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Les esclaves, Eltabar
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Aventurier
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¤ Je ne suis pas sûr que le Karth ait bien compris l’humour subtil contenu dans la « dévotion » polaire. On voit qu’il connaît pas encore le phénomène des Inguri…Bon sang je l’oublie une fois sur deux son nom de clan. Il faut dire que l’arbre familial polaire a l’air encore plus compliqué que celui des Barberousse. Quand je pense que Karth me disait en arrivant que je choisissais mal mes amis... Reste à espérer s'il va etre bien content de l’avoir à son service. ¤
Le discours et l’attitude de la naine... Les réponses de Karth… Nasky réfléchissait et se posait encore une fois des questions... sur le concept de race.. de mal et de bien, mais aussi de loyauté (qu’il confondait un peu avec celui de fierté). Les sentiments du barbare étaient controversés. Quelque chose le poussait à accepter cette association, voir cette fraternité combative. Il se voyait dos à dos avec Karth en train de se battre en fiers guerriers unis devant la mort avant de passer au glorieux banquet de Kelemvor où aucune de toutes ces questions ne se poseront plus.
Il arrivait à imaginer Karth en fier Rashémi chevelu, vivant dans les terres glacées de son pays. Il se voyait en train de se chamailler dans les neiges de son village nomade natal Ils plongeaient ensemble dans la mare glacée, jouant à qui resterait le plus longtemps.…
Mais d’autres cotés de Karth lui rappelaient trop fort l’ennemi Thayen … et autre chose.
Nasky venait de comprendre pourquoi il avait éprouvé plusieurs fois cette impression de frère-ennemi à l’égard de Karth. . Son unique frère s’appelait Sankyrien (le monde de la "tête") et avait tout son caractère opposé , jusqu’au nom. Naskyrien (le monde des "esprits") était réveur et solitaire. Il aimait la fille de la prêtresse de son village. Il aimait la gloire de son pere. Il révait devant les contes et légendes des anciens. Son frère avait la même prétention et attitude que Karth, soucieux d’etre puissant et respecté, voulant plaire et paraître. Il voyait moins les esprits de la nature. Il voulait devenir chef du village mais en réalité il était lâche.
Il se rappelait les causes de son départ. La pretresse de son village natal lui avait dit « Ton nom et la montagne se ressemblent, mais ce n’est pas sur ce chemin là que tu trouveras la gloire, mais en cherchant à comprendre un autre monde, certes plus éloigné des esprits et où la nature ne règne pas comme chez nous. C’est dans les cités et le sud que tu trouveras ton destin et ta gloire. ¤ Cherche la Sankyrie, voyage, et tu trouveras le monde des esprits. La Naskyrie. ¤ Des images vinrent à l’esprit du barbare. Il se voyait plus agé, puissant et respecté mais, au lieu d’en être fier, il aimait toujours la nature et gouvernait avec sagesse. Il sentait qu’il touchait aux prémices du but de sa quête. Ce Karth était l’ennemi qu’il fallait comprendre , maitriser et accepter.
Néanmoins, lorsque le chauve s’adressa à lui, il resta totalement neutre. Une fois le discours fini, il se pencha vers son ami nain, toujours aussi taciturne, mais néanmoins plus proche, à l’heure actuelle , du prunier que du saule pleureur qui les avaient accompagné toute l'après midi. « Après tout, le principal c’est qu’on rigole. Comme ca , si on devient vieux, on aura des choses à raconter au coin du feu. Et puis si on meurt, on le fera en beauté. »
Alors qu’un curieux doute allait l’envahir, la voix de Daleto se fit entendre, et là , Nasky resta complètement subjugué par le savoir et les belles histoires de l’elfo-Daletonien-doré ¤ Le mage aux mille couleurs . Quelle différence de classe avec le cérémonial Thayen. Quelle puissance dans ses paroles simples et efficaces ¤ Il prit bien notes dans son esprit de chaque détail des paroles elfiques.
"A part le fait que votre discours me plait, je ne voispas en quoi mon comportement est étrange. Je n’ai pas été sensible à cette odeur bizarre de la piece précédente si c’est cela que vous appelez charme. Si charmé je suis, c'est par votre sagesse et votre savoir. Si, comme certains le disent , l’esprit est plus fort que la force, alors vous devriez etre le chef de cette expedition, si tel concept est possible dans une telle équipe."
Il désirait lui en demander plus, mais son esprit revint à sa quête personnelle qu’il venait de mieux comprendre. J’espere que vous me parlerez souvent et soyez assuré que je boirais vos paroles comme un nain avale de la biere"
Se retournant rapidement vers Karth, il lui dit très sèrieusement, les yeux dans les yeux :
" Tant que tu resteras Thayen, je ne vois à priori pas encore comment on pourrait etre amis. Mais si, en toi, le Rashémi humain et libre est plus fort que l’esprit de domination que ton pays t’a enseigné, alors nous saurons nous trouver et peut etre nous comprendre réellement. En aucun cas je n’assure ma loyauté envers autre chose que la liberté. Tant que je ne serai pas certain que cette quête est noble et sert la vie et en tout cas ne nuira pas aux peuples de Faerun, dis toi sans illusion que je ne suis là que parce que je veux bien etre loyal à l’équipe et aux gens que j’aime. Comme tu l’as dit, si tu prouves toi-même ta valeur de guide, au moins je te respecterai. Méfie toi de moi si je comprends que cette quête servira le mal, quoique ce ne sera jamais dans le dos que je t’attaquerai ni en cachette que je te laisserais, sauf si t'en vaut vraiment pas le coup."
En disant cette derniere phrase, il inspira profondément en regardant l’autre rashémi aussi mysterieusement que s’il voyait l’avenir
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Oreille des Marches
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Partie romancéeSaviir esquissa un léger sourire lorsqu’elle versa le somnifère dans la tisane de feuille d’Elambre. Elle usait souvent de cette drogue lorsqu’elle ne parvenait pas à trouver le sommeil. Une seule goutte diffusée dans un breuvage au goût suffisamment prononcé que pour couvrir, celui, désagréable de l’elexir aux vertus soporifiques, suffisait à la plonger dans un sommeil sans rêve. Elle s’était bien gardée cependant de révéler ce secret, son maître et seigneur se serait courroucé de la savoir sombrer dans un sommeil artificiellement profond qui aurait pu entraver sa vigilance. Elle compta les gouttes, deux…trois…quatre…cinq. Cela devait suffire pour une théière de cette taille là. Elle ajouta le miel, comme aimait Ramas Fezim. Elle lui préparait souvent cette douce boisson lorsqu’il était « bien disposé » à son égard, et lui servait elle-même, comme l’aurait fait une esclave dévouée. Il lui adressait ce sourire qui l’enchaînait bien mieux que le code de conduite Thayienne et le serment de Chevalier et l’attirait vers lui. Alors elle défaisait les sangles qui retenaient son armure sévère et sa chemise de coton, dévoilant un corps étonnamment gracieux, et elle passait le reste de la nuit entre les bras de celui qu’elle aimait. Pourtant ce soir le mage rouge avait réclamé la tisane pour la boire en compagnie des deux esclaves nouvellement acquises et qui devaient le servir pour la « quête » et non pas …pour ça. Il l’avait froidement repoussé, blessant son honneur et ses sentiments, une fois de trop. Elle déposa en silence le plateau soutenant la théière et trois coupes sur une table dans la chambre de Fezim. Sans un regard, le visage crispé pour retenir ses larmes, elle s’éloigna à reculons, soumise. Elle se sentait affreusement coupable, mais ne pouvait supporter de savoir son aimé étreindre une fois encore d’autres femmes...même pour une seule nuit.NarrationTousLe repas fut ponctué par cette étrange discussion que Saviir Phen regarda d’un œil presque distrait. Elle semblait pensive, préoccupée et maussade, comme si elle était incapable de sourire. La soirée s’écoula de cette manière, avant que Ramas Fezim lui-même ne vienne prendre part au repas assez tardivement et compléter les bribes d’informations qu’avait reçu le groupe nouvellement formé. | | - La traversée du lac ne devrait prendre qu’une journée, à moins que vous ne soyez retardé par l’un des nombreux dragons tortues qui infestent les eaux. Dit il en riant. « Vous vous reposerez à l’auberge « Chez Nazim » ou un porteur vous attendra et vous accompagnera jusqu’aux ruines de Delhumide. Vous continuerez le chemin seul jusqu’à Nanitaran."
Durant tout le discourt, Omsath hochait la tête comme si elle savait exactement ce qu’elle avait à faire et suivit Ramas Fezim dès que celui-ci se leva, lui adressant à elle et sa compagne demi elfe un sourire entendu.
- Suivez moi donc ! Je vais vous montrer votre chambre. Un lieu ou le confort et la sécurité vont de paire. S’esclama t’il en riant.
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Ramas Fezim est un homme de grande et fière stature. Bien que peu musclé comparé a un homme habitué au travaux physique ou au maniement des armes, on ne peut dire qu’il ne soit pas bien bâti. Un regard sombre, un visage austère qu’il présente en public peut soudainement se parer d’un air de frivolité où brille l’éclat de la débauche. |
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Il invita chacun à le suivre, Saviir fermait la marche, muette comme une tombe. Ils gravirent l’escalier de marbre blanc qui s’enroulait sur lui-même débouchant sur un petit corridor qui s’ouvrait sur la terrasse. Ramas d’un geste de la main ouvrit une porte dans une gerbe d’étincelles bleutées. La pièce qui se présenta aux invités était immense, et luxueusement meublée. Une profusion de tapis aux couleurs merveilleuses recouvrait le sol, tandis que de nombreux sofas épars, croulant sous les coussins de soie invitaient quiconque à prendre place et à s’étendre pour une nuit faite de délice. Des grandes arcades s’ouvraient sur l’extérieur, et l’on devinait au travers le voile des rideaux un ciel étoilé magnifique. L’ombre d’un garde passa furtivement. La demeure de Fezim était décidément bien gardée et aucun détail n’était omis, ce qui laissa à penser à Naniel, la petite halfeline, que le jour ou elle s’était trompée de villa et était entrée par effraction dans celle du mage, on lui avait apparemment facilité la tache. Mais pourquoi était elle attendue ?- Nous serons voisin…pour cette nuit. Déclara Ramas en ouvrant la porte d’une armoire en bois d’acajou richement sculptée. « Après vous, je vous en prie. » Un par un, les esclaves et les agents de la compagnie des Marches entrèrent sceptique dans la commode qui se révéla être une porte vers l’exacte réplique de la chambre de Ramas Fezim, jusqu’à en imiter la brise extérieure qui gonflait les rideaux et l’odeur doucereuse des fleurs du jardin. Daleto comprit rapidement qu’ils se trouvaient à présent dans un autre plan, et qu’il était tout simple pour le mage rouge de les y enfermer ou les libérer selon son bon plaisir. | | - Je vous souhaite le bonsoir Messieurs, Dames. Mesdemoiselles, votre chambre n’est pas ici. Ajouta t’il avec un sourire mielleux à l’adresse d’Omsath et Lyaël. « Karth, tu connais le chemin de la tienne. »
Enlaçant l’elfe et la prêtresse, encore sous l’effet des encens et commençant à ressentir celui plus particulier encore qui embaumait la pièce, Ramas referma la porte de l’armoire et s’installa sur l’une de ses nombreuses couchettes, près à passer une nuit…divine.
- Saviir, apporte moi la tisane d’Elambre je te prie. Tu sais que tu es la seule à pouvoir la préparer comme il sied. Je n’aurais pas besoin de toi cette nuit, veille donc à ne pas me déranger. Va ! Et apporte moi ce que je t’ai demandé. »
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Ramas Fezim est un homme de grande et fière stature. Bien que peu musclé comparé a un homme habitué au travaux physique ou au maniement des armes, on ne peut dire qu’il ne soit pas bien bâti. Un regard sombre, un visage austère qu’il présente en public peut soudainement se parer d’un air de frivolité où brille l’éclat de la débauche. |
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Le lendemain matin, l’aubeKarth se restaurait dans la cuisine en compagnie des autres gardes qui plaisantaient de façon un peu désagréable sur son avancement spectaculaire. Il savait qu’il allait partir d’un moment à l‘autre et avait donc préparé ses effets. Une carte de Delhumide, ainsi que le mot de passe à donner à l’aubergiste à son arrivée à Keluthar lui avait été confié. La digestion de son copieux repas fut subitement interrompue par un hurlement. Daleto, Naniel, Gunlann, Naskyrien et Baltanin avaient passé une nuit à ce point agréable qu’ils se demandaient si leur sommeil n’avait pas été lui-même artificiel en fin de compte. Par contre le réveil le fut beaucoup moins : des cris qu’ils percevaient de l’autre côté de la porte de l’armoire leur arrachaient les tympans.- Saviir ! Comment as-tu osé me faire ça, diablesse !! Hurla la voix de Ramas Fezim, qui démontrait à quel point il valait mieux éviter d’attirer sur soi les foudres d’un Mage Rouge.Les habitants de la villa semblaient tous terrorisé. Les murs eux même semblaient trembler sous l’effet de la colère, tandis que le bruit de vaisselles brisés et de vociférations retentissait. Lyael et Omsath se tenaient toutes deux enlacées, tremblantes de peur en voyant le spectacle qui s’offraient à elle. Elles ne se souvenaient pas comment elles s’étaient retrouvées endormies à même le sol.- Misérable, souffre de ma colère ! Me priver d’une si douce nuit par un stratagème aussi vil ! Quel honte sur toi ma pauvre Saviir ! Que croyais tu ? Que je n’étais pas au courant de ton penchant pour l’aonam ? Je t’ai laissé faire sans rien te reprocher car je connais tes blessures ! Mais là tu as été trop loin ! Tu m’as trahie ! Souffre, souffre ! A ces mots, tous purent entendre la complainte de la fière guerrière, qui pliait sous la magie du serment de Chevalier scellé sur son crâne en un élégant tatouage.Une heure plus tardSaviir Phen chevauchait aux côtés de la carriole, l’air à ce point furibond, que personne, pas même Karth n’osa lui poser la moindre question. Les rayures de son tatouage avaient prise la couleur noirâtre du sang séché. Pour ce voyage, nul voiture confortable ne les conduirait au port, mais une simple charrette, servant habituellement à transporter des marchandises. Une grande malle était disposée dans un coin, tandis que chacun s’était installé comme il le pouvait. Les rues d’Eltabar filaient à toute allure jusqu’à dévoiler le bleu étincelant sous le soleil matinal du lac Thaylambar. Le port était agité d’une activité typique et colorée. Une longue file d’esclaves enchaînés débarqua d’un navire et furent conduit à l’aide de claquements de fouets en direction de l’horrible marché ou Daleto, Lyael et Omsath, s’y trouvaient eux même enchaînés la veille, à la même heure. Un sentiment particulier s'empara soudain de Daleto : son rat ne devait pas être loin. Il était en vie et se régalait de quelque déchets trouvés au hazard.Gunlann renforce son alignement loyal de 1 point : 5/5 --- > 4/5
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Aventurier
Aucune chambre
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Daleto, la tête dans les nuages, ne pouvait s’empêcher d’apprécier l’air libre qu’il respirait à nouveau. Non pas que l’air dans la demeure devenait irrespirable quoi que… mais il était à nouveau en train de voyager et accompagné… de force, certes, mais son aventure avait repris son court. Les oiseaux tournant autour des mats des bateaux amarrés déchargeant les esclaves symbolisaient bien le paradoxe dans laquelle il se trouvait, à la fois libre et enchaîné.
Se tenant comme il le pouvait au bord de la charrette pour éviter d’être secoué trop fortement par les rebonds des roues en bois rigides sur les pavés de la route du port, l’elfe doré pensa alors à la pauvre Lyaël et lui adressa une pensée sincère. ¤ ¤ Après cela, il se jura de ne plus penser à la demi elfe car son image avait le pouvoir d'affaiblir son esprit. Il plaça ce souvenir dans son coeur avec le serment qu'il lui avait promis en se disant qu'il protègerai les demi pointes croisant sa route comme il l'aurait fait pour elle. Il les protégerait en son nom ...
L’image de Gaty en train de se nourrir de quelques déchets lui parvint accompagné d’un sentiment de réjouissance partagé. Cette pensée illumina immédiatement son visage et il se précipita sur le coté de la carriole pour jeter un regard circulaire en dehors du véhicule et repérer son petit ami. Ne pouvant le distinguer à cause de la vitesse, il lui adressa une image la plus claire possible de la charrette et de son groupe ainsi que de leur destination afin de l’inciter à le rejoindre sur les quais. ¤ Nous allons là-bas, rejoins nous !¤ Se retournant et reprenant sa position initiale, il ne pût s’empêcher de s’exclamer « Ah le brave petit ! Je savais qu’il allait se débrouiller comme un chef ! Hahaha ! » L’elfe avait retrouvé en plus de son familier, un moral à toute épreuve. La joie qui l’habitait pouvait se lire sur son visage malgré un lourd sentiment qui allait mettre un peu de temps à s'éffacer...
Je souffre que l'Esprit ne soit pas dans la vie et que la vie ne soit pas dans l'Esprit...
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Frère-Molosse
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le nain avait en faite très mal dormi mais n’avait pas bougé d’un pouce. Il avait ruminé les derniers événements. La mine joyeuse de l’elfe mis le feu aux poudres sous la mèche verte. Il s’avança vers Gunlann et lui dit d’un ton sec: - Très jolie ta prestation d’hier soir mais tu peu me dire pourquoi tu lui as dit une ânerie pareille. il n’attendit même pas la réponse et d’ailleurs il ne voulait plus rien à voir à faire avec une traîtresse enfin c’est comme cela qu’il avait ressenti.
Baltanin s’approcha alors du guerrier et lui planta le doigt dans un endroit d’armure plus fin que les autres. - Imagine une dague ou une flèche à la place de mon doigt. lui susurra t’il Bien, alors sache que la seul raison pour laquelle tu es toujours en vie c’est que je tien plus à la vie de mes amis. Maintenant que tu sais ça, je crois qu’il y a un ou deux points à éclaircir. Ne prononce plus jamais esclave et tuer dans la même phrase et n’oubli pas que je ne suis pas un esclave pas plus que Naskyrien ou Gunlann même si elle est complètement folle.
cela dit, il recula vers le fond du chariot et la mine sombre adressa un signe de tête au barbare.
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Novice
Chambre 31
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a naine était déçue de la réaction de son camarade Baltanin. Apparemment il n'avait pas compris sa déclaration, et la naine se doutait qu'il n'était pas le seul. Elle décida donc de clarifier à cet instant sa déclaration de la veille. -Je crains, cher Baltanin, que tu n'es mal compris mes mots d'hier soirs. Je ne ma considère pas comme une traitresse parce que je ne trahis personne. Lorsque j'ai dit à celui qui va diriger notre expédition que j'exécuterai ses ordres cela ne signifiait en rien que je souhaitais lui obéir mais que tant qu'il serait en situation de nous empêcher de mener à bien notre mission, je ne me confronterais pas à lui. J'avoue que je ne l'apprécie pas plus que toi et que, si je ne faisais pas passer ma mission pour la Compagnie avant mes sentiments, la minute où il m'a traitée d'esclave aurait bien pu être la dernière. De plus, la dévotion que j'ai affirmée n'allait pas réellement à lui mais à celui qui prendra la direction de notre communauté. J'espère que j'ai clarifié la situation. La naine se rassit dans la charrette et se mit à réfléchir. Le fait que Savvis Phen soit du voyage ne pouvait que compromettre les plans de la naine. Car la naine comptait retirer à l'orgueilleux guerrier la direction de leur colonne dès l'instant où n'importe qui serait capable d'exercer aussi bien le rôle de chef. À vrai dire, la naine rêvait de devenir ce chef mais en son for intérieur elle savait qu'il y avait dans l'équipe des membres autrement plus compétents pour ce poste. La naine pensait par exemple à Baltanin qui savait être droit, qui était franc et, à son avis du moins, sage. Dans son choix venait ensuite Daleto. La naine savait peu de chose à son propos mais lui semblait être un vrai puits de connaissances ce qui pouvait être utile. Toutefois, la guerrière renversait tout cela car, au moins pour l'instant elle était du côté de Karth. Le plus grand espoir de l'Inugaakalikurite était que Savvis s'arrête au port. Une fois qu'elle eut mis un peu d'ordre dans ses idées et dans la vision qu’avaient les autres de sa déclaration d'allégeance, la naine se rapprocha de l'elfe. -Mon cher Daleto, tel est votre nom n'est ce pas? J'ai eu l'impression que vous en saviez un peu plus que moi à propos de la destination de notre voyage. Pourriez-vous m'en dire plus à propos de la cité des elfes noirs où nous allons?
Toute puissance est faible, à moins que d’être unie.Sorts préparés:Niveau 0: Détection de la magie, Détection du poison, Illumination, Lumière, Repérage, Soins superficielsNiveau 1: Détection de la faune et de la flore, Enchevêtrement, Grand pas, Morsure magique, Soins légersNiveau 2: Nappe de brouillard, Pattes d'araignée, Sphère engourdissante (Frostburn), Vision aveugle (Underdark)Niveau 3: Respiration aquatique, Respiration aquatique, Soins modérésNiveau 4: Invocation de bête de glace IV (Frostburn), Thalassémie (Stormwrack)
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Vétéran des Royaumes
Aucune chambre
Aucune gemme
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Tous les préparatifs avaient été effectués selon les directives de Seigneur Fezim, et a présent, la mission avait pour ainsi dire commencée.Mais la discussion de la veille n’avait apparemment éclairci complètement la situation du groupe. En tout cas, tel était le sentiment du guerrier face à la réaction du nain.
Ce contact, ces menaces… Si il n’avait pas été si surpris il lui aurait certainement brisé le doigt. Mais seulement à cet instant présent, il réalisait ce qu’il se passait. La colère grondait de manière sous-jacente, Karth pouvait sentir le sang affluer, et ses tempes battre en rythme avec les pulsations toujours plus fortes de son cœur. Mais la présence de Savvir et la rage qu’elle ressentait elle-même à cause des souffrances qu’elle avait endurées plus tôt dans la matinée, lui permirent de se contrôler. Il jeta un regard assassin à ce nain intrépide et inconscient, et répondit furieusement. Dans sa voix, on pouvait presque ressentir un désir si caractéristiquement humain, un désir de meurtre...
- C’est la dernière fois que tu me menaces, Nain. Et si tu l’oses encore, tâche d’avoir une vraie arme et non seulement le fruit de mon imagination. Car ce jour là, ta tête roulera sur le sol...
Le thayen se concentra lentement, tentant de calmer son ébullition. Puis il se retourna pour observer la naine. Ses paroles faisaient effet sur lui comme à retardement. Il les avait entendues quelques secondes plutôt, mais la colère l’avait emporté. A présent il réfléchissait logiquement à nouveau et pouvait lui répondre, tout en se remémorant les mots exacts de la naine, la veille.
- Voilà, déjà, que tu reviens sur ta parole Gunlann Landeblanche ? N’as tu pas juré sur ta vie et celle de tes ancêtres de te mettre à mon service ? Est-ce tout l’honneur que tu accordes à ta parole ? Il s’interrompit un court instant. Enfin, comme je te l’ais dit hier, seuls la relation entre tes mots et tes actes prouveront ton honneur et ta loyauté.
Coupant court à la discussion d'un reniflement dédaigneux, il prit un court instant de réflexion. Il n’obtiendrait rien par la menace si ce n’est la mort de chacun des membres du groupe les un après les autres. Un instant, il tenta d’imaginer ce qui pouvait les rendre aussi têtu, et pour la première fois, il s’imagina à leur place. Pourtant, cette idée ne le traversa que le temps d’une pensée. Car sa réponse était évidente et sans appel. A leur place il serait déjà libre, ou mort. Aucun autre choix ne subsistait. Il observa chacun des membres tour à tour. L’elfe attiré par autre chose, la naine pensive... Puis il poursuivit, sa voix était devenue seulement dure et froide.
- A partir de maintenant, notre mission débute, et vous ne serez plus considérés comme esclaves, car vous ne me servirez à rien en tant que tels. Ce que je veux, c’est que cette mission soit accomplie et que vous soyez efficaces, votre sort ou vos sentiments m’importent peu. Il se regarda Naskyrien. Je n’ai que faire de votre amitié. Si le destin nous mène sur une même route, ainsi soit-il, mais personne ne se mettra en travers de mon chemin sans en payer le prix. Vous trouverez chacun vos raisons, ou vos excuses pour suivre cette route, et accomplir cette mission. C’est tout ce qu’il me faut.
Le guerrier replongea dans le silence, laissant les réactions fuser dans tous les sens, ce qui ne manquerait pas d’arriver, il en était certain.
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Aventurier
Aucune chambre
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Naskyrien avait plutôt passé une bonne nuit. ¤ Plutot confortable les placards Thayens ¤ Alors que la charrette menait l’équipe au port d’Eltabar, il restait néanmoins pensif et perplexe devant plusieurs éléments. D’abord, il n’avait toujours pas réussi à retrouver « l’âme » de la prêtresse. Celle-ci était toujours aussi peu affective.
¤On dirait qu’il y a des charmes partout dans ce pays. ¤ Il repensait à cette curieuse scène matinale entre Ramas et Saviir. Il s’était bien aperçu de l’attirance de la guerrière pour son maître et voyait bien que ce dernier la manipulait totalement et semblait se soucier d’elle comme .. un récipient en ferraille. Mais ce qui l’intriguait le plus, c’était cette nette impression que le tatouage frontal des guerriers Rashimo-Thayens semblait en réalité une marque magique de dévotion.¤ Un charme, ce tatouage est un charme qui les oblige à obéir. Il faut que j’en ai le cœur net ¤ Alors qu’il allait parler à la guerrière, Daleto sembla lui aussi atteint d’un charme aussi joyeux que spontané. Entendant la soudaine affection de l’elfe pour un mystérieux bénéficiaire, il allait lui demander si lui aussi voyait des esprits forestiers, quand Baltanin réagit assez violemment à la conversation de la veille.¤ Une demi journée de retard, ça semble beaucoup, même pour lui. Cela dit, il n’a pas vraiment l’air charmé. Son discours ressemble assez à celui que j’ai tenu hier soir, en plus barbare, bien sûr. ¤ Au signe de tête de son collègue roux à la mèche verte, il essaya de répondre discrètement, ne désirant pas trop envenimer la situation ¤ Eh bien, elle commence bien notre coopération. ¤ Nasky était partagé entre une volonté de donner raison au rôdeur et d’aller jusqu’à refuser quête, mission, Thayens et même tout autre compagnon de voyage, et celle de nuancer les choses pour un bon départ et une meilleure ambiance. Mais en voyant le tatouage de Karth… et son anneau, il se dit que c’était bel et bien un esclave qui prétendait vouloir diriger cette équipe, et cela ne lui plut pas du tout. Loin de son esprit toutes les imaginations positives de la veille concernant une éventuelle affection pour un Rashémi qui, à l’instant présent, n’était plus qu’un prétentieux tatoué, manipulé et chauve… charmé et envoûté par un très vilain magicien. Il sentait la colère naine le contaminer. Il resta figé et se rappela également qu’il n’avait pas d’armes. Ramas ne leur avait rien donné pour assurer leur « stupide » mission. Les paroles de la naine, qu’il n’écouta qu’à moitié, ne le calmèrent pas beaucoup. Encore moins celles du prétentieux Thayen-Aussi superbes soient les paroles de l’elfe doré et des demi Rashémi, je crois qu’il y a de nombreux points plus urgents que nous n’avons pas encore abordés. Alors, pour commencer, où sont nos armes ? On va pas partir à poil pour une mission périlleuse dans les entrailles souterraines, en supposant que les tortues dragonniques des mers nous bouffent pas avant. Ensuite, et cela me semble le plus important. Le regard de Nasky s’arrêta méchamment sur les deux Thayens. Ses yeux commençaient à s’injecter de petits vaisseaux. Le volume de sa voix était élevé et augmenta au fur et à mesure de sa tirade, de maniere à ce que la dame Phen, à qui Nasky s'adressait aussi, puisse donc profiter du débat. Son torse s’était redressé, les poings serrés autour de ce qu’il put trouver.Qui êtes vous, les deux Thayens , pour vous permettre de parler d'esclavage? Hein, c'est quoi ces tatouages? Une marque de reconnaissance bovine pour distinguer les bêtes d’un troupeau ? Pourquoi, miss Saviir, vous torturer ainsi avec un homme qui se soucie de vous autant que moi de lui ? Vous réalisez, les deux chauves, que vous avez rien de Rashémis, rien de libre ? Vous êtes complètement manipulés, aveugles de votre propre servitude. On dirait que ces magiciens ont le même pouvoir que les flagelleurs mentaux. Vous comprenez que il vous bouffe la cervelle, ce Ramas ? Vous vous imaginez quand même pas, mademoiselle, que vous aimeriez le bonhomme si il n’avait pas ces pouvoirs magiques et ces charmes? Et Omsaht ? Et la demi elfe qui n'est pas là ? Je vois bien qu’elles sont devenues comme vous? Il n’est plus question de respect et encore moins de mission si on doit se balader avec des fantômes .Pas la peine d’aller essayer de se friter des humano pieuvres mangeurs de méninges si il y a déjà la moitié de l’équipe qui est sans cervelle. Non pas que je me soucie pour l’alimentation des Illithids, mais qui c’est qui prétend ne pas vouloir d’esclaves dans le groupe ? Bon sang, mais vous vous prenez pour quoi ? Vous vous croyez civilisés alors que vous êtes des PANTINS ensorcelés. REAGISSEZ. Libérez vous si vous etes des Rashémis. Je vous ai compris. Vive le Rashémi libre. (citation Karl de Draule
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Aventurier
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Très souriant, Daleto opina du chef pour répondre à la première interrogation de la naine :
- Votre vouvoiement à mon égard me flatte chère amie, étant de nouveau compagnon le tutoiement facilitera notre contact, lui dit-il avec respect et gentillesse puis continua avec un léger clin d’œil, vois-tu Gugu, je ne connais que peu de choses sur ces cités drows dont l’ensemble se nomme Undrek’Thos, et quelques fragments répondant au nom de Nanitaran et Sshurlynder … néanmoins je sais ce qui fait leurs particularités. En effet, dit-il en plaçant ces mains pour dessiner un cercle," étant éloignées les unes des autres, elles sont reliées par des portails permettant aux drows des autres cités de venir en aide à celle attaquée. De plus un système de sécurité empêche tout objet métallique d’être transporté, cela fait que si une de ces cités devaient tomber, les assaillants auraient beaucoup de mal à prendre les autres … très ingénieux n’est-ce pas, surtout pour des elfes noirs … D’ailleurs cela pourra peut-être nous être préjudiciable, bien que la foi en ton dieu ne soit que ta vraie défense face à des telles créatures comme la magie est la mienne " finit-il en lui mettant la main sur l’épaule furtivement puis accrochant rapidement le bord de la carriole pour éviter d’être déséquilibré.
Les « belles » paroles de Karth ne le dérangèrent point, pour l’elfe elles faisaient parties du décor qui allait le suivre au cours de ce voyage. Il tenait compte du fond sans faire attention à la forme qui pouvait parfois être choquante mais telle était sa manière de s’exprimer. Et il fallait éviter pour sa santé de lui en faire la remarque, il l’avait appris à ses dépends, et chacun était prévenu à présent.
Daleto écouta la réaction primaire et censée de son nouveau compagnon chevelu. Il pouvait comprendre l’incompréhension de l’habitant des plateaux face à ce comportement borné et soumis à un ordre supérieur. Mais telle était la différence qui existait entre deux civilisations, même voisine et Naskyrien allait devoir faire avec bien que cela l’insupporte. La chose étonnante était que le barbare éprouvait de l’attachement pour le guerrier thayen, ses paroles contenaient un amour… un amour semblable à celui de deux frères ennemis. Il ne connaissait pas bien l’histoire commune de Thay et de la Rashéménie mais leur comportement l’un envers l’autre semblait la caractériser.
¤ Eh bien, la relation entre ces deux là ne va pas être triste… ¤
Puis s’adressant aux trois compagnons étant apparus ensemble dans la soirée de la veille : « Vous êtes venus hier matin ensemble, je vous ai aperçu au milieu de la foule du marché, dit-il en désignant les deux nains, puis vous êtes venus ensemble à la soirée du mage pour retrouver votre amie prêtresse. A ce qui me semble maintenant évident, vous faites partis de la même guilde ou compagnie. J’aimerai savoir par curiosité comment vous vous êtes rencontrés et retrouvés ici, dans cette belle région si hospitalière » termina-t-il avec un sourire ironique.
Je souffre que l'Esprit ne soit pas dans la vie et que la vie ne soit pas dans l'Esprit...
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le regard du Rashémi à la juste colère passait de la chevalière en fer au demi tonne Karthien dans une ambiance de défi. En se taisant, Naskyrien se rendit néanmoins compte que l’elfe, aussi préoccupé par ses paroles justicières que le serait un vétéran Rashémi par la présence d’un rat, en avait profité pour étaler son savoir à Gunlann. En temps normal, le barbare aurait tout de suite écouté Daleto avec intérêt, mais à l’instant présent, il fut assez énervé de constater que le maigrelet n’avait même pas écouté le juste débat. Il eut néanmoins un instinct, propre à sa personnalité si respectueuse du précieux savoir qui l’impressionnait et que lui-même rêvait de plus en plus franchement d’acquérir, il ne lui lança qu’un regard noir et contrarié qu’il réussit à ne pas accompagner d’un : ¤ Dis le, si ça te dérange que je cause ¤, voir d’une paire de baffes. Au contraire, à la question du mage doré, sa tension resta bêtement en suspens. Son esprit était encore une fois partagé entre la méfiance et la colère et celle de décontracter l’atmosphère. Même si il n’avait aucune peur de mourir, son insouciance avait l’avantage (ou l’inconvénient selon les situations) de vite transformer ses humeurs. Sans réussir à relâcher son attention et sa méfiance pour les Thayens, il se décontracta un peu en voyant le sourire de l’elfe . Avec une ironie frisant l'insolence, il répondit à la question de Daleto.
- Ouaaaaais, alors c’est de là bas qu’on s’connaît. Je savais bien que ta bobine de fils dorés me disait quelque chose. SUUUUUPER accueillante la région, en effet… Visitez Eltabar, Qu’est ce qu’on s’y marre.
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Novice
Chambre 31
1 gemme
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a naine commençait à sentir la tension monter, et elle n'aimait pas du tout cela. Elle n'avait oublié ni Savvis Phen ni l'anneau qu'avait offert au guerrier le mage rouge. Elle fit donc d'abord un signe de la main pour essayer de faire comprendre à Daleto que la réponse à sa question attendrait que la prêtresse ait tenté de calmer les opposants, par la parole au moins. -Je pense que vous n'avez toujours pas compris mes paroles, maître Karth. Je vous suis toujours loyale en tant que chef de cette expédition, en tant que représentant de cette expédition donc, ce qui signifie que si nous sommes attaqués par un dragon-tortue, par exemple, je n’hésiterais pas à sacrifier ma vie pour sauver la votre. Tout comme je ne contredirais aucun des ordres direct que vous pourriez me donner. Toutefois, si jamais vous décidiez de vous battre entre vous je ne prendrai pas votre parti contre le reste de l'équipe, je tenterai évidemment de vous séparer avant qu'il y ait des blessés et je guérirai les blessés évidemment mais c'est là que s'arrêtera mon intervention. Ai-je été suffisamment claire cette fois? L'Inugaakalikurite se rassit alors et commença à raconter à son camarade elfe la raison de leur présence dans la région. -Je te demande d'excuser la réponse pour le moins grossière de mon camarade, mais il faut avouer qu'il est un peu à cran et que je le comprends. Alors pour tout te dire nous sommes des membres de la Compagnie des Marches en cours de formation. Nous sommes partis il ya plus d'un mois de Sundabar, dans les Marches d'Argent, pour arriver ici. La mission que nous a donnée notre supérieur était de lui trouver une arme de la région nommée Flammelance. La première partie de notre voyage, la traversée du désert de sable de l'Anauroch, fut difficile mais se passa globalement plutôt bien. Les choses se gâtèrent lorsque nous arrivâmes dans le voisinage de la mer de lune. Nous fûmes attaqués durant la nuit par une caravane de marchand zhents. Ils nous laissèrent en piteux état, au bord du chemin, emmenant avec eux Omsath. Nous réussîmes à nous remettre sur pieds et à les poursuivre, traversant la Vaasie, la Damarie et le Narfell, moment difficile où je passais sur des terres qui ne m'étaient pas inconnues mais où je ne pouvais pas m'arrêter. Enfin nous arrivâmes en Rashéménie, terre de mon camarade aux cheveux couleur poussin, qui nous guida jusqu'à Eltabar. Et toi, comment t'es tu retrouvé esclave?
Toute puissance est faible, à moins que d’être unie.Sorts préparés:Niveau 0: Détection de la magie, Détection du poison, Illumination, Lumière, Repérage, Soins superficielsNiveau 1: Détection de la faune et de la flore, Enchevêtrement, Grand pas, Morsure magique, Soins légersNiveau 2: Nappe de brouillard, Pattes d'araignée, Sphère engourdissante (Frostburn), Vision aveugle (Underdark)Niveau 3: Respiration aquatique, Respiration aquatique, Soins modérésNiveau 4: Invocation de bête de glace IV (Frostburn), Thalassémie (Stormwrack)
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