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Le Mystère du Gobelin Mystérieux..., Dans les Arpents Verts
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Aventurier
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Le prêtre devait reconnaître que l'auberge était beaucoup plus grande qu'il se l'attendait et qu'on y pouvait trouver de la compagnie des plus intéressantes et des plus disparates. Il aurait aimé s'arrêter quelques instants, boire une bonne bère avec un caravanier expérimenté ou un voyageur intrépide et échanger quelques histoires sur leurs récentes aventures, mais il savait ne pas en avoir le temps.
Aristéo ne fut évidemment pas surpris de découvrir que le chamboulement qui avait eu lieu à l'extérieur avait tout de suite contagé l'auberge entière. Il avait noté le regard des clients intrigués par les nouveaux évènements.
Il continua à suivre les cavaliers qui se dirigeaient vers l'infirmerie, mais lorsque le halfelin voulut à son tour entrer un des gardes lui blocca l'accès.
Le jeune hin fixa le symbole de Tyr que portait le cavalier sur la poitrine. Il était évident que les gardes avaient reçu l'ordre d'empêcher à quiconque de pénétrer dans l'infirmerie. ¤A juste titre¤ pensa Aristéo, il n'était pas rare en effet que les situations qui sortaient de l'ordinaire, attiraient de nombreux curieux, qui auraient facilement pu déconcentrer les guérisseurs.
- Je suis bien conscient qu'ils ont besoin de calme, mais je peux certainement me rendre utile, je suis un prêtre. Explica le petit homme.
- D'ailleurs, c'est ton chef, Danngh Gwallfeinn qui m'a demandé de secourir ses compagnons. Je te conseille donc de me laisser passer.
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Bosco Sigillaire
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Il y avait la possibilité d'obtempérer ... et probablement aussi de prendre un bon coup de sabre dans le buffet. Comment faire confiance à une créature qu'elle ne connaissait pas, et dont elle ignorait les usages? Etait elle digne de confiance, telle un pillard de panache mais ce genre d'individus était légendaire, il était plus probable qu'il fallait le laisser compter avec la possible trahison du monstre.
¤Deux voies pour s'échapper, qu'est-ce qui me dit qu'il ne tordra pas quand même le cou à la gamine après?¤
Elle avait été formée à évoluer dans les rangs d'individus s'appropriant l'espace, pas de purs négociateurs, même si certains de ses codisciples étaient plus tard devenus émissaires.
¤Même sans armes, vous êtes vous-même des armes.¤, disait l'Ur-Zerth. Mais elle-même trouvait que cette phrase avait quelque chose du lieu commun. La créature aurait-elle ce même raisonnement? Après tout Amaranthe l'avait attaqué à mains nues, elle avait porté un coup tel qu'aurait pu en porter une bonne masse d'armes, mais il avait vu aussi qu'il pouvait la blesser.
La tache de sang qui maculait la chemise de la jeune femme, et la blessure qui versait encore sa vie à flots moins rapides et déjà plus épais témoignait qu'il pouvait aussi causer d'aussi terribles dégâts.
Mais en ce cas ...
¤... pourquoi avoir choisi de se rendre?¤
Amaranthe comprit alors quelque chose, ou du moins pensa-t'elle avoir compris que le monstre était plus gravement blessé qu'ils ne le supposaient et qu'une autre attaque toute aussi violente aurait raison de sa vie. Il avait donc pris une otage pour sauver la sienne ... acculé, il était une bête blessée qui avait utilisé un embryon d'intelligence pour se chercher une monnaie d'échange, et si on lui retirait, il aurait tôt fait de fuir... ou de se battre à mort?
¤Non, s'il était du genre à se battre à mort il n'aurait pas pris cette enfant comme bouclier.¤
Alors il y avait là un pleutre qui tremblait en secret? Voilà qui était intéressant, et Amaranthe choisit de réagir en conséquences.
- C'est inacceptable Mazigliet! lui intima la jeune moine avec une voix qu'elle ne se connaissait pas. «Je vous ai donné une chance, j'ai été généreuse, je ne vous cèderais rien d'autre. Puisque vous voulez tout prendre, vous n'aurez rien d'autre! Nous reculons, sans arme de jet, et vous sortez du chariot avec cette enfant et sans votre arme. Nous ne vous ferons rien si vous vous exécutez, puissant Mazigliet, vous pourrez même partir libre.»
¤Si les deux autres ne le poignardent pas dans le dos ça va sans dire mon gros nounours à tête de furoncle.¤
- Mais si jamais, elle appuya ce dernier mot avec une emphase voulue, «vous touchez à un cheveu de cette gosse ou que vous tentez quoi que ce soit que nous n'ayons pas prévu, et rien ne retiendra plus notre fureur. Vous êtes peut être puissant mais nous sommes au moins trois contre vous! Alors, si à dix vous n'êtes pas descendu, peu importe les morts, vous finirez le crâne explosé par les fléaux éternels d'Hruggek!»
Il y avait à présent les embruns sharessites qui frappaient de leurs lames le regard et la voix d'Amaranthe, elle avait dit ces mots avec beaucoup de passion... ils lui étaient sortis de la bouche sans réfléchir, comme inspirés par une puissance qui la contrôlait... et elle se demandait si elle-même n'allait pas à l'instant bondir sur lui, quitter à soigner l'enfant si elle était blessée au cours de la lutte. Elle se ravisa, toujours inhibée par son carcan éducatif, mais ses poings se serraient déjà, contre la blessure qui lui avait été faite par le lourd cimeterre.
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Aventurier
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La journée s'annonçait morose et la quantité de vin raisonnable qu'elle s'était accordée n'obscurcissait pas suffisamment son jugement pour changer cela.
Le claquement des sabots sur les pavés rendit un faible espoir à la jeune femme.
¤ Enfin ! Un peu d’action. ¤
Des cavaliers, peut être s'agissait il là de sa chance. Par habitude, elle compta les cavaliers et les chevaux et chercha des indices sur leur activité ou leur allégeance. Peut être certains étaient ils blessés, voire, quelques chevaux sans cavalier... Les troupes de soldats avaient souvent besoin de recrues fraiches après un combat.
¤ Observe et réfléchit avant d'agir. ¤ L'adage qui l'avait si bien servit avec les orcs s'appliquait tout aussi efficacement avec les humains. Elle suivi le capitaine des cavaliers à distance respectueuse, tachant de glaner quelque information ou quelque bribes de conversation qui pourrait la renseigner.
¤ Avec les orcs qui se massent, il finira bien par y avoir du grabuge. Et ca c'est bon pour moi. ¤
Changer d'allégeance et combattre les orcs ne faisait ni chaud ni froid à la guerrière. Ils n'étaient rien pour elle. Par contre, son association avec eux lui avait appris certaines choses sur les intentions des goblinoides, et ca c'était une information monnayable.
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Aventurière
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alvrae se tenait un peu en retrait de la rescapée de l’attaque qui semblait avoir prit tête de la négociation avec l’horrible créature. Elle avait les yeux à demi fermer, à cause du violent coups qu’elle avait reçue au visage, mais elle les gardait braquer sur la choses repoussantes et poilue qui menaçait une petite fille, déjà que la jeune drow trouvait que les humain était poilue, là cette choses était totalement repoussante.
La jeune barde opta pour un compromis et elle rengaina son épée dans son fourreau et écarta doucement ses mains pour ne pas se montrer menaçante. La dernière choses que Talvrae souhaitait était que le combat s’éternise, car elle se doutait qu’elle ne pourrait pas encaisser un autre coups. Et surtout elle voulait au plus vite vérifier l’ampleurs des dégâts à son visage et elle devait rapidement trouver un moyen de soigner ça si elle ne voulait pas rester défigurée à vie, se qu’elle ne pourrait guère supporter. Elle avait les cils coller par le sang et sa vue un peu embrouiller, elle était haletante et soufrait, mais elle essayait de le cacher à l’immonde choses qui les menaçait, elle ne devait pas montrer sa faiblesse, sa pourrait pousser le monstre à attaquer malgré qu’il avait peux de chance de s’en sortir vivant. Et l’ex-esclave se demanda où Rogan était passé une flèche bien placé serait bien utile en se moment.
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Oreille des Marches
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Acha Cheynn, Amaranthe, Talvrae
Le gobelours semblait satisfait de voir les aventuriers reculer. Il souleva de terre la gamine qui pleurait et la coinca sous son bras. Il sauta à terre, devant le chariot, à un douzaine de pas d'eux. La confiance l'avait repris, et il agitait son cimeterre en crachant des insultes en langue gobeline.
Une fois à terre le monstre se mit à marcher à reculons, le long de la paroi ouets du wagon, se rapprochant du chariot en feu dans son dos. Ses paroles devinrent des cris, et les trois compagnons involontaires eurent l'impression que d'insultes, elles devinrent appels. Le gobelours sans les perdre de vue, jetait des coups d'oeil dans son dos.
Eymeria
jet de perception auditive : dé 8 +1 = 9 -> dommage, t'es bouchée à l'émeri!
Le molosse à la barde blanche entra d'un pas décidé dans la taverne. Il passa devant Eymeria, la voyant sans la regarder. Les badauds s'écartèrent sur son passage, respectueux.
Il s'approcha d'un des moines du lieu, que Eymeria savait responsable de l'accueil, du protocole, du service, et des portes, fenêtres, trappes et ouvertures, et lui parla doucement. La guerrière n'entendit ce qu'il dit mais elle vit le moine faire une courbette, et faire signe au cavalier de le suivre.
Ils passèrent dans le cloître derrière la taverne, et s'engagèrent dans l'aile nord, la plus vaste, qu'Eymeria savait réservée aux religieux d'Ilmater qui entretenaient ce lieu. Leur lampe s'enfonca dans les ténèbres du long couloir central. Derrière elle s'agitaient la foule qui amenaient les blessés à l'infirmerie. Le cloître était vide, mais il fallait agir vite.
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Bosco Sigillaire
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Amaranthe avait suivi les déplacements du monstre, les yeux plissés, elle attendait un faux pas de sa part pour mettre l'enfant en sécurité, toutefois ce dernier n'ayant pas été menaçant, elle avait décidé que si possible, elle le laisserait partir.
- Un, deux, trois ...
Le contrecoup de la première surprise passée, elle songeait avec plus de recul qu'il serait impoli de réduire un adversaire ayant tenté de négocier en fragments minuscules.
- ... quatre, cinq ...
Elle avait laissé descendre la créature, mais sitôt avait-elle posé le pied à terre, à portée d'un saut bien placé, elle cessa de compter et un cri qui venait du fond de ses entrailles éclata, un cri d'arts martiaux qui pourtant avait la forme d'un mot que tous pouvaient comprendre.
- STOP! avait-elle intimé au monstre avec un ton capable de provoquer une crise d'apoplexie chez un vieillard débile, au moment où il mettait pied à terre, «pas un pas de plus. Il est convenu que là, vous relachez la gamine. Alors vous la relachez immédiatement», elle insista particulièrement sur ce dernier mot, «et ensuite vous pourrez partir où vous le souhaitez. Respectez la proposition que je vous ai faite et vous vivrez. Tentez quoi que ce soit d'autre que poser et laisser l'enfant venir vers nous et vous ne quitterez ces lieux que sous forme de cadavre.»
A présent son regard était froid et, bien que plus petite, Amaranthe jaugeait son adversaire comme si elle était en mesure de le foudroyer du regard.
¤Pourvu qu'ils aient de bons réflexes¤, songea la jeune femme,¤ si nous n'agissons pas assez vite nous ne pourrons pas sauver cette enfant ... et s'il s'enfuit avec elle, qui nous dit qu'il n'alertera pas ceux qui l'ont aidé à faire ça? Sont-ils loins? Est-il leur chef? Ou juste un retardataire?¤
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Oreille des Marches
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Acha Cheynn, Amaranthe, Talvrae
Le gobelours avait marqué le pas lorsque la moine avait crier avec autorité. La jambe du monstre pissait le sang, qui avait taché le sol du chariot.
- Humains pas donner zordres! Mazigliet avoir notage! mazigliet donner zordres!
le gobelours était en rage, comme si le fait que Amaranthe conteste sa maîtrise de la situation était une faute de goût comparable, pour une maitresse de maison d'Eauprofonde, de manger un plat avec les mauvais couverts. Il recommenca à agiter son cimeterre, mais il ne reculait plus.
- Humains pas digne confiance! Humains toujours trahir nous! Alors Mazigliet emmener notage, et humains rien faire!!!
Il recommenca à hurler à la cantonnade :
- za mtohi! Gtobvet'lhinwa, à mtohi towui vtowuiwa ptowuirrhirvet'z wawuir wuin pzal!
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Aventurier
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ucius observa quelques instant le gnome, son visage était impassible face aux explications du demi-humain. Il avait reçu pour ordre de maintenir à l’ écart les badauds, et autres curieux qui se presseraient vers l’infirmerie dans l’espoir de glaner quelques ragots juteux et de premières fraicheurs à raconter pour épater leur auditoire.
Le Tyrien était fatigué, les longues journées de marche forcée, le stress de leur mission, le tout conclu par une attaque d’hobgobelins. Sa tension nerveuse était à son comble, durant la bataille, ils avaient perdu un combattant, une personne de qualité aux yeux de Lucius. Son attention restait cependant sur le gnome.¤ Ses moitié d’hommes sont curieux plus que quiconque, je jurerais que celui la n’échappe pas à la règle. ¤ Machinalement le cormyrien hotta la main du torse D’Aristeo lorsque ce dernier fit mention de son supérieur, il jeta un bref regard en arrière en direction de ses frères d’armes agonisants. Mais, bien qu’une aide supplémentaire fût la bienvenue, il fallait d’abord s’assurer des dires du gnome, si « trois démons » le voyait fureter sans son autorisation, le chondathien serrai assurément tenu pour responsable. Un des soldats blessé gémissait de plus en plus, il était allongé une plaie béante dans l’abdomen laissait couler sur le sol une rivière de sang.(Chondathan) – Passe ! Lucius accompagna d’un geste ce qui fut presque un ordre, sa voix exprimait la méfiance, et une pointe de mépris.
De toute façon se dit il, si il surprenais le gnome à faire autre chose que s’occuper des blessés, il le jettera sans ménagement en dehors de la salle de soins. Tout en gardant un œil vigilant sur Aristeo, il songea que lui-même avait besoin, si ce n’est de soin , au moins d’une bonne nuit de repos, d’un repas chaud, et d’une grande écuelle d’eau pour faire sa toilette, son avant bras était maculé du sang de ses ennemis, et l’odeur aigre de la sueur embaumait son corps. Il déglutit et renifla un bon coup …
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Oreille des Marches
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'infirmerie était une lognue pièce un peu étroite, avec un erangée de fénêtre sur la longueur. En dessous étaient alignés une dizaine de lits. A chaque extremité de la sallle on pouvait voir une porte de communication.
Lucius était en faction devant la porte principale au milieu du mur opposé au fenêtre et, le flux de curieux refoulé en majorité, regardait ce qu'il se passait dans la pièce.
Les gardes qui avaient transportés ses camarades les avaient déposés sur les lits et étaient sortis avec déférences devant les soldats de Tyr. Sur le lit le plus loin de la porte, le corps sans vie du Chevalier Elhard de Tau-Suzail, gisait, recouvert d'un drap immaculé. Encore un brave tombé au combat! L'espérance de vie lorsqu'on voue sa vie au dieu justicier est courte.
Pendant ce temps, les autres occupants de la pièce ne chômaient pas. Les deux moines préposés aux soins, guérisons, onguents, traitements et médecines s'affairaient autour des deux guerriers inconscients. En s'approchant, Aristéo put voir qu'effectivement, ce n'etait que flèches, lances et épes mais que la quantité était assez impressionnante. La petite compagnie avait du être submergée par le nombre. Les blessures etaient nombreuses et certaines semblaient mauvaises. Ils devaient être entre la vie et la mort. Sentant le regard du prêtre dan son dos, Aristéo se dit qu'il devait agir.
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Aventurière
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alvrae poussa un long gémissement quand la créature s’immobilisa pour lancer des menaces dans leur directions, elle en avait vraiment marre de se gobelinoide qui avait rien trouver de mieux que de répondre à la survivante du convois. Elle décida de lui répondre d’un ton acerbe.-Je te rappelle espèce de cafard sans cervelle que ton « notage » n’as absolument aucune valeur à nos yeux… arrête de parader si tu veux rester en vie et fiche le camps, sinon j’ordonne sans hésiter que l’ont tire et que l’ont vous abatte comme un chien.
La jeune barde gardait les yeux sur le gobelinoide en tentant de ne pas montrer la douleur qu’elle ressentait et de se montrer l’air le plus confiant possible pour en imposer face à cette chose idiote, elle devait montrer se qu’une drow pensait de ses choses horribles, lui montrer qu,elle n’avait pas peur d’elle et être aussi froide que possible, montrant que en effet elle n’accordait aucune valeur à l’enfant.
Malgrée la douleur elle se tenait droite, confiante, les poings fermés, le regard perçant, du moins elle l’espérait. Elle cracha du sang sur le sol pour montrer tout le mépris qu’elle éprouvait pour cette créature inférieur, moins que tout. Sa société à elle considérait ces créatures comme une distractions pour leurs ennemis, leur vie à aucune valeur à leurs yeux et elle espérait le faire comprendre à se Mazigliet.
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