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Une petite chasse spéciale, Périples et retrouvailles improbables
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Frère-Ours
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Rak de Delzoun appréciait fort Lardreck et Agrénor avant le combat. Son estime à leur encontre atteignit des sommets en apprenant qu'il leur devait la vie.
¤ On peut toujours compter sur les nains ! ¤
Puis le guerrier apprit une nouvelle qui lui tenait à coeur. Ainsi, Crâne d'Oeuf avait lui aussi survécu à cette tuerie. Pour la seconde fois, il éprouva un profond soulagement. Ses deux compagnons étaient toujours de ce monde. Voilà qui ne pouvait qu'améliorer son état. La disparition de Nogusta ne l'affetait en fin de compte peu. Il avait juste un peu de pitié pour le demi-orque, mais pas plus, n'ayant pu établir malgré ses efforts un contact amical avec celui-ci.
Dhalzel lui parla ensuite de sa mission à venir, et des émoluments qui allait déjà lui être versé. A la question de l'homme d'armes, le guerrier répondit d'une voix qui s'affermissait de minute en minute.
- Je n'ai plus rien demander, sauf la venue de mon ami Broxigar. Je sens que le médicament fait effet, mais rien ne vaut la présence d'un ami pour guérir.
Rak fit une courte pause pour reprendre son souffle avant de poursuivre.
- J'espère que la mission ne débutera pas avant que je sois sur pied. J'ai hâte de reprendre du service. Pour les pièces d'or, merci du fond du coeur, monsieur. Ayant perdu la plupart de mes affaires, j'ai envie de faire quelques achats.
Le nain d'écu se tut, non sans avoir salué son interlocuteur d'un petit hochement respectueux de la tête.
Ma hache a deux amis, ma main qui la manie avec amour, et le cou des impudents !!!Fiche Rak de DelzounPNJ : Hannibal Caliban
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DCD en Haute-Forêt
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Broxigar se reposait sur le sable, il écoutait le murmure de l’eau qui s’écoule sur la grève. Il sentait les rayons du soleil caresser son visage. Soudain il entendit des rires, il ouvrit les yeux et se redressa pour apercevoir deux magnifiques jeunes femmes qui jouaient au bord d’une immense étendue d’eau. Il les observa un moment, puis, irrésistiblement attiré par leur charme, il décida de les rejoindre. Il marchait tranquillement sur le sable chaud en pensant déjà à ce qu’il allait leur dire. Et, alors qu’il arrivait près de celles-ci, une coup de vent souffla et souleva du sable dans les yeux de l’homme. Instinctivement, il les ferma pour se protéger…
Lorsqu’il les ouvrit de nouveau, il se trouvait dans le dortoir ou il s’était couché au milieu de la nuit. Des voix féminines avaient remplacé les ronflements des chasseurs et la pièce était maintenant éclairée par la faible lumière que les épais nuages laissaient passer. En tournant la tête, il aperçut les trois serveuses qui faisaient le ménage. L’une d’elle, qui était loin de ressembler aux créatures de son rêve, s’approcha de lui et lui adressa la parole. Il comprit à ses quelques mots que la matinée devait déjà être très avancée ce qui ne l’étonnait pas vraiment vu l’heure tardive à laquelle il s’était couché.
Il se leva difficilement : son corps avait été mis à rude épreuve la veille et il le faisait savoir. Mais finalement, après avoir enfilé sa tenue de voyage et fait quelques étirements matinaux, il était prêt pour aller manger. Se sentant en sécurité ici, il ne prit que sa bourse et laissa son armure et le reste de son équipement dans un coin ou il ne gênerait pas les servantes pour faire le ménage. Si son armure était pratique en combat, le reste du temps elle était plutôt encombrante. Souhaitant profiter de la journée, il s’en passerait pendant quelques temps.
Puis il suivit la jeune servante jusqu'à la salle commune ou le brouhaha qui y régnait fit mal à la tête du prêtre pas encore tout à fait réveillé. Lui qui aimait les réveils calme et paisible fut quelque peu déçu. Mais cette déception fut bien vite remplacée par de la joie lorsqu’il aperçut les deux nains que lui montrait la jeune femme. Il la remercia et lui adressa un grand sourire puis avança en direction de ses deux compagnons. C’est à ce moment qu’Agrénor reconnut le fidèle de Kossuth et que les deux nains lui firent de grands signes. Il leur répondit d’un large sourire et d’un geste de main amical. Il se dépêcha de les rejoindre et leur parla avec entrain.
- Agrénor, Lardreck, qu’elle joie de vous revoir, et en pleine forme en plus. Je vois que notre mésaventure de hier ne vous a pas coupé l’appétit. Je dois dire que je suis pressé d’entendre comment vous avez fait pour vous sortir de ce pétrin et comment vous avez fait pour arriver jusqu’ici. Mais avant cela, je vais juste soulager un peu cette table qui semble avoir du mal à supporter toute cette nourriture.
Il se servit copieusement de tous ce qui semblait le plus ragoutant puis retourna s’asseoir auprès de ses deux amis. En posant son assiette sur la table, il se demanda s’il allait pouvoir tout manger ce qu’il avait prit. Puis d’un haussement d’épaule il retourna son attention sur les deux nains.
- Voila, j’ai de quoi survivre au long récit que vous allez me raconter, je veux tout savoir ce qui s’est passé depuis que nous nous sommes séparés. Vous n’imaginez pas à quel point j’ai été étonné de ne pas avoir retrouvé de trace de vous lorsque je suis retourné sur le lieu de l’embuscade. Par qu’elle magie avez-vous put vous sortir de cet enfer en emmenant tous les corps avec vous ?
Finalement, le fidèle de Kossuth leur céda la parole et les regarda comme s’il ne croyait toujours pas qu’ils étaient en vie. Il commença également à vider son assiette qui semblait avoir du mal à garder toute la nourriture qu’elle contenait.
Niveau 0 : Détection de la magie/Création d'eau/Assistance divine/Lumière Niveau 1 : Mains brûlantes(feu)/Bénédiction/Blessure légère/Frayeur
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Maître de la Confrérie
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Maître de la Confrérie
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Vingt Troisième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage 23e Eleinte 1372 (CV)MJNarration: Rak de DelzounLieu : Fort Noénar-Pavillon de Chasse de la Maison Eirontalar.. Temps : Nuageux Moment : Aux environs de 11h35 drien Vatoré, comptable et trésorier de la Maison Eirontalar fit son entrée dans la chambre de Rak à la demande du guerrier humain. L’occasion pour le nain d’écu de rencontrer ce personnage qui disposait de la confiance et de l’oreille de son maître. Petit, les joues râpeuses, de petits yeux perçants, un visage long et blafard, le tout encadré par une masse de cheveux mi-longs de couleur grisâtre, adrien Vatoré n’était pas particulièrement beau. Mais il s’en moquait un peu bien qu’il veillait tout de même à s’habiller avec goût comme aujourd’hui, ainsi il portait une tunique coûteuse, aux plis impeccables et de sandales en croûtes de veau qui, selon lui, étaient particulièrement confortables et faisaient fureur dans le microcosme administratif des famille nobles aquafondiennes
Le comptable était suivit par un domestique qui traînait avec lui tout l’attirail du parfait petit comptable ambulant : Un pupitre pliant, plumes, encres et encrier, rouleau de papier velin et autre petite chose. Adrien Vatoré était le genre d’être cérébral, efficace et doté d’une réputation d’intégrité qui faisait la joie de son employeur. Dès que le comptable prit place aux côtés du nain d’écu grâce à la chaise laissée vacante par Dhalzel, le serviteur s’empressa de tout installer pour que le comptable soit parfaitement à son aise et surtout opérationnel dans les plus brefs délais. Le comptable ouvrit un livre relié de cuir qu’il extirpa au préalable de sa sacoche et l’ouvrit tout en portant sur le nain un regard inquisiteur.- Bien, bien. Messire Rak, je suis Adrien Vatoré, humble serviteur de la maison Eirontalar en charge des questions financières si je puis dire. Vous êtes désormais sur notre liste d’employés saisonniers de mon maître et donc vous avez des droits et des devoirs, parlons en premier lieu des droits. Plongeant de nouveau sa main dans sa sacoche, l’homme en retira une petite bourse en cuir qu’il posa sur le lit et il continua de parler sur un ton monocorde.- Votre salaire pour cet emploi saisonnier est de vingt cinq pièce d’or, vous trouverez dans cette bourse dix pièces d’or qui constitue une avance sur votre solde. Un solde qui vous sera payé à la fin de votre mission avec une prime laissée à la libre appréciation de maître Eirontalar. Estimant que ces dispositions n’étaient guères soumises à caution, l’homme trempa sa plume dans son encrier et se prépara à écrire sur une page vierge.- Je suis également en charge de satisfaire à vos demandes matérielles donc si vous pouviez m’indiquer à la suite ce que vous désirez pour que je puisse vous le faire parvenir au plus tôt, ce serait parfait et cela nous éviterait de perdre un temps précieux. Il darda un regard interrogatif sur le guerrier nain et au même moment Dhalzel préféra quitter les lieux en glissant à Rak qu’il allait faire mander son ami. MJNarration: BroxigarLieu : Fort Noénar ; Pavillon de chasse de la Maison Eirontalar. Temps : / Moment : 11h00-11h45l valait mieux parfois éviter de demander à un nain de narrer une histoire car si nul ignorait les talents indéniables de conteurs du peuple nain, l’histoire prenait immédiatement des proportions épiques surtout quand le conteur lui-même avait participé à l’aventure. Ainsi Lardreck et Agrénor évoquèrent avec passion le combat contre les elfes, la lutte acharnée, leur détermination à vaincre qui avait été balayée uniquement par le nombre et non la qualité des combattants. Ils n’avaient bien entendu jamais envisagé la fuite!
Aussi ils évitèrent aussi de commenter la disparition subite de Broxigar, préférant narrer les ultimes secondes de l’affrontement et la façon dont ils avaient récupéré Rak. Pendant une demi-heure, les deux nains se montrèrent passionnés et des chasseurs curieux se regroupèrent pour écouter cette aventure grandiose le tout accompagné par quelques pintes de bières issues d’une second tonnelet.
Quand les nains eurent terminés leur récit, leur auditoire n’eut pas le temps de commenter cette superbe aventure qu’un applaudissement sonore se fit entendre, détournant l’attention des spectateurs. Dhalzel Argémian se tenait non loin de la petite assemblée et bientôt sa voix de stentor résonna dans la salle.- Allez, le divertissement est terminé ! Je crois que pour certains, ils sont attendus ! Tandis que les équipages obéirent au quart de tour délaissant la tablée des nains pour vaquer à leurs occupations premières, le colosse roux se rapprocha d’un pas vif et ses premières paroles furent pour Broxigar.- Voilà donc notre voyageur à dos d’âne ! En un seul morceau et l’air particulièrement en forme ! Voilà qui me change agréablement ! ajouta le guerrier sur un ton un peu brusque même si son visage affichait un sourire un peu forcé, vous tombez bien, votre ami Rak de Delzoun souhaite vous voir et je compte vous y faire conduire dès que vous en aurez terminé ici. C’est le cas ?
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Čŗānĕ ďØęűƒ
Aucune chambre
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Chancelant, le moine se rendit bien compte qu’il ne pourrait pas faire plus de quelques pas sans s’effondrer, il n’était plus mourant mes ses muscles étaient restés trop longtemps inactifs pour reprendre si vite l’effort, il devait se rétablir. C’est pourquoi il accepta la proposition des Ilmateris d’attendre une caravane en direction de fort Noenar.
Puis, la chance tourna en la faveur de CranedOeuf lorsqu’un chariot de commande spéciale arriva tout près d’eaux. Les moines se chargèrent d’organiser son retour. Il n’avait aucune envi de s’asseoir dans une caravane, il n’était pas faible, toutefois, il décida que pour cette fois, il pouvait bien laisser tomber ses coutumes. Il n’était pas dan l’état pour les appliquer. Il remercia donc chaleureusement les Ilmateris avant de changer de chariot.
-Merci pour tout, mes amis, je considère que j’ai une dette d’honneur envers Ilmater et son culte. Je trouverai bien un jour un moyen de vous aider à mon tour. Puisse Eldath vous être favorable.
Et la route reprit. William sourit gentiment au cocher mais refusa gentiment son bout de bois. Il ne comprenait pas pourquoi celui-ci lui avait proposé de mordre dedans. Mais alors que la route se poursuivait, le moine reprenait des forces et recomposait son air indescriptible. Il retrouvait la puissance de ses muscles et son regard se précisait alors qu’il surveillait les alentours. Il ne se laisserait pas prendre une deuxième fois par les elfes. Il avait hâte d’arrivé pour voir qui avait survécu. Et il avait aussi une dette envers Broxigar. Il tenterait de s’en acquitter.
« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-Réputation 0.5
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Frère-Ours
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Rak de Delzoun vit entrer le comptable annoncé par Dhazel accompagné d’un domestique. Sous son œil intéressé, il le regarda s’installer, car cela ressemblait presque à un cérémonial. Le comptable ne manquait pas d’allure dans ses vêtements onéreux. Le guerrier apprécia le ton fort courtois bien qu’impersonnel, et soutint sans sourciller le regard chargé de curiosité.
Le nain d’écu écouta le comptable sans l’interrompre. Il apprécia le fait qu’on lui octroie une avance. Mais à l’annonce du montant de la solde prévue pour l’ensemble de la mission, une pensée lui vint dont il ne laissa rien paraître.
¤ J’espère que la prime sera importante si la mission est aussi difficile que pour venir ici. Je ne cours pas après l’argent. Mais avec le combat qu’on vient de faire. ¤
- Messire, copia le guerrier dont ce titre ne figurait pas dans son langage habituel, merci pour l’avance de solde. J’en ai besoin, car j’ai perdu presque tout de mon équipement. Voilà ce que je veux si ma bourse est assez garnie.
Rak apprécia le fait de pouvoir s’exprimer normalement. Décidément, ce breuvage faisait des miracles. Il conserva à l’esprit de remercier chaudement le médecin à la première occasion.
- Je voudrais donc des gantelets, une cervelière simple en acier, une targe, un arc composite avec un carquois et des flèches. Il me faudrait aussi une chainse, des braies, un sac à dos en cuir bouilli, une outre de peau, trois rations de survie, un briquet à amadou et pour finir, une couverture épaisse.
C’est presque sans réfléchir que le nain d’écu avait décidé d’abandonner son marteau de guerre pour une arme de jet. Ainsi, il lui serait possible d’atteindre des ennemis à distance. Les blessures infligées par les flèches des elfes des bois étaient évidemment à l’origine de ce changement.
- Voilà messire. Ma liste est complète.
Ma hache a deux amis, ma main qui la manie avec amour, et le cou des impudents !!!Fiche Rak de DelzounPNJ : Hannibal Caliban
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Aventurière
Aucune chambre
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La grossièreté de la conversation des trois bruyants forestiers attablés à côté d'elle n'avait semble-t-il rien à envier à celle de leurs esprits. Parler de "couper des oreilles pointues" avec tant d'orgueil à une si courte distance de deux êtres portant au sein de leur sang l'héritage des Tel Quessir! Après un dernier regard méprisant, Karine ramena ses cheveux en arrière, dévoilant ainsi ses propres oreilles, effilées, signe flagrant de son metissage. Rustres ou pas, leurs paroles avaient au moins le mérite de mettre en évidence les idées bien arrêtées que partageaient sans doute une grande partie de la population de Fort Roenar. En face de la barde, Inwen avait bondi sur la mention du nom de la maison Eirontalar, avec un empressement surprenant. Rien ne semblait tant l'interesser que cette menace latente de guerre... Avec un soupir, la menestrelle se remémora ce qu'un vieux guide des bois avait affirmé à un duo de chasseurs, elle ne savait plus trop où... Quelle importance? La voix nonchalente, elle répondit aux questions de l'aspirante Gardienne Sylvestre.
"Je n'ai pas eu l'honneur de voir les flèches elfiques verser le sang de malheureux humains, mais il y a déjà deux ans que des... heurts se sont produits dans la région. A ma connaissance, le seul changement notable à cette heure, si l'on excepte l'entêtement des chasseurs à considérer la Haute Forêt comme leur terrain de jeu, est le nombre très important de pertes, en employés principalement, de la maison Eirontalar. Nos lointains cousins ont fait payé un lourd tribut en vies à ce seigneur, je ne sais s'il faut y voir la main de Tymora ou quelque chose de plus significatif."
Elle avait nommé ce hasard Tymora, et non Beshaba, bien que la mort de tant de jeunes hommes aurait du être considéré plutôt comme un malheur tragique. Un peu plus amusée et vibrante maintenant que la conversation revenait sur un point plus interessant de son point de vue particulier, elle prit à nouveau la parole. Se faire désirer était un art, sans lequel de nombreux bardes en seraient réduits à l'aumône.
"Je ne sais pas ma chère... Je ne mets pas en doute votre vif interêt dans cette affaire, mais plutôt votre capacité à convaincre Dame Aérasumé...ainsi que sa propre capacité à écouter. On m'a gratifié d'une grande faveur, à me permettre ainsi d'y aller me présenter, et il ne serait guère bienséant que j'en use ainsi. Le protocole est chose importante en de telles occasions... En revanche après un tel massacre, il est certain que Maitre Eirontalar, s'il a un sou de jugeote, ait pris quelques renseignements... Je suis navrée, mais si tu ne peux mettre en avant que ta curiosité... Ne peux-tu te réclamer de quelques hommes puissants, ou d'un organisation qu'ils seraient obligés de respecter? Même s'il s'agit d'un mensonge, seule l'apparence compte en ce genre d'entretiens."
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
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Narration: Rak de Delzoun
D'une élégante écriture, Adrien Vatoré nota scrupuleusement les désirs du nain d’écu sans sourciller et encore moins d’émettre un quelconque avis, ce n’était pas son rôle.
- Il semble que vos finances vous permettent de procéder à de tels achats qui s’élèveront à un montant de treize pièces de platine, une somme globale qui prend en compte nos frais de gestion , d’intendance et diverses petites choses, souligna l’humain d’une voix monocorde, je vais vous faire livrer ces équipements dans votre chambre dans l’après-midi. Et l’argent prélevé dans votre bourse.
Aussitôt qu’il prononça ces mots, le comptable s’empara de la bourse qu’il avait posée sur le lit et la fourra dans une de ses poches.
- Bien, le solde de votre bourse se trouvera bien entendu avec vos affaires avec un reçu de notre part récapitulant vos achats. Il s’agit bien entendu de matériel neuf et en parfait état.
Il inspira et dévisagea le guerrier un instant avant de refermer le livre.
- Je vais donc vous laisser pour faire préparer tout cela. Une dernière chose messire Rak de Delzoun, avez-vous une demande particulière, une envie de collation ou un désir quelconque?
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Novice de la Confrérie
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La jeune rôdeuse proposa de bonne grâce de partager son copieux repas matinal avec Karine. Elle ne cherchait pas à l’amadouer mais simplement à se montrer polie et elle tenait peut être la clef pour approcher cette maison nobiliaire. La conversation animée qui avait lieu à la table d’à coté avait tendance à énerver quelque peu la rôdeuse et apparemment la barde, qui les provoqua en dévoilant la partie elfique la plus visible. Enwën n’en tenant plus, se leva et se tourna vers les trois humains.
- Excuse moi Karine ! … C’est pas bientôt fini vos procès d’intentions ! Vous ne regardez que le bon de votre nez et vous ne voyez que ce qui vous arrange et ne cherchez pas à savoir de quoi il en retourne ! Vous croyez qu’en coupant quelques dizaines d’oreilles pointues comme vous dite, vous aurez la solution au problème ? Je pense plutôt que vous envenimerez encore plus les choses ! Mais si ca vous tente, commencez par mon amie et moi…Dit elle en passant ses long cheveux noir derrière son oreille pointue…Comme ça vous aurez déjà deux trophés de chasse ! A moins que ce ne soit moi qui vous les tailles en pointe, ce qui ne vous rendra pas plus intelligent, je ne le craint ! Au lieu de vous lancer dans de grands discours philosophiques de comptoir arrosés de bières, vous feriez mieux de vous renseigner et de chercher pourquoi de tels conflits ont commencés !
Je ne dis pas que les elfes sont tous rose et qu’ils n’ont pas leur part de faute, mais les connaissant un peu, de par mon héritage métissé, je ne pense pas qu’il attaque sans raison. Alors maintenant, si vous n’avez plus rien d’intelligent à dire, fermez la que je mange tranquillement avec mon amie.
Inwën se laissa retomber sur sa chaise, rouge de colère, enfourna un morceau de pain au miel et garda les yeux rivés sur son bol de lait. Elle laissait peu à peu redescendre la colère ¤ Imbécile d’humain !¤[/I]! Sans lever la tête, elle lança un coup d’œil nerveux au trois hommes, s’attendant à une réponse cinglante voir même brutale de leur part.
D’un geste rapide et gracieux, presque théâtrale, elle dégagea un pan de sa cape laissant apparaître sa lame et indiquer par le fait, qu’elle n’avait pas que sa grande bouche comme répartie. Relevant les yeux, elle regarda Karine, une pointe d’inquiétude dans le regard et lui sourit.
- Désolée, mais je ne pouvais les laisser dire de telles choses sans réagir ! Bon ! Avant de prendre le coup de bâton que j’ai tendue pour me faire battre, je tenais à te dire que je comprend ton refus de par ta position d’inviter au sein de cette maison. Mais je n’ai vraiment pas l’envie ni le temps de chercher quelques bouffons pour faire bonne figure devant ces nobles. Il y a d’autres moyens détournés pour entrer dans ce genre de grande demeure et qu’ils le veuillent ou non, ils m’entendront !
Sache que je ne t’en tiens pas rigueur et que je suis heureuse d’avoir fait ta connaissance et d’avoir entendu une de tes balades, Karine. Mais maintenant il faut que je me dépêche. Eau pur et rire léger mon amie.
[I]Inwën saisie son sac, emballa les restes de son repas, les rangea dedans, bue son lait et paya son due.
Inwën tente bluff sur les trois hommes !
Inwën/QuevvenRéputation: 1.5
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DCD en Haute-Forêt
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Broxigar écouta attentivement l’incroyable récit que lui narraient les deux nains. Contrairement aux autres personnes qui se regroupaient autour de la table, le prêtre n’avait que faire de tout ce qui était exagérer. Il utilisait ses propres souvenirs et retenait les éléments les plus probables pour reconstituer la fin du combat. Après trois quarts d’heure de péripéties fantastiques, le fidèle de Kossuth pensait avoir reconstitué une bonne partie de ce qui s’était réellement passer après son départ.
Alors que Broxigar se reconstituait la scène dans son esprit, des applaudissements le ramenèrent à la réalité. Le colosse roux eut vite fait de disperser toute la foule et s’approcha des trois aventuriers encore attablés. Le Brasier ardent lui fit un sourire qui s’effaça très vite lorsque le guerrier commença à parler. Une nouvelle fois, tout le poids du monde retomba sur les épaules du prêtre. Combien de temps devrait passer avant qu’on arrête de lui remémorer ces instants honteux ?
De nombreuses phrases cinglantes lui montèrent à l’esprit, mais il ne dit rien. Il se contenta d’écouter jusqu’au bout Dhalzel et fit comme s’il n’avait pas remarqué son ton qui contredisait ses paroles et son sourire forcé. Une fois les quelques phrases prononcées, Broxigar regarda son assiette qui avait perdu beaucoup de volume. N’ayant plus vraiment faim, il s’essuya la bouche, repoussa son assiette au milieu de la table, se leva et rejoignit son interlocuteur. -Effectivement, j’ai fini. Je vous suis.
Niveau 0 : Détection de la magie/Création d'eau/Assistance divine/Lumière Niveau 1 : Mains brûlantes(feu)/Bénédiction/Blessure légère/Frayeur
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