Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

Encore une fois, Bratak était plonger dans une sorte de transe, lorsqu'il en sortît ses compagnons se dirigeait déjà vers un endroit plus sûr pour camper

°Ben tiens c'est sympa de m'attendre les gars°

Se levant à son tour, Bratak nettoya ses armes et les rangea à leur endroit respectif. Rattrapant le groupe il se mit à côté de Luciole et lui dit tout bas :

_ Ne tant fais pas, l'halfelin est condamné, je crois qu'il va attraper la gangrène où bien le tétanos si la fièvre ne le tue pas avant, et comme ça blessure est située au torse on ne sait pas l'amputer, enfin bon s'il décède je veut bien l'enterrer où même le brûler mais je récupère son équipement quand même, si tu veut on partage.

Bratak ponctua sa phrase par un coup de coude dans les côtes de Luciole ainsi qu'un clin d'oeil évocateur. Ensuite il se dirigea vers le barbare afin d'ouvrir la marche et de se chercher un abri où ses compagnons pourront se reposer à l'abri des attaques.

_bon je vais en avant en éclaireur continuer sur ce chemin
je revient dès que possible et ne vous faîtes pas attaquer entre temps, je n'aimerais sûrement pas devoir abandonner vos cadavres au corbeau.

Joignant le geste à la parole, Bratak disparu dans les buissons

compétences : discrétion et déplacement silencieux

vraiment désolé pour le retard.
@MD :je peut avoir l'arc et les flèches dans mon inventaire stp ? *fait les yeux doux au meujeu avec un air de bon samaritain*

le barbare resta bouche ouverte devant la promptitude de Bratak à partir en éclaireur et fut presque impressionner pas l"adresse avec laquel il se deplaçait.
Kurto grogna lors qu'il s'apperçu que ni le geurrier ni le barde n'avaient suivi l'exemple.
-hey le rossignole, on avance. dit-il a l'attention de Morvax qui n'avait pas bougé d'un pouce depuis ça fausse bonne idée d'allumage de feu.
- et je croyais que tu voullais qu'on avance. alors range ton cure-dent et met un pied devant l'autre. tu sais marché. Ne put s'empecher de declarer le barbare au guerrier, qui était perdu dans ses pensé à astiquer son arme.

¤ Mais qu'est ce que je fout là moi j'aurais mieux fait de rester au bastion.¤
Kurto passa machinalement ses doigts sur les brasselets, signe d'appartenance à la compagnie des marches.
- Bon bin toi va falloir te porter dit-il en observant Yamaëlen lui enlevant son sac et toute ses armes.
cela fait, Kurto prit une branche et, avec un effort qui reveilla ces blessures, fit passer l'ensorceleur sur son épaule.
il réajusta l'halfelin et parti en direction de leurs destination.
-Mais qu'est ce que je fout là non de GOND. mais qu'est ce que je fout là...

Le guerrier leva la tête en entendant le barbare parler et se rendit enfin compte que ses compagnons avaient avancé. Il se leva doucement et rengaina son épée en s'étirant. C'est seulement à ce moment la qu'il réagit au sarcasmes de Kurto :

-Mon cure-dents? Où est-il? J'ai du le faire tomber en me levant car je ne le voit plus... Bon, tant pis, allons-y.

Tout en réfléchissant le jeune humain avança à la suite du barbare qui tentait de prendre Yamaël sur ses épaules pour lui éviter de marcher. Luciole, soudain fatigué de sa journée, s'adressa à Yamaël :

- Tu te sens mieux? Ca serait vraiment bien que tu récupères vite... Comme ça Kurto pourrait me porter un petit peu moi aussi...

Devant le visage que lui adressa le barbare, le jeune Calishite toussota, baissa les yeux et ajouta:

-...ou pas.

L'instant d'après, Luciole avait oublié ce qu'il venait de dire et se mit à penser à son cousin Valcor'Darche.

¤S'il pouvait être là... Sa serait vraiment bien. On aurait un vrai magicien en bon état. Yamaël est gentil mais ces temps-ci il n'est plus vraiment en forme. Il faudrait l'emmener pour le réparer...¤

Comme la nuit était encore bien noire, le guerrier passa devant le barbare afin de lui montrer le chemin pour éviter que celui-ci ne tombe dans un trou avec l'ensorceleur. Par précaution Luciole avait gardé son épée à la main et tentait de faire le moins de bruit possible, chose qu'il ne réussissait d'ailleurs pas très bien. Se prenant les pieds dans les racines et trébuchant sur les cailloux, le guerrier continua néanmoins à avancer en direction de la forteresse.

-J'espère que Bratak auras trouvé un endroit à l'abri des regards où on pourra se reposer parce que j'en peu plus moi...

Sur ces mots le guerrier s'écroula une fois de plus en poussant un cri et en insultant la pierre qui avait eu le malheur de se trouver sur son chemin.

MJ

En dépit de l'heure tardive, le petit groupe préféra repartir dans l'obscurité pour ne pas risquer de se faire surprendre sur les lieux du dernier combat. La crainte d'être, comme leurs adversaires l'avaient été avant eux, pris au dépourvue avait eu raison de leur fatigue et leur avait donné la force de s'éloigner.
Se mouvant silencieusement dans les ténèbres, Bratak avançait assez vite, recherchant un emplacement de bivouac plus sécurisé. Passant à côté d'un petit monticule de pierre, il s'y arrêta un court instant, observant avec soin les environs. Là, s'ouvrant dans le rocher, une étroite caverne semblait leur offrir discrétion et abri, du moins de façon suffisante pour y passer la nuit et accorder un peu de repos à Yamaël.
Il fut rapidement rejoins par le reste du groupe. Avant même de les voir, le roublard avait entendu le bruit lourd de leur pas, accentué par les jurons de Luciole.
Trimballé sur l'épaule de Kurto, Yamaël gémissait faiblement, sa blessure à la poitrine semblant assez sérieuse.
Bizarrement silencieux, Morvax fermait la marche, jetant de fréquents regards inquiets autour de lui, comme s'il craignait un retour d'une nouvelle patrouille orque.
La nuit promettait d'être assez agitée pour le petit groupe mais leur destination se rapprochait. Encore deux ou trois jours et les murailles de la forteresse naine de Felbarr seraient en vue. Sans se l'avouer ouvertement, tous avaient hâte de connaître les tenants exacts de leur mission.

on je suis vrément désolé mais je ne pourrait pas continuer à m'occuper de Morvax :'(. J'ai planté mon PC et la je poste même pas depuis chez moi. Peut-être un jour Morvax renaitera de ses cendres tel un phoenix. Mias pour le moment je vais négocier apprement avec ma mère pour racheter un PC. Ce ne sera donc pas avant septembre. Adieu, I'll be back !

Entrant en dernier dans la caverne qu’il avait découvert Bratak vérifia que le groupe n’avait pas été suivi. Une fois rassuré sur ce point il retrouva le reste du groupe à l’intérieur et leur dit :

_ Bon ici nous serons plus en sécurité, vous allez pouvoir panser vos blessures et avoir un repos bien mérité, et en preuve de ma bonne foi je veux bien prendre le premier tour de garde car il semblerai que je soit le seul à encore tenir sur mes jambes héhéhé.

Regardant Yamäel toujours en si mauvais état, il lui vînt à l’esprit d’abréger ses souffrances pendant que les autres seraient endormis, mais finalement il se reprît et se dit qu’il était de toute manière condamnés et que dans la folie occasionnée par sa fièvre il demandera qu’on l’achève donc tout était question de patience.

°Une fois mort on se déplacera plus vite, mais on perdra du même coup le seul appuis magique du groupe, pffff vivement l’arrivée à la citadelle parce que là je sais plus quoi faire ... °

Bratak se leva finalement et se rendit près de l’entrée de la caverne pour se poster en sentinelle et y commencer son tour de garde ne se préoccupant quasi plus du reste du groupe en prêtant toute son attention à sonder la nuit qui s’annonçait longue à priori.

compétences :
Détection
Discrétion
Perception auditive

Kurto installa l'ensorceleur dans un coin de la salle naturelle et se mis à l'arpenter dans tous les sens.La faim pointa son nez au mommant ou Bratak parti prendre le tour de garde.
Le barbare ouvrit son sac et s'appercevant qu'il n'y avait plus une miette à mange,il jura en le lançant au sol.
Inspirant profondement pour se calmer, il se dirriga vers morvax.

- dit, t'as pas du matos pour faire du feu?
Voyant le manque de réaction du barde, kurto ouvrit son sac et recupera le materiel adequoite.
il jetta un rapide coup d'oeil au sol et reprit ses injures.

¤ Rien à manger, un barde muet, pas de feu, y manquerait plus que l'un de ses deux sauvages ce mette en tête de tuer Yamaël.¤

Le barbare pris son épée et se dirigea vers Bratak.lui flanquant une enorme claque dans le dos, il sortit de la caverne.
-je vais cherché de quoi faire un feu et manger garde un oeil sur moi.
Et il s'eloigna de la grotte en direction d'un petit bosquet.

Le guerrier regarda le barbare sortir d'un oeil intriguer. Lorsque Kurto s'enfonça dans les taillis Luciole lui cria d'un ton protecteur:

-Fait bien attention à toi Kurto, il pourrait y avoir des loups. Ou même pire! Et surtout reviens vite!!

Le jeune homme resta encore un moment à regarder l'endroit où avait disparut Kurto puis se leva enfin et se dirigea vers son sac. Il fouilla un moment en jetant ce qui ne l'intéressais pas hors du sac et finit par en sortir la carte que leurs avait confié le nain. Il s'assit ensuite près du feu puis étudia le morceau de parchemin.

-Nous ne sommes plus très loin de la forteresse si je ne me trompe pas. On pourra bientôt soigner Yamaël et prendre nos directives auprès du gros orque qui tien la forteresse.

Après un petit moment le guerrier rangea la carte et s'étendit à même le sol. Alors qu'il commençait déjà à s'endormir il lança d'une voix pâteuse à Bratak qui se tenait toujours devant l'entrée comme une parfaite sentinelle:

-Bratak??? Tu pensera à me rveirelg...à me réveiller pour que je prenne mon tour de garde?

Le guerrier n'entendit pas la réponse car il venait déjà de s'endormir à côté de l'ensorceleur, la tête sur son sac et la main sur son épée. Le jeune calishite se réveilla plusieurs fois au son des gémissements de Yamaël. Cette nuit là, il rêva de Kurto, méchamment blessé qui ramenai une petite souris pour le repas et annonçait qu'il avait eu le plus grand mal à la capturer. Puis vint un autre rêve où un Yamaël plus grand que nature regardait Luciole en riant et tentais de l'écraser entre ses doigts. Le guerrier dormit mal et c'est donc avec soulagement qu'il fut tiré de son sommeil.

MJ

Nul incident extérieur ne vint troubler cette nuit, pourtant aucun des aventuriers ne put trouver un repos réparateur, leur sommeil haché par les gémissement fiévreux de Yamaël. Au petit matin, il était manifeste que l'état de leur compagnon ne semblait pas s'améliorer, accentuant les difficultés de leur marche vers Felbarr. Heureusement le halfelin n'était pas lourd et ne pèserait pas trop sur les épaules musclées de Kurto.

C'est le moral un peu abattu qu'ils se remirent en route, l'oeil de plus en plus inquiet, scrutant les environs. Tous sentaient bien qu'un nouvel affrontement risquerait bien de leur être fatal. Fort heureusement, nul péril ne semblait vouloir croiser leur chemin. Le matin suivant, Luciole grimaça en voyant l'état de la blessure de l'ensorceleur. Il était évident que ce dernier ne survivrait pas à une nouvelle journée passée sur les épaules du barbare. Ignorant le regard lourd de sens de Bratak, le guerrier confectionna une civière, solution idéale pour assurer la survie de Yamaël mais périlleuse car elle donnerait un temps de retard aux deux combattants du groupe en cas de mauvaise rencontre.

Quatre nouvelles journées s'écoulèrent et enfin, les murailles de la forteresse naines furent en vue. Respirant de soulagement, les aventuriers accélérèrent leurs pas et se hâtèrent vers les majestueuses tours marquant l'accès à Felbarr. Se rapprochant de ces portes, le petit groupe put se rendre compte de l'état d'avancée des travaux. Ces deux tours, baptisées 'Le Marteau' par ses défenseurs sont pratiquement achevées. Un poste de garde se tient à l'entrée.

L'air féroce, deux nains, lourdement armés se tenaient là, toisant avec morgue et arrogance les nouveaux venus. Sans manifester la moindre attention de les laisser entrer, le plus vieux des deux fixa le petit groupe, l'air mauvais, avant d'aboyer d'une voix sèche...

- Qui êtes-vous pour oser venir en ces lieux? Vous n'avez pas l'air de marchands. Que venez-vous chercher ici? Ne savez-vous donc pas que le roi Guerrecouronne est trop occupé à fortifier la citadelle pour avoir le temps de nourrir des bouches inutiles en ville?

e vais finir par croire que j'attire les personnes qui me prennent pour un vagabond sans le sous et qui cherchent simplement à profiter de l'hospitalité sans rien faire pour eux. Grommela Kurto qui accusait le coup de l'hostilité du nain envers des voyageurs qui, en outre, étaient pour la plupart en mauvais état et qui se rappelait sa première rencontre avec le garde de la Compagnie des Marches à Sundabar. Il eut un pincement au coeur en se rappelant que la mission qu'il avait engagé n'avait pas de rapport directe avec celle qu'il faisait maintenant. ¤Bon ,arrête de devenir sentimental et essaye de voir si la Compagnie peut t'aider ici. Et qui sait peut-être y aura t-il quelqu'un dans la forteresse qui te dira pourquoi tu t'es senti obligé de suivre cette mission.¤

- Luciole, on pose la civière. je crois que ça va être à moi de répondre. Le barbare posa le corps de l'ensorceleur. Il se releva avec une grimace dût aux blessures récentes et se dirigea vers le nain qui les avait accueilli aussi sèchement. Il l'observa quelques secondes afin de graver ses traits dans sa mémoire.

- Hé, l'ami. C'est une façon d'accueillir des alliés ça. Dit-il au nain en montrant le poing sur lequel était installé la chevalière avec le symbole de la Licorne. ¤Espérons au moins, que je me trompe pas sur les relations entre la compagnie et Fellbarr.¤

- Je suis venu rendre compte des déplacements d'orques dans la région et accessoirement rencontrer quelqu'un, un de vos capitaines ou lieutenant. Ce qui était presque vrai, puisque l'attaque subit par le groupe avait été mené par ces abomination de la nature. Le barbare fit demi-tour et se dirigea vers la civière. "Maintenant, si ça te plais pas je peux toujours retourner à Sundabar. Ah, au fait quel est ton nom que je puisse le donner lors de mon rapport à Hannibal Caliban et pour prouver ma bonne fois je vais te donner le mien, c'est Kurto."

- Désolé, mais s'ils ne veulent pas nous laisser rentrer autant que je rentre à Sundabar. Dit-il lorsqu'il fut revenu au niveau de ses compagnons assé fort pour que les nains puissent l'entendre."je doute que ça face plaisir à Sa Seigneurie Helm Ami-des-nains si ça arrive à ses oreilles."
Kurto espera que ces comagnons ne feraient pas l'impaire de lui demander qui etaient Hannibal Caliban et ainsi mettre à terre sa tentation de négociation d'entré dans la forteresse.