Promenade dans les Landes, Chapitre 1: Sur la route

Le choc avait été rude et la pauvre tête du mage avait bien faillit éclater comme un melon trop mure, désagréable spectacle faisant frissonner jen qui avait bien du mal à se reprendre. Malgré le demi brouillard consécutif au choc , il etait malgré tout conscient de l’agitation venant de la rue toute proche et de l’activité fébrile des habitants.¤ Ben mon gars, tu serais passé sous un troupeau de bœufs que tu ne serais pas plus mal en point. Enfin, on peut dire qu’on a de la chance, ça aurait put être pire et nous aurions put chuter sur une pleine troupe de gobelin incendiant et pillant la ville alors qu’en fin de compte, nous ne sommes visiblement pas victime d’une attaque ¤

-Par azouth, ce que j’ai mal au crane…..Hedden, Arsinoe, il faut sauver Arsinoe…les écuries……

Titubant, à demi aveuglé par le sang qui ne cessait de couler par une vilaine plaie du cuir chevelue, jen se releva tant bien que mal afin de se diriger au plus vite en direction des écuries, ne cessant d’appeler son camarade à la rescousse. Prenant appui sur le mur de l’arrière court et encore sonné, Ramnus fit signe à Hedden de continuer sans lui.

-Il vaut mieux que tu y aille seul compagnon, je suis trop secoué par cette chute et il vaut mieux que l’un de nous reste pour tirer les affaires à l’écart de l’incendie…..tu seras en outre plus rapide et certainement plus efficace que moi.

Maudissant sa faiblesse, jen s’appliqua à tirer leurs affaires à l’écart de l’auberge en flamme tout en jetant de fréquent coups d’œil dans la rue afin de voir si leurs autres camarades s’étaient tirés d’affaires. Le plus urgent étant fait et espérant qu’Arsinoe serait sauve, le jeune mage qui savait combien un incendie pouvait embraser un quartier entier, se prépara à apporter son aide à l’effort collectif tout en observant l’ampleur des dégâts afin d’en déterminer l’origine ainsi que l’importance.¤ Ah, si je tenais le gnome qui a oublié d’éteindre sa bougie ou son fourneau ! ! me gâcher une nuit pareille…mais ..et si l’incendie n’était pas accidentel ? ¤

Soudain soupçonneux, il entreprit d’observer les alentours afin de déterminer si quelqu’un ou quelque chose n’etait pas à sa place ou semblait avoir un comportement suspect.

Sorts niveau 0:
-Aspersion d'acide
-Illumination
-Lumière

Sorts niveau 1:
-Charme Personne
-Bouclier

Naemod avait dormi très profondément, trop profondément, et il n'avait pas senti la fumée monter dans la chambre, ni la chaleur étouffante venant du rez-de-chaussé. Le coup que venait de lui donner Herald l'avait réveillé, mais presque aussitôt assommé. A peine venait-il de retrouver ses esprit qu'il se sentait tomber, puis rattraper par une dizaine, voire une vingtaine de mains.
Il se redressait tant bien que mal, quand les villageois qui l'avait rattrapé se précipitèrent pour rattraper Herald qui sauta à son tour.

¤Bon, qu'est ce qui a bien pu mettre le feu ? Mon frère ? Possible, bien que ce ne soit pas sa façon de faire. Quoi d'autre ? Un accident ? Peut-être. Le plus probable serait des ordres donnés par l'homme dont Jen et Herald on parlé hier....¤

Naemod fut tiré de ses pensées par les villageois qui, dans une chaîne humaine, étaient en train de se passer des seaux d'eau afin d'éteindre le feu.

¤Mon petit Naemod, c'est pas le moment de réfléchir à tout ça, tu ferais mieux de venir en aide aux villageois pour éteindre le feu.¤

Il se précipita alors vers les villageois, s'interposant entre deux hommes pour participer à la chaîne humaine. Mais la fatigue reprit vite Naemod qui s'affaiblissait, non seulement à cause de sa nuit interrompue, mais aussi à cause du coup qu' Hedden lui avait donné pour le réveiller. Mais il du prendre sur lui pour continuer à passer les seaux puisque, bien qu'il eut d'autres raisons en tête, il se sentait tout de même coupable car son frère avait peut-être mis le feu à l'auberge où il dormait.

Des gens criaient, Hedden n'arrivait pas à percevoir si c'était des ordres donnés entre eux par les villageois ou des cris de désespoirs. Après avoir rassemblé ses affaires, son compagnon lui parla mais Hedden n'arrivait pas à comprendre ce que ce dernier voulait dire.

¤ Aller où ? Aux écuries ? Certainement pas il faut aider à éteindre le feu ¤

Alors en lançant un regard dubitatif sur Jen, Hedden courut vers la route principale qui longeait ce qui était la facade avant de l'auberge. Evitant les gens qui s'agitaient autour du feu, il chercha du regard le tavernier, Lert, pour tenter d'en savoir plus sur ce qui se passait. C'est à ce moment qu'il pensa aussi aux deux autres aventuriers rencontrés plsu tôt dans la soirée.

¤ Où sont ils ?¤

En heurtant la table en bois, Marek reteint ses jurons, il se retint de traiter cette table de tout les noms et de la maudire car elle était sur son chemin au mauvais moment... foutus table des deux de Marek. Mais, l'irruption de cette créature dans la pièce et le semblant d'inquiétude que cela provoqua chez le guerrier, remplacèrent l'agacement mêlé d'une... inquiétude également, certes plus faible, mais bien présente, qu'il ressentais précédemment. Son coeur battait vite, et son sang faisait un sacré tintamarre au niveau de ses tempes. Tintamarre qui baissa d'intensité quand une lame vint traverser gentiment le torse de l'orc et que cette voie se fit entendre. De son côté, on était de son côté, c’était sûrement une des première fois qu’on était du côté de Marek, c’était donc un jour exceptionnel… pas seulement pour cette raison bien précise il était vrai. L’odeur fétide du sang orc arriva aussi aux narines de Marek, qui ne la trouvas pas à son goût cette fois ci, visiblement, le luskanien(me corriger si ce n’est pas le bon terme) n’aimait que son propre travail bien fait.

Supposant qu’il s’agissait là d’Endor, logique… Qui d’autre pourrait, dans ce genre de situation, continuer à le vouvoyez tranquillement? C’était la patte d’Endor sans aucun doute, il continuait comme dans la salle de tout à l’heure quand il avait récité un discours avant de disparaître.

Mais bref... il était vrai que le temps pressait et qu’il fallait, soit suivre cet Endor supposé, soit rester ici à attendre un deuxième orc et un deuxième sauveur. Sachant qu’en terme de probabilité, bien que Marek n’ai jamais étudié les Mathématiques la deuxième solution soit assez peu… probable. Encor qu’il ne doute pas de la possibilités pour un orc de le trouver, non, il doutait plutôt du fait qu’un deuxième sauveur traîne dans le coin. Donc, même si pour un néophyte dans son genre, les mathématiques n’étaient pas une science exacte, il fut tenté de suivre l’Endor supposé, vite, très vite même pour tenter de survivre. L’avenir lui dirait bien s’il avait raison de se fier si souvent à son instinct.

Jen, en recherchant ses autres compagnons, prit conscience qu’Hedden n’avait pas entendu ou écouté ses dernières paroles tout occupé qu’il etait avec les autres villageois. Notre jeune mage cessa d’un coup de s’occuper de leurs affaires et tira précipitamment son sac contenant ses biens les plus précieux avant de s’élancer en direction d’Arsinoe.

¤ Diable de rôdeur, faut espérer qu’un palefrenier se soit occupé des bêtes de l’auberge ¤ notre homme courait aussi vite qu’il le pouvait dans son état tout en maudissant Hedden ¤ un rôdeur, je croyais que ça aimait les bêtes mais à première vue ,il ne dédaigne pas le steak de mule ou il est sourd comme un pot, sans compter les autres montures qui se retrouvent peut être pris au piège….j’espère que quelqu’un s’en est déjà occupé…….que sont quelques planches de bois par rapport à la vie ¤

Gardant cette espérance dans son cœur et retrouvant son second souffle, jen s’approchait rapidement des écuries.

Jen, Hedden et Naemod:

Naemod et Herald, à peine atterris, se précipitèrent vers la colonne de villageois pour prêter main forte. Après moins d'une minute, ils trouvèrent tous les deux une place où ils pouvaient se rendre utiles. Pendant ce temps, les membres de la Compagnie des Marches s'activaient eux aussi d'une autre façon.
Jen cherchait à se renseigner sur le sort de sa mule. Le magicien était en proie à une sorte de panique rien qu'en imaginant qu'Arsinoé puisse être morte. Heureusement pour lui, il trouva après quelques minutes de recherche un homme qui le regarda avec un drôle d'air lorsqu'il lui demanda des nouvelles de la mule mais qui lui répondit. L'auberge était le seul bâtiment touché par les flammes, aux dernières nouvelles, et il y avait largement trop peu de visiteurs étrangers à Auvancombe pour que l'auberge ait ses propres écuries. Sa mule devait donc se trouver dans les stalles des chevaux des miliciens de la garde de la cité, à une grande distance des flammes.
Hedden quand à lui partit à la recherche du propriétaire de l'auberge. L'halfelin ne se trouvait pas dans la file de villageois luttant contre le feu contrairement aux deux autres aventuriers. Hedden n'eut pas le temps de dire le moindre mot qu'il se retrouva dans la file, un seau dans chaque main, l'un plein d'eau et l'autre vide. Il ne pouvait plus abandonner les villageois à cet instant.

Il fallut plus de trois heures pour que le feu soit complètement éteint et ce dur labeur terminé, les villageois eurent la déception de ne voir devant eux que des ruines fumantes. Hedden profita de cet instant pour repartir à la recherche de Lert, suivi de près par Herald. Il finit par le trouver, assis sous un arbre sur la place centrale d'Auvancombe, non loin du temple de Tyr, en train de pleurer à grosses larmes. Naemod les suivis aussi, n'ayant rien d'autre à faire à cet instant. Enfin, Jen arriva en compagnie de Dame Guerlin. Pendant que ses alliés convoyaient de l'eau pour éteindre les flammes, Jen était occupé à soigner les blessures et les brulures des villageois aux côtés de la prêtresse qui l'avait attrapé au vol, profitant d'un instant d'inattention du magicien dû à sa joie de savoir sa mule en vie.

Marek et Nomad:

Marek avait décidé qu'il n'avait pas vraiment le choix: soit il faisait confiance à l'étranger soit il mourrait à l'endroit où il se trouvait. Il commença donc à suivre celui qu'il pensait être son camarade elfe. Cependant, à peine avait-il franchi la porte qu'il venait de franchir quelques secondes auparavant dans l'autre sens, qu'il reçut un coup violent derrière la nuque qui le fit sombrer dans une inconscience douloureuse pour la seconde fois en quelques jours.

Lorsqu'il se réveilla, il faisait jour entre les frondaisons. Il était assis sur les pavés sur une sorte de place où poussaient des arbres et des fleurs en bataille. Mais la description idéaliste de ce lieu s'arrêtait ici. Marek était pieds et poings liés et il avait mal au coup. A ses côtés se trouvait un homme qui semblait être approximativement dans la même situation que lui. Autour du guerrier et de Nomad se massaient deux sortes de soldats. Le luskanien connaissait trop bien leurs deux étendards. Les premiers, à dominante humaine, étaient sans conteste les adorateurs de Malar tandis que les autres étaient les orcs qui habitaient dans cette ville.

Nomad se demanda pendant quelques instants ce qu'il faisait ici puis il se souvint de la mission que lui avait donné le conseil de l'Assemblée: trouver un Hissié. Le barde ne savait toujours pas précisément ce que c'était comme sorte de créature mais il avait appris qu'un certain druide en savait plus. Le problème était qu'il avait disparu et que son disciple, un certain Endor Thet était introuvable. Il avait fini par retrouver sa trace dans une taverne de Fort Olostin. C'était pour cette raison qu'il s'était aventuré dans les bois où il avait croisé la route d'une patrouille orque. Et voilà comment il se retrouvait assis ligotés dans une cité naine en ruine au milieu d'ennemis.

« Ce breuvage était une sorte de drogue. Sans elle je meurs ou sombre dans une folie encore plus dangereuse que celle qui m’atteint déjà. Maintenant, allons-y en effet. »

Ils avancèrent calmement jusqu’au pont. C’est alors après une longue attente que Svent jugea le moment opportun pour répondre. Peut être avait il depuis tout ce temps préméditer sa réponse.

« Je t’ai demandé de me pardonner car je n’ai pas toujours été claire envers toi. Par exemple cela fait un bon nombre de jours que nous voyageons ensemble, tellement que j’en ai perdu le fil, et je ne t’avais jamais avoué ma dépendance. De plus je me suis montré certes égoïste envers toi. Tu ne le méritais pas. Donc je te demandais de me pardonner ma mauvaise amitié et de rester auprès de moi comme tu le fais depuis ces mois.

Allons-y désormais, et si la quelque prophétesse se cache derrière tout ça tampis. On ne dira pas que je suis mort comme en lâche en provoquant la mort d’une jeune barde, toi.»

Il partit alors d’un pas décidé vers ce pont. Ils aillaient franchir ce pont, il en avait la certitude. Il réussirait. Mais à quelques mètres de ce dernier il se stoppa tout de même. Sortant de son sac la corde qui leur avait été déjà si utile, il l’accrocha autour de sa taille, pui s de son sac. Une fois fait, il la lança à Qualindra afin qu’elle en fasse de même.

« Mieux vaut cela au coup où nous tombons. Et ceci aussi. Coupe la corde, si les sacs t’entraîne vers le fond et te coule. »

Il lui tendit une dague et en mit une seconde à sa taille.

« Je pense que c’est tout. Mais nous ne tomberons pas, ne t’inquiète pas. »

Sa voix se voulait rassurante et confiante. Il savait bien que la peur était souvent pour beaucoup dans de nombreux drames. Si ils craignaient pour leur vie, leur pas seraient peut être moins sûr et qui sait, ils pourraient alors déraper et chuter. Alors il se dirigea vers le pont. Il ne restait plus qu’un demi mètre. Puis, contre toutes attentes, il se retourna.

« C’est bon es-tu prête ? »

Il était face à elle, un large sourire sur les lèvres. Svent avait trop l’habitude d’être seul et de se soucier uniquement de sa propre personne. Il faisait un effort pour perdre ce caractère égoïste sans toutefois devenir altruiste. Lorsque enfin elle répondit, il commença son chemin, un chemin vers la liberté, son rêve.

Qualindra attachât donc aussi à sa taille la corde qui Svent lui avait envoyé, et comme lui elle coinça la dague dans sa ceinture.
-Es-tu biens sur de vouloir t’accrocher à moi ? Lui demanda l’elfe avant de commencer à marcher sur le pont.
Elle enchaîna :
-Tu as été honnête avec moi aujourd’hui, si mon pardon te ferai aller mieux alors je te pardonne sans aucun problème. J’ai toujours de l’amitié pour toi et j’espère ne jamais la perdre.

Puis elle commença à s’aventurer sur cette passerelle, elle avançait doucement, très lentement en mettant un pied l’un après l’autre sur les planches du pont. Elle n’osait pas se retourner pour voir où en était Svent.

Puis la jeune elfe pensa : *si je suis bien la fille du vent, je peux sûrement le calmer et ainsi la progression sur cette maudite passerelle serait sûrement moins périlleuse.*La jeune elfe tendit ses bras vers le ciel, elle ne se tenait plus, elle resta immobile puis elle commença à formuler une sorte de prière ou d’incantation :
-Vents écoutez les prières de votre enfant Qualindra, vous qui m’avez aidé vous qui m’avez sauvé la vie, je fais encore appel a vous, cessez de souffler sur nous pour que nous puissions traverser cette nouvelle épreuve avec plus de facilité. Merci mes pères.
Ses longs cheveux noirs lui fouettaient le visage et parfois l’empêcher de voir où elle avançait c’est pour cela qu’elle avait la tête baissée en marchant.

Elle se tenait de nouveau aux cordes qui se trouvaient de chaque côté du pont. Et attendait impatiente de savoir si son souhait allait être exaucé.
Elle espérait aussi que Svent n’était pas trop impatient, quoique s’il avait entendu les paroles de l’elfe, il aurait sûrement compris ce qu’elle était en train de faire.
Et dire que la sortie du tunnel ne se trouvait plus qu’à quelques mètres d’eux, c’était presque trop facile, l’elfe n’oubliait pas les mises en gardes du dragon et se tenait deux fois plus sur ses gardes. Elle tenait toujours la lanterne qui malgré le vent ne s’était pas éteinte et son bâton. Il faut dire aussi qu’au moment de l'incantation elle n’avait rien lâché si ce n’est que les cordes.

Naemod commencé par être vraiment fatigué. Il transpirait à grosses gouttes, et dut enlever son haut pour se rafraîchir un peu, montrant ainsi son torse. Chose rare, il s’attacha les cheveux pour laisser son front nu.
Le soleil était presque au zénith quand le feu s’éteint. Il se permis alors une petite pause, et alla rejoindre Jen.

-Dur début de journée. J’ose à peine envisager ce qui va nous attendre pour la suite. J’ai un peu réfléchi aux causes de l’incendie. Mon frère n’est pas en cause: ce n’est pas son mode opératoire. Il reste trois possibilités: soit c’est un accident, soit c’est l’homme dont vous avez parlé, soit c’est un gobelin ou un kobold…
Je n’exclue pas le fait que cela pourrait être une personne extérieure à notre histoire, mais je pense que cela reste peu probable.

Il marqua un temps de pause pour reprendre son souffle et bailler: son réveil avait été difficile, et il n’avait pas eu le temps de se rendre compte de ce qui s’était passé. De surcroît il avait une belle bosse sur la tête. Mais il était sauf, et ses compagnons aussi.

-Maintenant que le feu est éteint, il faudrait partir au plus vite. Je sais bien que ce n’est pas bien de laisser les villageois s’occuper seuls de la reconstruction, d’une auberge, mais si c’est nous qui étions visé, comme je le pense, alors il serait préférable de partir, au moins le village ne serait plus menacé par notre présence. Après, je peux très bien me tromper.
Au fait, pas trop de casse ?

Svent et Qualindra:

Les deux amis, après avoir finis de se rabibocher et de se préparer à franchir la passerelle avec force cordages, s'engagèrent avec scepticisme sur l'assemblage de planches et de cordes oscillant sous l'effet des vents. Leurs premiers furent des plus prudent mais bien vite ils réalisèrent que ce pont ne représentait pas le moins du monde un danger et qu'ils avaient eu la frousse sans aucune raison valable.

Une fois cette traversée enfin achevée, les deux aventuriers se trouvèrent face à l'entrée d'une autre caverne qui semblait monter. Cependant, après moins d'une vingtaine de mètres de marche dans cette nouvelle grotte des profondeurs, ils se trouvèrent face à trois autres ouvertures béantes. Au centre de la pièce naturelle ainsi formée se trouvait une sorte d'écriteau de bois sur lequel était gravé des signes. Une fois rapprochés, et à la lumière de la lanterne de Qualindra, ils purent distinguer que les signes n'étaient pas des lettres d'un alphabet qu'ils connaissent mais des nombres. Le message formé par ces chiffres donnait ceci:

-05/14/00/
19/21/09/22/01/14/20/00/
12/05/00/03/08/05/13/09/14/00/
04/05/00/
07/01/21/03/08/05/00/
22/15/21/19/00/
22/15/21/19/00/
18/01/16/16/18/15/03/08/05/18/05/26/00/
04/05/19/00/
03/09/05/21/24/00/
20/01/14/04/09/19/00/
17/21/05/00/
03/05/12/21/09/00/
04/21/00/
03/05/14/20/18/05/00/
03/15/14/04/21/09/20/00/
01/00/
12/01/00/
18/05/09/14/05/00/
05/20/00/
17/21/00/
01/12/12/05/18/00/
01/00/
04/18/15/09/20/05/00/
14/05/00/
13/05/14/05/00/
17/21/00/01/00/
12/01/00/
13/15/18/20.