Recherche des enfants de Myrial, en route vers la mine

MJ

Epuisé par sa dure et longue journée, chacun des aventuriers se décida finalement à aller se coucher, histoire de profiter d'une bonne nuit de sommeil. Il serait bien temps, le lendemain de discuter avec les notables du hameau pour leur présenter leurs découvertes et convenir, ensemble, de la suite à donner aux événements.

Dans leur chambre, Nialëanne et Hrthrod semblaient avoir des relations plus détendues, chacune reconnaissant les qualités morales et physiques de l'autre. Après avoir procéder à un symbolique échange de petits présents, les deux jeunes femmes profitèrent, à tour de rôle, du bon bain chaud que leur avait monté le petit Bario. Ensuite, elles laissèrent la fatigue s'emparer d'elles et sombrèrent dans un sommeil réparateur. La rêverie de l'elfe semblait plus profonde qu'à son habitude, mais eut le mérite de reposer complètement la rôdeuse.

Glaive, emmitouflé dans son manteau avait choisi de dormir dehors, la fourrure de sa cape, allié à son système pileux, devant lui éviter toute morsure du froid. Les autres aventuriers, plus sages, profitaient du confort tout relatif des chambres de l'auberge. Daladaf eut, lui, un peu de mal à s'endormir. Les questions que se posait le jeune guerrier étaient nombreuses. Il avait peur de e pas être à la hauteur et de se voir opposé un refus à son offre de rejoindre le petit groupe.
Ayant lui aussi obtenu une chambre, Foragus, recruteur itinérant de la Compagnie des Marches, songeait à tout le bénéfice qu'il aurait à faire signer ces aventuriers. Nul doute que la Compagnie n'y gagne de farouches défenseurs. Seulement, voilà, comment faire pour intéresser ces êtres à la protection et à la sécurité des Marches d'argent ?

La nuit s'écoula, paisible et, après un solide petit déjeuner, dans l'auberge, le petit groupe, auquel s'était joint, un peu inquiet quand même, Daladaf, se retrouva chez Gratien Boilivier. Frère Jörzic était également présent et semblait un peu tendu. Certes, Arus était sauf, mais où étaient passés les autres enfants ? Rien n'avait été dit à ce sujet et le prêtre craignait le pire.
Après s'être assis confortablement dans les fauteuils du maître de maison, les aventuriers furent invités à relater ce qu'ils avaient découvert lors de leur dernière expédition.

Hrthrod s’était levée de bonne heure afin de prendre un copieux déjeuner et d’avoir le temps de s’exercer au maniement de sa hache. Première à gagner la salle principale elle avait constaté la présence de l’homme âgé qui faisait partie de la fameuse Compagnie dont on lui avait parlé la veille au soir et qui l’avait troublé. La guerrière décida de prendre son repas avec le recruteur et d’en savoir plus sur cette organisation. Elle demeura à ses côtés jusqu’à l’arrivée de ses compagnons. Lorsqu’elle les rejoint, elle était devenue officiellement un membre de cette confrérie. La présentation de la Compagnie et l’éloquence de Foragus avait eu suffit à la convaincre que ce profond sentiment d’unité qui était prôné au cœur même de la guilde était ce que son âme avait toujours recherché. A son bras était passé le brassard arborant les armoiries de la Compagnie et à l’annulaire de sa main droite scintillait un petit anneau d’or et d’argent.

Maintenant d’excellente humeur elle était assise face au bourgmestre avec ses amis. Elle relata donc l’histoire de leur enquête avec sa vision des choses :
- Grâce aux talents incontestables de notre vaillante amie rôdeuse nous avons pu remonter la piste des marauds qui avaient pu commettre ces crimes envers votre village. Arrivés à leur campement et après une âpre bataille dans laquelle nous nous illustrâmes tous à notre manière, nous avons découvert le seul enfant présent sur les lieux, à la joie de mon compagnon, le petit Arus. Donc nul traces d’autres moufflets dans les environs, mais nous avons trouvé une carte signalant l’emplacement des différents villages alentours qui nous laisserait à penser qu’un autre site dans les collines pourrait être couronné de plus de succès.
Se tournant vers Kyron avec un large sourire.
"C’est bien toi qui as la carte, maitre-kyron ? Vas-y montre-lui, il pourra peut-être nous indiquer s’il reconnaît l’endroit…"

Le Nain s'était endormit rapidement, et s'en était suivit un sommeil de mort. Il se réveilla pourtant avant les premières lueurs de l'aube, ses douleurs appaisées. Comme à son plaisir, il marcha dans le village silencieux et paisible. Il quitta même les murs de Miryal et retrouva le petit ruisseau où Arus avait disparut.

Il fuma pendant de longues heures, spectateur du levé du jour, puis entreprit de laver les dernières traces de sa nuit dans l'eau. Il put voir son reflet et remarqua la profonde cicatrice qui lui parcourait le visage. Elle resterait là pendant un moment.

Lorsque Glaive retrouva la chaleur de la taverne, Seule Hrthrod semblait etre levée et en compagnie d'un homme bien entamé par les années. Le Nain vînt s'assoir aux coté de la guerrière avec un grognement d'excuse pour son comportement de la veille et passa rapidement le sujet pour s'intérésser à la conversation qu'il avait interrompu.

Il arborait également les armoiries de la Compagnie des Marches lorsqu'il retrouva le groupe, toujours en compagnie d'Hrthrod.

La nuit du jeune ensorceleur avait été courte, ayant passé une bonne partie de celle-ci à discuter avec Foragus à propos d'un éventuel recrutement au sein de la Compagnie des Marches. Il avait songeait à ce groupe d'aventuriers qu'était le sien... sa famille comme il aimait à se le dire. Il avait accepté l'offre du vieil homme, et espérait secrètement que nombre de ses compagnons le suivrait dans sa démarche. Aussi, Kyron fut-il agréablement surpris en se levant et en rejoinant la salle à manger, de voir la belle guerrière arborer comme lui les emblèmes de la Compagnie des Marches, ainsi que Glaive.

Cette aventure lui avait déjà enseigné beaucoup sur lui-même et sur les erreurs qu'il ne commettrait plus en tant que chef du groupe.

Il s'attabla donc auprès de la jeune guerrière qui ne le laissait jamais indifférent lorsqu'elle plongée son regard dans le sien et lui souriait du plus beau des sourires qu'il n'avait vu jusqu'à présent dans sa courte vie.
Cette dernière discutait avec le bourgmestre, lui relatant, dans les grandes lignes, l'histoire de leur aventure. Elle se tourna alors vers le jeune sorcier et lui demanda la carte qu'ils avaient découvert dans le campement des gobelins.

- Biensûr Hrthrod, la voici !

Joignant le geste à la parole, il sortit un vieux parchemin de sous sa cape, la déroula et la posa sur la table, face au bourgmestre, le regard plein d'interrogations.

Orodreth Telemma avait passé jusqu'à présent près d'une semaine chez son vieil ami le bourgmestre Gratien Boilivier. Son ami l'avait accueilli chaleureusement au retour de sa quête en Orient. Sa demeure était plutôt belle et accueillante avec sa famille et ses serviteurs. Il y passait du bon temps à écrire sur son aventure précédente. Il y faisait aussi beaucoup de recherche en vu de découvrir de nouveaux sorts. Il était déjà là lorsque les aventuriers en quête pour le village les avaient rejoint au retour de leur périple.

Au début, il n'y avait pas vraiment prêter attention mais il commençait à n'avoir plus rien à écrire sur son aventure. Alors il décida d'aller fumer sa pipe près d'un nain qui en fumait une aussi également. La sienne était de fabrication elfique et la sienne de fabrication naine. Il décida d'aborder le nain qui avait l'air peu commode. Se faisant, il souffla un beau grand cercle de fumée.

-Bien le bonjour, sire nain. Mon nom en langage commun est Orodreth Telemma. J'ai beaucoup entendu parler de vous par mon ami Gratien Boilivier que vous connaissez sûrement. J'aimerais bien en apprendre un peu plus sur vous et vos compagnons. On m'a dit que vous êtes en quête pour le village. Peut-être, si vous avez besoin d'un mage, pourrais-je me joindre à vous? Évidemment, j'ai déjà parcouru le monde à la recherche d'aventure, moi aussi. J'ai besoin d'un peut d'action.

Le mage s'appuya au mur en continuant de tirer un peu d'herbes de sa pipe en projetant la fumée sous plusieurs formes insolites.

Bonjour les amis, j'ai eu l'autorisation de votre MJ pour intégrer la quête. Si certain détails ne concordent pas avec l'histoire, dites moi le.

MJ

S'étant discrètement éclipsée avant la fin de la nuit, Nialëanne avait quitté le village, saluant au passage les gardes indifférents. Rapidement, elle s'enfonça dans la forêt, se coulant dans son élément bien loin des terres souillées par la civilisation humaine.
Au petit matin, le reste du groupe n'avait pu que constater son absence, se posant des questions sur les motivations de la farouche rôdeuse elfe.

Dans la maison du bourgmestre, Kyron avait sorti la carte trouvée dans le campement des gobelins et l'avait étalé devant ses hôtes. Songeurs, le sire Boilivier et Frère Jörzic l'étudiaient, cherchant à en comprendre toute la signification. Se raclant la gorge, le chef du village prit la parole, hésitant toujours à demander de l'aide pourtant bien nécessaire :

- Tout d'abord, je tiens encore à vous remercier pour ce que vous avez fait hier. Votre action dans ce bois démontre une force de caractère et un courage à toute épreuve. L'homme fit une courte pause, regardant à tour de rôle chacun des aventuriers présents chez lui. "Mais je crains que tout cela ne soit pas suffisant... En effet, vous n'avez fait, j'en ai peur, que retarder leurs agissements d'une ou deux semaines tout au plus. Les gobelins et leurs chefs hobgobelins ne sont pas très malins et je doute fort qu'un tel plan puisse venir de leur propre initiative." Le regard de Gratien s'assombrit un instant. "La carte que vous me montrez est celle de la région et nos villages sont fidèlement répertoriés. Mais elle fait également apparaître ici" Le doigt du bourgmestre se posa sur la croix. "une sorte de mine, dans les collines à deux ou trois jours au nord d'ici. Je pense que le responsable de tout cela se trouve à cet endroit. C'est là qu'il faut frapper pour éliminer la menace et, qui sait, peut être délivrer les enfants restants. Je sais que la tâche sera rude, mais je ne peux pas faire appel aux forces militaires de notre seigneur. Nos régions sont hélas en guerre."

Gêné, Gratien Boilivier marqua un instant de silence, hésitant visiblement à poursuivre. Lui coupant la parole, Frère Jörzic intervint à son tour, de sa voix bourrue : "Ce que le bourgmestre n'ose pas vous demander, c'est de bien vouloir vous charger de cette mission. Notre village a besoin d'hommes et de femmes tels que vous... Bien sûr, nous vous récompenserons dans la mesure de nos faibles moyens..."

Le bourgmestre adressa un regard de reproche au prêtre. Il le trouvait beaucoup trop direct à son goût. Toussotant pour masquer son embarras, Gratien reprit : "Laissez-moi également vous présenter un de mes vieux amis, Orodreth Telemma. Cet érudit me fait l'honneur de rester quelques jours sous mon toit. N'hésitez pas à lui demander conseil, je suis certain qu'il mettra un point d'honneur à vous répondre."

Donc au revoir Nialeanne. Bon vent à toi. Je sors également Grayback de la quête, n'ayant plus de nouvelle de lui depuis fort longtemps...
Bienvenue aux nouveaux

Elle bouillonnait intérieurement. ¤ J'en était sûr ¤. Bien évidemment qu’elle avait compris la carte, pour qui la prenait-il pour ainsi lui expliquer les choses comme a un enfant en bas âge. Décidément cela se confirmait, elle n’appréciait guère les prêtres avec leur ton condescendant et leur manière indirecte s’adresser à vous comme s’il faisait un sermon. Heureusement, elle était de bonne humeur ce matin grâce à son recrutement dans la Compagnie des Marches. Prenant cette nouvelle fonction à cœur, comme tout ce qu’elle faisait d’ailleurs, la guerrière prenait conscience qu’il lui faudrait être désormais plus compatissant du sort de ceux qui ne peuvent se défendre eux-mêmes. Cette histoire d’enfants disparus ne l’avait intéressé que par le fait que ‘les siens’ s’en étaient inquiétés et qu’elle ne refusait jamais une opportunité de montrer sa force exceptionnelle pour une femme.

Maintenant il lui faudrait prendre une place plus importante dans l’aboutissement de cette entreprise de sauvetage, même s’il fallait s’asseoir sur certaines attitudes d’autrui qui ne lui plaisaient guère. Elle sourit donc, à la remarque des deux hommes et leur répondit en articulant ses premiers mots de manière distincte :
- Sans vouloir vous contredire, prêtre, que savez-vous des us et coutumes des peaux-vertes ? Il ne suffit pas d’en combattre pour se vanter de les connaître.
Adoucissant son ton à présent, elle poursuivit.
"Ils sont loin d’être stupides comme vous le prétendez, et il pourrait parfaitement mettre ce genre de plan à exécution s’il leur en prenait l’envie. Ce qui les en empêche c’est tout naturellement l’absence de besoin d’une telle action. Pourquoi se compliquerait-t-ils ainsi la tâche pour une si piètre récompense que celle d’enfants malingre, qui plus est peu appétissants… Je vous rejoint donc sur le fond du problème : ils ne sont pas à l’origine de la chose. De plus vous semblez éluder un fait confirmant cette déduction. N’oubliez pas les individus qui espionnent et assassinent dans le village, ce ne sont pas des hobgobelins mais bien des hommes. Aucun peau-verte n’engagera un humain pour effectuer un travail."

"Or donc, si cette croix est bien une mine, les talents de notre Glaive Torn seront des plus appréciables… N’est-ce pas, ‘frère’ ?"
N’obtenant pas de réponse immédiate, elle tourna la tête afin de s’assurer de sa présence, oblitérant complètement de son attention la dernière remarque du Bourgmestre concernant le magicien. "Ah mais tu es là vieux bougon, l’interpella-t-elle, approche donc et donne nous ton avis sur la question."

Observant une seconde de silence à scruter l’asemblée, elle finit par rajouter : "Quelqu’un sait-il où est passé notre rôdeuse ?" Puis, imaginant qu’elle avait dû se lasser de la ville et était sortie faire un tour dans les bois, elle haussa les épaules avant de reporter son intérêt sur la situation présente.

Kyron s'impatientait. Il sentait la retenue du bourgmestre et celle-ci l'insuportait. Pourquoi ne demandait-il pas tout simplement leur aide plutôt que de tournait ainsi autour du pot. Il voyait bien que sa compzgne, la jolie Hrthrod, ne tenait plus également. Se tournant doucement vers la guerrière, il posa sa main sur son avant-bras et lui murmura quelques mots à l'oreille.

- Il nous faut prendre une décision Hrthrod ! Pour ma part, je vais continuer car je pense que notre travail n'est pas terminé ici. Cependant, il me faut savoir qui de mes compagnons continue à mes côtés.

Prenant quelques instant de réflexion en examinant l'insigne de la Compagnie des Marches qu'ils arboraient tous les deux, il continua son propos, les yeux plongés dans le regard de la jeune femme.

- J'ai apperçu par la fenêtre de ma chambre, Nialëanne, partir de bon matin. Je crains fort qu'on ne la revoit plus en notre compagnie. Je vois que nous sommes désormais tous deux membres de la Compagnie des Marches et je ne peux que m'en réjouir profondément. J'ai besoin de toi pour terminer cette quête, sauver ceux qui peuvent encore être sauvé et poursuivre en ta compagnie une autre route ensuite. Puis-je compter sur toi... mon amie ?

Troublée par la soudaine promiscuité et le contact chaud du bel ensorceleur sur son bras, Hrthrod riva son regard bleuté dans celui du jeune homme. Il était frêle et sa carrure suggérait qu’il s’envolerait sûrement si une bourrasque trop forte ne venait à souffler, mais pourtant son charme évident ne la laissait pas indifférente. Peut-être était-ce le fait qu’il représentât le contraire de tout ce qu’elle avait connu avant de partir à l’aventure avec le petit groupe. L’odeur de la peau de Kyron aussi proche qu’il l’était en ce moment mettait au supplice certains de ses sens et de ses désirs depuis longtemps refoulés. Elle ne laissa pourtant rien paraître de ses émotions lorsqu’elle lui répondit en lui tapotant la main.
- Ne t’inquiètes pas maître-kyron, ne t’inquiètes pas. Il n’ai nullement question que je n’abandonne quiconque, qu’il s’agisse de ces marmots, des gens du village et encore moins mes amis. Quant à Nialëanne, elle est sûrement allée faire un tour dans la forêt, tu connais sa réticence à trop rester parmi les humains… Nous la reverrons un peu plus tard.

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 Hrthrod.doc

Glaive avait suivit la conversation sans dire un mot, assis en retrait de la conversation. Il repensait à ces gobelins, il repensait à leur mission et aux enfants, enfin il repensait à lui et à ce qu'il devait faire, maintenant qu'Arus était en sécurité.

Seulement Arus n'était pas tant en sécurité, puisque ce village était toujours exposé au danger. ¤Ces imbéciles sont donc incapables de protéger leur famille? Parfois j'aimerai... ¤ Le Nain interrompît sa pensée quand un étranger l'interpela. Il tenait dans sa main une pipe qui semblait avoir été taillée avec deux mains gauche. Mais l'homme semblait, par les formes qui montaient au plafond, avoir quelques connaissances dans le domaine, au moins semblait il être un fumeur respectable. Le Nain prit un air sombre et sans le moindre sourire il répondit à son interlocuteur.

-Mouai, pour ce qui est d'être engagé, consulté le chef du groupe. C'est l'humain qui porte une cape, juste là. Vous dites que vous connaissez des sorts? Pour ma part vous seriez utile si vous pouviez refermer les plaie et réparer les fractures, sinon, je vois mal ce que vous pourriez apporter! On a suffisement de bras solides pour donner des coups! Avec un air étrange, le regard du Nain se posa sur Hrthrod. C'est au même moment qu'elle se tourna vers lui pour lui demander son avis sur la situation. Il n'eut pas le temps de répondre qu'elle était repartie en conversation avec Kyron.

Glaive attendît que la guerrière ai finit sa phrase, puis s'interposa entre les deux compagnons. Avec un sourire qui se voulait amicale et une fierté évidente, il parla comme avec plus de conviction et de bienveillance qu'il ne l'avait fait depuis près de dix ans.

-Vous semblez m'avoir oublié, maitre Kyron, car ma hache... mon épée restera à votre service, jusqu'à ce que chaque enfant soit de retour entre ces murs! je sauverai ses enfants et vous protegerai du mieux possible, même si je devais y perdre la vie! Et ce sont là les mots d'un Nain d'Arragrath, pour qui l'honneur est la première cause de mortalité! Le Nain afficha un sourire aimable à ses compagnon...

...Il ne s'était pas sentit aussi bien depuis des années!