Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

Macë avait écouté attentivement le demi-elfe. Il était content parce que celui-ci avait considéré qu'il faisait partie du groupe de compagnons!
Mais ne connaissant pas ce qui s'était passé pour le petit groupe qu'il venait de rejoindre, il n'osa pas prendre la parole, de peur peut-être, de faire une bourde en se qui concerne le parcours qu'ils avaient du faire pour rejoindre la forteresse. Lui de son coté n'avait rencontré dans la forêt, que des animaux résidant dans celle-ci! Mais je crois que d'expliquer cela à ce moment précis, n'apporterait rien de plus à la conversation actuelle.
Voilà plusieurs jours que Macë attendait dans cette auberge, il avait eu le temps de vider quelques fûts, mais le fait d'avoir essayé de plaire à l'escadron qui s'était formé, lui avait donné grand soif. Il se leva donc, tout en faisant comme si il était toujours intéressé par la conversation qui se faisait à sa table! et se dirigea vers le coin du bar le plus proche de la table, afin de toujours pouvoir écouter ce qu'il si disait.
Installé au bar, il interpella l'aubergiste, et lui commanda une chopine du fabuleux breuvage, duquel il s'était abreuvé durant son séjour dans l'établissement. Sa soif était tellement grande, qu'il dévala celle-ci d'un trait. Après avoir terminé son verre. Il revint à la table, repris sa place auprès de ces nouveaux compagnons. Pris une position décontracté, Et pris l'air des plus intéressé afin d'écouter ce que le nouveau venu avait à leurs dire.
Quand même intrigué par ce qui se passait dans les murs, et autour de la forteresse. Et étant donné que personne ne se décidait à entamer la conversation avec le nouveau venu, il se lançât à l'interrogeait sur le pourquoi d'un telle conflit avec les orques.
"Dîtes-moi mon brave, il est vrai que nous avons entendu que quelque chose s'était passé ici. Mais nous ne sommes en rien au courant. Est-ce que ça ne vous dérangerez pas de nous éclairer de quelque façon que ce soit sur ce point? Et peut-être que, sachant quoi qu'est-ce, nous pourrions, si vous en estimeriez le besoin, vous aider de n'importe qu'elle façon que ce soi."
Macë finit sur ces mots, voilà lui sembla-il, une bonne façon d'entamer une conversation avec lui. Et peut-être que, après avoir entamer celle-ci, ils trouveraient une façon pour venir à parler de l'équipement mis en attente de leurs compagnons au poste de garde, ou du compagnon de Luciole et Bratak qui était lui, enfermé, enfin ils ne savaient pas trop, dans les geôles du château!

Valcor avait remit sa capuche sur ça tête depuis l’arrivé de tout ce monde. Il n’avait pas le temps comme à son habitude de pouvoir examiner chaque membre qui se trouvaient autour de cette table. Il salua né en moins le demi-elfe qui se nommait Macë de part ces propos élogieux, puis décida d’écouter ce que tout ce petit monde disait. L’ensorceleur en conclu vite que la seul chose qui motivait le nain et l’elfe était de partir à l’aventure, et qu’ils ne présentaient pas avoir grande expérience. Puis se fut au tour de ce Bratak, qui faisait donc partie du groupe de Luciole, de faire irruption. Valcor le salua d’un signe de tête fière que son cousin est parlé de lui, puis approuva pour ce qui était de la couleur du noir.¤Il y a trop de monde en même temps, et cela ne me plait gère. La foule n’est pas bon présage, et tout ce remue ménage ne va pas nous permettre de rester discret pour parler de leur compagnon qui m’a l’air en mauvaise posture. ¤

Accompagnant ces paroles, un homme qui se trouvait donc être capitaine entra lui aussi dans leur discussion. C’est à ce moment là que Valcor décida d’entrer lui aussi dans cette foule de dire, car il pouvait se contenter d’écouter les propos de gens de son échelon, mais lorsqu’un capitaine faisait irruption, il était bon de pouvoir vite l’éloigner. Il prit donc la parole et parla d’une voie calme et assuré, essayant de couvrir les autres voies, pour que le capitaine l’entende bien.
"Bien le bonjour capitaine Lamétoile. Je me nomme Valcor’darche, pour vous servir. Rien ne sert que vous reteniez mon nom, cela est sans importance…Pour ce qui est de nous, nous n’avons malheureusement pas grandes informations à vous fournir, si ce n’est qu’il commence à avoir une grande agitation dans la citée en ce qui concerne ces petits êtres que sont les nains. Si vous voulez mon avis, les bandes d’orques qui se trouvent autour de la citadelle vont certainement essayer de se regrouper. Mais bien sur, mes dires ne sont que spéculation, pure objet des mes réflexions. Pour ma part, j’ai rencontré une patrouille orque qui se dirigeait vers le Nord de la citadelle, mais ne voulant pas risquer ma chétive vie, j’ai préféré donner un cou à ma monture pour qu’elle puisse accélérer. Mais malheureusement capitaine Lamétoile, je ne puis vous donner plus d’informations, et je pense que ces chers messieurs vous diront de même, car cela ne resterait seulement que des spéculations sans fondement concret, étant tous de simple voyageur, ayant trouvé le besoin de se rapprocher pour survivre dans cette région. Car vous serez d’accord avec moi, pour un voyageur seul il n’est pas bon de traverser ce territoire en ces temps-ci…Je vous prie donc de nous excuser pour ce manque d’informations que nous disposons, et en espérant que le calme reviendra une bonne foie pour toute dans les alentours."

Valcor espérait que le capitaine serait se satisfaire de cette réponse, et ne leur poserait plus d’autres questions. Cependant, l’ensorceleur se demandait si ce cher capitaine ne pourrait pas les aider à faire libérer le compagnon de Luciole. Peut-être que s’ils arrivaient à ce mettre le capitaine dans la poche, ils pourraient éviter de faire un assez gros remue ménage dans les prisons, et éviterait des problèmes.
L’ensorceleur qui de toute façon commençait à avoir soif, répondit à la serveuse qui se trouvait depuis un bon moment planté comme un piquet à leur table.
" Et bien belle demoiselle, je vous prie de nous apporter de quoi boire pour tout le monde. Cette bière dont vous avez l’air si fière fera l’affaire. Il fit un doux clin d’œil à la serveuse, puis se retournant vers le capitaine : Prenez donc un verre avec nous capitaine, je vous en prie assaillez vous donc à notre table. "

L’ensorceleur regarda son cousin, et espéra que celui-ci comprenne ces intentions comme il en était avant, regarda Bratak, et espérait que celui-ci était bel et bien intelligent comme il le pensait et comprendrait ces plans.



Ce message a été modifié par Valcor'Darche le Samedi 19 Août 2006 à 10h26

Edit Mikaïl
Aïe, aïe, aïe, que de fautes d'orthographe.
Merci à tous de faire un effort significatif dans ce domaine et de rendre ainsi ses posts lisibles... A ce niveau, ce n'est plus une simple faiblesse en orthographe qui est à déplorer, mais soit un "je m'en foutisme" complet en la matière, soit toutes les années d'école primaire à refaire.
Donc, avis aux amateurs, le RP ne se poursuivra qu'avec ceux qui sauront écrire en français.

MJ

Dans la prison :
L'orque plissa les yeux et un sourire mauvais naquit sur ses lèvres. Il approcha encore son visage de celui de Kurto. Le barbare eut bien du mal à ne pas reculer devant l'haleine nauséabonde du prisonnier mais sût rester stoïque.
- Toi trop parler, peau rose. Toi voir peut être plus tard quoi nous capable. Klohrm pas être là pour l'instant mais lui bientôt revenir. Petits êtres poilus par connaître tous secrets des tunnels...
Un rictus qui se voulait intelligent et rusé se forma sur le visage de l'orque puis ce dernier se retira pour aller s'affaler sur sa paillasse.

Dans l'auberge :
L'arrivée du capitaine de la légion d'Argent avait provoqué un léger trouble au sein du petit groupe coupant net leur conversation initiale. Maladroitement, Luciole et Valcor'Darche tentèrent d'apporter un semblant de réponse. Fin psychologue, Jandar Lamétoile ne fit aucun commentaire mais son regard se fit plus incisif, dévisageant l'un après l'autre chacun des compagnons.
Un fin sourire se forma sur ses lèvres de paladin et il hocha la tête d'un air entendu.

- Tant que vos actes ne nuisent en rien à la sécurité de cette citadelle, vous êtes libres d'aller et venir à votre guise. Ne vous inquiétez pas trop sur l'état de nos murailles, nous n'avons pas repris cette forteresse aux orques pour la leur rendre à leur première attaque. Soyez assurer que nains de Felbarr et membres de la légion d'Argent sauront les repousser.

Le capitaine lança un nouveau regard un peu appuyé sur Luciole : "J'aurais peut être un travail de reconnaissance à vous confier au nord d'ici pour chercher à découvrir l'armée d'Obould et revenir me faire votre rapport. Rien n'est pressé, réfléchissez à mon offre et rapportez moi votre réponse."

Avec un dernier geste de la main, le demi-elfe paladin prit congé et retourna à s'asseoir à la table qu'il occupait précédemment.

La tentative de Valcor de garder le capitaine à leur table et pouvoir se le mettre dans la poche avait échoué, et donc il faudrait discuter du comment délivrer Kurto plus attentivement. L’ensorceleur savait très bien que foncer la tête baissée n’était pas la bonne solution, et qu’en plus de risquer leur vie, ils risqueraient eux aussi de se retrouver sous les barreaux. Il décida donc de faire part au groupe de ces songes. Il parla donc d’un ton calme et baissa la voie pour qu’il n’y ait que les personnes autour de la table qui puisse entendre.
" Ecoutez moi vous autre. Dans un premier temps, je pense qu’il faut donc récupérer vos armes, ce qui me semble essentiel bien sur. Mais je ne crois pas que foncer droit dans la prison pour délivrer Kurto soit une bonne chose. Vous l’avez aussi bien entendu que moi, le capitaine nous a affirmé qu’ils pourraient repousser, ou même voir plus, si une bande d’orques venait à attaquer. Ils n’auront donc aucun mal à arrêter une petite bande de guerrier rebelle qui veulent sauver leur ami. Non, nous devons procéder autrement, et plus discrètement. Et puis n’oublions pas que Bratak est recherché…Sortir avec toute les patrouilles qui le cherche n’est pas non plus la meilleur solution… "

L’ensorceleur ne voulait certainement pas se retrouver enfermé sous des verrous, et espérait donc que ces compagnons soient du même avis que lui. La seule solution qui s’offrait à eux était donc de pouvoir conter sur l’aide du capitaine Lamétoile.
" Je vous expose donc mon idée, qui bien sur peut-être rejeté, n’étant inévitablement pas sur à cent pourcent. Pourquoi ne pas accepter la proposition du capitaine ? Nous pourrions donc lui demander de faire sortir Kurto qui a été malencontreusement jeté en prison par erreur, et qui pour ce qui est de la mission nous serais indispensable. Bien sur il n’est pas sur qu’il approuve, c’est pour cela que je vous demande d’exprimer vos idées si vous en avez, pour que nous puissions voir comment nous procéderons. "

Valcor se réinstalla au fond de sa chaise, puis recommença à siroter sa bière doucement en attendant que quelqu’un se décide à parler. Même si son idée était risquée, elle valait déjà mieux que de foncer la tête baissée et de se faire tuer.

Luciole eu une mou approbatrice en entendent son cousin mais ne fut pas tout à fait soulager. Il n'aimait pas trop ce capitaine qui semblait trop intelligent. Le guerrier réfléchit donc à une façon de délivrer Kurto sans passer par l'elfe. Pendant qu'il faisait marcher son cerveau comme jamais il ne l’avait fait, le jeune homme finissait de tailler le sifflet qu'il avait commencé à leur entrée dans la ville. Soudain, un éclair de génie illumina son esprit embrumé:

-JE SAIS!!!!!!!! ON POURRAIS..., devant le regard meurtrier de Bratak, Luciole baissa la voix jusqu'à n'être entendu que par ses compagnons, on pourrais attirer une patrouille dans une ruelle sombre, la tabasser et leur piquer leurs fringues. Ensuite on se glisse dans la prison et on dit qu'on a ordre de faire sortir Kurto. Moi je suis partant pour ça. Qui me suit?... Et ba quoi? Au moins moi je propose des idées. Si sa vous plait pas donner d'autres solutions. Mais Valcor pourrait leur lancer un sort par derrière pendant qu'on les occupes et sa serrait pas dur de les mettre a poil. Valcor tu peu lancer quel sort pour nous aider à mettre des gardes KO? Ou alors... l'un d'entre nous se précipite vers le poste de gardes couvert de peinture rouge et y fait croire qu'y a des orques qui ont réussis à passer pour les faire sortir et ensuite on récupère nos armes...

Pour s'assurer que personne n'avait entendu le guerrier releva la tête et jeta un regard conspirateur autour d'eux. Il ne voyait plus le capitaine.

-En tous cas moi je n'aime pas trop l'idée de rester avec ce capitaine Lame-de-toile. J'ai l'impression qu'il lit dans mes pensées...

Luciole utilise artisanat pour faire son sifflet

Le barbare était content de lui. Non seulement, il savait maintenant que leur contacte n’était pas dans la forteresse, mais en plus, il savait que ses craintes étaient fondé. Alors que l’orc trop bavard était parti s’allonger, Kurto retourna à son sac avec l’étrange impression de travail non fini. Tout en marchant vers son but, il expira par le nez avec force pour en évacuer les relents fétides des orcs.
Il s’assit dos au mur avec les orcs bien en vus, les genoux ramenés au niveau de la poitrine et son sac sur sa droite.

Le barbare avait toujours considéré les prisons comme un lieu ou l’on pouvait réfléchir sur son existence et son devenir. Et il s’aperçu que c’était effectivement le cas. A peine fut-il sur ses fesses, que sa pensé se dirigea vers Bratak, Luciole et les deux mini pouces. Il repensa alors à leur rencontre avec le nain de Sundabar et de la façon dont le nain avait parlé de son « Ami » orc. Les images de leur parcourt de Sundabar à la forteresse défilèrent. Le Barbare passa sa main sur la jambe blessée lors de l’escarmouche lorsqu’il arriva à ce passage.
Il grimaça lorsqu’il repensa à la façon dont il avait dut se rabaisser devant le capitaine de la garde. Il arriva, ensuite, aux paroles de l’orc.

¤ Quelque chose ne colle pas avec le caractère des orcs et leur intelligence légendaire. Comment un orc a-t- il put penser à prendre les nains à revers ?
Et si une personne tire les ficelles.
Mais dans ce cas, pourquoi s’allié avec des êtres si méprisables ? Dans quel but ?
Et si tous cela avait été organisé dans le but de récupérer l’amulette ?¤
A cette idée, il frissonna.

Une chose devenait évidente, il devait prévenir le capitaine de la garde de sa découverte même si le nain ne le croirait sûrement pas. Grommelant de ne pas savoir écrire, il plongea sa main dans le sac à la recherche de l’anneau. Il le saisi et Il se découragea lorsque ce qu’il pensait être un anneau de murmure, se révéla n’être qu’un simple symbole d’appartenance à la phalange de la licorne.

Il était perdu dans ses idées lorsque son estomac se rappela à ses bons souvenirs par un grognement caractéristique. Il eut alors envi d’un morceau de viande saignant et d’une bière fraîche. N’y tenant plus, il se leva passa son sac à l’épaule et parti en direction de la porte de la cellule. Arrivé devant li saisi les barreaux et les secoua de toute la force dont il disposait en hurlant :
-Hey, les boules de poiles, j’ai faim. Apportez moi de la bouffe. Vous m’entendez ?

L’ensorceleur voyant que personne ne réagissait, se demanda donc s’il se trouvait dans une équipe réactive. Ce manque d’engagement ne fit que confirmé sa première impression : tous n’étaient encore que d’apprenties aventurier. Il posa donc sa chope de bière vide sur la table, puis décida de reprendre la discussion.
"Mon chère cousin, je ne crois pas, et encore une foie je vais me répéter, que foncer dans le tas soit une bonne chose. Il y a trop de risque que nous nous fassions capturer à notre tour, et donc il faudrait pouvoir réfléchir à une solution plus sage… Je propose donc que nous allions tout d’abord voir Kurto pour connaître on ne peut plus sa situation. Les visites doivent certainement être autorisé, et donc nous pourrions discuter avec lui, qui je vous le rappel est le principal intéressé, pour le faire sortir. Cela nous permettrait aussi de pouvoir analyser les lieux, pour une éventuelle sortie brusque de la prison. Je vous propose donc d’aller donner une petite visite de courtoisie à Kurto… Bien sur, il serait plus judicieux que nous n’y allions pas tous, car vouloir une visite à cinq ne plaira pas aux nains. Je propose donc que Luciole, moi-même et Emerlin ou Macë allions lui rendre visite. Bratak étant je pense quelque peut recherché, il resterait donc avec Macë ou Emerlin. Bien je vous attendrais donc dehors, il y a bien trop longtemps que je reste assis, j’ai besoin de me dégourdir les jambes. "

N’attendant pas les réactions de ces acolytes, l’ensorceleur décida donc de sortir. Valcor ne voulait pas n’on plus alerté le capitaine qui les avaient interpellé un moment plutôt en un trop grand départ de personne. Il récupéra donc son bâton qui était sur le flan de sa jambe droite, puis se leva, fit un signe amical de la main au capitaine, alla réglé son addition, puis sortie de l’auberge. Il prit une grande respiration, puis alla se poser en face de l’auberge tout en scrutant les environs. La fuite de Bratak avait certainement due ameuter tous les nains de Feldar, et titillé quelque peut le général nain.

Son ami lui aussi nain qui lui avait permis de rentrer dans la citadelle armé, lui avait bien conseillé de ne pas faire de dérapement, et de ne pas trop se montré aux autorités. Il lui avait aussi confié que les orques étaient avides de vengeance, et qu’ils prépareraient certainement une contre attaque des plus vicieuse.
¤Cette citée est des plus stratégique, et il ne m’étonnerais donc pas que mon ami nain est vue juste. Mais comme l’a affirmé le Capitaine Lamétoile, la forteresse est bien gardée, et il leur serait dur de forcer ces défenses… Nous allons donc devoir être vigilent, car si nous voulons absolument sortir leur amie de là, il va falloir la jouer serré. Je n’ai aucune envie de me retrouver moi aussi sous les barreaux avec ces sales orques qui y croupissent eux aussi…Pauvre Kurto, enfermé en cage avec ces sales grosses bestioles… ¤

Luciole comprenait très bien que son cousin Valcor soit réticent à l'idée d'attaquer de front. Le jeune ensorceleur n'avait jamais apprécié les combats rapprochés. Mais il trouva cependant très bonne l'idée d'aller voir Kurto pour avoir son opinion. Le barbare lui manquait et il serait plus judicieux de le mettre au courant si une action était tentée pour le délivrer. Sans attendre de réponse du nain et de l'elfe qui semblaient muaient et qui commençaient sérieusement à énerver Luciole, le guerrier se leva et se dirigea vers la porte. Puis, il fit demi-tour et s'approcha de Bratak et lui glissa à l'oreille:

-T'inquiète pas, je vais lui dire que t'es vivant et que tu va bien à Kurto. J'vais lui dire aussi qu'on a trouvé des nouveaux camarades et que Yamaël est à l'hosto' et que Morvax... D'ailleurs où il est Morvax??? Mince alors, on l'a pommé... Tu peu regarder sous les tables si tu le trouves pendant que je vais voir Kurto? Je lui donnerais toutes les idées qu'on a eues et je lui demanderais laquelle il préfère... Je lui dirais aussi que le capitaine Laine-à-voile y lit dans mon esprit... En attendant, bon courage avec nos nouveaux "copains"...

Le guerrier s'éloigna ensuite en essayant de retenir au maximum tout ce qu'il devait dire à son compagnon barbare. Il sortit devant la taverne et s'étonna du nombre de nains qui s'y trouvaient avant de se rappeler qu'ils étaient dans une citadelle naine. Le jeune homme traversa rapidement la rue et se dirigea vers Valcor d'un pas décidé.

-Bon je sais pas comment tu le sens mais moi y m'énervent les deux légumes... On devrait commencer à y aller tout les deux. Dit moi, tu penses vraiment qu'on pourra lui rendre visite à Kurto? Sinon tu peu faire diversion avec tes sorts et moi je rentre vite fait dans la prison pour lui expliquer la situation... Ou alors je fais semblant d'être soûle et je vais jusqu'à sa cellule et je lui lance un caillou entouré d'un parchemin qui lui explique... A non, y sait pas lire le pauvre... Mais tu sais valc', il est très gentil quand même.

Joignant le geste à la parole le guerrier arrêta un nain dans la rue et lui demanda le chemin de la prison. Il se dirigea ensuite dans cette direction et ne se retourna qu'une seule fois pour voir la réaction de Valcor.

-Alors tu viens ou tu restes planté là? On dirait que sa devient contagieux cette maladie du légume...

Bratak était toujours assis à la table avec le nain et l’elfe, regardant ses derniers, il se demanda lequel des deux ferait le premier geste et puis se dît qu’au pire il pourrait les obliger à se manifester.

_Dîtes messieurs, l’un de vous ne vas pas accompagner les autres, sinon si l’un de vous a un jeu de carte je connais un jeu intéressant pour ceux qui on le moyen de le pigmenter avec le contenu de leur bourse.

Il ponctua sa phrase d’un clin d’œil à l’attention de ses compagnons, puis se souvient que sa dague était toujours dans sa manche, il se décida de la ranger discrètement à son emplacement d’origine c’est-à-dire sa botte droite, une fois fait il se pencha sur la table et regarda ses compagnons fixement et attendît leur réaction.

°Eh ben, j’ai pas la forme moi je me sens mou comme une courgette en plus ses deux comparses ont l’air dans le même état que moi . . . pffff et j’ai encore un peu mal au dos à cause de mon auto-défenestration°

désolé avec les examens j'ai vraiment pas beaucoup de temps pour poster ^^

Emerlin n'avait pas bronché depuis le début, il faut dire que tout ce monde l'avait mis mal à l'aise. Il but sa bière puis se décida à prendre la parole.

"Et bien, je crois que je vais m'en aller rejoindre nos amis humains. Il me semble que je pourrais les aider à rentrer dans la prison et à délivrer le dénommé Kurto, enfin je l'espère."
Emerlin récupéra son sac et le mit sur son dos, il prit soi de ranger sa hache et son bouclier, puis remit sa pipe à la bouche. Il se rendit compte qu'il n'avait pas été très actif durant le temps passé à la taverne. Il faut dire qu'il avait rêvassé aux aventures qui s'offraient à lui et savourait déjà.

¤Arf, réussir à délivrer leur ami ne me semble guère facile, il faut espérer que nous arriverions à ruser les gardes. Au pire notre ami ensorceleur me semble plutôt douer pour baratiner.¤

"Et bien messieurs, sur ce, je vous souhaite une agréable partie. Je m'en vais rejoindre nos compagnons dans le but de les aider."

Emerlin sortit de l'auberge, il prit la direction de la prison tout en cherchant ses deux compagnons après avoir questionner quelques passants, il les rejoignit et partit avec eux.