Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

Bratak suivait ses compagnons aussi silencieux que la mort en personne, même les plaisanteries de Luciole ne l’atteignait plus, il se sentait mal à l’aise, il s’agissait là d’un sentiment qui lui était familier, celui de la forte proximité des responsables de l’ordre, les gardes eux-mêmes.

°J’ai un mauvais pressentiment mais de quoi s’agit-il °

Lorsque Kurto décida de séparer le groupe, Bratak sortît de son mutisme pour lui souffler à l’oreille son opinion :

_Ce n’est pas que je mette en doute tes capacités physiques, mais je préfère t’accompagner pour surveiller tes arrières, après tout je suis le seul d’entre nous encore armé et je n’ai pas trop envie de devoir supporter l’humour de Luciole tout seul je risquerais de l’étrangler après la deuxième phrase qu’il prononcerait. . .

Son opinion énoncé, Bratak resta toujours en retrait de Kurto pour attendre la décision du chef de groupe quasi autoproclamer, Bratak jeta un coup d’œil à la porte dès plus massive qui se dressait devant lui et se dit que s’il devait fuir avec Kurto en cas de pépin se serait pas par là qu’il aurait le plus de chance.

°D’après ce que je connais des nains, ce sont des adeptes des souterrains donc il devrait y avoir une sortie de secours, maintenant reste à savoir si je serais capable de la trouver . . . Pourquoi faut toujours que je pense au pire des scénarios à chaque fois . . . je me demandes s’il vont vraiment soigner l’halfelin ? Sans lui la répartition du butin qu’on a amassé est plus appréciable°

Le guerrier réfléchie quelque peut et devient sérieux un moment. C’est vraie que ces membres étaient quelques peut endolorie par le manque de repos, mais Kurto avait raison, il fallait aller voir le dirigeant de la ville. L’idée de Kurto de se séparer était une bonne idée, et Luciole ne pensait pas que leurs vie étaient en danger dans cette ville, ou il seraient déjà tous mort.
-Oui Kurto, je suis d’accord avec tes propos, je pense qu’il est plus sage d’aller voir le dirigeant de cette ville. Et puis moi je ne connais pas le grand Hannibal Caliban. Je vous propose donc d’y aller tous les deux, pendant que moi je fais un tour des environs pour nous trouver une auberge ou notre présence ne gainera pas trop. De toute façon je ne pense pas que nos jours soit en danger par ici, car s’ils auraient voulues nous tuer, nous serions déjà mort. Bon alors nous faisons comme ça. Et puis, en voyant la grande envie de Bratak de rester seul en ma compagnie, j’irais donc trouver une auberge seule. Et puis de toute façon, je pense être plus approprié à nous trouver un logis que Bratak qui risque de nous emmener chez des brigands…

Luciole afficha un grand sourire, puis sans attendre la réponse de ces compagnons, partie chercher une auberge, et explorer les environs. Il se retourna juste tout en continuant à marcher pour adresser une dernière parle à ces compagnons.
-A oui j’allais oublier, on se retrouve ici dans environs une heure, je pense que ce sera suffisant. A tout de suite mes amies, et soyez néant moins prudent.

Puis le guerrier se retourna et partie chercher leurs prochain lieu de repos. Il était ravie de lui car il adorait jouer au chef, n’ayant jamais vraiment pue le faire dans ces première aventures, son cousin Valcor étant plus intelligent que lui. Luciole ne voyait que des nains de partout, et bombait le buste se sentant une aire de supériorité lui souffler dans le corps. Mais il savait pertinemment que tout ces petits aître étaient d’une farouche puissance et de valeureux combattants.

MJ

Encore inquiets d'avoir du laisser leur camarade, allongé sur sa civière, à la première porte, les aventuriers étaient désireux de brusquer un peu les choses pour pouvoir vaquer à leurs occupations. Marchant rapidement dans les rues, ils devaient fréquemment s'écarter pour laisser passer un contingents de guerriers nains, lourdement armés, avançant rapidement sans se préoccuper de savoir qui se trouvait sur leur chemin. La majorité de la population de Feldarr était d'ailleurs issue de cette race. Tout dans leur attitude trahissait un état de guerre, depuis les armures cabossées jusqu'aux regards déterminés. Rares étaient les humains présents et encore plus rares étaient ceux qui arboraient une arme. Le droit de se défendre semblait être réservé presque exclusivement aux nains. Les haches d'armes et autres marteaux de guerre apparents ajoutaient au sentiment de malaise et de vulnérabilité qu'éprouvait le petit groupe d'aventuriers.
Laissant Luciole qui préférait errer un peu parmi la foule pour s'imprégner de l'ambiance de la citadelle, Kurto et Bratak se mirent à la recherche du capitaine de la garde. Fort heureusement, le sieur Marteautonnerre semblait connu comme le loup blanc. Malgré l'éternelle animosité des nains envers les autres races, les barbus interrogés leurs indiquèrent une bâtisse massive qui paraissait pouvoir supporter un siège à elle seule.
Il furent conduit dans une petite salle enfumée autant par le mauvais tirage de la cheminée que par les volutes du tabac de pipe. Un nain à la barbe imposante était assis derrière un bureau, un pli soucieux sur le front. Il tétait avec application une pipe d'où s'échappait une odeur âcre, irritant les poumons, tandis qu'il consultait les dossiers amoncelés devant lui. Luttant pour ne pas tousser, Kurto et Bratak restèrent un moment silencieux, observant le chef de la garde de la citadelle. Ce dernier mit quelques secondes à s'apercevoir de la présence des deux intrus. Levant lentement la tête, il souffla un nuage noir par les narines avant de les interpeller d'une voix rocailleuse :

- Alors, vous êtes envoyés par la Compagnie des Marches. Et bien, il est temps qu'ils viennent nous donner un coup de main ceux-là... Où étiez-vous quand nous avons repris la forteresse aux orques ? Encore une fois, il faut que les nains fassent tout le travail. Attention, nous ne serons pas toujours là, partout, pour vous sauver la mise face aux peaux-vertes. Mais passons. Quelles nouvelles venez-vous me transmettre ? Combien de guerriers la Compagnie met-elle à notre disposition pour refouler ce bâtard d'Obould ?

De son côté, Luciole traînait Morvax dans les rues étroites et animées, évitant plusieurs fois au gnome de se faire bousculer par un passant un peu pressé. Le guerrier humain dut se baisser vivement, en passant devant une auberge, pour éviter une chope de bière qui, après avoir fracasser une fenêtre, semblait vouloir faire subir un sort identique à son crâne. Dans la seconde suivante, il dut faire un écart pour éviter une boule de poil et de ferraille suivant le même chemin. Rugissant un flot d'insultes, le nain se releva et entra de nouveau dans le bâtiment d'où s'échappaient des bruits significatifs de bagarre. Regardant son compagnon encore bien chétif, Luciole résista à l'envi de se joindre aux festivités et poursuivit son chemin, non sans noter le nom de l'établissement, "Les tripes du gobelours", en se promettant d'y retourner plus tard. Contrairement aux villes auxquelles il était habitué, peu de personnes du sexe féminin proposaient leurs services, et encore, souvent, il était fort difficile de différencier un homme d'une femme chez les nains, ces dernières prenant un malin plaisir à nouer leurs longs cheveux sur leur poitrine, imitant en cela la barbes de leurs compagnons mâles. La même armure de plate et le port d'armes de guerre par les deux sexes ajoutaient encore à la difficulté.

Le guerrier commençait à se plaire dans cette forteresse ou on ne pouvait manquer de s’ennuyer. L’adrénaline d'une bonne baston commençait à lui monter à la tête, et un frison de légère euphorie lui parcourue tout le corps, mais il se contrôla et reprit sa marche tout en faisant attention à ne pas perdre Morvax, qui n’avait pas l’aire de se sentir dans son assiette depuis qu’ils étaient arrivés à la forteresse. Le guerrier voulait trouver un endroit un peux plus paisible que "Les tripes du gobelours", même si l’endroit lui avait beaucoup plus, mais il fallait que le groupe se repose, et pour cela il fallait trouver un endroit plus calme.
Le guerrier réfléchissa quelque peut, ce qui ne lui arrivait pas souvent d’ailleurs, et il se dit qu’il y avait certainement un endroit, une auberge ou le peut d’humains qui avaient l’aire d’être présent dans cette forteresse se retrouvaient, se logeaient, ou quelque chose comme ça ou les nains étaient un peut moins présent. Il se mit donc en recherche d’une auberge ou leur présence dérangerait moins que les autres.
-Bon Morvax, il faut qu’on recherche un endroit ou les hommes sont on ne peut plus nombreux si tu vois ce que je veux dire. Donc si tu voies un endroit qui te parais adéquat, fait moi signe.

Luciole avait l’impression de parler dans le vide, et cela ne lui plaisait pas. Que pouvait bien avoir Morvax ?
¤Morvax ne parle plus, qu’es qui arrive encore ? Il est malade, ou alors il a un gros chat dans la gorge et il ne peut plus parler…Bon concentrons nous pour trouver un endroit ou nous pourrons nous reposer, nous verrons tout cela après. ¤

Luciole ne pus néant moins s’empêcher de penser au jeux qu’il affectionnait tellement et qui se jouait à deux : le je te tient par la barbichette. Avec tout ces nains et leur grande barbe, le jeux serait certainement très amusant. Puis une idée vient à l’idée de Luciole. Pourquoi ne pas demander à un nain de lui indiquer si un endroit comme il recherchait existait ?
Il décida donc d’arrêter un nain pour le questionner.
-Hep messire nain, s’il vous plait, auriez vous l’amabilité de me dire s’il y aurait une auberge ou les gens de mon espèce serait on ne peut plus en nombre ? Ou quelque chose comme cela ? Ou alors pourriez-vous plutôt m’indiquer une auberge ou ma présence ne dérangera point s’il vous plait ?
A et si vous voulez, je pourrais vous apprendre un jeux des plus divertissant…

Kurto écouta le discourt du capitaine avec le plus grand sérieux. Les griefs des nains de Feldarr étaient on ne peu plus normal après la façon dont la compagnie avait laissé les nains reprendre la cité. Le barbare se senti comme pris en faute comme si les événements passés étaient de sa faute. Il se rappela alors de l’histoire et des agissements de la compagnie dans la région.
Soulagé, il repris de l’assurance et se redressa face au nain qui l’avait ébranlé. Tous les nains de la citadelle étaient des nains d'Arragrath ou presque. Et donc, la solidarité entre eux et les nains de la phalange du molosse ne faisait aucun doute. Le plus important était de ne pas tomber dans le piége tendu volontairement plus ou moins par le capitaine et lui assurer qu’en cas de besoin la compagnie serait disponible pour la cité.
- Messire nain, je connais l’histoire de votre cité et je sais que les choses ne se sont pas passées comme cela aurait dut. Cependant, même si je ne vous apporte pas de renfort comme vous le souhaitez, vous savez que la patrouille de Sir Frolamin Dagarkin serait ici si le moindre danger se faisait sentir. Je suis présent ici devant vous, officiellement, pour vous informer de la présence d’une petite troupe d’orque à trois jours d’ici sur la route en direction de Sundabar.
le Barbare se tourna vers Bratak et lui jeta un regard scrutateur.

¤J’espère que je ne me trompe pas sur ton compte. Malgré tes penchants cleptomanes et sanguinaires, je te fais confiance. ¤
Revenant sur le nain, Kurto se rapprocha de lui et repris un ton plus bas comme si les murs avaient des oreilles.

- Réellement, un nain, avec un fort accent qui roulait les R, nous a engagé mes compagnons et moi-même pour retrouver une amulette.
Le barbare rapporta les instructions de leur commanditaire ,en en donnant une description physique aussi précise que possible, et son entretien avec l’aubergiste après le départ du nain.
- En bref, je suis là pour tirer cette histoire au claire et récupérer cette amulette pour éviter qu’elle ne tombe entre les mains de personne qui pourrait en faire un mauvais usage. Car je n’ai pas l’intention de la donner à l’autre étrange personnage.

Donnant un coup d’oeil au roublard pour voir sa réaction à la révélation, Kurto croisa les bras et attendit que le capitaine réagisse.

Le roublard écoutait se qui se passait sans même intervenir car il était trop occupé à scruter les ombres, même s’il pensait que les nains étaient de mauvais assassins à cause de leur manque flagrant de discrétion il n’en était pas moins quelques exceptions à la règle. Bratak fût finalement tiré de sa transe par Kurto qui lui fît une révélation sur ses intentions, une révélation qui l’étonna.

°Eh ben . . . j’y crois pas, notre barbare commence à penser comme moi, je dois vraiment avoir une mauvaise influence sur ce groupe, quoique lui c’est pour éviter qu’elle ne tombe entre de mauvaise main, moi c’est plutôt pour disons. . . pour mon usage personnel°

Bratak se rapprocha de Kurto et lui chuchota :

_Crois tu que je fasse partis des personnes dont les mains pourraient faire un mauvais usage de cet objet ? C’est juste au cas où je suis le premier à toucher l’objet car je ne tiens pas à se que tu m’étripe juste à ce moment là. Tiens d’ailleurs sa me fait penser qu’on a des pierres précieuses à vendre et un maigre butin en pièces à partager, quel dommage que Luciole ne soit pas là pour pouvoir partager avec lui hein ?

Bratak termina son allocution par un sourire narquois, ensuite il recula pour se remettre à sa place d’origine et recommença à scruter les ombres car c’est à un moment de relâchement d’attention qu’un éventuel ennemi frapperait.

MJ

Le capitaine Marteautonnerre écoutait avec attention les paroles de Kurto. Il eut juste une grimace de dépit lorsqu'il eut l'assurance qu'aucun renfort n'accompagnait les aventuriers. Il balaya d'un geste dédaigneux la nouvelle concernant la petite troupe d'orques au sud de Feldarr. Se calant en arrière sur sa chaise, il sembla réfléchir un instant, puis, posant les mains à plat sur la table, il regarda le barbare dans les yeux :

- Bon, des orques au sud, ce n'est pas trop grave... J'espérais un moment que vous alliez m'en dire plus sur la menace principale. Que fait l'armée d'Obould ? Je me disais bien que les promesses de la Compagnie des Marches n'étaient pas crédibles... Heureusement que Jandar et ses chevaliers d'Argent sont venus, eux... C'est quoi cette histoire de nain qui roule les r... Et qui vous aurait engagé ? Pour faire quoi en plus ? C'est quoi cette histoire d'amulette ?

Le nain semblait commencer à s'impatienter un peu. Visiblement, il ne prenait pas au sérieux Kurto et Bratak et leur en voulait de lui faire perdre son temps.

En ville, Luciole cherchait une auberge plus conforme à une vision plus reposante de la vie. Il se fit indiquer une auberge où étaient descendus les officiers de la légion d'Argent mais sans garanti aucune d'y trouver de la place tant la forteresse avait souffert des combats encore récents. Remerciant son interlocuteur, le guerrier poursuivit sa marche se demandant ce que faisait les deux autres.

plus le capitaine posait de question plus kurto comprenait qu'il n'avait pas suivi un seul mot de l'explication qu'il avait donné de sa presence à Feldarr. Le barbare était sur les nerfs. Il pris une inspiration pour essayer de se calmer, sans succès. Il avança vers le bureau et posa ses grosses mains avec force. Son sang commença à affluer à ses tempes. Heureusement pour ledit bureau que Kurto n’avait pas sa lame car sinon il aurait risqué d’avoir une belle entaille. Il planta ses yeux injectés de sang dans ceux du nain et lui hurla à la face prêt à l’étranger et sans la moindre retenu face au grade et à l'importance hierarchique du capitaine.
-Je te parle de l’amulette de Xanthen , bougre d’âne. Tu trouves normal qu’un NAIN me demande de trouver UN ORC dans Feldarr.
Un ORC nommé Klohrm qu’il pretend avoir pour AMI. Et qu’il nous paye une somme astronomique pour CA. MOI JE DIT QUE C’EST PLUS QUE LOUCHE. ponctuant chaque phrase par un coup de poing sur le bureau.

Dans un sursaut de lucidité, il regarda vers le roublard.
- bon, on se casse, pas moyen de parler avec cette tête de mule.
Donnant un énorme coup de botte, le barbare se tourna et pris la direction de la porte. Tournant la tête vers le nain ET SI TU VEUX DES RENFORTS. DEMANDE LES OFFICIELLEMENT A SUNDABAR A LA PLACE DE RESTER LE CUL SUR TA CHAISE.
Si une demande avait été faite, il n'en savait rien et il n'en avait rien à faire. il roula les épaules et il avança vers la porte d’un pas lourd prêt à enfoncer la porte d’un coup de pied sans chercher a savoir si elle s’ouvrirait sur des gardes ou sur du vide.

le barbare imprevisible est de retour lol

Voyant le barbare s’énerver à nouveau, Bratak en eût des frissons dans le dos car quand on voyait se que sa donnait sur un champ de bataille avec son épée on osait à peine imaginé se ramassé une droite de sa part à ce moment là.

°Comment c’est possible d’avoir une force pareille ? Est-il vraiment humain je me le demande de temps en temps? °

Kurto décida de quitter la salle et cela même s’il fallait exterminer la moitié des gardes qui se mettrait sur son passage, il regarda Bratak et lui dît qu’il s’en allait, sur ce il lui répondît.

_De toute façon tu as raison, c’est déjà trop louche pour ne rien cacher, mais si en plus les autorités si mettent on est pas sortît de l’auberge.

Bratak suivît Kurto se tenant prêt à dégainer sa dague au moindre geste offensif de la part des gardes. Bratak regarda encore une fois le capitaine et se dît qu’avec la force de Kurto le bureau aurait été vachement endommagé, dommage car notre roublard aurait pu en retiré une bonne somme comme butin de cambriolage.

_Ah oui capitaine, nous aimerions quand même récupéré nos affaires si possible car si nous n’avons rien à craindre de vos gardes il n’en est pas de même avec les autres personnes de cette cité, je parle surtout des habitants des réseaux souterrains si vous comprenez à qui je fait allusions.

Le guerrier se dirigea donc vers l’auberge que lui avait indiqué le nain. Malgré la voie grâce du nain dans sa barbe, Luciole avait quand même pue noter l’emplacement de l’auberge. Mai tout en se dirigeant vers l’auberge, Luciole repensa à ces amis, et dans un surcot de réflexion se dit que leur soit disant rapport qu’ils devaient faire au commandeur de la forteresse était assez longue. Le guerrier faillit retourner voir ce que ces deux compagnons faisaient, mais rien quand s’imaginant le sors que Kurto lui réserverait s’il revenait en leur disant qu’il n’avait pas trouvé d’endroit ou ils pourraient se reposer, le guerrier effaça vite cette pensé de son esprit.
¤Je retournerais les voir quand j’aurais trouver un endroit ou nous pourrons au moins boire un cou et se détendre quelques heure. J’espère en tout cas que leur rapport c’est bien passé…¤

-Bon allé Morvax, allons voir cette auberge que ce nain nous a indiqué. Je ne sais pas toi, mais j’ai une soudaine envie d’aller boire une bière bien fraîche, quoi qu’en y réfléchissant, cette idée n’est pas soudaine, vue que je pense toujours à boire une bonne bière fraîche…

C’est encore dans avec cette idée de soudaineté que le guerrier alla vers l’auberge que le nain lui avait indiqué. Il espérait qu’il y aurait encore de la place, sans quoi Kurto ne serait certainement pas content du tout. Il regarda le petit Morvax qui marchait à ces côtés et qui depuis qu’ils avaient battues les orcs, enfin que Kurto avait tué les orcs, ne parlait plus et se contentait de suivre sans dire un mot. La scène du massacre avait certainement bouleversé Morvax, et choqué.
¤Oui bizarre cette réaction de Morvax, même inquiétante…Bon on en parlera plus tard. Pour l’instant allons voir cette fameuse auberge. Et puis bah s’il y a plus de place bah je vais devoir aller retrouver mes compagnons sans endroit ou aller ensuite pour se reposer…Glups Kurto…¤