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Le Coup Du Siècle , Quête de l'Ouroboros
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Maître des Exilés
Chambre 29
1 gemme
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| | Prenant conscience que le jeteur de sorts ne se donnait pas la peine d’entrer dans la grange, il avait pris sur lui de l’y inviter directement. Franchissant l’entrebâillement de la porte il lui fit un geste du bras, sans découvrir sa main, qu’il accompagna de sa voix faussée : - « Ce n’est pas pour le lancer de couteaux que je comptais sur ta venue Alexan. On m’appelle Sans-Nom, je suis celui que tu cherchais. Entre donc, et prend connaissance de ceux qui partageront cette quête et de quoi te sustenter si tu en éprouvais le besoin. »
Il détacha son regard du nouveau venu pour lui faire suivre le tracé du sentier au dessus duquel s’attardaient quelques volutes de poussières ocres soulevées tant par le mage que par les paysans qui poursuivaient leur labeur. Il offrit à Alexan de passer devant, écartant légèrement les bras et se tournant pour continuer à lui faire face. Un rayon de soleil se refléta sur le symbole sacré que le magicien portait au coup.
- Kossuth et Eldath de concert … voilà qui est moins commun encore … La déesse des flots chantants et le seigneur des flammes … Il se parlait à lui-même plus qu’il ne s’adressait au magicien mais à haute voix néanmoins pour lui partager l’appréhension qui lui effleurait l’esprit.
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Immobile comme la pierre, et sage comme le Temps. On l'appelle Sans-Nom et personne n'a jamais vu son vrai visage. |
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Juste derrière lui, il l’accompagna jusqu’au porche. Il eut été dommage qu’il fut pris pour un importun et n’ait jamais à découvrir ce que l’on attendait de lui.
" Par delà les brumes "
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Âme Creuse
Aucune chambre
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-Excusez-moi, messire de ne mettre approché avant, je ne savais ou aller et je ne désirai pas déranger tous ce petit monde dans leurs dure labeurs, car je sais que si il y a bien une chose que tout être confondu déteste c'est d'être dérangé par un inconnu. s'excusât-il en arrivant à hauteur du personnage qui se nommait sans nom, il esquissât un sourire dévoilant ses dents parfaitement blanches. Suivant l'invitation de sans-nom il rentrât dans la bâtisse et saluât d'un geste tous le petit monde qui se trouvait là, tout en parlant d'une voie qu'il voulait dès plus amicales:
-Enchanté de faire votre connaissance je suis Alexan et j'espère bien m'amuser en votre compagnie et il ressortit se sourire qu'il voulait chaleureux, se dirigea vers la table ou il se servit un morceau de fromage qui après une observation minutieuse disparue d'un geste rapide de ses mains au profit de sa bouche. Il le savoura longtemps puis l'avalât avant de demander: -Et quels sont donc vos noms? Cela pourrait mettre utile. tout en se resservant un morceau de fromage qu'il dévorât avec avidité, avant de s'attaquer à la miche de pain.
Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
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Saiyaddar
Aucune chambre
Aucune gemme
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Rosimar, sirota toujours le vin à même la bouteille, tout en discutant le moins possible au moine. Ce n’était pas dans son intention de ce faire copain-copain, tant qu’il ne saurait pas exactement ce qu’il faisait ici même. C’était un vrai grincheux même s’il ce permettait de faire quelque blague et de se moquer de ceux qu’il ne comprenait pas toujours. Pour le moment il ne voulais juste pas ce lier à quiconque s’il n’était pas pour les revoirs, cela était chose courante, les groupes ce forme et se déforme, mais la vie continue… C’est à ce moment qu’il toussa, ayant un mal de chien à faire passer le vin, surprit par le nouveau venu qui entra comme un courrant d’air ! ¤On rentre ici, aussi vivement qu’dans une auberge ! Et regardez moi ce p’tit jeune encore, c’est pas trop tôt pour arriver. Espérons qu’il possèdes quelques qualités s’il veut ce faire respecter en tout cas. Suis-je vraiment le seul d’armé ? Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire avec un arsenal aussi limité, franchement…¤ Après s’être reprit de son mal de gorge, les yeux plissés, la gorge nouée, il fit un bref signe de main à Alexan alors que celui-ci entama sa présentation…
-Euh ouais, salut petit. Moi c’est Rosimar et ça c’est ‘Will’ à côté. Le roublard gardait les yeux rivés sur le mage qui ne se gênait pas pour ce servir en même temps. Et au moment ou ce derniers s’approcha du pain : '' Hé ! Bas les pattes fiston !'' Rugit Rosimar, qui empoigna vivement de sa main gauche la miche de pain qu’il avait débuté à grignoter plus tôt. À belle dent il sépara le pain en deux part, pour en garder une de son côté de la table, et jeter le ‘restant’ au milieu. Fier, il bu d’un trait le fond de bouteille et se soulagea la gorge d’un bon souffle : ''ahhhhhhh'' puis, reposa la bouteille sur la table avec vigueur *pan!* et s’essuya la gueule de l’avant-bras…
-Allez, maintenant tu te sers ! Tu sais p’tête la nature de cette requête qui nous concerne tous ? Rosimar en avais marre d’attendre, il n’était plus aussi patient qu’avant. Il voulait s’avoir pourquoi il était là, mais ne brusquerait pas Sans-Nom, pas pour le moment du moins…
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Âme Creuse
Aucune chambre
Aucune gemme
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Alexan enleva sac et outre puis sortant dont ne sais où une petite corne aménagé en verre il se servit un verre d'eau avant de coupé à son tour la miche de pain en deux pensant à moitié que cela était une coutume et de l'autre moitié qu'il avait été peut être impolie à répondre ainsi à sa fin, aussi c'est plus calmement qu'il se resservit un morceau de fromage avant de le manger avec la même satisfaction que précédemment. Puis picorant un petit morceau de pain après d'avoir fait disparaître le reste de son morceau dans ses habits, il se tourna vers l'homme à la mèche blanche et qui répondait au nom de Rosimar: -Je n'en sais sûrement pas plus que vous, j'ai besoin d'argent pour pouvoir continuer à visiter le monde et un homme m'a proposé de cumuler les deux et en même temps de vivre de grandes aventures, j'ai accepté et est bien apprécier le voyage jusqu'ici, mais peut-être que notre hote va nous le dire. tout en disant cela il montra du coin de l'oeil Sans-nom qui était toujours à la porte, sans doute pour laisser à notre trio le temp de se jauger. Puis ce tournant vers William: -Je ne voulais pas vous voler votre nourriture mon bon frère, je voulais juste calmé ma fin, car si le coin est beau, le gibier autre que la sourie se fait rare et j'ai promit à mon estomac de ne plus manger ce genre de met.
Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
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Čŗānĕ ďØęűƒ
Aucune chambre
Aucune gemme
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William dédaigna le banc que le «mercenaire» avait poussé de manière désinvolte en sa direction. Il allait être obligé de lui expliquer que dans son monastère, on ne s'assistait jamais. Les seuls temps où on n'était pas debout étaient la méditation et lorsque l'on dormait.
-Désolé, monsieur, mais je ne m'assit que pour méditer et encore là pas sur un banc. Dans mon monastère, ne pas rester debout lorsqu'on le peut est un signe de faiblesse. Je tiens à respecter les lois de mon clergé même si j'en suis très loin.
Le moine adressa un sourire forcé à Rosimar, il n'aimait pas que l'on critique où parle des lois de son monastère sans même les connaître. Puis le mercenaire répondit à ses question mais d'une manière évasive et qui ne voulait rien dire. De plus, il le trouvait mal éduqué et mal engueuler amis il ne l'exprima pas. Il se contenta de garder son sourire crispé. Puis vint la blague plutôt stupide de l'homme qui ne lui plut pas du tout. Il garda tout de même son calme et se força à rire, sans toutefois le faire avec beaucoup d'enthousiasme. De plus, en plus, il trouvait le guerrier déplaisant.
Puis le lanceur de sort entra dans la grange, accompagné de Sans-Nom. William fut soulagé de voir que le second compagnon semblait plus instruit que le premier. Il lui inspirait aussi moins de mauvaise foi. L'homme se présenta sous le nom d'Alexan. Alors qu'il le détaillait, le moine remarqua qu'en fait, Alexan n'était pas un humain mais un demi-elfe. Oui, bien sûr, pourquoi ne l'avait-il pas remarqué plus tôt. Les oreilles pointues et un air digne. Un corps svelte et un visage intelligent avec un semblant de barbe. Le moine se dit que le mage serait peut-être plus poli que le guerrier et lui tendit la main en se présentant.
-Enchanté, Alexan, demi-elfe, je suis William Lamebleu, moine d'Eldath. Je viens du Cormyr et je suis venu pour rejoindre le Cercle. J'espère que nous nous entendrons bien.
Puis Alexan alla s'asseoir à la table avec Rosimar. Encore une fois, Will eut une bonne démonstration des mauvaises manière de celui-ci lorsqu'il empêcha le magicien de prendre son pain. De plus, se pain appartenait à Sans-Nom et non à lui. Il se dit que décidément, il n'aimait pas cet homme. Puis Alexan s'excusa à William d'avoir prit son pain sans demander. William démentit l'affaire.
-Je comprend se que vous voulez dire, maître demi-elfe, mais je dois vous dire que se n'était pas ma nourriture. Ce pain, ce vin et ce fromage, vous le devez à notre hôte, monsieur Sans-Nom. Je vous laisse vous ravitailler de se long voyage. Pour ma part j'ai déjà mangé en route.
Le moine commençait à avoir hâte que Sans-Nom leur explique la nature de leur mission. Il espérait de tout coeur pouvoir rejoindre le Cercle pour pouvoir gagner quantité d'argent à offrir aux pauvres en en enlevant le plus possible aux riches.
« Si les bœufs étaient des bardes, les bouchers seraient des scélérats. » -Proverbe Jordaini-Réputation 0.5
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Saiyaddar
Aucune chambre
Aucune gemme
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Les bras croisés et les pieds une fois de plus reposés sur le coin de la table, Rosimar était là, statique. Il éternuait fortement, et ce, en rafale à certain moment, un œil avisé aurait pu comprendre qu’il n’était pas au mieux de sa santé. Mais en fait, cela faisait déjà un temps, et il y était habitué, quoi qu’ont ne s'habituait jamais à souffrir… À chaque fois que cela lui prenait il reniflait fortement d’un nez à moitié bouché, et expirait d’un souffle long et 'rocailleux'. Cela lui prit d’ailleurs au moment où le moine lui contait ses mœurs et coutumes, le roublard au visage troublé par la récente et violente toux, demeurait quand même attentif. D’un œil à mi ouvert, et d’une bonne frange à la gauche de sa gueule essayant de sourire, le roublard voulu répondre à William, il se racla alors la gorge et enchaîna.
-Bah par chez moi on s’assoit et on prépare nos forces pour plus tard. Du coup, tu peut dire que ça l’air faible, mais quand viendra le temps de bouger, j’aurai les pieds reposés et tout frais tout flammes ! Tu vois l’genre ? Il se passa la main gauche lentement sur le visage, se soulagent comme il le pouvait, en prenant son mal en patience…
Il aurait pu en dire plus au moine, et chercher à le narguer, question de mettre un peu de piquant comme il aimait bien, mais il n’avait même plus la tête à ça… Il se contenta de passer en revu son équipement, son fidèle cimeterre d’une lame bien reluisante au soleil qui se frayait toujours un chemin entre les montants de la porte, ainsi qu’un bien rustique rouleau de cordage en chanvre qui avait fait son temps, tout deux attachés à son ceinturons inférieurs qui prenait place sur le lin de ses culottes bien ample et bien marron de couleur. Il avait le temps pour bien des choses, même si l’âge le rattrapait et le rendait moins patient à certains moment, il pensait alors à plein de chose, il n’avait plus que ça à faire.
¤Je me demande ce qu’advient de mon paternelle, peut-être que la ‘légende’ de Lanomar, à survécu. 'Bof' en mal sûrement. Ou en bien, et si ça ce peut, c’est grâce à lui que j'suis ici, enfin si ce n’est pas son nom qui m’à fait avoir c'boulot, c’est son héritage, l’éducation qu’il ma donné… Si seulement, j’était fils d’un meilleur père !¤
Évidemment, l’homme à la ‘tignasse’ grisonnante semblait songeur et il l’était. Ses sourcils aussi froncés qu’à l’habitude, il eu un reflex de cogner du poing contre sa paume de mains bien ouverte, pour ensuite ce reposer le front plissé sur son poing entourer maintenant de son autre main. En dedans de lui grondait bien des colères, des doutes et des regrets, mais ça, c’était son problème à lui, et lui seul…
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Âme Creuse
Aucune chambre
Aucune gemme
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Alexan était rassasié et commençait à tourner en rond comme un tigre dans sa cage, il ne comprenait pas pourquoi le moine restait debout à les observer, ni pourquoi Sans-nom restait dehors. Il lui vint en tête qu'il devait encore manquer du monde. Et s'il devait attendre autant qu'il se serve de ce temps à bonne escient. Il se mit en quête du coin de la pièce le plus sombre, sortit son livre et d'une manière qu'il voulut désinvolte se mit à lire ses sorts, sortant par moment une petite plume faisant des ratures, corrigeant de ci de là un mot. Son visage s'était fermé et là ou il y avait gaieté et insouciance, se reflétait maintenant concentration, détermination et ses yeux jusque là d'un beau brun avait prit la forme de deux billes argenté au mouvement frénétique. j'en profite pour glisser le fait que je n'ai aucun sort dans ma feuille de personnage, je l'ai dit aussi dans le poste qui nous est réservé, avec la liste des sorts de niveau 1 que j'aimerai avoir. Ce serait bien que l'on puisse faire quelque chose pour moi avant que j'ai l'opportunité de m'en servir. Merci d'avance.
Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
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Maître des Exilés
Chambre 29
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MDEmportant avec lui la chaleur qui n’avait pas encore atteint l’intérieure de la grange, Sans-Nom franchit le seuil une fois de plus. Sans sembler porter d’attention aux trois individus qui se disputaient les quelques mets déposés sur la table à leur attention, il se dirigea vers l’une des étagères dont il prit un pot d’argile sans la moindre indication. | | - Voilà pour toi Rosimar. Un onguent qui te permettra d’éviter de tousser à un moment où tout son pourrait avoir de fâcheuses conséquences. Décalant le bouchon de liège, une odeur de menthe et d’herbes diverses se dégagea du flacon et vint se perdre dans celle plus forte des ballots. Applique-le toi dès que tu auras un moment.
Ne souhaitant pas déranger Alexan dans sa méditation, il se garda de lui adresser directement la parole. Lui adressant seulement un hochement de tête lui signifiant qu’il agréait pleinement cette utilisation du peu de temps dont ils disposaient encore. Dans le plus grand silence, il s’approcha de la tablée et si on ne pouvait rien lire de ses sentiments par delà son visage masqué, son ton avait quelque peu changé.
- Je partage votre empressement mais pas votre impatience. La mission que je souhaite vous confier demande un grand contrôle et risque de vous placer dans des situations moins agréables que l’attente. Pour ne pas la compromettre, je n’attendrai plus longtemps, n’ayez crainte. Semblant les sonder alors : - « D’ici là, pensez-vous manquer de quoi que ce soit ? Je ne peux malheureusement pas vous dire avec certitude ce qui vous attend, vous devez être prêts à parer à toute éventualité. Je peux demander à un des nôtres de s’occuper de ces derniers achats. »
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Immobile comme la pierre, et sage comme le Temps. On l'appelle Sans-Nom et personne n'a jamais vu son vrai visage. |
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" Par delà les brumes "
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Âme Creuse
Aucune chambre
Aucune gemme
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Alexan ne sentit la présence de Sans-nom qu'au moment ou celui-ci lui fit un hochement de tête, alexan lui répondit par un bref regard avant de se replongé dans son livre, il lui fallut du temps pour comprendre ce que disait Sans-nom et plus encore pour sortir de sa concentration, et c'est d'une voie pâteuse qu'il lui répondit: -Pour moi messire, je souhaiterai bien une de ces fameuses couvertures dont les marins ne se séparent jamais et qui les protègent du vent, du froid et même de l'eau qui envahit le pont. Puis se frottant les yeux il renga son livre avant de prendre son chapeau qu'il plia plusieurs fois pour obtenir une surface molle, puis il le cala entre sa tête et le mur avant de fermer les yeux et de dire: -Réveillez moi pour quand nous partirons, car si le coin est jolie, je ne penses pas vouloir y rester trop longtemps.
Affronter un rival épée en main et mettre un terme sanglant à une querelle est une chose. Mener une guerre dans l'ombre à coups de dés et échanger des menaces feutrées dans des antichambres en est une autre. Cette solution est aussi meurtrière que la première. Mais en ce cas nul ne vous traitera en héros, ou en brave - surtout pas vos ennemis. Quelque chose en nous admire ceux qui se battent en plein soleil, même s'ils le paient de leur vie.
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Saiyaddar
Aucune chambre
Aucune gemme
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S’interrogeant sur tout et rien, et surtout sur les motifs de cette rencontre, Rosimar attendait toujours le moment fatidique. Il s’empressa de cesser de ce tourner les pouces et d’enlever ses pieds crottés de la tables lorsque Sans-Nom s’approcha. Croyant que c’était le temps de recevoir des explications, il fût surprit de voir le masqué lui offrir un remède à son mal. ¤ Ce sera peut-être de convenance de l’utiliser un de ses quatre. D’ici-là, c’est un pot qui va ce faufiler parmi les trucs de second intérêt…¤ Le roublard ne répondit que d’un : ''merci bien !'' Tout en haussant les sourcils et les épaules.
Il examina d’office le pot en le reniflant et le sondant de ses doigts. Il s’en mit un peu sous les narines et sur la nuque, question de se nettoyer les doigts déjà recouverts par l’onguent. Il attendant de voir s’il s’avérait soulagé… Tandis qu’il ‘s’amusait’ comme un ‘fou’, son employeur leurs proposait de leurs procurer de l’équipement de surcroît, question d’être fin près, mais fin près à quoi ? À toute éventualités… Cela ne lui disait pas grand-chose, mais le jeunot de magicien s’empressait déjà à réclamer ! Rosimar roula les yeux, désintéressé… ¤ Une fameuse couverture de marin ? Qui protège contre l’eau, le froid, etc… Et puis quoi encore, une couverture bien simple n’aurait-elle pas suffit ? Ah les jeunes, j’vous dis !¤ Enfin, Rosimar prononça vivement quelques paroles de sa bonne voix rauque, à la suite des dires d’Alexan.
-Je ne saurais dire ce dont j’aurai besoin, mais des outils, des vivres, une couverture et une bonne paillasse ne seraient pas de refus j’imagine ! Aussi, l’ennui c’est que j’suis plutôt cassé comme un clou. Vous n’pourriez pas nous dire, vous, qu’est-ce qu’ont aurait b’soin ? Sinon, bahhh, je suppose que ce serait ce dont j’viens de vous proposer ! Il faufila sa mains bien rugueuse dans sa poche de gauche, tâchant de mettre la mains sur sa bonne vielle bourse peu remplit. Il compta alors les quelques pièces qui lui restait, une des raisons du pourquoi il était là, évidemment…
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