Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

MJ

Le visage du capitaine Marteautonnerre, déjà d'un naturel rubicond, s'empourprait de plus en plus au fur et à mesure de l'intervention énergique de Kurto. Ses yeux jetaient des éclairs lorsqu'il bondit sur ses pieds, faisant voler en arrière la chaise sur laquelle il était assis. Un bruit sec de bois brisé se fit entendre précédent juste l'explosion du nain. Rouge de colère, ce dernier pointa un index raguer vers le malheureux barbare et vociféra :

- Qui es-tu pour te permettre de juger les nains de Feldarr, misérable lâche ? Où étais-tu pendant que nous nous battions ici pour arracher cette citadelle aux orques ? Sûrement dans tes langes, bercé par ta mère... Nous n'avons que faire ici de tièdes et de couards. U orque dans Feldarr ? Je n'ai jamais rien entendu de plus ridicule. Les seuls orques restant en ville sont morts ou esclaves. Ce qui pourrait bien être ton sort d'ici peu de temps. Gardes !!!! Jetez moi cet incapable dehors. Je ne veux plus le voir, lui et ceux qui prétendent être ses amis.

La porte s'ouvrit vivement alors que Kurto allait sortir et quatre nains en armures lourdes, hache à la main, bloquèrent le passage, résolus à exécuter les ordres de leur supérieur.

En ville, Luciole arriva à une auberge. Effectivement, même si les nains n'avaient pas disparu de la circulation, ils ne constituaient plus la majorité de la clientèle. Humains et demi-elfes étaient attablés, sans pour autant avoir abandonnés leurs armes ou boucliers. Cette taverne semblait servir de quartier général à la légion d'Argent.
Se faufilant jusqu'au comptoir, le guerrier humain réussit à attirer l'attention du patron. Ce dernier lui confirma d'une voix bourrue qu'il ne lui restait plus qu'une seule chambre et encore qu'il fallait se décider vite car ce n'était pas la demande qui manquait.

Avis aux nouveaux... vous pouvez intervenir depuis l'auberge où vous êtes clients

L’ensorceleur était arrivé dans la citadelle depuis maintenant une bonne semaine. Il n’avait pas revu son ami nain qui lui avait permis de rentrer dans la citadelle avec ces armes. Seul point noir pour l’ensorceleur, les nains avaient posé une condition pour sa libre circulation en ville, il avait dut leur céder son cheval. L’ensorceleur c’était donc logiquement diriger vers une auberge ou les nains n’étaient pas seul occupant, ou les humains ou autre étaient on ne peut plus présent. Valcor avait aussi réussit à avoir une chambre, mais ne contait pas s’éterniser ici. Sa soif de savoir et son envie de repartir à l’aventure l’empêchait de rester trop longtemps au même endroit et le poussait à partir explorer ce monde. Il épiait donc aujourd’hui comme tout les autres jours les nouveaux venus qui entraient dans l’auberge.
Le jeune ensorceleur se trouvait dans un des angles au fond de l’auberge dans l’ombre, sa capuche sur la tête, et tout en sirotant doucement sa tisane encore chaude il regardait et épiait les discutions qui pourraient avoir un quelconque intérêt pour lui. Ce séjour dans cette forteresse devenait de plus en plus lassant, et appart les histoires d’orcs qui se mobilisaient pour attaquer la ville, il n’y avait rien de bien intéressant à apprendre.

Ce fut au moment ou il allait retomber le née dans sa tisane, qu’il aperçut tout à coup une forme qui lui était familière et qui parlait à l’aubergiste. Valcor baissa sa capuche,…il n’en crue pas ces yeux, là dans la même auberge que lui, venait de rentrer son cousin avec qui il avait grandi et avait fait ces première aventures. L’ensorceleur n’arrivait pas à y croire, la personne qui comptait le plus à ces yeux se trouvait dans la même ville que lui.
Valcor se leva et d’un pas rapide, se précipita vers son cousin.
"Mon gros, et Luciole, c’est Valcor ton cousin, a mon cousin qu’es que tu fait ici?"
L’ensorceleur se jeta dans les bras de son cousin, avant que celui-ci n’ait comprit ce qu’il lui arrivait.
"A mon gros Luciole, mon chère cousin, qu’elle surprise de te voir ici. Moi qui allais repartir pour Sundabar ou nous nous étions donner rendez-vous pour nous retrouver. Qu’es que tu fait par ici dans cette forteresse de sous homme ? Alala qu’elle plaisir de te revoir chère cousin…Mais vient donc t’asseoir à ma table que l’on puisse parler tout deux…a mon gros Luciole qu’elle plaisir de te revoir. Messire aubergiste, s’il vous plait, pourriez-vous apporter une choppe de bière bien fraîche à ma table pour ce chère monsieur ?"

Valcor entraîna son cousin avec lui à sa table ou il fit s’asseoir à ces côtés. L’ensorceleur était des plus heureux, il avait retrouvé son cousin, son compagnon d’arme, celui qui était tout à ces yeux.

Cette auberge paraissait bien comme on avait indiqué au jeune guerrier un endroit ou les gens venant de la légion d’Argent se retrouvaient. Un peut plus de gens à sa auteur fit redonner le sourire au guerrier, mais comme venait de lui dire l’aubergiste, il y avait beaucoup de monde. Luciole allait répondre à l’aubergiste, quand un homme à la voie familière l’interpella, le guerrier eut juste le temps de se retourner pour voir un homme se jeter dans ce bras. Il allait le repousser quand l’homme s’annonça en étant Valcor.
-A mon Valcorounet à moi toi ici ? Et le guerrier serra de plus bel son cousin dans ces bras.
-J’allais te dire la même chose cousin. Bah je suis en mission par ici avec mes compagnons.

Luciole suivit son cousin jusqu’à sa table, bien sur toujours quelque peut écarter, son cousin n’avait pas perdu ces habitudes méfiantes et observatrices. Le guerrier afficha un large sourire, puis s’assit sur la chaise à côté de son cousin à sa droite, comme au bon vieux temps, le reste des personnes de l’auberge devant eux.
L’étonnement de Luciole de voir son cousin ici lui avait redonné toute son énergie et il resserra son cousin dans ces bras, puis desserra son étreinte se rappelant que son cousin pouvait faire sortir de jolies lueurs de ces mains qui faisaient mal.
-Bah si je m’attendais à te voir ici. Je t’attendais à Sundabar, mais voyant que tu ne rentrais pas, je me suis engagé avec mes compagnons actuels pour une quête. Mais malheureusement on n’est plus beaucoup, on a subit des pertes. Notre ensorceleur est mal en point et le petit bonhomme que tu voies la qui nous a suivit se nomme Morvax, mais j’ai l’impression qu’il va en a plus beaucoup de temps à crever, il a du attraper un virus ou quelque chose comme ça car il parle plus, il suit sans rien dire…Enfin sa fait plaisir de te revoir haha. Et toi tu fais quoi dans cette forteresse de gnome ? Tu n’étais pas partie avec une caravane ?...Et au faite si tu as rien à faire tu pourrais peut-être venir avec nous ? Car si on trouve un peux de renforts ça serait pas mal, car faut qu’on aille chercher une sataner allumette…eu non amulette plutôt et on est plus que trois…d’ailleurs faudrait que j’aille les chercher ces deux là…toujours à partir n’importe ou ces deux là, si je suis pas là il font n’importe quoi…Et mais tu as tes armes toi? Nous ont nous les as gardé...A et ta une épée maintenant toi?

Emerlin était dans cette auberge depuis une vingtaine de minutes, il surveillait les allées et venues dans l'espoir de trouver des compagnons de route, si possible des nains. Mais il y en avait très peu et ceux qui étaient présent ne lui inspiraient pas plus confiance qu'un orque ne l'aurait fait. Emerlin semblait on ne plus méfiant envers les clients de l'auberge, la pluapart d'entres eux avaient une bonne tête de marauds. Il ne se passait pas deux minutes sans qu'il vérifie son équipement. Puis, il avait surpris la conversation de deux humains qui était assis à une table voisine de la sienne, bien qu'elle fut tout de même assez éloignée. Ils parlaient d'une quête, et cela l'intéressait au plus au point. Tout en les écoutants, il buvait sa bière et fumait parfois un peu de sa pipe bourrée de bonne herbe naine.
¤Ha, enfin quelque chose qui me semble intéressant: une aventure, des compagnons. Que demandé de plus? Rien. Reste à savoir si il m'accepterait. Je m'en vais leur demander.¤
Emerlin scruta une dernière fois la porte d'entrée pour voir si il n'y avait pas de nouveaux. Il se leva et finit sa bière en même temps. Puis, il alla vers les deux humains reboura sa pipe. Il aborda les deux compagnons.
- Bien le bonjour, amis aventuriers! Puis-je vous payer à boire?
Emerlin appela l'aubergiste pour qu'il resserve les deux humains
-Avant toute chose, je me présente. Je me nomme Emerlin, du clan Fièrehache, et je viens des montagnes fumantes. Je vous ai entendu parler, et je vous demande de m'excuser pour ce fait. Il n'y avait aucune mauvaise intention, juste de la curiosité. Et il se trouve que je cherche des compagnons pour partir à l'aventure et je vous ai entendu parler d'une quête. J’aimerais donc savoir si ma compagnie serait de bon augure?

Kurto était au comble de l’énervement. Comment un nain pouvait être aussi borné.
Il fit volte face et s’approcha du capitaine Marteautonnerre en roulant des épaules.
- Tu ferais mieux de sortir d’ici si tu ne veux pas finir en prison dit-il à Bratak tous en continuant à avancer vers le capitaine rouge de colère.
Arrivé à un pas, il s’arrêta et planta son regard dans celui du nain. Le barbare inspira profondément et fit glisser ses bras le long du corps. Il reprit d’un ton calme mais glacial les mâchoires crispées et les poings serrés, à l’attention du capitaine cette fois.

-Ridicule, dit-tu. Moi, je dirais inquiétant. Je ne suis pas stratège militaire bien au contraire, mais je sais que si il y à la moindre chance pour qu’il y ait un orque libre dans Feldarr, je m’inquièterais. Toujours est-il qu’un nain nous à demander d’en trouver un.
Maintenant, si tu penses que je suis un lâche, je peux me battre avec n’importe lequel de tes chers amis si présent montrant les grades en donnant un coup de tête dans leur direction.
- Et pour information, je ne me permet pas de juger les nains de Feldarr mais je t'ai poussé un peu pour que tu puisse enfin sortir de ton idée fixe de défense extérieur de la ville alors qu'il y a un risque à l'intérieur.

Kurto était de plus en plus énerver, mais avec le nombre de gardes il était improbable qu’il s’en sorte, était-ce pour ça qu’il demanda à Bratak de quitter les lieux ? Bratak jeta un coup d’œil à travers la pièce, la seule issue était la porte par laquelle il était entrée malheureusement les gardes y étaient et n’avaient sûrement pas l’attention de le laisser partir aussi facilement, donc il fallait trouver autres choses, la diplomatie. . . On pouvait laisser tomber, restait le plan C celui qui vient après le A et le B quand aucun des deux ne fonctionne, il s’agit du plan improvisation suicidaire. Bratak regarda la fenêtre la plus proche et tenta de se remémorer s’il avait pris des escaliers pour monter, ne s’en souvenant plus il se dit qu’au pire il étaient au premier étage et puis c’était le plan C après tout. Il se tourna vers Kurto gagnant toujours du volume avec la colère et lui chuchota :

_Débrouilles toi pour te faire arrêter en vie, je reviendrais te chercher à la prison, c’est une promesse sur mon honneur de voleur, alors ne meurt pas.

Sa phrase terminer, Bratak se rua vers la fenêtre et se défenestra, Au moment du saut Bratak regarda le possible vide devant lui et se dît q’un roulé-boulé à l’atterrissage lui permettrait de ne pas se briser tous les os au sol. Une fois fait Bratak coura à travers les rues de la ville à la recherche d’un coin sombre où reprendre son souffle, il rabattît sa capuche sur sa tête et se prépara à allez à la recherche de Luciole.

compétences :
saut, acrobaties pour le roulé-boulé

course pour la fuite

discrétion et déplacement silencieux à la fin

Macë ne trouvant plus de quoi survivre dans la forêt qui avoisinait la citadelle s'était réfugié dans celle-ci, ayant réussit à rentrer par on ne sait quel subterfuge, il errât de-ci de-là, à la recherche d'une auberge où il y aurait, si cela était possible, guère de ces foutu nains à l'horizon!

Il finit par trouver. S'étant attablé au centre de la pièce, il sirota sans abus, afin de tenir les jours entiers, afin d'entendre quiconque prononcer le mot quête, ou quelque chose si rapportant. Quelques jours passèrent.

Il est vrai qu'en dehors de l'auberge, un certain remue-ménage régnait, mais les nains ne lui inspirant pas confiance, il ne prit même pas la peine de sortir pour voir ce qui s'y passait. Enfin, après avoir constaté que plusieurs mercenaires s'étaient donnés rendez-vous en ces lieux! Deux aventuriers, l'un discret et l'autre assez énervé, d'après moi, entrèrent. Ils cherchaient une chambre expliqua l'un deux. Mais celui-ci n'ayant quasiment pas finit sa conversation, fut interrompu par un autre aussi énervé, si ce n'est plus que lui. Comment ne pas s'intéressait à ce qui allez ce passer.
De là où était Macë, il écoutât donc le récit. Ceux-ci était cousin! l'un d'eux errait, tandis que l'autre était en mission. "Mission", Macê à ces mots, se réveillât de la semi-transe dans laquelle il s'était plongé depuis son arrivé. Voilà enfin quelques aventuriers dont les paroles ne sont pas folies avec quelques libertines, ou bagarres de gueule saoul!
Macë s'était même levé sans s'en rendre compte, en effectuant dans le même élan un fracas du diable avec sa table et sa chaise! Tous se retournèrent vers lui! Il en profita donc pour faire son entrée dans la discussion.

-Voilà, mes nobles, que se que vous vous dîtes m'intéresse. Une quête, un périple, des bagarres ou d'autre fresques de ce genre m'intéresse. Certes pour un Elfe que je suis, je suis encore jeune, mais mon envie ¤surtout de ne plus me faire chier, mon envie¤ de bien faire, j'en suis sûr pourrait vous aider, je l'espère.

-Surtout que de toi, dit Macë en se tournant vers Valcor' je te connaî, ou plutôt j'ai déjà entendu parler de toi! tu es, certes un habitué des tavernes, mais je sais que tes fresques sont mémorables. Tu as l'air valeureux. Et si cette autre personne qui désormais t'accompagne est ton cousin d'après ce que j'ai entendu, ce que vous préparez m'intéresse. je veux en être!! Alors si vous voulez bien de moi, mais chers nouveaux compagnons, alors je vous suivrai, et je vous aiderai du mieux que je le peux, afin de servir la cause pour laquelle, et quel quel soit, nous nous battrons!

Sur ces mots, Macë restant debout à coté de la table, attendait une réponse de leur part.

Fichier joint ( Nombre de téléchargements: 96 )
 fiche_perso..doc

le mot «prison » résonna dans la tête du jeune barbare comme un coup de tonnerre. Il devint blanc comme un mort. Lui qui avait toujours vécu à l’extérieur, allait finir ces jours dans une cellule sans lumière.
¤ Ton compte est bon mon vieux.¤
Complètement anéantie par l’idée, Kurto tomba à genoux au moment ou Bratak passait par la fenêtre. Dans son malheur, il se demanda si il ne valait pas mieux finir une arme à la main et eut encor plus de désillusion en se rappelant que son épée était restée à l’entrée de la citadelle.
¤ Comment ai-je pus être plus borner que lui ? Et comment vais-je me sortir de là ?¤
Décidant de courber l’échine et de reprendre sa place d’humain dans la citadelle naine, il baissa la tête et posa un poing à terre. Il s’adressa alors au capitaine avec le respect dû à son rang.
- Monseigneur, veuillez excuser mes actes. Le voyage m’a exténué et je me rends compte maintenant que j’ai été ignoble et complètement fou de vous parler comme je l’ai fait.
Il réalisa alors qu’aucune excuse ne saurait racheter la faute qu’il avait commis.
Et il sut que rien de l’empêcherait d’aller en prison. En deux secondes, toutes les conversations lui revinrent en mémoire et surtout les paroles du capitaine « les orcs dans la citadelle sont soient mort soient esclave ». Ayant un éclair de génie, il reprit.
- Sire, les orcs esclaves dans vos murs sont une menasse si il y a une chance pour qu’ils se révoltent même si je sais que les gardes ne sont pas des enfants et qu’ils sauront se défendre. Mais imaginons qu’ils puissent communiquer avec l’extérieur et qu’ils mènent la révolte au moment d’une attaque d'Obould. Comme de toute façon je vais finir en prison, autant que je me renseigne auprès des orcs pour voir si rien ne se trame de se genre.
¤ et accessoirement trouver ce Klohrm .¤
Kurto attendit qu’on l’emmène dans son nouveau logie.

A peine Luciole eut le temps de finir sa phrase qu’un nain pas plus au que trois pomme...oui venant d’un nain cela était logique vient leur proposer un verre. Puis ensuite vient un homme recouvert d’une capuche et ensuite voilà qu’un elfe si mettait. Le guerrier qui dix secondes plutôt parlait à son cousin, eut tout à coup le cerveau totalement embrumé par les propos de tout le monde.
-Bon bon, bonjour à tous…J’ai crue comprendre que vous désirez suivre une quête est cela ? Pour commencer je ne vous connaîs point, ensuite je ne suis pas seul. Deux de mes compagnons m’on suivit…enfin non voilà Morvax mon compagnon Barde, mais qui ne parle plus et parait dans les ténèbres depuis notre entrée dans cette citadelle. Je me nomme Luciole, et je suis bien en mission comme vous l’avez fait remarqué. Je vous présente Vacor’Darche mon cousin, nous venons juste de nous retrouver, et donc avant de parler de quête ou de quoi que ce soit, venez dont poser vos corps autour de notre table qu’on puisse parler, pour déjà faire connaissance…Bien sur avec la permission de mon chère Valcor.

Le guerrier, n’aimait pas prendre les initiatives et comme avec Bratak et Kurto, il préférait que les décisions viennent de quelqu’un d’autre. Déjà tout jeune, c’était Valcor qui menait leur petit groupe, même si bien sur il avait eut aussi son mot à dire.
Puis Luciole eut soudain un surcot. Où était donc passer ces deux compagnons qui m’étaient un temps fou à ne faire qu’un simple rapport…Le jeune guerrier se tourna légèrement vers son cousin, sachant bien qu’in ne leur suffisait qu’un regard à tout deux pour se comprendre et savoir que tout n’allait pas bien. Il attendit donc la réaction de son cousin.

A ces mots, Macë prit dans la pièce, les chaises qu'il fallait afin que les aventuriers présent lors de la discussion puisses s'asseoir. Il s'assit donc à la tablée, regarda le tour de la table, et prit la parole.

-Excusez-moi, mais à l'entente du mot aventure, mon sang n'a fait qu'un tour. Je suis là depuis plusieurs jours, et je n'attendais que ça, enfin que vous pour démarrer une aventure.

-Alors déjà, je me présente, je m'appelle Macë, Macë Ripyanë, qui signifie pattes griffues dans ma langue! comme vous avez put le remarquer, je suis un elfe, un elfe sauvage. Mon maître m'a enseigné les rudiments de vos us et coutumes. Je me sens donc à l'aise avec vous, bien que cela ne fait que quelque minutes que nous nous parlons. Pour l'instant, je n'ai aucun but dans la vie. Mais je suis à la recherche d'une cause honorable.

-Voyant que vous vous connaissez, et à l'entente de votre nom, maître Valcor', je me suis permis de vous interrompre, afin de me présenter, et de vous demandez si d'aide vous avez besoin. Ayant déjà entendu moult chose à ton sujet. Tu es comme on peut dire, déjà une idole pour moi. ¤Macë se tourne vers Luciole¤ toi, ayant également entendu que tu étais le cousin de Valcor', je ne te connais pas, mais je te respecte déjà, je vois que tu es fidèle à tes compagnons, ce qui est très honorable, si tu veux, je reste là avec ton cousin, à les attendre! Toi, vas voir après eux, si ils arrivent, je leur dirai que tu es parti voir après eux, et que si tu ne les trouve pas, tu reviendras ici. Restant avec ton cousin ici! j'espère que tu me fais confiance. Écoutons ce que les autres aventuriers ont a dire, et après pars à la recherche de tes compagnons, sans craintes, si ceux-ci arrivent, je les ferai patienter, en attendant ton retour.

Ayant terminé ce qu'il avait à dire, Macë se tut afin d'écouter ce que les autres aventuriers avaient à dire. Il espérait avoir fait bonne impression auprès de Luciole, malgré sa façon impolie de les avoir interrompu, et également à Valcor', qui, lui ayant fait toutes les louanges qu'il pouvait, espérait également avoir fait bonne impression.