Quartier Marchand-Taverne de L'Albion chromatique, Recrutement - L'amulette de Xanthen

MJ



Voila quelques jour que ceux qui se baladaient dans la belle cité de Sundabar avaient put entendre parler d'un homme plutôt riche mais assez bizarre, qui semblait rechercher un groupe d'aventurier pour partir à la recherche d'un objet pour lui. Des affiches avaient été placardées un peu partout, la récompense à la clé semblait bien alléchante.
En ce baladant dans les rues de Sundabar, on ne pouvait rater les affiches :

Voila maintenant une semaine que cette affiche a été posée, sans avoir été touché, mais voila deux jour, un message y a été ajouté.

la taverne de l'Albion chromatique ne semblait pas bondé en ce jour, au fond, on pouvait y voir un nain, accoutré d'une façon sans doute élégante pour lui, mais plutôt ridicule pour les autres, il respirait pourtant la richesse à plein nez. A sa table, seul, un air ronchon sur le visage, il buvait une choppe, tout en lisant des papiers posés devant lui.
A part le nain, le tavernier et sa femme, la salle était quasiment vide, seul deux soûlards étaient en train de se finir correctement dans un coin.

Cela faisait une semaine que Bratak avait rejoint Sundabar, encore aujourd’hui il ne sait pourquoi ses pas l’avaient menés jusqu’ici mais les choses étaient ainsi depuis qu’il voyageait comme un loup solitaire à travers les royaumes, cependant lors de son séjour son attention fut attirer par une affiche des plus prometteuse selon lui (sûrement la présence des mots « prime conséquente » sait on jamais ?) voilà la raison pour laquelle Bratak s’attarda en ville.
Le jour J enfin arrivé, Bratak se décida à rejoindre la taverne de l'Albion chromatique, il ne pût s’empêcher de remarquer quand cette journée des plus estivales les jeunes donzelles profitaient des rayons de soleil pour sortir, ce qui le retarda en chemin.

¤ Bas à quoi ça sert de me pressez, il y aura pas grand monde à mon avis pensa-t-il¤

Une fois arrivé à destination, il remit un peu d’ordre dans ses vêtements avant d’entrer dans la taverne. A l’intérieur il n’y avait pas grand monde comme il le pensait, il ne pût s’empêcher de remarquer le nain au fond dans ses habits des plus ridicules mais néanmoins témoin d’un certains rang.

¤Hum… Ce bouffon doit être mon homme où plutôt mon nain ! ¤

Bratak traversa la taverne pour rejoindre le nain à sa table et lui demanda :

-Don Corïndeyn je présume ? je vient pour votre amulette disparue, Puis je ?

Et sans attendre sa réponse il prit un siège et s’assit en face du nain tout en rabaissant sa cagoule élégamment pour permettre à son interlocuteur de voir ses traits.

-Je vous offre à boire ? Nous serons plus à l’aise pour parler affaire autour d’un verre bien que je pense qu’il faille attendre l’arrivée d’autres aventuriers s’il y en a !

Bratak appela la femme du tavernier pour passer commande tout en regardant le nain d’un air interrogateur et attendre sa réaction.

Cela faisait à peine deux jours que Kurto était arrivé à Sundabar. Il avait repéré une affiche et avait demandé à un passant de lui dire ce qui était écrit. Après lui avoir donné une pièce d’argent, Kurto était rentré au bastion de la compagnie et avait demandé à ses frères l’autorisation d’aller au rendez-vous du message. Ils avaient accepté mais ne voulaient pas avoir de relation avec la recherche qui s’annonçait longue et ennuyeuse.

Kurto arriva devant la porte de la taverne quelque minutes après avoir vu un homme encapuchonné entré. Il entra et d’un coup d’oeil circulaire repéra l’homme qui était entré peu avant, assis en face d’un nain en riche atour mais qui laissaient à désirer sur le plan du sérieux de l’assortiment des couleurs. Se remémorant ‘la prime conséquente’, il n’eu aucun doute sur l’identité du nain. Kurto se dirigea vers les deux hommes d’un pas pressé. En voyant le peu de réaction qu’il suscitait, kurto souri malgré lui.

¤Bin, j’espère qu’au moins ils m’ont entendu parce que sinon on ai mal pour cette recherche.¤

Kurto prit une chaise, inclina la tête et s’assit lourdement sans aucune autre forme de politesse. Il enleva son casque et posa son épée longue à coté de lui. Son regard passa du nain à l’humain.
-j’dérange pas j’espère. et sans attendre une quelconque, poursuivi. c’est quant qu’on part.
Réalisant qu’il ne savait absolument pas la destination il éclata d’un rire gras.
-Et où on va d’abords.

S’adossant, il attendit qu’on lui explique la destination de la recherche faisant fi des regards noirs ou des remarques éventuelle des deux hommes.

Morvax été arrivé en ville depuis trois jours. Il avait longuement réfléchi à l'idée de partir en quète. Cela faisait quelques jours, voir quelques semaines que ses poches se faisaient vides de pièces. Par conséquent, le mot "prime" été apparu comme une lumière dans le noir.

Après avoir courru dans la foule bruyante des rues de Sundabar, la taverne de l'Albion Chromatique fut telle une oasis de paix. Morvax entra et referma la porte precipitament. Il vit un nain et deux humains, il semblait que le nain était son futur employeur. Le barde s'approcha et dit :
- Bien le bonjour messieurs, puis-je me joindre à vous pour prendre une chopine tout en parlant des conditions de notre quète ?
Alors, se rendant compte qu'il ne s'était pas présenté, le gnome ajouta dans une légère courbette :
- Excusez-moi, je ne me suis pas présenté. Je suis Morvax, gnome et barde de mon état. J'ai lu vos affiche et je suis venu.

Alors, le gnome tira une chaise s'assi et attendi qu'un des hommes entame la conversation.

Le guerrier était à Sundabar depuis peu mais avait rapidement remarqué les nombreuses affiches placardées sur les murs. Il s'était tout d'abord interrogé sur la nature de ces affiches puis en avait après plusieurs jours qu'il lui faudrait les lires. Il s'était tout de suite décidé.

-Il faut retrouver l'amulette de ce bonhomme. Et bien je pense que c'est une quête pour moi. Je vais immédiatement à cette taverne...

C'est ainsi que Luciole avait attendu durant 3 jours dans l'auberge. Il avait finalement prit une chambre à l'auberge en face et entra dans la taverne de l'Albion chromatique juste après un petit gnome qui lui claqua la porte au nez.

-Oh oh!!! Il ne veut pas que je rentre. Il a peur que je prenne la quête à sa place...

Le guerrier ouvrit la porte et se précipita vers la table où étaient déjà installés un nain, un barbare, un roublard et le gnome.

-Je suis arrivé avant lui, hurla-t-il en montrant le barde. Mais j'accepte de collaborer s'il me présente ses excuses...

Luciole s'assit et regarda le gnome en attendant.

Cela faisait déjà plusieurs mois que Yamaël avait quitté les bois de Chondal. Ses pas l’avaient mené vers le nord ouest sans savoir qu’y faire exactement, mais maintenant qu’il était à Sundabar et qu’il avait vu les affiches et la quête qu’elles proposaient, il se dit que ce long voyage au hasard des routes n’avait peut être finalement pas été vain.
Quand il entra dans la taverne de l'Albion chromatique le jour dit, il ne fut pas long à repérer la table qu’il cherchait.En effet, seule deux étaient occupées, et les groupes qui y étaient assis étaient suffisamment dissemblables pour ne pas prêter à confusion.

¤Entre une table occupée par deux soûlards et une occupée par cinq personnes dont une manifestement riche, le choix est vite fait… Et si cet espèce de grand blond agité est des notre, ça risque de ne pas être triste.¤

Il s’approcha donc de la table et se hissa sur une chaise.

-Bon jour messieurs, je viens pour l’amulette. Attendons nous encore d’autres personnes ?

MJ



Les aventuriers rentraient les uns après les autres, lorsque le premier était rentré et venu s'asseoir devant le nain, celui-ci avait arrêté de bougonner, l'avais fixé avec un large sourire idiot et n'avais dit un mot comme stupéfait. Plus il en rentrait, plus il semblait heureux, idiot, mais heureux. Il les regardait les uns après les autres, son sourire sur les lèvres, sans un mot.

Quand Luciole entra dans la taverne en criant sur le précédent à être entré, le nain se mit à rire, d'un rire gras et tout aussi ridicule que son sourire, et il se mit enfin à parler. Se levant, il tendit les bras et montra une chaise à Luciole.

-Assis, assis, y a d'la place pourrrr tous.
Il roulait les r ridiculement...
Puis regardant dans la direction du tavernier, il se mit à crier.
-CHOPPE POURRR TOUS, TAVERRRRNIER, S'MA TOURRRNEE.

Décidément ce nain était bizarre. Il se rassit enfin et se rendit compte qu'il n'avait prêté aucune attention aux différentes questions posées par les différents aventuriers.
Tentant de paraître sérieux, se dont il avait beaucoup de mal apparemment, il se tourna vers eux à nouveaux.
-Heu... Parrrdon mais j'ai pas trrrop écouté s'que vous avez dit, les gars.

Il les fixait l'un après l'autre, toujours aussi ridicule... mais il respirait l'or...

Réprimant un fou rire et tentant de cacher difficilement son sourire face à l’élocution du nain ; Bratak enchaîna sur ses paroles

-Vous êtres tout excusé après tout c’est vous le patron. Mais maintenant, je pense que nous sommes assez nombreux et que nous allons pouvoir commencer à discutailler affaire sérieusement !

Comme pour accompagner ses paroles, Bratak jeta un regard circulaire à la petite assemblée et ainsi dévisager de pied en cape ses futurs compagnons.
En commencent par l’ordre d’arrivée, il regarda l’imposante masses de muscles à côté de lui, légèrement plus vieux que lui et lourdement protéger dans son armure d’écailles, ce barbare jovial devait le dominer d’une bonne demi tête facile et posséder des biceps aussi gros que ses maigres cuisses. Le second était un gnome dans de riche atours, il n’eu pas de mal à deviner qu’il s’agissait là d’un artiste au vue de la harpe qu’il transportait .Quand au guerrier tonitruant et beuglant à son arrivée, il put se dire qu’avec sa chemise de mailes il avait l’air bien protéger et donc ne devait craindre pas grand monde. Quand au dernier venu il s’agissait d’un halfelin des plus mystérieux, la seule chose qu’il pourrait en dire c’est que étant donné son désavantage physique il devait s’agir d’un érudit voir même d’un redoutable manipulateur de la magie arcanique.
Une fois son petit tour de reconnaissance terminer il prit sa bière et porta un toast à son nouvel employeur tout en portant une première gorgée de cette boisson houblonnée.

Plus ces futurs coéquipiers arrivaient plus les épaules du barbare s’affaissaient. Le coup de grâce avait été lorsque le nain avait pris la parole, kurto était complètement avachi sur sa chaise.
¤ Bin, entre un saltimbanque, un guerrier d’opérette et un jeteur de sorts et le tous avec pour patron un riche excentrique, ça va être comique de faire équipe avec ces gars là. ¤

Secouant la tête de droite à gauche, Kurto inspira profondément, il devait se maîtriser. Lorsque l’homme qui était rentré avant lui, prit la parole, kurto fut soulager ça ne serait pas lui qui mènerait les négociations.
¤Au moins j’aurais pas à parler pour tous le monde. ¤

- Oui, sérieusement, on va où. On part quant ?

Le barbare regarda alors à tour de rôle les personnes présentes autour de la table. Et, en grognant, il se remit sur sa chaise de façon plus confortable. Apparemment, les discutions risquaient d’être longue.

Kurto se croisa les bras avec un air de défi lorsque l’humain porta son toast.

- Tu crois vraiment que c’est le moment de boire. dit il, en foudroyant du regard l’homme qui avait oser perdre un temps précieux.
Sur les nerfs en voyants la lenteur qui semblait de mise dans la taverne, il se tourna vers le barde.



Ruminant,il attendit la suite des événements.

Le gnome fut quelque peu surpris lorsqu'il vit la porte s'ouvrir à la volée derrière lui. Il le fut encore plus quand un guerrier apparement pressé lui demanda des excuses pour un acte commis sans en avoir conscience. Mais Morvax étant de bonne humeur (sans doute à cause de la promesse d'une recompense), il présenta de courtes excuse sur l'injonction du barbare :
- Veuillez m'excuser mais je n'ai pas commis cet acte consciamment. J'espere que nous pourrons repartir sur des bases vierges cher... Quel est votre nom déjà ?. Puis il s'adressa au barbare se demendant où ils partaient :
-Si vous aviez lu les panneaux cher barbare, vous auriez remarqué que nous partions pour la citadelle de Felbarr. Je ne sait pas où c'est mais notre employeur nous en dira surement plus, n'est-ce pas ?.
Morvax bu alors une gorgée de sa chopine et attendit que le nain les éclairent sur le sujet.