Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

L’ensorceleur avait remis sa capuche sur la tête et était repartie dans ces pensés, qui se tournaient bien sur, sur le comment sortir l’ami de son cousin de derrière les barreaux. Valcor mit à portée de main son épée qui était dissimulé sous sa robe pour ne pas être vue, puis suivit son cousin dans l’ombre. Emerlin qui venait enfin de sortir de son " potager " comme devait certainement le penser Luciole, sorti en même temps.
" Nous sommes là Emerlin. Dépêche toi de nous suivre petit homme trapu, et passe devant pour nous guider. Pas que je n’ai pas confiance aux EXCEptionnelles talents d’orientation de mon chère cousin, mais c’est plus prudent d’arriver à la prison avec un nain en tête de notre petit groupe, vue que nous somme dans une citée naine. Bien sûr, je n’aurais certainement pas à vous prévenir de vous tenir tout deux sur vos gardes, d’être calme et posé et surtout de ne pas se faire trop remarquer, n’es pas Luciole ? Et nous nous ferons passé pour des marchands à qui Kurto a volé l’épée de Luciole ainsi que les autres armes que vous voulez récupérez.. Vous êtes d’accord ? Et nous viendrons demander ou celui-ci la mise tout simplement. Et si cela ne suffit pas à nous laisser rentrer… et bien nous aviserons… "

Valcor n’avait jamais aimé rentré dans un lieu ou il serait très vite facile d’y rester plus longtemps qu’on avait prévu. Ces prisons sales ou la nourriture était tout juste bon pour un orque malade. Le jeune ensorceleur savait pertinemment que leur mission ne serait pas chose facile, mais il faudrait au moins essayer. Et puis si la visite échoue, ils pourraient toujours aller au poste de garde pour réclamer l’épée de Luciole que Kurto avait imaginairement volé au paravent.

¤Bien espérons que mon plan marchera…ou nous devrons aviser. Mais dans un premier temps, il faut tout d’abord pouvoir analyser les alentours de la prison, et savoir ou est enfermé Kurto… Espérons que les nains montrerons une foie de plus leur caractères qui se veut peut réfléchie. ¤



Bon les gats, la quête ne vous interesse plus là? Je vous ferais remarquer que ça traine dure là, et ca en devient lassant. On dirais que personne n'est motivé...Bien domage, en tout cas jespère que ca va repartir de plus belle car bon perso j'ai envie de m'amuser et de passer de bon moment ici.. Merci.



Ce message a été modifié par Valcor'Darche le Vendredi 01 Septembre 2006 à 20h59

Depuis que la caravane marchande l'avait déposé dans cette charmante cité il y avait 3 jours, le jeune nain n'avait pas encore eu la chance de trouver une taverne convenable où faire partager ses talents artistiques.
¤Comment vais-je manger, moi?¤ se demanda-t-il en faisant tourner entre ses gros doigts boudinés une pièce du pécule qu'il avait pu amasser en rédigeant quelques petits poèmes dans les villages que la caravane avait traversés avant d'arriver à Felbarr.
Ce pécule n'était pas si maigre que cela, mais Joinon aimait vivre "relativement bien" comme il le disait lui-même.

¤Ah! Voilà!¤
Enfin se dessinait devant le petit barde rondelet la facade de l'auberge qui, d'après une affiche qu'il avait touver en entrant en ville, cherchait un animateur. Déjà il tentait d'imaginer une ode à cette auberge. C'est qu'il s'agissait de bien se faire voir! Felbarr étant plus un bastion qu'un véritable lieu de vie, se faire rejeter par l'une des rares auberges serait synonyme d'au revoir et de départ avec la prochaine caravane.

¤Alors que la guerre et la mort partout grondent,
Tandis que le Mal et la misère du monde
Siègent à vos portes habitants de Felbarr,
Entrez dans cette auberge, venez vers le bar.
La serveuse y est blonde, tout comme la bière
Qu'après le labeur, le tavernier vous sert.
...¤

C'est alors qu'il allait entamer le second couplet en approchant de l'auberge qu'il fut presque percuté par un humain en sortant brusquement et dont il ne distingua que le vêtement noir. Il percu toutefois quelques-unes de ses paroles:
"à la prison...citée naine...sur vos gardes...ne pas se faire trop remarquer...passé pour des marchands...volé l’épée de Luciole...laisser rentrer...nous aviserons… "

¤En voilà un qui n'est pas gêné! pensa Joinon.
Puis, alors qu'il réalisait ce qu'il venait d'entendre, compris que cet individu était un tantinet louche. Un nain semblait le suivre, et eux deux semblaient eux-mêmes suivre quelqu'un d'autre.
¤Papa, tu vas être fier de moi!¤ pensa Joinon alors qu'il décida de suivre aussi discrètement que sa corpulence lui permettait les étranges individus.

¤Si j'arrêtes de dangereux malfaiteurs, mon avenir à Feldarr est assuré, et quelle belle chanson cela fera!¤
Ne pensant pas au danger (non pas par courage mais parce qu'il se croyait alors, comme trop souvent, dans l'une de ses chansons), le barde fila les aventuriers.

Bonjour à tous, j'ai fait de mon mieux pour que mon arrivée ne soit pas trop incohérente. J'ai l'aval de maître Mikaïl. Un détail: le charmant ordinateur avec lequel j'écris (et je peux écrire tous les jours si besoin est!) ne possède pas le "C" avec cédille. Désolé pour cette faute d'orthographe.

MJ

A la taverne :Bratak vidait consciencieusement sa bière, un peu désolé par le mutisme de son compagnon. Le roublard sentait bien, de temps en temps, le regard appuyé du capitaine paladin se poser sur con cou, mais il faisait comme si rien n'était, donnant l'impression de ne rien avoir à se reprocher.

Devant la prison :
Luciole et son cousin avaient rapidement été rejoints par Emerlin qui se faisait fort de leur ouvrir les portes des cellules. Hélas, ils tombèrent sur un gardien particulièrement obstiné (normal pour un nain) et à l'intelligence assez limitée. Ce dernier semblait ne rien comprendre au baratin de Valcor. Dans l'esprit simple du garde, s'ils avaient été volés, il fallait aller voir la police et un officier viendrait lui donner des consignes. Et de toute façon, si le dénommé Kurto était un voleur, il serait pendu avant le lendemain alors ce n'était pas la peine d'aller le voir. Il leur suffirait de réclamer ses affaires plus tard.
Dans l'ombre, Joinon observait la scène, se demandant ce que ces étrangers pouvaient bien avoir à faire en prison.

Dans la prison:
Les cris du barbare attirèrent un des gardiens. Celui-ci avait l'air assez furieux d'être déranger pour si peu et s'apprêtait à réagir violemment quand l'ordre lui parvint d'amener Kurto à ses supérieurs. Grommelant contre la chance qu'avait les crapules, le nain sortit son prisonnier du cachot et le poussa, avec peut-être un peu plus de brutalité que nécessaire, à travers les couloirs jusqu'à un petit bureau.
Au fond de la pièce, Kurto reconnut avec surprise le capitaine Marteautonnerre. Le guerrier le regardait avec attention, gardant le silence. Puis, au bout de ce long moment d'observation, plissa les yeux. Murmurant dans sa barbe, il semblait se parler à lui même : "Ainsi, voila donc le fringant membre de la compagnie des Marches, qui, à peine arrivé à Felbarr, prend plaisir à m'insulter. Je me demande s'il est aussi efficace qu'il le croit et si son attitude tient plus du courage que de l'inconscience. Enfin, il faudra faire avec..."
Plongeant ses yeux gris dans ceux de Kurto, le nain leva la tête, sans que ce geste ne le diminua, tant était perceptible la force de caractère du soldat : "J'attends des nouvelles de ta Compagnie et surtout confirmation de ton appartenance à ses rangs. Pour le moment, je me demande encore quoi faire de toi... J'hésite à t'employer au service de la forteresse, histoire de voir si ton engagement au service des Marches d'Argent est vraiment sincère, ou au contraire te laisser moisir en prison avec ces vermines vertes. Alors ? Qu'as-tu à dire ou à proposer pour faire avancer mon choix ?"

Le barbare fût soulagé de voir que l’inimitié du capitaine envers lui était retombé. Il était vrai que Kurto avait poussé le bouchon très loin lors de leur précédente rencontre et il se demanda si une personne n’avait pas calmé le nain. Chassant cette idée, il inclina la tête respectueusement.
- Capitaine, avant que nous ne parlions de mon avenir, il faut que vous sachiez ce que ses imbéciles d’orcs m’ont révélé. il eu alors l’envies de prendre une attitude de triomphe tant il croyait l’information crucial pour la survie de Felbarr. Il se ravisa lorsqu’il croisa a nouveau le regard impitoyable du nain.
- Il semblerait que mes craintes concernant un complot des esclaves orcs soient fondé. Le balafré m’a dit qu’il existe un tunnel entre l’extérieur et les mines de Felbarr. Vous me connaissez un peu maintenant, donc si il m’a parlé de ça c’est qu’il est complètement stupide comme tous ceux de sa race. Une question se pose donc. Qui pourrait tirer les ficelles des orcs au point de leur faire penser à nous prendre à revers ?
le barbare avait volontairement utilisé le nous dans son discourt pour faire comprendre au nain qu’il se sentait aussi impliquer dans la préservation de la cité que lui. Et la, il se demanda si il n’abandonnerait pas la recherche de l’amulette pour effectivement rester et défendre Felbarr.
- Capitaine, je pense que même si vous ne croyez pas un mot de ce que je viens de dire. Il serait préférable de prévoir des patrouilles dans les galeries. Quant à moi, bin faite ce que bon vous semble de moi.

Le guerrier comprenait parfaitement que le plan de Valcor ne fonctionnait pas comme il le souhaitait et il ne voulait pas repartir sans avoir parlé à Kurto. Cherchant à embrouiller le garde, Luciole s'introduit dans la conversation que son cousin avait lancée.

-Mais non, vous ne comprenez rien... Je vais résumer la situation: vous avez emprisonnez un homme de forte carrure du nom de Kulo, ou Kurto peut-être. Cet homme est en réalité recherché par la compagnie des marches et plus particulièrement par Hannibal Caliban pour avoir transgressé plusieurs fois des règles très importantes. Ils nous ont donc envoyé pour venir le chercher. Vous savez comment ça marche, ils veulent exécuter eux-mêmes leurs prisonniers... Et puis mon cousin Valcor, le magicien là, doit vérifier qu'il ne possède pas l'amulette de Samarcande. Vous savez certainement ce que c'est non?

Devant l'air perdu du garde Luciole prit un air grave et continua:

-Vous ne connaissez pas l'amulette de Samarcande?!?!?! Allons bon! Vous ne sortez donc jamais? C'est une amulette créée par Samarcande l'impitoyable il y a quelques années. Il y a mit une partie de son âme je crois et quand je l'ai tué, j'ai mis longtemps à me remettre de ce qu'il m'avait infligé mais ça y est, donc quand je l'ai tué il a fait en sorte que quiconque se servirait de cette amulette... A cour d'idées le guerrier s'arrêta un instant pour chercher une suite à son récit. Ah... Je n'ose même pas dire ce qui arrivera à celui qui utilisera cette amulette. Et le pire c'est ce qui arrivera à son entourage... C'est pour ça que nous voulions récupérer nos armes, pour pouvoir renvoyer Samarcande en enfer si il était de retour et nous voulions aussi emmener Kupo hors de la forteresse pour éviter qu'elle soit détruite. Mais je comprends, vous faites votre boulot... Cependant vous n'aurez pas un métier très long si Samarcande l'impitoyable sort de l'amulette...

Le guerrier se tourna alors vers Valcor en prenant un air triste et dit d'une voix forte afin que le nain entende:

-Je ne pense pas que nous arriverons à les sauver... On ferait bien de s'enfuir nous. Je ne tiens pas à me battre de nouveau contre LUI... La dernière fois il m'a laissé de grosses séquelles. Et puis tu m’as dit qu'il serait plus puissant que jamais s'il revenait...

Luciole ajouta plus bas afin que seul Valcor et Emerlin entende:

-Bon essayez de continuer dans ce sens. Valc' si tu as des sorts pour qu'il nous croit ou qu'il nous obéisse hésite pas... Emerlin essaye de lui jurer sur la tête de Moradin que c'est vrai.

Le guerrier se retourna ensuite vers le garde et lui dit d'un ton suppliant:

-Je vous en supplie, allez vite nous chercher nos armes. Je vous promets qu'ensuite nous partirons à tous jamais avec Kurto et que vous n'aurez pas de problèmes. Il est inutile que vous préveniez vos supérieurs, sa serait trop long et on risque déjà de manquer de temps...

Luciole tente un coup de bluff sur le garde nain

L’ensorceleur allait renchérir de plus belle, quand son cousin Luciole décida d’intervenir. Bien sûr Valcor ne s’attendait pas a un discourt très concret de la part de son cousin, et quand il eut fini de parler, l’ensorceleur, même s’il trouvait l’idée farfelu, n’eut pas d’autre choix que de continuer dans la direction de son cousin.
¤Bon la meilleur des solutions, c’est de continuer dans le discourt de Luciole, mais de faire comprendre au nain qu’il n’a pas beaucoup de solutions, et le pousser dans ces retranchement. La peur de mourir ou d’avoir sur sa conscience la perte de la citée le fera certainement trembler…Enfin espérons le, car je craint que Luciole n’ai pas la même patience que moi…¤

L’ensorceleur prit une mine des plus sérieuse son visage devint glacial, et noir. Il remit sa capuche et s’avança vers le nain lentement.
"Luciole, Luciole, tu sais très bien ce que nous a dit le capitaine Marteautonnerre, cette histoire ne devait pas sortir de nos bouches et devait rester secrète entre les membres du conseil…
Le capitaine nous avait prévenue qu’il ne fallait pas effrayer la population mais faire cela dans le calme comme nous travaillons d’habitude… Bien Messire nain, écoutez moi. Ne paniquez pas, et surtout restez à votre poste, car tout doit être fait dans le plus grand secret. L’amulette de Samarcande est un artefact puissant qui emprisonne comme vous l’avez comprit Samarcandre un mage surpuissant avec qui nous avons eut affaire et qui s’il est amené à revenir causera notre perte. La compagnie a put luté une foie, mais s’il revenait nous ne pourrions rien y faire. Mais il ne faut surtout pas que la population s’affole, cette opération doit se faire dans la plus grande discrétion. Tout ce que nous vous demandons donc, c’est de nous laisser parler à ce dénommé Kurto pour vérifier s’il détient ou non les secrets de cette amulette, et récupérer l’épée qui permettra de le tuer s’il devait revenir…"

Valcor devait être le plus crédible possible, et c’est pour cela qu’il continua d’un ton qui se voulait ferme et sérieux, et qui frôlait même le chao."Mais bien sûr, Messire nain, si vous préférer avoir vous-même affaire à Samarcandre, je ne vous retient donc pas, mais nous, nous partons alors tout de suite de cette région, qui sera bientôt maudite. Pourquoi croyez-vous que les orques afflue de plus en plus autour de la citée alors que tout le monde croyait les avoir dispersé à jamais ? Mias pour mettre la main sur l’amulette. Et pourquoi pensez-vous que la compagnie des marches envoie discrètement des troupes dans cette région ? Rien n’est hasard mon chère ami, et notre Seigneur Hannibal Caliban le sait très bien, c’est pour cela que vous devez nous laissez rentrer ou alors, préférez vous y aller vous-même ?"

Valcor se retourna ensuite vers Emerlin.
"Et toi Emerlin, raconte ce qu’à promit Samarcandre à la race naine s’il se réveillerait ?"

L’ensorceleur espérait que leur petit tour de bluff marcherait, car si cela n’était pas le cas, Luciole n’attendrait certainement pas plus longtemps, et dans ce cas là, il faudrait se dépêcher d’aller chercher Kurto et les autres pour déguerpir au plus vite.

Valcor tente un coup de bluff sur le garde nain

Euh...Je suis sensé parler le nain mais là j'ai rien compris.


Joinon, caché aussi bien qu'il en était capable derrière un angle de mur, tentait de ne rien perdre des paroles des étrangers. Il parvint à comprendre la majorité de ce qu'il se disait à la prison.
¤Samarcande? Une amulette? Jamais entendu parler d'une telle histoire! Et pourtant je m'y connais en légende. J'ai tant voyagé que je n'aurais pas pu passer à côté d'une telle rumeur. De plus si elle est tellement récente, la plupart des bardes des Royaumes doivent la conter.¤

Le jeune nain ne put malheureusement pas entendre ce que les compagnons se dirent à basse voix, mais une fois tous ayant parlé, Joinon sut que tout ceci cachait quelquechose de louche, qui plus est lorsqu'il repenssait aux paroles de l'humain qui ressemblait à un ensorseleur et qui avait failli le percuter à l'entrée de l'auberge.

¤ Foi de Joinon, ces gens-là ne sont certainement pas ici pour sauver Fäerun comme ils semblent vouloir le faire croire. Que faire...¤
Effectivement le moment était venu de faire un choix, mais le barde n'était pas un homme d'action. Cependant trotaient en lui des idées d'héroïsme, véhiculées par les chansons qu'il a écrites ainsi que celles qu'il a pu entendre au détour d'une taverne.
¤ Vas-y Joinon! Le Père des nains t'accompagne.¤

Le jeune barde sortit soudain de sa cachette en criant:
-Non! Ce sont des méchants! Arrêtez-les!
Joinon se rendit compte trop tard qu'il devait avoir l'air stupide, son gros ventre a peine caché par ses vêtements de clown, sa yartling qui trainait presque par terre et sa barbe hérissé par la nervosité.
Il serra les poings aussi fort qu'il ferma les yeux et attendit la suite.

Bratak commençait à désespéré, ses compagnons en mettaient du temps pour rendre visite à un simple prisonnier si ça ne tenait qu’à lui il y aurait déjà longtemps qu’il serait revenu, avec Kurto en plus ! Mais bon il n’y pouvait rien à peine serait-il sortît que la première patrouille l’aurait arrêté séance tenante.
Bratak jeta un nouveau regard à sa bière qui se vidait de plus en plus lorsqu’il releva le regard il aperçu son compagnon elfe qui semblait être plongé dans la rêverie et cela en plein dans une taverne ! Les poils de la nuque de Bratak se hérissèrent à nouveau signe que le capitaine « Larve-et-toile » posait son regard sur le roublard.

°Commence à me sortir par quelque part celui là, il a de la chance d’être accompagné par ses hommes, sinon je lui aurait bien planté ma dague dans le cou et hop on en parle plus et si par malheur quelqu’un était pas content j’aurais juste eu à dire qu’il avait bafoué mon honneur en me volant ma fiancée généralement ça marche comme excuse bidon quoique il y a moyen de trouver mieux je penses°

Afin de passer le temps, Bratak s’imagina différente façon de tuer le capitaine en question et des tonnes d’excuses plus farfelues les unes que les autres afin de donner une bonne raison à l’acte qu’il aurait aimé perpétrer.

Le guerrier trouva son idée particulièrement judicieuse par rapport à l'intellect du garde. Luciole trouvait également que son cousin avait particulièrement bien su improviser et il n'avait absolument rien compris à ce qu'avait dit Emerlin ce qui signifiait sans doute que le garde non plus n'avait pas compris. Le guerrier était donc très fier de son plan jusqu'à ce qu'un petit nain rondouillard déboule en criant des bêtises. Prit sur le fait Luciole chercha son épée afin de faire disparaître ce qui semblait être un barde mais il se rendit compte que celle ci avait disparue. Il s'approcha donc du barde dans le but de le faire taire à coups de poings quand une merveilleuse idée lui vint. Il passa son bras autour des épaules du petit nain qui fermait à présent les yeux et lui dit calmement:

-Ah! Enfin te voilà. T'en as mit du temps. Bon le garde veut pas nous croire quand on lui parle de Samarcande. Toi qui es un barde et qui connais pas mal d'histoires, dit lui exactement comment ça s'est passé. Puis en s'approchant de l'oreille du nain il ajouta très bas. Sauf si tu tien à mourir dans d'atroces souffrances...

Après avoir demandé au barde les détails du combat il retourna se placer à côté du garde, en peu en retrait et sourit au petit nain pour lui montrer qu'il saurait le faire souffrir si besoin était.

¤Voilà qui est bien inattendu... Ca aurait pu très mal tourner si je n'avais pas été là. J'espère que j'ai été assez convainquant. Quoi qu'il en soit je vais rester un peu derrière le garde pour pouvoir lui taper dessus plus rapidement si y résiste quand même.¤

Bon,je suis désolé pour le post précédent, mais je crois qu'il ya eu un p'tit bug. Je vais donc refaire mon post (pas exactement, je l'ai pas enregistrer) en français normal. Voili voilou et encore désolé.

Emerlin tentât de garder son calme, il était surpris. il n'avait semble-t-il jamais entendu parler de se Samarcande et allait donc devoir tout faire au bluff.

"Cher compatriote, je crois que vous saisissez pas l'importance de ce personnage qu'est Samarcande. En effet, ce mage puissant n’a qu'une chose en tête, faire régner la terreur sur le monde, mais pour accomplir ses desseins il veut détruire la race naine. En effet, il nous affirmé qu'il prendrait d'assauts toutes les citadelles naines, qu'ils en prendrait possession et qu'il fera régner les orques sur nos carrières. Vous rendez-vous compte d'un tel affront? Mais, il ne s'arrête pas là. Il a également dit qu'il laisserait les orques violer nos femmes, qu'ils exécuteraient tous nos enfant, et que nous autres nains adultes serions réduits à l'esclavage. C'est pourquoi nous devons à tout pris arrêter Kurto qui fait partie avec nous des rares personnes pouvant sauver notre race ainsi que les autres. Nous devons donc pouvoir nous entretenir avec lui, mais pour que tu se passes bien la population ne doit être au courant de rien. Et oui, ce n'est pas par hasard que nous avons choisit pour vous en parler. Nous pensons tous que vous êtes digne de confiance et un nain tout à fait respectable. Je vous demande donc de ne pas paniquer et de rester tout à fait calme."

¤ Arf, faudrait que j'en touche un mot à ces deux humains de leur plan bizarre.¤

Il regardât Valcor' et lui adressât un petit sourire.

je suis désolé, mais je ne peut pas l'éditer ,j'ai accés à la fonction, mais une fois modifier, je ne peux pas poster le message modifier, je vais le supprimer.