Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

Bien que la condition principale du bluff précédent était de prendre le plus possible en considération les agissements des êtres présents pour anticiper toutes les actions et réactions possibles, la question de l'être étrange la fît sursauter comme peu de fois il lui arriva de le faire, elle ne sursautait que très peu souvent, une question de survie la plupart du temps. Elle éssayait de s'excuser en prétextant que la fuite soudaine d'une femme qu'elle avait remarqué précédemment par son attitude prompte à ne pas se faire remarquer l'avait distraite, mais le sursaut était là, et le remords d'avoir encore une fois échoué a cacher ses sensations s'infiltrait dans ses pensées, les émotions n'existaient pas dans le coeur de Saninaë, seules les impulsions d'adrénaline permettait d'illusoirement faire croire a Saninaë qu'elle était vivante, et cette impulsion était très inatendue. Mais l'adrénaline n'est pas que mauvaise dans un organisme, surtout dans un organisme tel que celui que Saninaë a entretenu depuis sa naissance, l'impulsion mît en route l'esprit vivace de la jeune humaine en proposant une idée digne d'elle même, concise, claire et permettant de faire avancer quelque peu le groupe stagnant.
L'idée était simple, profiter d'un mouvement aléatoire pour élucider le mystère de la pierre anormale, si ce n'est qu'une pierre anormale, elle n'aura pas l'air bête devant un groupe encore peu confiant et si c'est plus qu'une pierre anormale, les félicitations tomberont et la confiance grandira, bien que la préméditation ne soit pas incluse.
Il ne fallait pas trainer, elle essaya même de répondre mais le résultat ne fut pas très clair, elle commenca a reculer vers la pierre étrange le coude dirigé vers la cible comme par surprise (ce qui était presque le cas) en entamant sa réponse:

-Ha, et bien pas vraim...aïe, mais, qu'est-ce que c'est?

Elle s'était cognée contre la pierre désolidarisée, le geste semblait parfaitement accidentel, mais sa réplique pourrait sembler quelque peu stupide quand à se demander ce qu'est un mur, il fallait seulement éspérer qu'elle actionne quelque chose pour ne pas passer pour la personne la plus inutile qu'ils aient jamais vus, la chance qu'elle qualifiait comme une étude des circonstances et des évènements sans raport avec l'aléatoirité allait pourtant devoir agir.

Quelque part:

La tension commençait à monter dans la salle. Fillow, tout comme Ssendur, hésitait entre son inquiétude à propos de l'état d'Ielenia et sa colère à l'encontre de Zémobiel. Adakith restait silencieux dans son coin préférant sans doute ne pas prendre parti tant que la situation ne serait pas plus claire et qu'il ne saurai pas de quel côté il devait se ranger pour augmenter ses chances de survie. Zémobiel avait longuement réfléchi avant de parler et ses talents de rhéteurs n'attendaient qu'une occasion pour se révéler.

-Ce sentiment qui vous fait rester ici, ce n'est pas de la générosité, c'est de l'aveuglement. Il est bien possible qu'avant peu les neufs enfers de Baator nous tombent sur la tête et j'aimerai autant ne pas être là quand cela arrivera. Sans le moindre doute je peux affirmer que nos assaillants bouchent les sorties les plus évidentes et que les mages rouges font de même pour les passages secrets. Peut être en nous dépêchant pourrons-nous atteindre l'un d'entre eux avant qu'il soit trop bien défendu. Mais vous, vous préférez gaspiller votre temps à regarder une pauvre fille en train de gémir. Elle ne se réveillera peut être jamais et, même si c'était le cas, avez-vous vraiment eu l'impression que son dieu nous a apporté une aide quelconque? Les dieux se moquent de nous comme d'une guigne et il ne faut rien attendre d'eux et de leurs serviteurs que des promesses creuses.

Elle avait commencé à partir quand Saninaë,d'un coup de coude bien placé, heurta une pierre non loin de la porte en face d'elle. Celle-ci, de manière surprenante, se décrocha du mur révélant une sorte de petite cavité. Elle était plus profonde qu'elle ne le semblait et renfermait plusieurs objets. Tout d'abord, la roublarde sortit une sorte de parchemin roulé. Puis, une petite boite contenant une sorte de pâte grise et un flacon contenant un liquide d'une belle couleur violette. Enfin, elle sortit une épée courte dans son fourreau dont le pommeau semblait être fait d'os ou d'ivoire. En trouvant cette arme, elle remarqua une sorte de petit trou vaguement circulaire. Voyant que Saninaë avait fait des découvertes intéressantes, Zémobiel s'arrêta et décida de rester au moins le temps de savoir si leurs chances de survie avaient augmenté.

es nuages se faisaient de plus en plus denses tout autour du visage de la femme qui se dessinait de plus en plus nettement dans le ciel. Toute lumière semblait avoir disparu, mais la membrane qui entourait Fillow et la prêtresse se mit à briller. Elle chassait les ténèbres telle une étoile dans le ciel en pleine nuit. Ils étaient devenus un phare dans l'obscurité. Elle balaya du regard le reste des alentours et constata avec une certaine crainte que tout avait disparu autour d'elle. Plus de montagnes ou de plaines. Plus de lac ou d'herbe fraiche. Tout n'était que ténèbres et nuages sombres et agressifs. Des éclairs frappaient le sol se rapprochant toujours de plus en plus de leur bulle protectrice. Mais elle avait sa foi pour elle. Sa foi en le seigneur de l'Aube et en Fillow. La lumière augmenta d'intensité tout autour d'eux. Ils repoussaient les ténèbres à la seule force de leur amour. Et comme la lumière chasse toujours l'obscurité, une trouée se fit dans les nuages.
L'astre solaire faisait son apparition. Ses rayons venaient frapper le couple qui voyait enfin un espoir. Un espoir de survivre, un espoir de poursuivre leur aventure et un espoir de vaincre les ténèbres. C'était le chemin à suivre, mais elle ne savait pas encore comment rejoindre le soleil. Elle ne savait pas encore comment revenir vers le monde des vivants. Mais elle se battrait jusqu'au bout. Elle se battrait car elle le devait à son dieu, à Fillow, à elle et surtout elle voulait effacer le sourire de la femme qui semblait se dessiner sur le visage de la femme dans les nuages. Elle se mit à crier à son encontre :

-! serbènét sed ellif ,erèimul al ercniav sap xuep en ut ,ercniav em sap xuep en uT



Ce message a été modifié par Kolimar Velcor le Lundi 10 Novembre 2008 à 17h17

Bien que Saninaë crut en la chance un moment, losqu'elle apperçut la cachette dissimulée derrière la pierre elle oublia sa pensée pour se réjouir de son talent comme si il fut évident qu'elle eût raison.
Elle prit le temps d'examiner les objets qui étaient maintenant en sa possesion mais rien ne lui vint directement à l'esprit, seule l'épée courte avait une utilisation qu'elle connaissait très bien.
En vue de la situation il était clair que proposer les trois objets pour aider le recouvrement de la vie par la femme étendue sur le sol était impératif, mais leurs effets étaient inconnus de Saninaë et l'orifice circulaire attirait trop sa curiosité pour y penser, elle décida donc de les proposer au reste du groupe, tout en laissant la lame de côté pour elle-même.

-Hey, regardez j'ai trouvé des...trucs, un parchemin, quelque chose de pâteux et gris et du liquide violet, ca dit quelque chose à quelqu'un?

Elle déposa les trois objets sur le sol de manière à ce que les autres puissent y jeter un oeil puis déposa la lame de côté de manière à ce que personne n'y touche puis reprit:

-Il reste quelque chose je crois...

Avant de reprendre son étude de la cavité en particulier de l'orifice circulaire qui attirait au plus haut point son attention.

es nouvelles découvertes de Saninaë furent accueillies avec beaucoup de joie et d'espoir par Ssendur, qui avait décidé d'ignorer les réflexions égoïstes de Zémobiel. Après tout, l'âme de l'ensorceleuse était en perdition, ce n'était nullement une nouvelle. Ses agissements devaient être pardonnées comme des actes irréfléchis de quelqu'un que la vie n'avait pas ménagée plutôt que comme un parjure pur et simple. La compassion et la miséricorde étaient aussi des enseignements de M'Daess que Ssendur se devaient de respecter, et la situation actuelle ne pouvait être perçue que comme une nouvelle épreuve sacrée. Avec un dernier sifflement, Ssendur se résolut à ne pas relever les paroles de Zémobiel.

Il commença alors un examen des objets que Saninaë présentait. Le paladin se devait de reconnaître que la jeune femme possédait une chance impressionnante, et donc probablement une faveur divine de quelque sorte. L'estime que lui portait l'être asexué augmenta soudainement, d'autant plus que la jeune femme avait spontanément proposé les objets au groupe entier.

Le parchemin, l'onguent et la potion pouvaient s'avérer extrêmement utiles pour peu qu'ils fussent capable de guérir Ielenia. Dans la situation actuelle, si Lathandre et M'Daess avaient quelque compassion, ces objets providentiels et inattendus seraient de précieux soins pour la prêtresse. Mais il était encore de le vérifier, et c'est pourquoi Ssendur se pencha sur chacun des objets et essaya de fouiller ses souvenirs, ses connaissances et son intuition pour déterminer la nature de ces présents divins.

Estimation, connaissances, premiers soins... Bref, tout ce qui pourrait indiquer la nature exacte des objets trouvés.

Quelque part:

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Ssendur essaye d'identifier:
la potion: 1(Dé) =Echec
7(Dé)+ 2(INT) contre DD 15 = Echec critique
l'onguent: 13(Dé) + 2(INT) contre DD 15 = Réussite
le parchemin: 16(Dé) + 2 (INT) contre DD 20 = Echec
Ssendur essaye de chercher dans ses connaissances profanes: 18 (Dé) + 2 (INT) contre DD 30 = Echec
Ssendur essaye de décrypter ce qu'il a trouvé: 20(Dé) = Réussite partielle

Pendant que Zémobiel restait immobile devant la porte, qu'Adakith continuait de tourner en silence autour de la table sur laquelle Ielenia demeurait inconsciente, que Fillow continuait de rester coi en attendant le réveil de l'humaine, les autres se montraient plus actifs. Saninaë, qui méritait des remerciements car elle venait de faire une découverte plutôt fabuleuse, continuait de fouiller le fond du trou. Il ne lui fallu pas longtemps pour avoir la certitude qu'elle venait bien de trouver un orifice qui avait précisément la même forme que celle des bâtonnets qui leur avait été offerts.

Dans son coin, Ssendur, malgré le fait qu'il sache qu'il était sans doute loin d'avoir les connaissances nécessaires pour se livrer à ce genre d'exercice, tentait d'identifier les différents objets que venait de trouver la roublarde. Il s'aperçut bien vite qu'il avait sous-estimé ses compétences. Certes, il ne parvint pas à en apprendre plus sur le parchemin mais les autres objets lui donnèrent plus d'informations. La boîte de l'onguent portait des marques que le paladin identifia comme étant des lettres. Grâce à une intuition incroyable et, sans une inspiration divine, le paladin réussit même identifier les lettres comme appartenant à l'alphabet infernal, que, par malheur, il ne connaissait pas assez pour le lire. Enfin, il se révéla capable de trouver exactement ce qu'était la potion. Rien qu'à l'odeur, il reconnu une potion qu'il avait du voir dans les réserves de ses professeurs quand il était plus jeune. Sans le moindre doute, c'était une potion de soin, et même une potion de soin plutôt puissante s'il fallait en croire la légère acidité qu'avait perçue sa langue fourchue.

tait-ce l'effet de ses paroles ou bien la lumière de Lathandre était revenu baigner sa servante ? Une certitude, la femme et toute la noirceur qui l'accompagnait avait disparue. En fait elle était à nouveau seule. Seule, dans cet endroit quel imaginait. Car maintenant elle en avait pleinement conscience. Elle rêvait. Tout ce qui se trouvait autour d'elle n'était pas réel. Tout ceci sortait de son imagination, de ses angoisses, de ses peurs, de ses désirs et de ses espoirs. Rien n'était réel, et pourtant terriblement vrai.
Soudain tout disparu. Plus de magnifique paysage, plus de menaces ni même quoique se soir autour d'elle. Elle était livrée à elle même, dans ce néant né de son imagination. Elle se demandait ce qui allait bien pouvoir apparaitre cette fois-ci, mais plus le temps passait et plus le vide se faisait présent. Le temps ? Mais quel temps ? Depuis combien de temps était-elle là ? Un heure ? Un jour ? Une année ? Pour elle, tout s'était passé si vite. Si elle se fiait à son propre jugement, elle aurait penser n'être que là que depuis une heure au maximum. Mais sur quoi pouvait-elle se fier ici ? Et d'ailleurs qu'était-ce vraiment ici ? Etait-elle encore de ce monde ? Voyageait-elle vers l'au-delà ?

¤Non c'est impossible. Si je me souviens bien, lors de la mort je ne peux être que transporter vers le plan de la fugue. Ce dernier n'est pas connu pour sa richesse de paysage et de décor. Je suis encore vivante. Semi vivante je devrais dire...¤

Seul son dieu ou ses compagnons pouvait la ramener à la conscience. Il n'y avait qu'à attendre. Attendre encore et toujours.

'esprit du Yuan-Ti fut immédiatement échauffé par de telles révélations. Enfin, les dieux se montraient cléments et accordaient la guérison pour leur dévouée servante! Grâce en soit rendue à Lathandre et à M'Daess!

La potion de soins était sans nulle doute plutôt puissante, ce qui signifiait que quelques gouttes seulement suffiraient à soigner la prêtresse. Avec une étrange ironie, Ssendur songea que c'était exactement le genre de potion qu'un membre de sa race rechercherait, que ce soit pour soigner ou pour empoisonner. Plus le breuvage était puissant, moins la quantité nécessaire était importante et moins les risques de détection étaient élevés. Et, pour peu que l'on suive la voie de Sseth, la prudence comme le subterfuge n'étaient pas de simples précautions, mais de véritables dogmes. Même le paladin, pourtant dévoué corps et âme au bien, ne pouvait se dispenser d'utiliser ruse et subtilité là où d'autres combattants du bien maniaient haches et épées. Il pouvait utiliser discrètement quelques grammes de cyanure pour empoisonner une potion ou une soupe si celui qui le buvait menaçait le bien. Le mieux était tout de même d'empoissonner un potage relevé pour ne pas se faire remarquer. Ou une potion puissante. Une potion de soins empoisonnée était certainement le meilleur des moyens de tuer un adversaire,les personnes blessées résistant moins au poison...

C'est alors que la lumière se fit dans l'esprit de Ssendur.

¤Une potion de soins empoissonnée? Gloire à Sseth, qui me rappelle Sa Voie! Que ne l'ai-je soupçonné plus tôt?¤

Une nouvelle fois, le Yuan-Ti darda sa langue fourchue dans la potion et dans l'onguent, mais cette fois il utilisait cette capacité extrêmement utile de son peuple à détecter les poisons. Puis il tendit l'onguent et le parchemin aux trois humains debout, qui connaissaient mieux les arcanes que lui.

-Tenez, il y a des écritures dessus, mais c'est de l'infernal, que je ne peux ni ne veux lire ici. Peut-être pourrez-vous le déchiffrer.

Détection du poison. Espérons que...

out en examinant l'orifice caché, Saninaë pouvait entendre le membre du groupe le plus actif qui avait suivi son idée, mais qui comme elle délégua les découvertes au autres probablement mieux informés, il n'avait pouratant pas proposé la potion qu'il examina une seconde fois, peut-être qu'il en avait déterminer son contenu, il semblait que depuis son arrivée les choses commençaient à bouger et elle en était plutot fière.
Elle reprit sa quète un sourire aux lèvres en déposant les bâtonets un par un dans l'orifice pour voir si son intuition était fondée.
En prenant son temps elle se mit à éssayer de se remémorer si dans sa vie elle avait pu entendre ou lire de l'infernal ou si elle aurait pu apercevoir un onguent du même type, mais après avoir compris que même si elle s'en rappellerait ce serait trop vague et ne servirait qu'à perturber la réflexion des autres, et la découverte précédente était suffisante pour relacher les tensions dans le groupe sans parler de ce qui résultera de l'insertion correcte d'un des bâtonets. Elle avait déja prévu une excuse si cela tournerait mal en évoquant le fait qu'elle cherchait si il n'y avait pas autre chose dnans la cachette en prenant soin de ne pas laisser les bâtonets à la vue des autres, elle était prête à voir un mur bouger un trou apparaitre faisant chuter tout le monde dans le chaos du vide ou tout autre piège absurde qui foisonnent dans les endroits comme celui dans lequel elle se trouvait, mais comme d'habitude elle ne stressait pas, elle était même heureuse de voir une chose de plus absurde encore arriver.

Quelque part:

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Saninaë essaye de ne pas tomber: 13(Dé) + 3 contre DD 10 = Réussite
Ssendur essaye de ne pas tomber: 2(Dé) + 2 contre DD 10 = Echec
Dégâts subis par la fiole: 1(Dé) - 1 : la fiole est intacte
Saninaë détecte-t-elle un changement? 9(Dé) + 6 contre DD 25 = Echec
Et Ssendur? 7(Dé) + 8 contre DD 25 = Echec

Un sursaut de méfiance, bien compréhensible de la part de quelqu'un enfermé dans une forteresse tenue par des magiciens presque déments, força Ssendur à s'assurer que la potion qu'il s'apprêtait à administrer à Ielenia n'était pas empoisonnée. Sseth soit loué, il avait de puissants pouvoirs qui lui permettaient de le savoir sans efforts. Un coup de langue et quelques secondes de concentration plus tard, le yuan-ti savait que la potion n'était aucunement toxique. Fillow, qui gardait les yeux fixés sur le visage du paladin, sentit la bonne nouvelle et ne put s'empêcher de serrer les poings n'osant croire que la chance tournait enfin.

Cette assurance prise, Ssendur tendit la boîte d'onguent à l'un des trois humains. Saninaë qui s'estimait peu compétente sur le sujet et qui avait d'autres choses à faire déclina l'offre mais Adakith, qui avait encore à prouver ses compagnons qu'il était bien de leur côté s'en saisit. Il n'avait pas eu le temps de déposer un regard sur l'inscription que le sol se mit à trembler violemment.

Saninaë avait introduit le bâtonnet dans l'orifice en s'attendant à quelque chose de spectaculaire. Une secousse suivi mais il était impossible de savoir si elle était due à ses actions ou aux catapultes qui anéantissaient les murs de la citadelle. Elle se retourna pour voir si derrière elle quelque chose n'était pas apparu mais tout ce qu'elle put voir était un groupe de personnes déséquilibrées.

Fillow avait réussi à se rattraper de justesse à la table sur laquelle était toujours étendue Ielenia. Zémobiel, elle, s'était appuyée sur la porte mais Ssendur et Adakith avaient chu. Cela n'aurait pas eu une grande importance s'il n'avait été tout deux porteurs d'objets peut-être salvateurs. Par chance, la fiole avait touché le sol sans se briser ne libérant que quelques gouttes sur le sol maintenant encore plus poussiéreux. De la même façon, l'étui de l'onguent ne s'était pas brisé même s'il était légèrement fêlé.