avec un monstre de pierre possédant des ailes, il gardait une tour mystérieuse. Si cela n'avait pas été de Khell, nous serions tous morts actuellement.-

Il m'en dit pas plus regardant simultanément Jereicia et le petit homme. Quelque chose lui disait qu'il se cachait dans se petit corps, une force incroyable. Yvhann eut un sourire éphémère; il faillit craquer du visage, lui qui n'avait pas eut de sourire depuis.... Trop longtemps.

Leurs groupe actuel serait dans la mémoire du sauvage pour longtemps, jamais il n'aurait crut qu'un jours il partagerait les même intérêts avec d'autre race... Au fond de son coeur, il était fière, son feu paternelle serait des plus heureux de savoir que son fils unique, suit les même traces que lui. Cherchant a rapprocher les pont entre les races. Peu de grugach voulait cela, du moins de se qu'il en savait.

Puis il se senti niais d'un coup, il avait relâché sa vigilance a la rencontre du groupe. Il se ressaisit et ajusta une flèche a son arc faisant un tour d'horizon de l'endroit que trop macabre.

e corps de Syliel toujours dans les bras, Mirtzar écoutait les explications de Jereicia. Cela lui permit d'apprendre quelques petites choses qu'il ignorait, notamment les circonstances de la mort de Rwandral qu'il n'avait pas vraiment comprises. Définitivement, les serpents allaient rejoindre les géants des glaces et les drows dans la catégorie des personnes dont il fallait se méfier et avec lesquelles il ne souhaitait pas lier d'amitié.

Il n'eut pas le temps de corriger son amie sur le fait qu'il ne connaissait pas plus Narvarth qu'elle ne le connaissait mais l'halfelin fut plus prompt que lui à répondre. Ce n'était pas vraiment plus mal car cela permit au nain de se concentrer un peu plus efficacement sur la réponse qu'Yvhann donnait à la question de Jereicia. Il fut une nouvelle fois tenté de s'excuser d'avoir parler avec trop de déference mais il comprit que cela n'aurait aucun interêt.

Mais l'attention du nain fut captée par une autre source, en réalité, une fois encore, par Narvarth. Une nouvelle fois, le guerrier apprenait quelque chose à propos de ses compagnons. Le nain ignorait complètement que Syliel habitait à proximité de cette forêt et que donc ils pouvaient, au prix d'un détour, certes conséquent mais dérisoire par rapport à la perte que la mort de la jeune elfe allait représenter pour sa famille, l'enterrer sur la terre qui l'avait vu naître, grandir et devenir adulte.

Mirtzar savait que les autres ne seraient pas d'accord pour un tel détour sachant qu'ils risquaient ainsi de perdre la trace de ceux qu'ils poursuivaient et que la dernière séparation de leur groupe avait été fatale à l'un de ses membres. Définitivement, il fallait trouver une autre solution que faire le détour.

Le nain était déçu que l'halfelin ne connaissent pas mieux Syliel mais il n'y pouvait rien. D'ailleurs, peut être que les longs discours racontant les qualités et les défauts du défunt n'étaient pas habituels lors des enterrements des elfes. Incapable de se diriger correctement dans la nature, le nain commença à se déplacer dans une direction aléatoire, espérant tout de même que ce soit la bonne, et fit signe à Narvarth et Enoriel de le suivre pour procéder à la cérémonie. Dans sa tête résonnait déjà le début de la prière qu'il allait faire pour le salut de son âme.

-Enoriel, Narvarth, allons-y. Cette pauvre créature doit trouver son refuge éternel au plus vite. Je passerai personnellement chez ses parents pour leur apprendre sa mort dès que tout ceci sera terminé.

Mirtzar avait déjà promis de faire la même chose pour Rwandral. Il espérait que la liste des personnes à qui il devrait annoncer la disparition d'une personne aimée ne s'allongerait pas ainsi pendant encore longtemps.

-Maître Nain, votre bonté est louable, seulement, je ne vois pas comment vous retrouveriez sa famille, je regrette de ne pourvoir vous fournir pous d'informations sur Syliel, seulement je n'en ai pas, pas d'autres que son appellation, Syliel d'Evereska. Une éventualitée se dessinait dans le cerveau du hin, bien qu'en doute il tint à la partager avec Mirtzar.
-Par contre peut être que d'autres de sa race pourraient vous aider dans cette tâche, les représentants de son regroupement d'elfes, peut être, et encore rien n'est sur.

-Quand tout cela sera achevé, je devrai retourner les voir les informer du décès de ma compagne. A ce moment là je pourrai trouver les informations qui vous interressent.
Ce serai même à moi d'aller informer sa famille.

¤Je devrai alors leur annoncer mon echec.¤
Le hin se savait en mauvaise position face à la réalisation de ses objectifs premiers, sa collaboration avec la Confrérie débutait au plus mal, pour rattrapper son echec il se devait de liberer les enfants disparus. Il risquerai tout ce qu'il avait dans cette tâche, afin de ne pas insulter le souvenir de Syliel.
¤Syliel...¤

-Allez, laissons la rertouver ses ancêtres.

Vingt-neuvième jours du temps des fleurs année de la magie sauvage
29 Kyrthorn 1372

MJ
Lieu : Cormanthor, Vaux
Temps : /
Moment : 20h

Narration : Yvhann, Mirtzar, Narvarth, Enoriel, Jereicia.

ontrairement aux autres races, les elfes n’avaient pas la crainte de la mort, cela appartenait au cycle immuable de la vie et de la nature. Ils l’acceptaient car ils savaient qu’au-delà de leur existence physique, ils allaient avoir une vie meilleure. L’esprit de Syliel allait rejoindre l’Arvanaith, mais son sacrifice ne serait pas vain et sa mort ne resterait pas impunie.

C’est Yvhann qui prit les devants et éloigna le groupe de cette clairière souillée. Mais si la nuit s’était emparée de la forêt avec ses sempiternelles bandes de brumes grises et visibilité limitée à quelques mètres à peine malgré la pleine lune. Rien à ce moment là, n’aurait empêché le cheminement des compagnons. Ils devaient trouver coûte que coûte un endroit où pourrait reposer en paix Syliel et au bout d’une dizaine de minutes de marches, leurs efforts furent récompensés.

La forêt changea encore de visage, les arbres devenant plus espacés et la brume presque inexixtante. C’est alors que les aventuriers débouchèrent sur une petite clairière garnie d’un épais tapis de mousse parsemé de fleurs blanches, le tout baigné par la lumière lunaire. Un endroit véritablement féerique, mais c’était cela aussi le Cormanthor, une succession de paysages tous plus différents les uns et les autres, qui ne cessaient de surprendre quiconque s’aventuraient dans l’ancienne forêt des elfes. Avec un luxe de précaution, Enoriel déposa sur le lit végétal le corps de l’elfe argenté et à ce moment là, que le reflet de la lune fut capté par un bijou que la jeune femme portait à son coup, un loup argenté.

Narration : Kana

e rôdeur préférerait se mettre à l’écart des autres, non pas qu’il ne se sentait pas concerné mais il n’aimait pas les cérémonies funéraires. Trop de souvenirs, trop de blessures encore ouverte. Non, Kanabhendrill décida de rester en retrait, c'était préférable.

Dans un premier temps s’occupa d’allumer un feu, ce qui lui prit une dizaine de minutes, le temps pour lui de trouver du bois. L’opération fut un succès, et les flammes apportèrent au rôdeur un certain réconfort. Il s’assura qu’il disposait d’assez de bois avant d’embrasser du regard les cadavres, le trou et de faire abstraction de l’odeur nauséabonde qui régnait en ces lieux.

¤ Bon, si je commençais par mettre les cadavres de ces pauvres aventuriers dans ce trou pour ensuite m’occuper des autres, ce serait une bonne chose non?¤

Faisant abstraction de son dégout, Kana se dirigea vers l’amas des corps.

Le hin, dans un souci de respect de ses employeurs, se précipita au cou de Syliel, pour lui ôter son bijou, avant qu'il n'ai attiré des convoitises ou même des questions auxquelles Narvarth n'était pas sur d'avoir l'autorisation de répondre. Aussi glissa t'il promptement le loup argenté dans une poche de son sac.

Après quoi il vérifia les possessions de Syliel, hormis sa rapière, elle n'avait plus rien sur elle, tout semblait être dans la clairière du combat, mais cela importait moins que les deux objets qu'elle portait sur elle l'instant d'avant.

¤Je les ramènerai au plus tôt à la confrérie, c'est à eux de voir à qoui ils serviront.¤

Lorsque le hin délesta la barde de sa lame, il donna quelques explications à voix haute pour éviter toute méprise de son geste par ses compagnons.
-Je me dois de rapporter cela à notre employeur, il saura quoi en faire.

Et il glissa à son tour la rapière dans son havresac.

-Voyez-vous un inconvénient à ce qu'on la dépose en terre au plus tôt? Il lui semblait connaître d'avance la réponse à sa question, il était évident que s'ils l'avaient amené ici, dans cette clairière, ce n'était pas pour la laisser pourrir à l'air libre.

Le regard du hin se promena tout autour de lui en attendant une éventuelle réponse, cherchant un objet particulier qu'il ne voyait pas, un sourire se dessina sur ses lèvres, un sourire ironique face à la situation. Il espéra alors que la luminosité lui jouait un tour et que ce qu'il recherchait était bien là, derrière un de ses compagnons

-Quelqu'un a-t-il pensé à prendre une pelle?

A la vue du geste du petit homme, le grugach d'Yvhann devint réellement sauvage et s'approcha d'un pas sur, arc en main et lâcha vers Narvarth qu'il ignorait encore le nom ...
- Remet de suite le loup argenté sur elle... qui est tu pour la déposséder de son artefact de confrérie!?-

Sur sa lancé l'elfe sauvage tenait toujours son arc mais le petit homme put remarquer qui ne la pointait pas sur lui mais que sa main était prêt a tout.

Le druide rôdeur détestait par dessus tout les voleurs surtout sur les cadavres mais sur le coup la fatigue ainsi que le manque de savoir sur Narvarth lui fit remarquer que le petit homme ne voulait que honorer la compagne de chemin avec laquelle il avait évoluer jusqu'ici.

Yvhann n'approuvait pas le geste du Hin, mais qui était il lui même pour formuler un ordre de la sorte sur une personne qui ne connaissait même pas.

il eut un moment pénible suivit d'un silence et le grugach pointa là où se trouvait Kana... Une pelle, il y en avait une, juste là prêt des cadavres des autres aventurier qui avait échoué, avant eut.

Yvhann se senti soudain déposséder, ... Dépossédé d'un sens diplomatique... * -Je ne suis qu'un grugach après tout... Qui suis-je pour.... maudit drow, voilà ta force, celle de nous affaiblir a distance... Maudit soit tu Rylack, ton temps est compté tu vit maintenant sur du temps emprunté... -* Se dit il pour lui même et son moral.

Le petit homme put remarquer que le grugach portait lui aussi, tout comme Enoriel, un loup argenté au col de sa cape.