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Porté disparu, Ombreterre
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Le crépusculin aussi semblait détester les drows... ¤Pourtant, je les croyais tout les deux de l'Ombre¤ pensa Nasky qui faisait encore la confusion entre : "Ombre" en tant que plan du monde extérieur, notion qui faisait appel à une certaine connaissance de la structure d'un multivers, "Ombre" synonyme de "sombre", "mal", "terrifiant", et "Ombre"-terre... le monde souterrain de Faerun. La seconde remarque de Sepoto, à l'encontre de l'elfe, étonna le barbare. Il n'éprouvait pas de plaisir à torturer ses ennemis mais, à la limite, il pouvait plus facilement concevoir cette forme de détente guerrière que d'éprouver de la compassion pour un gobelin qui, plus encore qu'un Thayen ou qu'un drow, incarnait le dégoût, la lâcheté , le mal et l'inutilité... Se salir les mains sur une telle créature lui semblait certes d'un amusement douteux, mais pleurer sur le sort d'un avorton de monstre pareil était un concept encore plus éloigné de son esprit pourtant tourné vers le bien...
¤le crépusculin irait presque jusqu'à dire qu'ils sont pas si méchants les faces de rats... On torture pas un moustique quand ce dernier te pique, mais c'est sans problèmes de conscience qu'on l'écrase violemment... Et puis, avec ou sans agressions plus ou moins sadiques, les gobelins ne se seraient pas gênés... ¤
Le problème de Nask résidait plutôt dans le fait de se donner une raison d'arriver à dissocier cette elfe noir de.. quelque chose d'assez proche, finalement, de ce que le gobelin symbolisait, et donc de lui trouver des raisons de lui faire confiance... mais il doutait fort d'arriver à les trouver ¤ ParSunie, ça fait deux fois que je me retrouve dans cette situation.. je vais pas encore me laisser piéger... Essayons néanmoins de profiter de cette elfe...et de ne pas la laisser partir...elle va être utile ..et puis il faut l'empêcher d'aller chercher ses petits amis... ¤
Nask attendait qu'elle s'explique en observant sa réaction à ses propres paroles ainsi qu'à celles de Sepoto, plus provocatrices... Il la contempla avec psychologie au moment où ce dernier parla, afin d'observer si la haine allait se voir sur le visage de l'elfette , et comment, alors, Sinafay la contrôlerait et essaierait de bluffer comme elle avait essayé avec lui en se faisant passer pour une pauvre petite sans défenses... elle qui ne pouvait qu'activement servir un dieu du mal... Il se leva et se dirigea vers la mare la plus proche pour y tremper son épée sur laquelle coulait encore du sang impur de gobelin, tout en continuant à observer Sinafay du coin de l'oeil, essayant de lui faire croire qu'il relâchait son attention... mais en réalité prêt à l'embrocher de son... épée de moustique... au moindre geste trop suspect.
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Sepoto discrétion 7 (dé) + 14 >< Sinafay perception auditive 17 (dé) + 9 = échec
Narration
[I]La drow soupira et s’assit. Il était difficile de savoir ce qu’elle pensait exactement mais une certaine lassitude proche du découragement et une forme de résignation semblaient être les émotions principales qui l’accablaient en cet instant. Elle s’assit, comme pour obéir, en tailleur, les bras croisé sur sa poitrine ferme, à peine voilée par la coupe de son impudique armure de cuir noir. | | - Soit ! Je resterais donc bien sage en attendant tes ordres maître ! s’exclama t’elle d’un ton presque ironique, mais toutefois suffisamment poli que pour ne pas susciter la colère. « Après tout, cela ne fera que la troisième fois au cour de cette dernière chevauchée que je me fais capturer. Quelque chose dans ma personne doit attirer les ennuis. »
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Elle fit une petite moue maussade, et se tourna a présent vers Sepoto, le regardant bien droit dans les yeux. Si elle semblait prudente avec Naskyrien, elle l’était beaucoup moins avec le frêle crépusculin et elle se montra davantage effrontée en lui adressant cette réponse. | | - Pourquoi perdrai je mon temps a torturer de vulgaires gobelins ! Non, je ne suis pas ici par amusement ! Que du contraire ! Je maudis mille fois ceux qui m’ont amenée ici ! Je les hais ! Je jure qu’ils souffriront milles morts pour m’avoir fait …Elle s’interrompit subitement, prenant conscience que la rage dans laquelle elle s’était laissée prendre ne ferait pas bonne impression sur ceux qui désiraient la retenir captive. Elle inspira longuement avant de poursuivre, plus calme « Inutile de nous attarder sur ce sujet. Cela ne vous concerne pas. Voyons voir … à quoi pourrais je donc vous être utile ? Vous comptez me revendre sur un marché d’esclaves ? Ou assouvir votre soif de plaisir charnel ? »
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Une fois encore il était difficile de percer les sentiments de la belle, tant son ton laissait supposer que de nombreuses émotions s’emmêlaient. Naskyrien pu noter qu'elle avait habilement esquivé sa question.
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- Bon, alors, déjà, tu n'as absolument pas répondu à ma question. As tu peur de ce que tu sers ou quoi? Hé, mais tu es une elfe noire. Je ne m'attends donc pas à ce que tu serves un dieu du bien... Finalement, la question est donc inutile... Le barbare n'avait pas envie de se la jouer tortionaire ou garde chiourme. Il éloigna la pensée d'attacher l'elfette ou de passer son temps à la surveiller *comme l'autre abruti de Thayen là haut* - Ecoutes, il n'est pas possible pour nous de faire de l'esclavagisme.. et encore moins du torturisme, enfin des tortures... Je sais que c'est naturel pour des peuples comme le tien ou comme celui de Thay, et encore plus j'imagine pour les serviteurs de dieux ... comme le tien... Nasky , sans essayer d'amadouer ou de charmer Sinafay , continua donc sur un certain ton "rigide", mais essaya néanmoins la carte de la franchise."Alors, si tu veux partir, libre à toi de le faire. Néanmoins, cela confirmera ma pensée que les peuples comme toi n'ont aucune loyauté et aucun honneur ...car nous t'avons sauvé la vie, moi et mon copain que tu vois là et avec qui, si tu décides d'être courageuse et loyale et de nous aider à retrouver nos amis, ce serrait bein d'être plus gentille. T'aime pas les .. crépusculins ombroïdes ? Ils t'ont fait quoi, les gentils lucioles?" Le Rashémi adressa un regard amical au crépusculin es essayant de lui faire comprendre qu'il n'était pas forcément nécessaire qu'il intervienne, puis continua à observer l'elfette. S'il laissait croire que il n'avait plus l'intention d'utiliser son arme, il ne l'avait néanmoins pas rangé et restait prêt à intervenir . Il gardait également la fiole fermée dans son autre main tout en commençant à réfléchir à ce qui'il savait de la mission du groupe de Omsaht... de se rappeler quelques noms. Eh oui, il va falloir que j'aille mater les anciennes pages de la quête. Ca me fera du bien, c'est un tellement bon souvenir. Nono adorée, Sepoto étant absent trois semaines, j'espere que tu vas pas me laisser tomber et qu'on va continuer la causette avec ta belle PNJ...
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Oreille des Marches
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Sinafay, charme : 13(dé) +5 >< Nasky, volonté : 18(dé) -1 = réussite Nasky est charmé par Sinafay Sinafay, bluff : 18 (dé) + 5 >< Nasky, psycho : 10(dé) – 1 = réussite (échec pour Nasky) Sinafay, bluff : 18 (dé) + 5 >< Sepoto, psycho : 7 (dé) +3 = réussite (échec pour Sepoto)NarrationBien que conservant son air maussade, Sinafay sembla rassurée. Il était probablement peu à son goût de changer de propriétaire au gré de la malchance et de savoir qu’elle était libre devait représenter une véritable délivrance morale pour la jolie demoiselle. S’avançant avec lenteur vers le barbare, elle lui tendit les bras. Ses mains étaient toujours liées par de la corde rugueuse. Le sourire magnifique qu’arborait à présent son visage aux traits graciles signifiait clairement qu’elle désirait qu’on lui coupe les liens en guise de bonne foi sans doute. | | - Je vous dois la vie, c’est un fait. Je vous remercierai donc à ma façon. Vous n’acceptez ni mes soins, ni les breuvages de santé, craignant sans doute une malveillance de ma part…soit ! Elle désigna à ses mots Sepoto d’un geste de la tête, démontrant qu’elle n’avait perdu aucune miette de ses recommandations au Rashémi. « Que puis je pour vous dans ce cas...Peut être si vous m’éclairiez sur les buts de votre promenade en ces terres désolées… Il ne fait pas bon vivre ici, mais j’imagine que vous l’avez déjà remarqué. Quoi qu’il en soit, il vaut mieux ne pas traîner dans les parages. Les points d’eau sont généralement le rendez vous de bêtes diverses et pas toujours des plus charmantes. De plus, je n’aimerais pas tomber sur une nouvelle patrouille de gobelins. »
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Elle s’avançait toujours, douce et gracieuse. Elle possédait un charme étrange et exotique, envoûtant de naturel. Elle ne ressemblait en aucun cas a une minaudeuse qui offre ses charmes en échange de nourriture ou protection…elle était tout simplement ...superbe. Et une nouvelle fois avait esquivé avec habileté la question de Naskyrien, qui n’en n’apprendrait pas davantage sur les divinités drows. Du moins, pas tout de suite. | | - Depuis quand les blancs s’associent avec les Crépusculins pour sauver une de ces affreuses et cruelles elfes noires ? Son sourire se fit taquin et dénué de méchanceté.
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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oi je connais pas beaucoup mieux le peuple crépusculin que celui des elfes noirs avoua le barbare mais, outre la réputation des elfes noirs, je suis absolument certain que ces habitants de l’ombre sont gentils, en tout cas celui là. Avant de décider de détacher l’elfe, Naskyrien regarda Sepoto pour avoir un signe de confirmation de sa part… qu’il ne réussit pas à avoir, Ce dernier semblant bouder, leurs regards ne se croisèrent pas. Trouvant Sinafay un peu capricieuse et peu coopérante en ce qui concerne les questions religieuses, il décida lui aussi de faire durer les attentes et désirs de la demoiselle en faisant semblant d’oublier ses liens … Il fit donc mine d’être préoccupé par ses propres réflexions. ¤ Bon, vu la réaction du luciole, j’ai l’impression qu’une bonne conversation va s’engager entre moi et elle. De plus, elle est vraiment charmante. Finalement son appartenance à cette race à la si mauvaise réputation, cette répulsion mêlée à la curiosité… sa peau noire… son attitude… bref beaucoup de choses en plus des faveurs que lui ont généreusement léguées la nature… difficile d’être agressif avec une poupée pareille… avec un aussi joli corps et un si joli minois, on devrait pouvoir y trouver de l’intérêt, voir de la gentillesse¤ pensa t’il de manière très masculine* « Tu vois, j’aimerais bien te faire confiance, mais il est évident que tu sers le mal. On ne peut que être d’accord sur ce point, non ? Et notes que chacun fait ce qu’il veut .. et ce qu’il peut… tant que tu nous trahis pas… Crois tu qu’un serviteur du mal puisse avoir le moindre honneur, la moindre loyauté… et avoir un semblant de reconnaissance pour quelqu’un qui lui a sauvé la vie.. Un drow connaît il l’amitié ? » Il regretta presque aussitôt la naïveté de sa question … Il continua néanmoins « Au fait que fais tu loin de chez toi ? … Ce serait d’ailleurs sympa que t’arrêtes d’éviter les questions… mais connais tu un endroit sûr où on pourrait se reposer et où je pourrais t’expliquer ce que je cherche et où je compte me rendre. Une fois bien sûr que tu m’auras raconté un peu tes soucis … et tes passions, ma belle. » finit il avec un sourire tout en ramassant ses affaires, (dont la fameuse potion), oubliant pour de bon que Sinafay avait les mains liées. * Nasky n’a pas beaucoup apprécié, en bon barbare que nous le connaissons, que je ne transcrive pas réellement ses véritables pensées à caractère euh… plus « érotique », et j’avoue avoir eut beaucoup de mal à lui expliquer le concept de politesse dans un tel forum , mais, vous le connaissez, ça lui passera...
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Narration | | Sinafay eut un leger soupir agacé.
- Qui es tu a pouvoir juger de ce qui est bon et de ce qui est mal. Ce qui est bon pour une personne peut sembler mauvaise pour une autre, non ? La philosophie de ses paroles lui donnait une assurance tout à fait charmante. Elle plongeait ses yeux clairs, dorés dans ceux du barbare sans aucune pudeur. « Si tu me considère comme une personne mauvaise, tu dois sans doute affirmer que ceux qui me maltraitent, qui me tapent, qui me violent sont bons ? «
Une forte rancœur avait accompagné ses derniers mots. Elle se retourna un moment, dérobant à Naskyrien la vision de son visage altéré par la colère.
- Un endroit ou se reposer ? …Non j’en n’en connais pas dans les environs. Tout ce que je sais c’est qu’il vaut mieux s’éloigner de la berge. Je n’ai pas envie de finir dans l’estomac d’une bête quelconque outrée de nous voir aux côtés de son point d’eau favori ajouta t’elle présenta une fois encore ses mains liées avec insistance. Elle regarda tout autour d’elle avant de poursuivre « Je suis fort loin de chez. Du moins je le suppose … A vrai dire j’ai été victime d’une machination humiliante. Inutile d’entrer dans des détails que tu ne comprendrais sans doute pas, être de la surface…A moins que …Tu parlais d’amitié ? Bien sur que les drows sont capable d’amitié. Tu m’a sauvée, je t’ai offert de quoi retrouver force et vigueur. Ensuite, aidons nous mutuellement à retrouver notre chemin ; je connais les usages de ce monde, tu sembles fort et vigoureux…Et ...ton…ami saura sûrement se montrer de quelque utilité également. Ensemble, nous serons certainement plus fort…ou moins faible devrais je dire. «
Elle sourit largement, attendant une réponse favorable du Rashémi.
- Tu ne me crois sans doute pas… Soit ! En guise de bonne fois je vais donc te livrer une histoire. Après cela tu n’auras qu’à juger si je suis une de ces mauvaises personnes contre lesquelles ton cœur friand de justice et de loyauté se bat jour après jour. Tu ne le sais peut être pas, mais la plupart des drows vénèrent une déesse dont la soif de pouvoir et dont la méchanceté sont sans borne. Elle baissa le ton soudainement comme si elle craignait être entendue, et s’approchant du jeune homme, elle lui chuchotait à présent d’une voix presque sensuelle la suite de son histoire « C’est la déesse araignée. En as-tu entendu parler ? Ses prêtresses sont terribles, assoiffées de sang et de pouvoir, elles sont sans pitié et écrasent sous leur féminine autorité chaque homme de notre race. Ma famille lutte en secret contre ce culte omni présent. Mais cette lutte n’est pas sans danger, et nos ennemis sont partout … D’ailleurs tu pourrais très bien en faire partie. Etre un esclave dont on a promis la liberté en échange d’un peu d’espionnage. Alors tu comprendras que je n’en dise pas davantage. Tu en sais suffisamment si tu es un innocent de la surface, et pas assez si tu es un espion que pour me confondre. »
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Naskyrien était tout à fait satisfait des paroles franches de Sinafay. Il décida lui aussi de continuer à parler sincèrement.« Je ne prétend pas avoir un discernement quasi divin en ce qui concerne la définition du bien et du mal, loin de là, mais tu vas quand même pas me dire que les elfes noirs ont bonne réputation ? Et puis, as-tu une idée de comment vivent des peuples qui sont réputés aimables ? As-tu voyagé ailleurs que chez les gobelins pour savoir si la notion du bien est différente là où les gens sont heureux et réellement bons. Comment ça vit ailleurs que chez ton peuple, quoi. . Nasky n’avait pas tant voyagé que cela mais en disant ces paroles, il se rappelait Fillow, Gunlann, Baltanin, et … Omsaht… et même la petite Halfling… Non, pour lui, ce n’était pas possible que le bonheur n’existe pas sur cette terre … plus rien n’aurait de sens sans l’amitié . Il repensa aux sombres histoires religieuses des elfes noirs….« Il semblerait que tu n’es pas entièrement d’accord avec les croyances de ton peuple en cette. Arachnoïde horripilante, l’un des fléaux de ce monde que même moi , le « blanc », j’ai entendu la sinistre réputation… Je pense que quand on se connaîtra bien et qu’on se sera raconté nos histoires, tu verras que je ne suis pas là pour espionner qui que ce soit…Néanmoins, y aurait il des divinités bonnes… ou pas trop mauvaises, chez les drows ? Je dois bien dire que tu as excité... ma curiosité. (Nasky bredouilla quelque peu sur ces derniers mots et ne réussit pas à cacher un soupçon d’émotion devant les charmes de Sinafay, mais bien sûr cet instant de relâchement fut très bref .. mais peut être suffisant pour qu’il n’échappe pas à la perspicacité féminine) Nasky réfléchissait et fouilla dans ses facultés de « connaissances » religieuses (et des mysteres, n’est ce pas) ce qu’il savait exactement de Lolth .. et aussi de cette histoire d’elfe noir banni et devenu presque bon, celle que lui avait raconté sa grand-mère..Il tachait de se rappeler de son nom, peut être Sinafay en avait entendu parler… Puis je avoir légèrement entendu parler de Drizzt do urden ? Menzoberanzan ? Est-ce que ces évènements se sont passés avant notre époque ?) « J’ai déjà pensé que les êtres réputés mauvais devaient bien avoir quelques représentants bons… mais pour le moment j’ai été plutôt déçu… Je peux même dire que des personnes que j’aime… et que j’aimerais retrouver … m’ont néanmoins … trahi…enfin, c’est comme ça que je le vois… mais je sais qu’il n’ont pas eu d’autres possibilités…Je ne leur en veut pas… au contraire j’aimerais les sauver…Je t’en raconterai plus quand on sera en sécurité … » Après la rage et toutes les fatigues et émotions de la journée, il se sentait las et perdu… Un moment de désespoir vint lui serrer la gorge et ses yeux s’humidifièrent en pensant à ses amis et au danger qu’ils couraient. Une image l’obsédait par-dessus tout… celle d’Omsaht ayant perdu sa volonté .. et peut être même charmé éternellement par ce… porc de mage rouge… Nasky le détestait tellement qu’il aurait pu s’allier même à une elfe noire des plus répugnantes (ce qui était loin d’être le cas de Sinafay) pour tuer un tel salaud… Nasky trancha les liens non sans avoir préalablement jeté un coup d’œil au crépusculin pour l’assurer que ce n’était pas un acte de trahison Il le présenta d’ailleurs à l’elfe puis, s’adressant à nouveau à la jolie noiraude :
« Sepoto est très gentil … et à lui aussi il faudra prouver que tous les elfes noirs ne sont pas méchants … et peuvent avoir des amis. Je m’appelle Naskyrien, mais je sais pas si je te l’ai pas déjà dit… » . Le barbare regarda Sinafaye et eut le plus grand mal à maîtriser la tension qui se relâchait. La tristesse devait se voir sur son visage… et peut être aussi le désir de prendre cette jolie petite elfe dans ses bras et de pleurer un bon quart d’heure comme un enfant dans les bras de sa sœur. Il se rappela néanmoins les avertissements de ses parents « Attention, aprés la haine, il faut souvent maitriser la colère… puis la tristesse » Il se ressaisit donc. .« Pourquoi as tu peur des espions puisque tu te bats contre des extrémistes religieux de ton propre peuple, si j’ai bien compris… tu ne penses quand même pas que des elfes noirs vont engager des gens comme nous ? Je ne comprends pas très bien… Et sinon, tu connais les passages qui mènent de l’extérieur à Ombreterre. Il y en a un que je devrais retrouver d’urgence et qui part de l’ancienne cité de Delhumide. Ca te dit quelque chose ? Ici nous somme presque sous Eltabar la capitale des Thayens où j’ai eu le malheur de me rendre.. exactement nous sommes sous le lac qu’il y a entre Eltabar et Delhumide. Tu te pourrais arriver à te rendre là où je te dis ? »
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NarrationMaintenant qu’elle avait les mains libres, Sinafay s’était accroupie auprès des cadavres des gobelins, fouillant chacune de leur dépouille sans sembler être dégouttée par le sang qui s’écoulait parfois encore, tiède, des larges blessures provoquées par elle-même, le barbare ou les jets précis de Sepoto. Elle ne pouvait toute fois pas s’empêcher de cracher à leur tête, le visage emplis de colère. | | - Delhumide… soupira la jolie nymphette d’ébène se concentrant sur ce nom. « Hélas non ! Je ne connais pas cette ville, ou alors pas sous ce nom là. Pourrais tu m’en dire davantage ? Si j’ai bien compris, tu cherches a y retrouver les amis qui t’ont ...trahi ? C’est cela ? Pour en revenir à notre précédent débat, si tu considères qu’il est bon de pardonner ceux qui t’ont offensé, alors oui ... Je dois sans doute être mauvaise. Je ne pardonne jamais la trahison ! Mais ici, dans notre univers, il s’agit aussi d’une question de survie. La moindre faiblesse peut te coûter bien davantage que la vie ! »
A ces mots son visage se durcit et son regard se perdit dans le lointain. Elle se releva, tenant en main la lance du chef des gobelins, avant d’en arracher tous les gris-gris et de donner un violent coup de pied dans le visage de la créature verdâtre.
- Tiens ! Prend ceci ! Cela te sera sans doute plus utile que ton jouet. Le mieux que nous ayons à faire c’est de rentrer chez moi au plus vite à Phaundakulzan. Je ne sais absolument pas ou nous sommes, mais je possède le moyen de rentrer. Une fois que nous serons dans ma Maison, je ferais part de votre courage, et vous bénéficierez d’une certaine protection. Il me sera plus simple de pouvoir vous guider vers votre ville. Elle adressa un sourire charmeur au barbare « Qu’en dis tu ? Qu’en pensez v… »
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Elle s’interrompit subitement. Sepoto s’était éloigné à tire d’ailes, l’air inquiet. Elle allait lui demander ce qu’il lui prenait, s’il trouvait quelque chose à redire à son plan lorsque des cris retentirent au loin, se répercutant sur les parois rocheuses en des échos déformants.Dorik Les dernières semaines de la vie de Dorik avaient été plus que désastreuses. Alors qu’il buvait tranquillement sa treizième choppe de bière – était ce un présage ? – dans une auberge de Telflamme ou il avait accosté la veille, le nain polaire avait fait la connaissance d’un groupe de jeunes aventuriers audacieux et téméraires qui se vantaient d’exploits que leur jeune age n’aurait sans doute jamais rendu possible. Passablement éméché, Dorik ne possédait plus les facultés de discernement néccésaires que pour comprendre qu’ils n’étaient qu’une bande de sacrés vantards. C’est ainsi que lorsqu’il se vit proposer de joindre le groupe pour une expédition dans l’Outreterre à la recherche d’un trésor perdu, il accepta aussitôt et partis dès le lendemain, un sac à dos en cuir robuste contenant tout le matériel néccésaire pour une aventure du genre. Hélas, après trois jours de marches dans les entrailles de la terre, les jeunes gens furent défaits par une Ombre des roches. Trois d’entre eux furent tués, Dorik parvint à s’enfuir avec une petite roublarde d’origine Shou. Pansant leurs blessures, économisant les rations de survies qu’ils avaient réussit à ne pas abandonner sur le lieu du drame, ils furent surpris par une escouade Duregard qui les capturèrent sans difficultés. Dorik fut revendu quelques jours plus tard à un esclavagiste drow. Ce qu’il advint de la Shou, il ne le sut jamais. Le voyage qu’il entama fut suffisamment long et chaotique pour que le nain puisse se rendre compte qu’il se trouvait désormais bien loin du port marchand ou il avait fait la rencontre de sa triste destinée. La fatigue, les privations d’eau et de nourriture, et les mauvais traitements que lui infligeaient ses bourreaux lui avaient complètement sapé le moral. Aussi il ne fut pas prompt à réagir lorsque la caravane fut attaqués par une bande de créatures gobelinoïdes, et il eut à peine le temps de réaliser ce qui lui arrivait qu’il passait d’une main à l’autre, et qu’il se trouvait à présent prisonnier avec d’autres esclaves, des horripilantes créatures verdâtres.
Ce transfert eut néanmoins le bon côté de secouer son indolence et lui redonner espoir. Dans le petit campement où il se trouvait enfermé dans une cage faites des ossements d’une créature dont il préférait ignorer l’origine, il avait pu repérer son chien de selle attaché avec d’autres bêtes destinées sans doute aux repas du village, et l’une ou l’autre arme qu’il pourrait récupérer. Son sac, par contre, celui qui contenait ses vingt mètres de cordes, ses bâtons éclairants, ses rations de survie et autres choses utiles pour le camping en Outreterre avait, semble t’il, été perdu dans le tumulte.
Lorsque l’éclaireur gobelin qui avait quitté le campement une heure plus tôt revient poussant de gros hurlements qui ameutèrent toute la tribu, Dorik n’hésita pas une seconde pour mettre en mouvement le plan d’évasion qu’il avait soigneusement conçu. Vif, plein d’espoir, il renversa sa cage qui se brisa sous le choc. A peine blessé au bras par l’un des débris des barreaux, il fila tel l’éclair, s’empara d’une hache et d’une épée courte qui traînaient au sol, coupa d’un mouvement sec les liens qui attachaient sa monture, qu’il chevaucha d’un bon. Les gobelins se détournèrent aussitôt de l’éclaireur effrayé pour poursuivre le fuyard, lui lançant quelques dards qui se perdirent dans les ténèbres.Tous- Les gobelins !! Hurla Sepoto d’une voix vibrante d’excitation ou de peur peut être « Ils reviennent ! Pourtant, nous les avons tous tués ! Aucun n’avait pu s’enfuir !!! « Effectivement les hurlements reconnaissables entre tous se rapprochaient, emplissant les couloirs sombres de la caverne de colère et de rage. | | - Bois vite ce que je t’ai donné imbécile ! hurla Sinafay à Naskyrien tandis qu’elle s’empara d’un caillou à ses pieds. « Ils arrivent et nous auront besoin de ta force ! «
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Aussitôt son regard doré se voila d’une ombre inquiétante, tandis que ses lèvres murmuraient dans une langue incompréhensible une lente mélopée. La pierre qu’elle tenait dans ses mains s’entoura d’une aura aussi sombre que la nuit la plus noire qui grandissait peu à peu. Alors que les cris des gobelins se faisaient de plus en plus proche, et que Sepoto voyait clairement leurs silhouettes se détacher dans le couloir de roche, Sinafay prit son élan et couru à leur rencontre.- Es tu folle !! Hurla le crépusculin D’un bon gracieux, la jeune drow projeta de toutes ses forces la pierre qu’elle tenait entre ses mains. Celle-ci vola cinq mètres avant de rebondir sur le sol dans un bruit sourd et de plonger le corridor que parcourait la racaille verte dans des ténèbres complètes.
C’est à cet instant, que de l’obscurité totale invoquée par la prêtresse, surgit un chien bondissant. Le chevauchait une étrange créature coiffée d’un casque couvert de trois bougies rouges et éteintes et dont l’épaisse barbe grise flottait autour de lui comme un étendard.
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La dualité entre le choc culturel et la fascination augmentait devant l’attitude guerrière et masculine de l’elfette et perturbait un tant soit peu le gentil Rashémi . Néanmoins il se rappela que sa grand-mère, outre une vague légende d’elfe noir exilé et devenu plus ou moins bon, lui avait aussi parlé de cette horrible divinité velue qui faisait que Nasky, aujourd'hui, avait bien plus peur … des araignées, qui représentaient pour lui une plus grande horreur, que , par exemple, du loup. Celui ci étant pourtant le méchant personnage d'un autre conte de son enfance (celle de l’encapuchonné rouge, déjà mentionnée lors de l’épisode d’Eltabar, vous vous rappelez?).
Nasky avait peur que l’elfette, contrairement à ses dires, soit réellement une prêtresse de cette déesse plus maléfique encore, à ses yeux, que les dieux aux mains noires ou aux brochettes sanguinolentes des Thayens. Il se rappelait aussi que les drows voyaient le sexe masculin comme inférieur et que parfois , les femmes, dominatrices, castraient les mâles … Ces sombres pensées ne l’incitaient pas à suivre l’elfette …Il eut même à un moment une montée de colère lorsque Sinafay fit allusion à la trahison de ses amis…mais il réalisa qu’il avait lui-même employé ce mot dans ses quelques secondes de blues post –transe ragique » , (un sujet qui , tout le long de l’histoire, a inspiré les bardes de Rashéménie *) Avant l'arrivée des étranges intrus, il eut le temps de répondre progressivement à "l'ébeniste à la peau d'elfe" :« Delhumide est à coté d'une ancienne cité désormais en ruines et où il y a des passages vers Ombreterre. Si j'ai bien compris, ca arrive à nunuitarant , ou Nuniratan, ou ..mamai Tarante, enfin une ville drow qui fait partie d'un ... euh, complexe de plusieurs fracassées de cités et qui s'appelle un ... dreuktosss ou un truc du genre... C'est par là bas que je voudrais intercepter mes amis et les libérer d'un guerrier chauve que tu pourras castrer et vendre en esclave chez toi si tu le désires. Ca devrait d'alleurs pas trop le déranger le chauve car il semble que dans son pays l'esclavage et l'androdjinisme, et même le racourcissement des organes du sexe supèrieur , sont quasiment une forme de politesse chez eux aussi. Nasky se sentait parfois un peu dépassé par les moeurs étranges , voir par les temps modernes... comme il était lon des fêtes de son pays aux moeurs si simples et naturels (voir en annexe) "En tout cas toi, tu ne manques pas de haine ni d’esprit de vengeance. J'espere que tu confonds pas cela avec l'honneur que tu dis avoir …et puis pareil pour ta famille, j'espere que c'est pas elle qui t’a vendu aux gobelins tellement t’était pas une enfant sage? Ou bien parce que t'as trahis ton peuple et ta famille peut être? ton culte? Pas gagné pour notre protection.. Es tu une princesse à qui on a sauvé la vie ? T’en as l’allure, mais rien ne le prouve.. Bon, mais peut être que vu ta petite gueule de diablesse pas vraiment antypathique et le fait que je suis curieux de nature …et que rien ne me fasse peur ... (Nasky mentait. Il avait entre autre une sainte horreur des araignées) , font que je peux envisager de te voir comme notre guide et protectrice pour intercepter mes amis avant qu'ils ne se rendent à ... je sais plus comment ca s'appelle.. Nask avait failli faire une bourde car il ne voulait pas donner le but final de la mission... cet endroit nommé Schussshlynder ou un gnome devait les attendre... De toutes façons, Sinafay ne l'écoutait plus. Ils furent en effet interrompus par une étrange arrivée précédée elle même de rumeurs de gobelins et d'une réaction drowique visiblement habituée aux dangers d’Outreterre . Un être de la taille d'un gobelin et un chien (avec la particularité que le premier semblait plus ou moins chevaucher le second) venaient de sortir du tunnel d'où provenaient les bruits .
Au rappel de la gourde que tenait désormais Nask, voyant le danger arriver, Nasky jugea qu’il n’avait rien à perdre
¤ Et puis, ce serait un bon moyen de tester un peu la confiance en Sinafay. Néanmoins, le fait qu’elle utilisait une magie qui semblait bien en rapport avec le plan d’origine du crépusculin, celui de l’Ombre, ne le rassura pas et c’est avec forte appréhension qu’il décida de boire . Auparavant il prit le temps de brandir son cure-dent, enfin son épée courte et de crier d’une voix menaçante à l’attention de nouveaux venus : « Si vous êtes des gobelins, vous allez payer de vos vies votre intrusion en ces lieux » Aussitôt dit, il renifla la fameuse potion et, jugeant son odeur agréable, il en but une gorgée puis, le goût confirmant son odorat (le liquide étant même presque aussi bon qu’un loukoum Thayen) , il finit la potion en deux fois en essayant à mi fiole de percevoir les effets immédiats de cet acte. Sentant effectivement un bien être dans son corps, accompagné d'une diminution sensible des douleurs et de la fatigue , il finit par engloutir le reste du liquide avant de se précipiter vers les nouveaux venus, l’arme en main, les observant d’un air menaçant mais en réalité en train de se demander s'il ne venait pas de faire une bêtise. Le monteur de chien portait une grosse barbe et était auréolé (détail trés amusant aux yeux de Nask) de trois guirlandes rouges éteintes. ¤Ces fantaisies ne semblent pas celles d'un gobelin... plutôt un nain monteur de chien¤. Si le Rashémi n'avait pas entendu parler d'une telle classe de chevalier, il savait en revanche, et toujours grâce aux contes de sa précieuse mamie, que certains nains, particulièrement en Ombreterre, étaient aussi mauvais que les drows.. Ola qui est tu ? » Nasky vit avec intérêt que le coureur enguirlandé avait une hache assez grosse pour sa taille que Nasky, semblait il, aurait pu utiliser comme arme à deux mains ... Egalement il sentit que sa rage pouvait revenir… D’abord surpris par cette capacité jusque là unique dans la journée, il saisit rapidement que la cause était la montée en puissance mystique qu’il venait de connaître… « la faveur des dieux pour augmenter le pouvoir des guerriers » *parenthèse culturelle demandée avec insistance par Nasky. « Tout le monde dans Faerûn, a bien du entendre un jour parler du FMRL, le festival musical des Rashémi libres. Voici un extrait du guide de l’aventurier en Rashéménie écris par Bardos le poète aveugle,(mieux connu dans son pays sous le nom de « Oh mère » car, dit on, il commençait ainsi toutes ses chansons.)
QUOTE | Le festival des stock de bois a lieu à Urling tout les ans à l’arrivée du solstice d’hiver. La capitale mystique du pays accueille nombre de fiers guerriers et bardes virtusoses de tout les coins de la Rashéménie. Au milieu des réjouissances, bardes et guerriers s’allient pour se lancer dans des joutes artistiques autant que sauvages et violentes, les vainqueurs étant le duo dont le guerrier aura été enragé le plus longtemps, aidé par son barde inspirateur . Voir ainsi les deux partenaires associer leur énergie commune pour vaincre une équipe adverse toute aussi bruyante …le bruits des poings (et parfois du fer quand les adversaires, par haine ancienne ou simplement par esprit de défi, utilisent les armes), les cris de rage, les vociférations des bardes , tout ceci est un des charmes les plus exotiques de mon beau pays… A la fin de ces quelques jours de réjouissances , il ne faut surtout pas louper la magnifique « babar-party » (terme qui vient de villageoises Rashémis et qui, en bon commun, signifie : « barbare parti ») qui clôture donc les festivités par une gigantesque danse commune où tous les participants (les pow-wow) sautent en l’air, agitant de haut en bas leurs lockss illuminées par de simples mais efficaces petits sortilèges de sorcières, tout ce beau monde s’enrageant ensemble en parfaite harmonie avant de se jeter dans une mare glacée.. |
Ahhh, pauvre Nasky, il lui faudra encore du temps avant de retrouver ces coutumes simples et naturelles qui symbolisent si bien la pureté sauvage de son peuple des neiges…
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Une évasion parfaite se disait Dorîk qui s'arrachait l'écharde d'os plantée dans son avant bras guche, seule amicroche rencontrée pendant cette action un peu précipité. Mais pour que l'évasion soit un succé il devait à tout prix échapper à ses poursuivants ce qui ne serait pas trop dur tant qu'il chevaucherait le brave Ares. Quel ne fut pas son soulagement de l'avoir retrouvé vivant malgré tous ces changements de main dont lui etson chien avient fait l'objet. Il refoula cette pensée superflue pour pouvoir se concentrer sur son évasion qui devait à tout prix se solder par une réussite faute de quoi il terminerait une fois de plus dans la cage et son chien serait alors bon pour la marmite.
S'aggripant comme il pouvait, Dorîk lançait son chien à toute vitesse pour tenter d'échapper à leur poursuivants. Les armes qu'il avait ramassés étaitent loin d'êtres suffisantes contre autant de gobelin et la fuite était l'alternative la plus sensée. Il tourna la tête pour voir où en était ses poursuivants avant de reporter son attention sur sa course au travers d...d'un mur noir!? Lancé à pleine vitsse, Dorîk n'eut pas le temps de tirer sur la peau du cou de son chien our freiner ou changer de cap. Et c'est à sa grande surprise que lui et sa monture traversèrent sans efforts ou heurts le dit mur. Reprenant ses esprits le nain tira sur la crinière de son chien pour le faire arrêter. Une fois stoppé, il porta son attention au lieu où il se trouvait...il y avait là trois personnes...un grand humain blond à l'allure sauvage, une sorte d'halfelin au teint blafard et une elfe à la peau d'ébène qui ressemblait étrangement à ceux chez qui il avait passé plusieur jours...les pieds et poings liés. Quant à la caverne...c'était un cul de sac. Dorîk grimaça un instant en pensant que son évasion était ratée et que sa dernière alternative restait le combat. Il n'y avait donc plus à hésiter, de plus il n'était plus seul et pour peu que ces gens sachent se battre ils pourraient alors réequilibrer la balance. Dorîk se tourna vers le géand blond qui l'avait interpellé.
-Qui je suis n'a pas vraiment d'importance pour le moment mais je vous suis et vous m'êtes bien plus sympathique que les ignobles peaux vertes qui me poursuivent et qui vont débouler dans cette piéce d'un instant à l'autre alors si vous tenez à revoir la lumière du jour sortez vos armes et préparez vous car ces raclures à défaut d'être fortes sont nombreuses. J'espère juste qu'on vivra assez longtemps pour faire connaissance.
Sans descendre de son chien, Dorîk saisit fermement la hache volée qu'il avait en main et jeta l'épée émoussée au pieds des étrangers.
-Si l'un de vous sait s'en servir ou en a besoin je la lui laisse de bon coeur si ça peut permettre d'en envoyer un peu plus dans la tombe.
Le nain finit par se tourner vers le mur de ténèbres en s'attendant à ce que les gobelins déboulent d'un moment à l'autre et que ne commence un vrai bain de sang. Son chien grognait déjà en direction du rideau noir qui les séparaient des infâmes peaux vertes.
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