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Une petite chasse spéciale, Périples et retrouvailles improbables
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DCD en Haute-Forêt
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Plus la nuit avançait et plus Broxigar regrettait son choix. Il s’ennuyait à mourir sur cette route qui semblait ne jamais finir. Sa monture avait beau être des plus utiles, elle n’était pas très bavarde. Il n’y a que les quelques arrêts de la bête pour brouter qui venait troubler la monotonie du voyage. Le fidèle de Kossuth tachait alors de la faire repartir sans trop s’énerver et surtout sans faire de bruit. Il préféra marmonner quelques insultes plutôt que de crier ouvertement.
Effectivement ce voyage en solitaire ne le rassurait pas particulièrement. Il faisait une proie idéale pour tous les brigands du coin. A cette heure, ils devaient dormir car les passages de caravanes étaient très rares mais il préférait ne pas jouer avec l’eau. Pour accroître sa paranoïa, la fatigue l’assaillait et il devait lutter pour garder les yeux ouverts. A chaque fois qu’il se relâchait, il apercevait des ombres inquiétantes. Il se frottait alors les yeux puis distinguait en fait un arbuste de forme étrange ou l’ombre d’un arbre formée par les rayons de lune qui perçaient parfois les nuages.
Et comme si le sort s’acharnait, une brise froide se leva pour pénétrer à travers toutes les plaques de son armure. Ne supportant pas d’avoir aussi froid, le brasier ardent sortit la fine couverture qui accompagnait sa paillasse et l’entoura autour de lui. Même si cela ne le réchauffa que très peu, il était au moins un peu abrité du vent.
¤Hé ben mon vieux, tu aurais bien fait de rester avec les Ilmateris, tu dormirais tranquillement auprès d’un bon feu. Mais bon, maintenant c’est trop tard, tu ne peux plus vraiment faire marche arrière. Seigneur des Flammes, réchauffe mon cœur et donne lui le courage de poursuivre jusqu’au bout. ¤
Puis finalement, après encore quelques instants qui lui parurent des heures, il vit apparaître le fort devant lui. Il donna quelques coups de talons pour faire accélérer l’âne, mais celui-ci sembla l’ignorer et continua son chemin tranquillement comme s’il n’était pas pressé d’arriver. Alors qu’il n’était plus qu’à quelques pas de la porte, il aperçut les silhouettes menaçantes qui pointaient leurs armes sur lui. A cette vue, Broxigar eut un léger sourire :
¤ Quelle ironie, je me promène tout seul, de nuit, pendant des heures sans un seul souci et alors que j’arrive enfin dans un lieu civilisé je suis en danger. J’espère que ces gardes sont plus éveillés que moi et qu’ils ne lâcheront pas la corde de leur arc sans faire exprès. ¤
- Bien le bonsoir messieurs, Broxigar Caladaï, serviteur dévoué de Kossuth et aussi voyageur épuisé à cette heure. J’ai été engagé par la maison Eirontalar. Si je ne me suis pas perdu, il devrait habiter dans ce Fort. Nous devions escorter sa dame jusqu'à Eauprofonde. Malheureusement, nous sommes tombés dans une embuscade. Je crois qu’il y à eu des survivants et je pensais donc les retrouver ici. Si c’est bien le cas j’espère que vous allez m’apprendre de bonnes nouvelles.
Broxigar resserra sa couverture autour de ses épaules et regarda l’homme qui lui avait adressé la parole avec une lueur d’espoir dans les yeux.
Niveau 0 : Détection de la magie/Création d'eau/Assistance divine/Lumière Niveau 1 : Mains brûlantes(feu)/Bénédiction/Blessure légère/Frayeur
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Čŗānĕ ďØęűƒ
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Un doux bruit. On aurait dit quelque chose grondant doucement en se frottant et en se fracassant contre la pierre, la terre. Un liquide. Des tonnes et des tonnes de litres de liquide se déferlant gentiment ou furieusement contre la pierre. Le liquide le plus doux, ou le plus déchaîné. Celui même qui compose en grande partie les hommes. Celui même qui sait nous rafraîchir. Celui qui peut détruire ou soigner. Celui que l’on retrouve en goutte, en flaque, en ruisseau, en rivière, en lac, en fleuve, en mer et même en océan. De l’eau. De l’eau en si grande quantité. Un réseau inimaginable d’eau. Où les affluants sont si nombreux que l’on ne peut les compter. Le domaine d’Eldath. Et au milieu de cette eau bouillonnante, un corps. Celui d’un pauvre serviteur d’Eldath. Chauve, presque rachitique.
¤Mais où suis-je ? Est-ce ça, le domaine d’Eldath ? Suis-je enfin mort, après toute les fois où j’en ai réchappé ?¤
William se leva, sur l’eau. Il flottait. Il se mit à déambuler à travers des tonnes d’endroits différents où il put voir l’eau sous toutes ses formes. Des sources thermales où l’eau est si chaude qu’elle est gazeuse. Des plaines glaciaires où le froid est si frappant qu’il tuerait n’importe quel être vivant. Là, il trouva une montagne. Et au pied de cette montagne, un tunnel. Et au fond de ce tunnel une lumière éblouissante…
Et plus rien. Le noir complet. Puis, la douleur. Le moine revint enfin à lui. Toute la douleur de ses blessures le frappa. Il put à peine la réprimer. Avec peine, il ouvrit les yeux. Il semblait être dans un endroit austère, sur une paillasse. Mais l’effort était trop grand, il referma les yeux. Il tenta d’écouter.
¤Mais qu’est-ce qui m’arrive. La bataille, les flèches, la douleur. Où suis-je ? Je dois me lever. Impossible. Je suis vivant, il semblerait qu’Eldath m’ait encore sourit.¤
« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-Réputation 0.5
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Aventurière
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Merci d'avoir pris soin de ma barde pendant mon absence, Sire Isorion. Ca a duré une semaine de plus que prévu... Fort Roenar deviendrait sans doute une ville où séjourner à maintes reprises pour Karine. A l'orgine embauchée pour animer quelques jours de fêtes, il avait suffi d'une chanson pour que Tymora lui sourit. Un peu plus d'or en poche, la barde s'était vue accoster par le représentant d'une noble dame, originaire de la mégalopole où elle-même avait vu le jour. Il ne s'agissait encore que d'une réception mais, sa nouvelle employeuse prévoyant selon toute apparence à prendre la route vers Eauprofonde, il était envisageable qu'elle désire quelque distrayante et féminine compagnie... C'est avec cette idée en tête que la demi-elfe avait laissé le sommeil la prendre, et elle ne s'était pas évanouie durant la nuit. Quelques heures la séparait encore de sa matinale entrevue, et elle envisagea de coucher sur le papier quelques vers ou refrains qu'il serait de bon ton d'employer en noble compagnie. Karine avait déjà sorti de son paquetage une feuille vierge et son necessaire à écriture quand, fidèle à sa nature changeante, il lui parut plus interessant de quitter cette provisoire solitude et de rejoindre la salle commune. Habituée aux voyages, il ne lui fallut guère de temps pour soigneusement préparer son bagage, et c'est chargée de son modeste équipement qu'elle quitta sa chambre.
Bien lui en prit, car la silhouette moins voûtée que la nuit dernière de sa brève compagne de la veille était attablée seule. Ses applaudissements avaient été sincères hier, et c'était par la bouche d'un voyageur qu'on entendait les nouvelles les plus distrayantes. Elle se dirigea d'un pas vif vers Inwen, s'installa en face d'elle, la mine joyeuse, le regard pétillant.-Tous mes voeux pour cette journée très chère Inwen! J'ai été comblée hier, il serait injuste que vous ne le soyez pas aujourd'hui! Une noble aquafondienne, Dame Aérasumé, organise une reception et j'en serais, si Beshaba ne s'en mêle pas. Je dois me rendre tout-à-l'heure à la maison Eirontalar. Elle jeta rapidement un oeil aux hommes d'armes à leurs côtés, l'air un peu amusée, mais de façon étrange, sombre. Ses yeux ne brillaient plus aussi enfantinement.-Mes talents me permettront sans doute d'en retirer plus d'avantages, pécuniers et autres, que ces pauvres bougres ne peuvent l'espérer s'ils risquent leur vie pour l'escorter. Amusant non? Son visage se voila un instant, comme si elle se rendait compte du cynisme dont elle avait fait preuve, mais lorsqu'il s'éclaira à nouveau, cette illusion se dissipa clairement.-Ah oui, pardonnez-moi, vous ne pouvez comprendre. Cette dame s'en retourne à Eauprofonde d'ici peu, et j'espère etre du voyage. Sa voix brillait d'un enthousiasme digne de l'enfance, bien loin de la morgue qu'avait manifesté son timbre lors de sa remarque sur les hommes d'armes.
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Novice de la Confrérie
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La rôdeuse écoutait Karine avec intérêt et amusée par ses paroles et sa légèreté. Elle faisait une compagne agréable et surtout intéressante pour sa mission. Karine en tant que barde, avait du entendre quelques informations intéressantes lors de ses déplacements du genre de cette discutions qu’avaient les trois hommes à la table d’à coté. Et puis il y avait le message de Lomion et l’importance de la maison Eirontalar dans cette région. Et Karine qui justement devait s’y rendre, il n’y avait pas meilleur opportunité.
- Dis moi Karine ! Lors de tes déplacements dans la région, tu as du entendre parler de ses attaques d’elfes sur les humains ? je suppose que oui ! Mais en as tu été témoins ? Je t’avoue que sa me perturbe et connaissant les deux parties par mon héritage sang mêlé, j’aimerais vraiment comprendre ce qu’il se passe !
Enwën préférais taire son appartenance aux gardiens Sylvestre dans un premier temps, la discrétion payait toujours et puis elle aurait bien le temps de lui dire si le besoin s’en faisait sentir. Peut être qu’au sein de la maison Eirontalar, si elle réussi à y entrer, elle devra se présenter comme affiliée à la guilde.
- Tu m’as dit que tu devais te rendre à la maison Eirontalar ! Crois tu que je puisse y entrer d’une façon ou d’une autre ? non pas que je sois une voleuse et que je veuille mettre main basse sur leurs trésors ou autres ! Mais j’ai entendu dire que cette maison abritait une famille noble importante de la région et qu’ils devaient certainement en savoir plus aux sujets des attaques. Ils ont les bras longs ces gens là et posséder des contacts un peu partout qui glane des infos sur tel ou tel sujet ? Tu n’crois pas ! Enfin voilà, j’me suis dit que peut être tu pourrais m’aider à entrer ? Mais je ne t’en voudrais pas si tu refuse, crois moi, je comprend que la situation peut être délicate pour toi !
La demi attendit la réponse de la barde, espérant l’avoir assez convaincu pour ne pas qu’elle cherche à en savoir plus sur son compte et l’oblige à se dévoiler.
Inwën/QuevvenRéputation: 1.5
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Maître de la Confrérie
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Vingt Troisième de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage 23e Eleinte 1372 (CV)MJNarration: BroxigarLieu : Fort Noénar ; Pavillon de chasse de la Maison Eirontalar. Temps : / Moment : 4H32 l’appel d’un des sergents du guet, deux hommes d’armes portant les armoiries de la Maison Eirontalar se pressèrent à l’entrée pour accueillir Broxigar et prêtre n’eut pas vraiment le temps de réaliser qui se passait autour de lui, car on l’escorta immédiatement vers le pavillon de chasse des Eirontalar tandis que sa monture fut menée vers les écuries. L'arrivée quelques heures plus tôt des survivants avait été LA nouvelle de la soirée et leur histoire avait semé un peu la confusion. Car selon les dires des nains, cette attaque avait été terrible puisqu'ils avaient combattu pas moins d'une trentaine de sauvages elfes enragés. Un combat perdu d'avance mais ils avaient tenté le tout pour le tout. Alors qu'un autre homme revienne de cette embuscade en pleine forme était une bonne nouvelle et on accueillit avec une certaine joie le prêtre.
Des torchères et des pots à feu brûlaient un peu partout dans le Fort, facilitant ainsi le cheminement du petit groupe. Par chance le prêtre n’eut guère besoin d'interroger ses guides, ils se montrèrent eux-mêmes prolixe. Il apprit ainsi que Rak était bel et bien vivant tout comme deux autres nains. Hélas il y avait des victimes, Ian et Karl étaient morts, ainsi que Nogusta, le guerrier demi-orque . Parmi les serviteurs du marchand nain, il n’y avait aucun survivant. En outre, il venait de recevoir l’assurance qu’il pourrait voir Rak dans la journée.
Au bout de quelques minutes, ils pénétrèrent dans une immense bâtisse, dans la partie des communs où on le mena automatiquement dans les cuisines. Des billots de bouleau brûlaient dans l’immense âtre, où une femme aux formes épanouies s’affairait avec un tisonnier pour raviver les flammes. Quand ils entrèrent, elle se releva rapidement et dévisagea le nouveau venu.- Ben mon joli damoiseau, quelle tête avez-vous là ! Une mine affreuse ! Allez installez-vous un moment. En quelques secondes, un bout de table fut dégagé par la femme qui se présenta rapidement : Bertille. Elle déposa devant Broxigar, une écuelle remplie de lard et de choux. Un pichet de vin et un morceau de tourte aux patates douces complétaient le repas. - Allez mangez ! Je vais vous faire préparer l’endroit où vous dormirez pendant ce temps là. Mais pas de faux espoirs mon garçon, ce sera une simple couchette dans une des salles communes ! Mais il y la chaleur d’un feu de bois, un matelas de fortune mais c’est mieux que rien et une ou deux couverture au choix. On ne peut pas dire que notre maître ne prend pas soin de ses gens ! Elle désigna de la tête les deux hommes qui accompagnaient le prêtre. « Il reste de la place là où dorment Helm et Rolf, ils vous y mèneront une fois restauré ! Allez, mangez ! » Broxigar se retrouva seul avec les deux hommes d’armes dans une cuisine, les humains s’installèrent non loin de là et le regardaient étrangement. Finalement l’un d’entre eux s'adressa à lui.- Vous au moins, vous ne m’avez pas l’air trop amoché hein, au contraire de vos compagnons nains. L’homme essaya de sourire pendant que son compagnon remplissait leurs gobelets de vins. MJNarration: Rak de DelzounLieu : Fort Noénar-Pavillon de Chasse de la Maison Eirontalar.. Temps : Nuageux Moment : 11h16 Rak récupère tous ses points de vie= 13 Equipement Rak resté en sa possession : Chemise de maille de maître, Bottes de cuir cloutées, gantelets, ceinture + hache de guerre naine et argent halzel apprécia la réaction du nain qui malgré son état montrait un sens de l’honneur intact et pendant qu’on les laissait seul dans la pièce, il s’approcha du lit où reposait le guerrier nain et prit place sur un tabouret. - N’aie crainte Rak de Delzoun, j’ai eu de nombreux de compagnons d’arme qui appartenaient à ceux de ta race et à chaque fois, ils n’ont eu guère besoin de me prouver leur valeur. Je sais que tu respecteras ta parole. Crispé, Dhazel se pencha en avant, rivant son regard sur le nain. - Dans ton malheur et le mien, nous avons au moins une bonne nouvelle. Ton ami humain, prêtre de Kossuth a avoir survécut et semble en pleine forme. Il est ici au Fort. Décidément la chance était avec vous tandis que pour d’autre… On pouvait aisément deviner que l’homme était un peu mortifié d’avoir perdu deux de se hommes, des fidèles. Il ne laissa guère planer de doute sur ses sentiments.- Ces salauds d’elfes vont me payer cela, je peux te l’assurer Rak, et cela d’une manière ou d’une autre. Mais je ne suis pas homme à m’emballer, j’ai besoin de savoir exactement comment cela s’est passé, et d’avoir ta version des faits. Sait-on jamais, il y a peut-être un indice qui pourrait m’aider à identifier clairement vos agresseurs. Un éclat sauvage embrasa le regard du guerrier tandis qu’il attendait patiemment la réponse du nain. MJNarration: Inwën et KarineLieu : Fort Noénar-Auberge du Cerf Blanc. Temps : Nuageux Moment : 7h30 à 8h30 Inwën paie son petit-déjeuner : 3 PA Inwën : Total séjour auberge + 2 repas : 1 PO et 1 PA nwën avait semble-t-il adopté d’office la jeune barde, et se montrait affable. Eirontalar ? Il s’agissait bien du nom qu’Isorìon avait notifié dans son message, elle ne pouvait pas croire à une simple coïncidence. Le petit-déjeuner de la rôdeuse arriva avant que Karine ne puisse répondre aux multiples interrogations de sa compagne de table. Une petite jarre remplie de lait chaud, un pot de miel, une miche de pain, un pichet d’eau et un bon morceau de beurre composaient le tout. De quoi rassasier l’appétit naissant de la rôdeuse qui avait écouté d’une oreille plus que discrète la conversation de la barde. Mais elle se ressaisit et décocha un sourire confus à Karine La rôdeuse n’eut pas besoin d’en dire plus, à côté des deux jeunes femmes, la conversation continuait de plus belle, un peu bruyante mais il ne fallait pas s’attendre à autre chose de la part de trois hommes qui buvaient de la bière de si bon matin.- Recruter oui ! Il va falloir qu’ils recrutent deux ou trois guides supplémentaires c’est sûr ! Il parait que le vieil Herbert sera aussi de la partie très prochainement. - Bah n’empêche que si c’un bon guide, je persiste à dire que cet Herbert est un fou ! il est prêt à accepter n’importe quoi pour de l’argent, il a changé depuis quelques années le bougre ! Les hommes hochèrent la tête. Un d’entre-eux, un gringalet d’une vingtaine d’année ricana.- Moi je veux plus m’aventurer en forêt c’est terminé. Pas tant que ces sauvageons fassent leur loi. Pourquoi on ne fait pas le ménage. Les deux hommes plus âgés éclatèrent de rire. - Là ça dépasse notre compétence gamin. Moi je suis juste un piégeur, après le reste ça ne me regarde pas ! Hein Largo ! Le troisième homme, au fort accent du sud, approuva et d’un air moqueur- Ouais, il faudrait peut-être couper quelques dizaines d’oreilles pointues pour les forcer à être plus aimable avec nous non ? Nouveau concert de rire puis ils changèrent de sujet avec l’arrivée de nouvelles pintes de bières. Les deux jeunes femmes pouvaient alors continuers leur discussion.
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Maître de la Confrérie
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23e jour du mois d'Eleinte 1372 (CV)Lieu :Vers la cité de Yartar. Temps : nuageux. Moment : 16h11Suite des aventures pour Rak et Broxigar: ICIMJNarration :William William a récupéré tous ses PV = 16ldath veillait sur les siens, le moment n’était donc pas venu pour William de rejoindre sa déesse. Il allait pouvoir s’en réjouir. Il ouvrit le syeux pour découvrir penché sur lui un homme portant des habits de moines et le symbole d’Ilmater bien en vu. L’inconnu était disgracieux au possible et présentait un visage marqué par la petite vérole, une bouche tordue, et avait en plus un strabisme prononcé. Mais Mériadec, tel était son nom, au-delà de ces quelques détails physique, demeurait un guérisseur de talent qui faisait la joie de la congrégation des moines d’Ilmater à laquelle il appartenait. Quand on lui avait confié ce patient, il avait espéré le remettre debout rapidement mais dans les Royaumes, la volonté divine pouvait aller à l’encontre du moindre souhait des pauvres mortels qui peuplaient Toril. Mériadec en savait quelque chose, il avait échoué dans toutes ses tentatives de soins et William s’était enfoncé peu un peu dans le coma. Le guérisseur se présenta et dans que le moine d’Eldath ne lui demande, survola pour lui les derniers événements.Il ne fallait donc jamais jurer de rien et au final c’est au cours de la seconde partie de la nuit que le moine d’Eldath commença à s’agiter sur la paillasse de fortune installée dans un des chariots du convoi. Il délirait, parlait tandis que tout son corps enfiévré se raidissait soudainement avant de devenir quelques secondes plus tard aussi mou qu’une chiffe molle. Mériadec veilla le moine avec attention même lorsque les ilmateris avaient fait une halte sur la route menant à Yartar, il épongea maintes et maintes fois le visage tourmenté de William et c’est finalement au petit matin que le moine reprit conscience. Le convoi était de nouveau sur la route et l’ilmateri aida William à se redresser et lui offrit un bol de soupe encore tiède.- Allez frère moine buvez-moi ça, ça va vous requinquer. La soupe composée de choux verts, de pommes de terre, citrouilles et poireaux, ne pouvait qu’être bénéfique pour William. Force était de constater qu’il était complètement vidé de ses forces. Mériadec lui raconta par le détail leur rencontre avec Broxigar, la découverte du moine inconscient et la disparition des corps des victimes. Mais oui il y avait des survivants, mais à part le prêtre humain, ils ignoraient qui exactement. Il restait aussi le prêtre de Kossuth qui les avait quitté la veille au soir pour se rendre à Fort Noénar avec la promesse qu’il repasserait dans les prochains jours par Yartar pour prendre de ses nouvelles. D’ici là le moine serait parfaitement remit sur pied selon les ilmateris. Et pendant ce temps, le convoi poursuivait tranquillement sa route.
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Quel soulagement ce fut pour Broxigar d’appendre que son ami était toujours en vie. Il lui semblait que, pour la première fois de la journée, son corps se relâchait, ses épaules se détendaient et son ventre se dénouait. Le prêtre aurait aimé voir immédiatement le guerrier nain, mais il comprenait que celui-ci avait besoin de repos. Il était resté en vie jusque là et d’après ce qu’on lui avait dit, il était hors de danger. Il pourrait donc l’attendre encore une nuit.
Il fut également heureux d’apprendre que les deux autres nains avaient survécus, et il était pressé de les rencontrer pour savoir comment ils avaient fait pour s'en sortir. Le fidèle de Kossuth souri discrètement quand on lui parla du récit que leur avaient fait les nains. Il n’ajouta rien pour contredire leur version. D’une part car il était trop fatigué pour parler de ça pour l’instant, et d’une autre car il voulait que les survivants profitent de l’instant. Après l’épique combat qu’ils avaient mené, ils méritaient bien leur heure de gloire. Il rétablirait la vérité plus tard, quand toutes les plaies se seraient refermées.
Mais il se demandait si un jour, ces blessures guériraient entièrement. Comment pourraient il oublier tous ses compagnons qui étaient morts ce jour là ? Il se sentait même responsable de leur décès. Après tout, c’est lui qui leurs avait dit de se battre. C’est lui qui leur avait dit qu’il s’occuperait d’eux s’ils étaient blessés. Mais il avait failli, il n’avait rien put faire pour eux. Il prit alors conscience de sa faiblesse et se promit de s’améliorer pour mieux servir son Dieu et pour ne pas avoir à revivre de telles situations. Il savait très bien qu’il aurait certainement d’autres batailles aussi difficiles que celles là, mais il espérait que la prochaine fois que cela arriverait, il serait plus utile.
Finalement, c’est la voix de la femme qui sorti Broxigar de ses pensées. Il l’écouta jusqu’au bout et la regardait en souriant. Même s’il ne lui répondit rien, il n’avait pas besoin de se faire prier pour manger ce repas qui était le plus appétissant qu’il ait vu depuis de nombreux jours. De même, il ne s’inquiétait pas le moins du monde de l’endroit où il allait passer la nuit : après une journée comme celle-ci, n’importe quel endroit serait plus approprié qu’une nuit à la belle étoile. Alors qu’on lui promette un matelas, des couvertures et même un feu de bois le comblait de joie.
Une fois la cuisinière partie, il commença à manger avec appétit. Mais il était un peu gêné par le regard des deux hommes. Il n’aimait pas du tout l’idée qu’on le fixe ainsi. L’un des deux dut le comprendre, à moins que ce ne soit un pur hasard, car il brisa le silence qui n’était alors jusque là troublé que par les couverts qui s’entrechoquaient. Malheureusement, les mots prononcés ne le mire pas vraiment à l’aise. Une nouvelle fois, il se rappelait sa fuite. La honte qu’il en ressentait revenait une nouvelle fois à la charge, comme si elle ne le laisserait pas tranquille tant qu’il serait en vie. Même s’il avait une grande envie de rester terré dans son silence, il se força à répondre, par respect pour ceux qui étaient morts à ses côtés :
- A vrai dire, je n’ai pas vraiment de mérite, j’avais à mes côtés de valeureux guerrier qui se sont combattus courageusement. Mais tout cela n’a pas suffit, submergé par le nombre, nous tombions les uns après les autres. Une fois sûr que nous ne pourrions pas nous en sortir, je n’ai pas eu d’autre choix d’effectuer un repli stratégique. Je me suis dit que si je survivait, je pourrait revenir peut de temps après pour sauver les survivants. Chose que j’ai bien évidement faite. Mais, je ne sais par quel miracle, il semble que certains d’entre eux aient survécus et aient eu le temps de déguerpir avant mon retour. Je suis d’ailleurs pressé de les voir, pour qu’ils m’expliquent ce qui s’est passé après mon départ.
Le brasier ardent n’osait même plus les regarder dans les yeux, il fixait son repas et se forçait de manger alors que d’évoquer ce récit lui avait complètement coupé l’appétit. Il espérait que cette discussion n’allait pas trop se prolonger et qu’il pourrait bientôt aller se coucher.
Niveau 0 : Détection de la magie/Création d'eau/Assistance divine/Lumière Niveau 1 : Mains brûlantes(feu)/Bénédiction/Blessure légère/Frayeur
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Frère-Ours
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Le moral de Rak s'améliora grandement en apprenant que Broxigar était toujours en vie.
¤ Quelle bonne nouvelle. J'espère qu'il se porte bien. ¤
Le guerrier adressa un large sourire à Dhalzel. Celui-ci lui avait fait une bonne impression à Fort Olostin. Son estime pour lui remonta encore d'un cran à l'écoute des paroles vindicatives.
¤ Ces elfes sauvages ont peut-être de bonnes raisons d'être mécontents. Mais de là à attaquer ainsi sans raison. ¤
Mais le soldat de la maison d'Eirontalar demeurait sensé malgré son emportement, et souhaitait avant tout connaître la vérité. L'esprit encore embrumé, Rak réfléchit posément. Il s'exprima plus facilement que précéemment. Le médicament faisait-il effet ?
- Nos agresseurs étaient des elfes sauvages... Il n'y a aucun doute là-dessus... Pourquoi ils ont attaqués ?... Je n'en sais rien... Nous étions tous dans les trois chariots d'un marchand... En tous cas, les elfes n'en voulaient pas à la cargaison... Ils ont brûlés deux chariots... C'est comme ça que l'attaque a commencé... Avec ces flèches qui ont enflammé deux chariots... On ne faisait que passer... ET ils ont attaqué... Ils ont tué un cheval du premier chariot pour arrêter les autres... Ils ont aussi tué le cocher de mon chariot... Un petit jeune bien sympathique... J'étais dans le deuxième chariot... J'ai pu m'échapper avant que tout brûle... Broxigar aussi... Mais Nogusta, il est sorti trop tard... Il était brûlé de partout... Rien à faire pour lui... Crâne d'Oeuf avait disparu quand je suis sorti... Lui il courrait derrière le troisième chariot au moment de l'attaque... On s'est bien battu... On a tué cinq elfes je crois... Mais il en restait toujours... Impossible de dire combien ils étaient car certains se cachaient dans les lisières... De là, ils finissaient toujours par nous toucher... J'ai reçu trois flèches... Puis je me souviens plus de rien... J'avais perdu trop de sang... Quel combat... Je me demande comment je suis encore en vie... Qui m'a amené ?... Et avez-vous des nouvelles de Crâne d'Oeuf ?
Fatigué par sa longue tirade, le guerrier attendit de connaître l'indentité de son, ou de ses sauveurs. Ses yeux pleins d'espoir montraient également combien il souhaitait entendre de bonnes nouvelles concernant son ami moine.
Ma hache a deux amis, ma main qui la manie avec amour, et le cou des impudents !!!Fiche Rak de DelzounPNJ : Hannibal Caliban
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Čŗānĕ ďØęűƒ
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Après un grand effort de volonté, le moine réussit à ouvrir les yeux. Au dessus de lui était agenouillé et vieil homme habillé comme un moine. Celui-ci lui souriait gentiment en lui tendant un bol de soupe.
¤Mais qui est cet homme ? Où suis-je ? Il semble habillé comme un moine. Du gris, les mains liées. Oui, c’est un dévot d’Illmater. Je ne suis sûrement pas en danger alors. On a dut me soigner après ma chute. Pourtant, les elfes auraient dut me tuer, et je suis tombé dans un endroit si isolé qu’on aurait eu peine à me trouver. Mon esprit est aussi fatigué que mon corps.¤
CranedOeuf ouvrit la bouche, comme pour parler mais aucun son n’en sortit. Il la referma, puis, s’humidifia les lèvres à l’aide de sa langue. Il réessaya. Une voix enroué parvint à se frayer un chemin jusqu’à l’extérieur.
-Merci.
Au prix d’un grand effort, Will’ se redressa un peu sur sa couche et prit dans ses mains branlantes le bol de soupe que lui tendait le prêtre. Il porta le bol et à ses lèvres et pendant qu’il buvait, l’ilmateri lui racontait les événements. Will’ acquiesçait faiblement de la tête et le regardait. Plus il buvait la soupe et plus il semblait regagné sa force.
¤Alors c’est ce prêtre de Kossuth qui m’a sauvé, je m’étais peut-être trompé sur son compte après tout. Je lui dois la vie. J’ai une dette d’honneur envers un prêtre du dieu des flammes, qui l’aurait cru ! Ainsi, l’embuscade a fonctionné et j’ai échoué dans ma mission de protection… Peut-être pas tout à fait si je peux retrouver les survivants. Et Rak, est-il vivant ? Ce nain si sympathique, il ne méritait pas de mourir. Mais qu’est-ce qui a bien put pousser les elfes à attaquer de la sorte, ça ne leur ressemble pas, pourtant. Je dois trouver les survivants ! Oh, Eldath, laisse moi la chance de me racheter.¤
A la fin du récit, le moine se leva d’un bon, comme rassénéré par son sens aigu de l’honneur et du devoir. Il sauta agilement en bas de la charrette mais trébucha lors de l’atterrissage. Il fit comme si de rien était et se retourna vers l’ilmateri.
-Ça va aller pour moi. Merci pour tout, mon frère mais le devoir m’appelle, je ne peux laisser mes amis dans une telle situation, je dois aller les retrouver, navré de devoir vous fausser ainsi compagnie. Vous comprendrez que aussi reconnaissant que je puisse l’être, j’ai pris un engagement et je ne puis rester avec vous. Mais au fait, fort Noenar, c’est dans quelle direction ?
Le moine semblait en pleine forme mais c’était faux, il tenait à peine sur ses pieds. Mais il savait que les Ilmateris ne le laisseraient pas partir s’il n’était pas rétablit. Il chercha quelque chose pour le récompensé mais ne trouva rien.
-Je m'excuse, je n'ai rien pour vous remercier pour vos soins, mes agresseurs ont tout pris.
Ce message a été modifié par William Lamebleu le Dimanche 13 Janvier 2008 à 17h07
« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-Réputation 0.5
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
Aucune gemme
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Vingt Troisième de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage 23e Eleinte 1372 (CV)MJNarration: BroxigarLieu : Fort Noénar ; Pavillon de chasse de la Maison Eirontalar. Temps : / Moment : Vers 11h00roxigar passa la nuit au milieu d’une chambrée où s’entassait une dizaine d’hommes, tout âge confondu. L’odeur de fauve qui y régnait était un calvaire pour les nez délicats mais c’était ainsi. Pourtant, tous les deux jours, les domestiques de la Maison Eirontalar nettoyaient l’ensemble de la maisonnée, s’efforçant de conserver un semblant de propreté malgré les va et vient des équipages qui partaient où rentraient de chasse. Cela constituait pour les servantes, un véritable calvaire car il fallait non seulement nettoyer mais aussi désinfecter les lieux régulièrement avant que la vermine ne s’installe. De plus, les hommes ne possédaient pas forcément une hygiène corporelle dès plus visible avec un bain toutes les semaines voir toutes les deux semaines et on ne parlait pas de l’état de leurs vêtements ou de leurs linges de corps. Mais Broxigar ne se souciait guère de ce genre de détail surtout après la journée qu’il venait de vivre. Dormir à l’abri, au sec et dans un endroit doté d’un confort appréciable était tout ce qui comptait. Le jour s’était levé depuis un petit moment quand le prêtre de Kossuth se réveilla au son de voix féminines. On s’activait autour de lui qui s’opérait autour de lui et quand il ouvrit les yeux, trois servantes s’activaient autour de lui à mettre à l’envers les paillasses, les secouer, nettoyer, brosser et dans une quinzaine de minutes, elles laveraient le sol à grande eau. On avait tiré les tentures qui dissimulaient pour la nuit la seule fenêtre, indiquant un ciel gris et morose, en clair, le soleil allait une nouvelle fois être le grand absent de la journée.
L'homme n’eut pas le temps d’émettre le moindre son que femme courtaude se planta devant lui.- Allez mon gars, debout, il est grand temps de se lever ! Un beau mâle comme ça, on ne reste pas à fainéanter ainsi !! Habille-toi et va manger un morceau dans la salle commune ! Nous, nous avons à faire ici ! C’est ainsi que quelques minutes plus tard, Broxigar fut débout, prêt à affronter une nouvelle journée. Ne connaissant pas la maisonnée, une servante guida le jeune homme jusqu’à la salle commune dans laquelle il y régnait une activité fébrile. Une mosaïque de visage qui sur le moment ne rappela rien au prêtre. Pour le moment.- Un buffet est à votre disposition, vous pouvez vous rassasier tout votre soul, souffla la servante, une jeunette d’une quinzaine d’année qui ensuite désigna du doigt une table où deux visages familiers apparurent soudainement aux yeux du jeune homme, « Ce sont des connaissances à vous d’après ce que Bertille nous a dit. » Il s’agissait d’Agrénor et Lardreck. Ils se portaient de toute évidence à merveille et faisait ripailles. Sur leur table, un tonnelet était mit en perce et ils avaient devant eux un assiette remplie de nourriture. Non loin d’eux trônait sur une grande table avec de quoi nourrir un régiment, une horde de saucisses côtoyait des boudins noirs, ou encore un porcelet farcis d’œufs et de chair hachés. Des cailles et des perdrix rivalisaient aux cotés des miches de pains de campagnes, de pots de lait ou des morceaux de fromage, le tout arrosé de litres de bières. Tout cela mise à la disposition des équipages qui entraient et sortaient à tout heure du jour. C’est Agrénor qui le premier remarque Broxigar et il donna un coup de coude à son maître. Et leurs visages s’illuminèrent en voyant le jeune prêtre et suivirent de grands signes de la main pour qu'il vienne s’asseoir à leur table.Vingt Troisième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage 23e Eleinte 1372 (CV)MJNarration: Rak de DelzounLieu : Fort Noénar-Pavillon de Chasse de la Maison Eirontalar.. Temps : Nuageux Moment : 11h15-11h35 e guerrier humain avait écouté avec attention le résumé que du nain d’écu lui avait fait. Il ne l’interrompit pas une seule fois et se contenta de hocher la tête de temps en temps, analysant chacune des informations qu’il lui donnait. Dhazel répondit aux interrogations de Rak et ainsi le frère des marches apprit qu’il devait la vie sauve à Lardreck et Agrénor. Ces derniers étaient d’ailleurs sur le point de repartir chez eux avec une indemnité généreusement offerte par Taéros Eirontalar, en guise de modeste réparation sur le préjudice subit. Cela avait parait-il légèrement déridé le marchand de Sundabar. - Le moinillon doit se trouver actuellement sur la route de Yartar d’après ce qu’on m’a apprit. Quant à ton ami, Broxigar, il est dans nos murs, et je vais aller le faire mander pour qu’il vienne te rendre visite. Sauf si tu te sens pas d'attaque pour le voir Rak ? Dhalzel demeura immobile un instant puis se leva.- Avec ce qui s’est produit maître Taéros souhaite précipiter le départ de sa fiancée mais pour l’instant il en est au stade des négociations avec sa belle et entre-nous, tant d’indécision me père mais à quoi s’attendre d’autre de la part d’une femme n’est-ce-pas ? Un éclat de fou rire secoua quelques instants la carcasse du guerrier avant qu’il ne redevienne sérieux.- Tu pourras te lever d’ici quelques heures, le remède que tu viens d’ingurgiter est en train de faire son travail et vu ta constitution mon gars, cela va aller vite ! Parlons sérieusement une minute, notre comptable va passer te voir pour prendre note de tes besoins et surtout de ton équipement car il ne te reste pas grand-chose….Ce sera l’occasion pour lui de t’informer que ta bourse s’est alourdie de quelques pièces d’or. Tu va donc pouvoir passer quelques commandes, je vais d’ailleurs aller le chercher de ce pas. D’autres questions qui nécessiteraient des réponses de ma part ?
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