D'Eauprofonde jusqu'à Baldur, un convoi spécial

olan qui était à moitié endormi, avait entendu l’homme et sont discours, il se leva doucement pour ne pas avoir la tête qui tourne, car il adorait boire de la bière. Il s’approcha du chef du groupe et lui dit à haute voix :

-Tu sais pertinemment que nous allons venir avec vous, alors arrêter de faire cette comédie pour qu’on arrête de vous poser des questions, vous venez de dire que vous aviez besoin d’aventurier pour accompagner cette cargaison, si vous avez besoin de nous, ce n’est pas la peine de partir sans nous, je connais cette ruse, vous voulez que nous venions, en tout cas, moi je viens quoi qu’il arrive, je n’ais pas peur du danger. Il est vrai que moi aussi, j’aimerais savoir ce qu’il y a dans ce coffre comme tout le monde ici, mais si vous ne voulez pas répondre, c’est votre droit, je pense que tout le monde ici viendra pour vous aidez dans votre voyage. (Langue commun)

¤ Si je dois donner ma vie, je le ferais sans hésiter, il faut que je sache absolument ce que contient ce coffret. Malik va venir à coup sûr, Aglaïa va peut-être renoncer, cet homme avec de longs cheveux qui a poursuivit le fou viendra sans doute, Halasthor est courageux, il va venir aussi et cette homme qui m’a dit qu’il assurerait la sécurité du coffret viendra aussi. Donc seul Aglaïa et cet homme aux longs cheveux risque de ne pas venir, mais on ne sait jamais. ¤

Yolan regarda tout le monde prit ses affaires et s’apprêta à partir.

Surprit de la réponse du prêtre et voyant le chariot qui commençait à partir Gaenos souria et dit :-Enfin nous pouvons y aller.(commun)
Il se leva , tapota son pantalon pour lever la poussière et commença à marcher. Il vit le demi-elfe s'approcher de la tête du convoi une occasion de se faire connaître.
Il accéléra le pas pour rattraper le demi-elfe dénommé Yolan si ses souvenir était bon. Une fois à sa hauteur il lui dit :
-Yolan c'est ça? (commun)
Il ne laissa pas le temps de répondre et enchaîna :-je vois que tu es partant pour cette mission, sache que moi aussi et je pense que cela ne sert à rien de se mettre en froid avec tout le monde. Je viens donc m'excuser des propos certes maladroit que j'ai pu affirmer lorsque j'ai dit que je voulais simplement la récompense et quiconque mettra en péril la mission devra simplement me passer sur le corps. Je veux juste finir cette quête au plus tôt sans aucun dérapage mais je n'hésiterais pas comme tu as pu le voir à tuer celui ou celle qui me retardera.
Il s'adressa ensuite au prêtre :
-Comme vous pouvez le constater je vous aiderai dans cette tâche et faite moi confiance je ne vous trahirai pas.(commun)

Sur ces mots Gaenos marchait et jetait quelques regards derrière lui pour voir qui les suivaient.

Les citations se font de manière classique avec les conventions d'écriture normales Il n'y a pas à utiliser la commande QUOTE
De plus même si cela s'améliore, tu fais encore des fautes et je n'ai pas tout corrigé. De plus tu peux utiliser les points et les virgules pour la construction de tes phrases.

Je suis désolé du nombre de faute mais je fait de mon possible pour corriger, j'ai vraiment du mal , désoler.

je ne sais pas si je peux traiter la conversation de cette façon s'il y a un probleme fais-moi signe

Alors que le convoi s'ébranlait enfin vers sa destinée, Rougetigre souriait intérieurement. En effet, comme à chaque fois, il appréciait particulièrement la sensation qu'il ressentait lors du départ sur les sentiers du voyage et de l'inconnu.

Ayant eu le temps de retrouver ses esprits après sa course folle, désormais la raison de sa présence au sein de la petite troupe et de leur étrange chargement était nettement plus claire et désintéressée qu'il n'y paraissait. Ce que contenait la caisse, par exemple, ne le souciait pas beaucoup (bien qu'elle l'intrigua énormément).

Par contre, il tenait à en savoir plus sur le déroulement du voyage, car ce départ quelque peu précipité ne le rassurait guère quant à son organisation, et donc quant à sa défense en cas d'agression. Comme un homme avertit en vaut deux, il décida de ce fait d'aller s'enquérir de tout cela auprès du chef du détachement.
Il attendit que celui-ci soit un peu plus disponible pour pouvoir s'entretenir quelques instants, puis il s'approcha de lui, après avoir salué de la tête le prêtre nouveau venu.

- Alors, Messire Capitaine, ça y est, enfin parti ? salua-t'il à nouveau de son accent si prononcé, en arborant un large sourire. Figurez-vous que je suis un homme somme toute rompu aux voyages... Je souhaiterais m'entretenir avec-vous sur un certain nombre de détails... (langue commun)

Il attendit que l'homme lui prête attention puis continua. Je me nomme Tigrerouge, et je parcours les routes de cette terre depuis deux années déjà... Essayant de sympathiser sans arrière pensée, il en profita pour tenter de se renseigner sur le voyage: Quel était sa durée ? Quelle distance y-avait-il à parcourir et surtout, quel était l'itinéraire qui était prévu ? Les lieux qu'ils allaient traverser étaient-ils dignes d'intérêt ?

Rougetigre était passionné par les us et coutumes de Faërun et tenait un petit carnet de voyage, qui s'agrémentait de récits et croquis sur les lieux qu'il avait parcourus. Il le lui montra. Tout à sa tentative de sympathiser, le moine essaya de ramener la conversation jusqu'aux points qui lui paraissaient cruciaux au niveau de la défense du convoi:
- Quels étaient les auteurs des deux précédentes attaques ? Etait-il lui-même présent ? Qu'avait-il vu ?
- Ou cela c'était-il déroulé ?
- Quelle serait la meilleure défense a adopter en cas d'attaque du convoi ?
- et enfin, quel était son sentiment personnel sur la raison de l'attaque ?



Ce message a été modifié par Rougetigre le Vendredi 07 Avril 2006 à 13h15

glaia prolongea son regard en direction de l’homme depourvu d’ailes qui avait cru pouvoir s’envoler a la poursuite de celui qui les avait mis en garde. Il lui avait parle dans une langue qui lui etait inconnue mais dont les sonorites lui disaient de chercher vers l’Est. Enfin, vu ses manieres il venait a n’en pas douter de la remercier pour le maigre service qu’elle lui avait rendu. ¤Il semblerait que les gens ‘civilises’, dans le sens qu’emploient les citadins, ne soient pas forcement ceux qui s’affichent comme tels. ¤ Ne voulant pas faire repeter l’homme venu de l’Orient, elle se contenta de lui sourire chaleureusement, a la maniere dont une mere sourit a un enfant qui decouvre la vie.

Le convoi s’ebranlait deja elle prit place non loin du pretre de Heaum. Leur interlocuteur leur avait un peu force la main mais comment douter des intentions d’un tel clerge ? ¤Les defenseurs du Bien peuvent souvent s’averer de grands destructeurs de l’equilibre universel, aussi ne dois-je pas leur accorder une confiance aveugle. D’autant plus que ca ne ressemble pas a Iris d’ainsi grogner aupres d’un etre qu’elle ne connaît pas. Je le garderai a l’œil celui-ci. Autant commencer a l’etudier des maintenant d’ailleurs. ¤

Sans un regard en arriere, celle qui avait arpente la terre ancestrale de la Haute-Foret durant le plus clair de son temps, s’en fut aux cotes de l’homme qui venait de les rejoindre. Elle comptait un peu le faire parler. Consciente qu’elle n’avait pas forcement les qualites requises pour extirper d’une entite ses secrets les plus profonds, elle ne se privait pas pour autant d’effectuer une tentative. Sans preambule ni ceremonie, la jeune femme aux cheveux de feu s’adressa au representant de Heaum : « Savez-vous quelle sera la recompense qu’on nous a promis juteuse si nous menons ce convoi a bon port ? » A vrai dire, la reponse elle-meme laissait Aglaia completement indifferente, mais c’etait un moyen comme un autre de debuter la conversation, d’autant plus qu’elle trouvait bizarre que l’on propose un tel emploi sans etre precis sur sa retribution, surtout lorsque les employeurs se trouvent etre des incarnations de la justice.

¤Peut être que ce chargement est maudit...¤se dit Halasthor en contemplant le vide.¤Ou peut être pas.¤Ces deux hypothèses poussaient le rôdeur à faire partie de ce convoi, car dans les deux cas ce voyage profiterait à Halasthor, autant pour sa quête de spiritualité que pour le plaisir de ses yeux découvrant le paysage de la Côte des Épées.

le rôdeur vit alors que le convoi avait ouvert la marche à ses compagnons qui commençaient à partir. Halasthor prit alors ses affaires pour rejoindre la caravane. Par une souple et petite course le rôdeur rattrapa la caravane et s'arrêta derrière celle-ci afin de prendre son rythme. Tout en regardant le mystérieux convoi, celui-ci se demandait pourquoi rendre public une affaire qui paraissait si importante? Pourquoi deux puissantes cités procéderaient elles à un échange secret si c'est pour engager les premiers venus en guise de protection? Halasthor ne pouvait laisser ses questions sans réponse. Il entreprit alors de s'adresser au prêtre le plus proche.

- Bien le bonjour, Messire.le rôdeur ne laissa pas le temps à son interlocuteur de répondre et enchaîna sur sa question:" Dites moi, pourquoi Eauprofonde et Baldur rendent elles publique une affaire apparemment secrète en engageant des aventuriers venus de nulle part? Ne penser vous pas que ce point soit justement la cause de vos précédents échecs?"

Narration

Tous

La caravane avançait à un bon rythme. Les conversations se poursuivaient entre tous ses membres. Le prêtre qui avait pris part à leur voyage se montra avare de détails sur la mission. Visiblement il était nerveux et cachait quelque chose. Les questions que tout le monde lui posait finirent pas l'enfermer dans un mutisme dont il ne sortit plus. Les autres accompagnateurs ne fournirent pas plus de renseignements.
Ils apprirent cependant plusieurs précisions intéressantes. Le prêtre avait fait parti du premier convoi qui avait été intercepté et ce malgré le plus grand secret qui l'entourait. En fait à chaque fois les incidents ont eu lieu lorsque le convoi arrivait en vue de la forêt brumeuse sur la route du commerce. Le prêtre leur dit aussi que la rétribution qui les attendait serait de l'ordre d'une centaine de pièces d'or ainsi qu'une récompense en nature dont il ignorait la teneur car celle-ci leur serait donnée une fois arrivé sur place.
Après quatre heures de marche, lorsque le Soleil fut à son apogée dans le ciel, le convoi s'arrêta pour déjeuner et se reposer. En cette fin d'année de la magie sauvage, les vents qui soufflaient annonçaient l'hiver qui approchait. La chute des feuilles comme le mois de Marpenoth était nommé par les habitants de Faerûn était consommé à moitié et déjà les premier frima pouvait se faire sentir. A moins que ce soit la forêt d'Arprofond, au bord de laquelle ils s'étaient arrêtés qui apportait sa fraîcheur. Ce moment de détente était le bienvenu et tout le monde en profita pour se détendre et reposer en vue de reprendre bientôt leur route. Après un bon moment le chef de convoi vint leur parler.

-C'est à votre tour de monter la garde pendant que nous allons nous restaurer. Vous n'allez pas rester assis à ne rien faire.

La louve émit un grognement à l'encontre du prêtre, comme la dernière fois. Celui-ci s'éloigna et rejoignit les gardes de Heaum pour manger en évitant soigneusement l'animal.

Gaenos apprécia la première pause. Il s'allongea près d'un arbre et sentait parfois quelques feuilles glisser sur lui l'arrivée de l'hiver se faisait sentir. Il aurait voulu être au chaud pour ce début d'hivers , il espérait que cette mission n'allait pas trop durer. Il vit le prêtre s'avancer et dire de prendre le tour de garde pendant que lui et les gardes allaient se restaurer , Gaenos prit donc la parole :
-Faite donc je veille sur le coffret mais ne vous méprenez pas je ne vous surveille pas vous et je ne risquerai pas ma vie pour vous mais pour le coffret.
Sur ces mots Gaenos ferma les yeux. Mais une chose semblait le gêner : l'attitude de la louve envers cet homme, il devrait parler a la druidesse dès que la pause sera fini

lors qu’elle reflechissait, Aglaia inspectait les environs telle une eventuelle proie cherchant le predateur dissimule et prêt a attaquer tandis qu’elle s’abreuverait a l’oasis locale. Les animaux n’etaient pas animes par des sentiments tels que la lachete, seul l’instinct de survie muait la faune. Mais les hommes eux, au contraire, pervertissaient tout ce a quoi la puissance primaire donnait vie. Elle cherchait donc d’un regard acere aussi bien le predateur ambusque que le vil et lache voleur. On lui avait raconte qu’une fois elle avait eu affaire a une telle bande organisee, et l’issue ne fut pas des plus heureuses.

La jeune fille aux vetements aux couleurs d’un feuillage automnal avait pour habitude de vivre de chasse et de cueillette et n’avait par consequent pas pris la peine de se munir de nourriture. La faim ne la tiraillait pas encore, aussi decida-t-elle d’attendre avant de demander aux pretres de partager leur repas. La druidesse n’aimait jamais lorsqu’Iris reagissait ainsi vis-a-vis d’une creature. Elle savait que sa compagne possedait un instinct qu’elle n’avait pas, mais pourtant elle avait du mal a imaginer ces pretres comme de vils manipulateurs. ¤Ce pourrait-il qu’Iris ne sente pas le Mal ou le danger du pretre lui-meme, mais seulement ce qui emanait de lui ? ¤

Rien etait clair dans l’esprit de celle que l’on nommait Aglaia, mais tout en scrutant les alentours et en faisant le tour de la caravane d’un pas leger et assure, elle pensait de plus en plus que si malediction il y avait, elle devait etre sur ces pretres et non sur la cargaison. ¤Ce pourrait etre la source des inquietudes de ma chere et tendre compagne !¤

D’une main delicate, la druidesse caressa le doux pelage de la louve et s’accroupit afin de mieux la choyer : « Soyons vigilantes et veillons l’une sur l’autre… comme d’habitude ». Elle avait murmure ces mots aux oreilles du canide, sans quitter des yeux le paysage. Puis elle se leva et continua sa marche circulaire, aux aguets, sans reellement s’interesser a ce que pouvaient faire les autres voyageurs de la caravane : elle avait encore beaucoup a apprendre avant de pouvoir vivre en societe certes, mais la faune et la flore constituaient des domaines qu’elle maitrisait comme tres peu de jeunes filles de son age. Lorsque sur la tapisserie du destin notre fil se trouve, dans les apparences au moins, quelque peu egare, alors ceux dont l’experience est minime se raccrochent aux branches qu’ils ont deja escaladees. Aglaia se tournait vers la Nature et ses habitants lorsqu’elle sentait son monde vaciller sous le poids des incertitudes.

L'Halruéen fut surpris par la réaction de la louve à l'égard du prêtre.¤ Les animaux ne mentent pas.¤se dit-il en observant le chef du convoi se diriger vers ses congénères. Bien que connaissant davantage les animaux que les humanoïdes, Halasthor ne pouvait accuser personne en se fondant sur les réaction de la compagne d'Algaïa, dont les sentiments et l'instinct malheureusement insondables et variables lui avaient arracher ce grognement.

¤ Je devrais me renseigner auprès d'Algaïa sur les réactions d'Iris...¤pensa le rôdeur qui savait que seul cette mystérieuse jeune femme pouvait lui apporter une réponse satisfaisante au sujet de sa louve. Mais l'heure était à la vigilance et non aux discussions, et le rôdeur se leva pour contempler les alentours afin d'organiser sa ronde en fonction des actes de chacun de ses compagnons. Il vit alors que Gaenos surveillait de près le coffret, tandis que Algaïa tournait autour du convoi, apparemment préoccupée. Halasthor vit que le convoi s'était arrêté à l'orée d'une forêt. Bien plus habitué aux collines Halruéenes, le jeune rôdeur éprouvait toujours l'envie d'explorer ces lieux qui lui sont si peu familiers, bien qu'abondant sur Féerune. Mais l'Halruéen se résigna à partir en exploration, étant donné qu'un devoir lui incombait, celui de protéger le convoi, mais également ses compagnons de voyage.

Soudain, il vint une idée à Halasthor: surveiller de près la caravane serait inutile si tous les membres du groupe faisaient la même chose. Les forêts recelant parfois de choses dangereuses, le rôdeur se dit alors qu'il pourrait partir en éclaireur afin de prévenir tout danger potentiel à proximité du convoi. Cependant il était nécessaire d'obtenir l'autorisation du chef. Halasthor se dirigea donc vers ce dernier et interrompit timidement son repos.

- Heu... excusez moi, je me demandais s'il serait d'une quelconque utilité que je me propose de partir en éclaireur dans la forêt afin de vous prévenir d'un éventuel danger pour le convoi, étant donné que mes compagnons sont assez nombreux pour surveiller de près notre chargement?

N'ayant aucune notion de stratégie militaire, Halasthor craignait que sa proposition fut d'un grand ridicule aux yeux du prêtre.

uite de la quête ici