Sur le quai à la recherche de marins, Lune, Gay, Imzel, Thöri et Izdrill

Thörimor prit l'argent. Il regarda le marchand, et lui fit un léger sourire :'Veuillez m'excuser, j'avais un cheveux sur ma langue, mais j'ai bien dit cimeterre..."
Thörimor regarda les armes autour du marchand et décida d'en acheter une avec l'argent que venais de lui donner le vendeur. Il vit soudain une masse d'arme, et il tomba soudainement amoureux d'elle.
Il donna l'argent au commerçant, et il prit la masse.
Puis il se rappela que son frère était partit... ¤hmm...il vaut mieux que je me dépêche, le bateau risque de partit sans moi, j'espère que Izdriil est bien arrivé au quai, et sans problème...¤
Thörimor prit ses jambes à son coup, et se mit à courir à toutes jambes. Il arriva très rapidement au quai. Thörimor ne traîna pas, il enjamba la passerelle, et couru un peut partout sur le bateau en espérant trouver son frère. Au bout de dix minutes de course dans le navire, Thörimor trouva enfin son frère qui parlait avec un marin. Il se dirigea vers eux. Thörimor était essouffler, et il avait vraiment du mal à respirer. Étant devant son frère, il mit ses mains sur ses jambes, il se pencha, et respira tranquillement. Une fois que sa respiration redevint normal, il parla à son frère :"hmm... tu es enfin là, je t'es cherché partout sur le bateau, il faut dire que je n'ai pas beaucoup de chance en ce moment...Sais-tu quand est-ce que nous partons ?
Thörmor regarda le marin sans attendre la réponse d son frère, et lui parla :" Bonjour, je me présente, je suis Thörimor, frère d'Izdriil, et je suis un prêtre, Izdriil et moi sommes des nouveaux voyageurs, c'est le recruteur qui nous à donné la permission d'embarquer après avoir eu un petit conflit. Quelle est votre nom à vous ? Savez-vous quand nous partons ? Et y a-t'il un endroit où boire sur ce bateau ? Car je meurt de soif...
La bouche de Thörimor était sèche et pâteuse, cela s'entendait quand il parlait....

Edit Bor: D'après toi? Bon, tu as le doit d'acheter une arme en RP, mais il faudrait peut être me dire laquelle, où le dire au commerçant, après tu pourras l'acheter aux magasins dans le forum.

Edit Thörimor: Oui je sais, mais je ne savais pas exactement combien sa faisait au total ( total de PP, Po, PC.....) donc j'ai mi "arme" sans précision en attendant que tu me donne l'argent pour que je puisse savoir exactement ce que je possède pour pouvoir acheter un arme. Mais c'est bon j'ai acheter une arme, et j'ai mis le nom sur le post.

Des petites vagues se brisaient sur la coque du navire. D’autres embarcations étaient ancrés loin des quais. Nombreux d’entre eux semblaient être des bateaux marchands.
Le claquement des voiles sortit Imzel de sa rêverie. Un frisson la parcouru. Le froid humide et pénétrant tombait peu à peu, annonçant que l’hiver serait rude.

La jeune fille monta sur le bateau, observant les marins sur le pont. Il lui fallait poser ses affaires et se mettre à la tache. Elle allait devoir faire ses preuves sur ce navire, elle le savait. Mais monter en haut des mâts, et entretenir les bois les plus abîmés par l’iode et le temps... ça, elle savait faire !

Elle aperçu les nains, beaucoup plus calme qu’en ce début de matinée, discuter avec un marin. ¤Et bein, v’là l’équipage du Carmaella au complet¤.
Le vent soufflait de plus en plus, emmêlant sa longue chevelure brune. D’un geste rapide mais précis, elle les ramena en arrière et les fixa à l’aide de ce qu’il lui restait de l’épingle qu’elle s’amusait sans cesse à tordre.

Son regard se posa sur un groupe de marin.Elle s'approcha discrètement d’eux et leur demanda :

-J'viens d’être recrutée par votre capitaine. Pourriez vous m’indiquer ou j'peux poser mon baluchon ?

Le jeune demi-elfe vaquait à ses occupations de marin. Il était en sueur et sentait le bateau tanguer sous le flotti de l'eau. il avait pris un malin plaisir à esquiver les autres marins, il était payer pour travailler soit, par pour parler avec des inconnus.

Apres avoir chargé la totalité des caisses, Gayaephel se demanda ce que devenait Lune. Il commença à s'inquieter quand il se rendit compte qu'il ne l'avait point aperçu depuis son retour sur le bateau. Cette maladroite n'avait pas encore fait couler le navire, c'était déja une bonne chose.

Il se mit à arpenter le bateau à la recherche de son amie, en profitant aussi pour visiter le bateau. Il en eut vite fait le tour, et trouva une cabine deserte, ou il entreprit de s'allonger pour prendre un peu de repos.

Gayaephel avait hate de quitter Padhiver, et il imaginait déja comment pouvait se dérouler la traversée. Perdu dans ses songes, il finit par s'endormir paisiblement, malgrès le brouhaha du port et des flottes environnantes.

Lune avait fait un nettoyage rapide du placard qui allait lui servir de cabine et, apres avoir installée ses affaires, s'agenouilla quelques minutes sur le sol. Elle revît en mémoire son défunt mari, les moments passés avec lui qui l'avaient marqués, en bien ou en mal. Elle se devait de revoir ces souvenir tous les jours, afin d'être sure de ne jamais oublier celui qui l'avait rendue bienveillante.

Lune avait un tempéramment très fort, et rester dans la voie de l'entraide et de la compréhension était un combat de tous les instants pour la prêtresse. Elle savait qu'à tout instant elle pouvait tomber dans la voie du mal, il était si facile d'haïr tous ces gens, ces gens qui vivait alors que son amour était mort. Il était si facile de retourner les dons que Séluné avait fait, d'en faire des armes pour se venger, pour passer sa colère. Seulement la jeune femme devait contenir cette colère, la cacher, paraître aussi paisible que cette eau qui l'entourait.

Elle décida de marcher sur le pont, sans oublier de verrouiller la cabine. Elle observa les marins et discuta avec quelques uns d'entre eux. Ils n'avaient aucun intérêts, mais puisqu'elle allait être ammenée à travailler avec eux, il était préférable de les avoir de son coté. Elle finit sa route au pied de ce qui semblait être le mat principale, et avec milles précautions elle tenta de escalader le cordage qui pourrait lui servir d'échelle.

Si elle aimait observer l'océan, elle adorait le faire depuis des hauteurs. Le post de vigie avait toujours été celui qu'elle préferait. Il lui était souvent difficile de monter, mais une fois là haut, elle pouvait rester des heures à admirer l'immensité bleue. Comme à son habitude, elle sortie de la robe sombre qu'elle avait préférée son armure une feuille de soie. En déroulant celle ci elle révela sa plus fidèle compagne, lors de ses voyages. Elle porta à sa bouche la longe extremité de la pipe qu'elle tenait de son mari. Elle l'alluma et en tira quelques bouffées, avant de se plonger dans ses rêveries habituelles.

Elle se voyait sautant du mât. Non, pas sautant: Elle se voyait plongeant du mât! Elle arrivait dans l'eau et en traversait la surface sans qu'une seule ride n'y apparaisse. Une fois sous l'eau elle atteignait les fonds et admirait les créatures qui y vivaient. Elle y revoyait son époux, nageant au milieu des autres êtres. Elle nageait à toute vitesse pour le rejoindre, le toucher. Elle le ratrappe, elle l'enlaçe...

...Puis elle se réveille, sa pipe éteinte.

MJ

Test d'escalade de Lune, DD5:5(dé)+1=6:Réussite

Depuis que les nains étaient revenus sur le bateau, celui-ci, qui était prêt à partir, commençait à larguer les amarres. Sur le quai, des passants curieux étaient venus voir le départ de ce beau et surprenant bateau. Sur le pont, une des manoeuvres les plus difficiles étaient en train de se mettre en place, les cordages avaient été détachés du quai, et comme le bateau commençait à prendre le large, il fallait hisser la grand voile. Les marins, qui faisaient des grands aller retour, sous la direction du grand et fort quartier-maître qui gueulait des ordres dans tous les sens, étaient épuisés, et ralaient contre les nouvelles recrues qui n'abattaient déjà pas leur part du travail, se promettant que si ça continuait comme ça, ils iraient en informer le capitaine.

Gayaephel s'était allongé dans une cabine inoccupée, qui s'avéra être celle du quartier-maitre. Si bien que le bateau venait de quitter le grand port, quand le demi-elfe fut tiré de sa rêverie, par le contre-maitre qui avait oublié quelque chose dans sa cabine privée. Il fut fort surpris d'y trouver un memebre de l'équipage. Il le houspilla avec véhémence, et l'envoya trimer sur le grand pont, où il trouva les autres marins en colère, quyi fournissaient un boulot de titan.

Lune quand à elle, venait de quitter la cabine qu'elle avait enfin rendu propre, entreprenant de visiter le bateau et de faire connaissance avec les marins à bord. Ceux-ci, quand elle vint les voir, n'était pas encore au travail, mais il dûre s'y mettre assez rapidement, désolé d'abréger la sympathique discussion qu'ils avaient entamé avec la jeune femme. Celle ci les avait alors quitté pour monter en haut du grand mat. Elle éprouva quelques difficultés à gravir le grand cordage, mais parvint finalement à son terme. Du poste de vigie encore inoccupé, elle n'apercevait d'un côté l'étendue bleue infinie de la mer, et de l'autre, la côte des Epées Septentrionale qui s'éloignait peu à peu. Elle s'endormit à moitié en haut du mat, sa pipe dans la bouche, e le vent qui soufflait dans ses longs cheveux blonds.

Imzel s'était adressé sans le savoir à un groupe dans lequel se trouvait le marin que Lune avait déjà abordé tout à l'heure. Se rappelant de la vive injustice, il se mit en retrait, et ce fut un autre qui accepta de la guider. Mais quand ils arrivèrent devant la porte de la cabine, la porte était fermée à clef, et le marin ne détenait pas la clef, pour des raisons évidentes. Il ne put donc ouvir à la jeune roublarde, et liu expliqua qu'il lui fallait trouver la jeune femme blonde, qui devait coucher aussi dans cette cabine étroite.

Izdriil et Thorimor était tombé, par un hasard étonnant, sur le capitaine lui même. En y réfléchissant, cela paraissait logique, dans un bateau, peu de gens avaient une cabine réservée pour eux seuls. Ce que les deux nains ne pouvaient pas savoir, c'était que le marin capitaine n'aimait pas les nains, n'aimait pas être dérangé dans son travil et n'aimait pas qu'on lui parle négligeamment. Et c'est pour ça que, immédiatement de mauvaise humeur, il répondit aux nains avec une pointe de colère dans la voix:"Vous savez quoi, je suis capitaine de ce bateau, et c'est moi qui ait donné mon accord pour que vous embarquiez sur ce bateau. Alors, maintenant que vous y êtes faites moi le plaisir de me laisser tranquille. Sauf si ce que vous voulez me dire est vraiment important, profitez de votre temps libre, car les longues heures de plonge vous les feront regretter. Pour ce qui est de l'eau, demandez à un de mes marins, il y en a dans la cambuse. Maintreant messieurs, sauf raison importante, veuillez déserter ma cabine." Le capitaine les reconduisit, et c'est à peine s'il ne leur claqua pas la porte au nez. Mais il la laissa ouverte, pour que le nain puisse lui dire ce qu'il avait à dire, dans le cas où c'était important.

La Carmaella voguait vers le large, la grand voile était levée, la petite aussi, et le grand bateau fendait l'eau à une vitesse impressionnante, vers la formidable ville d'Eauprofonde.

Thörimor n'aimait pas du tout le comportement du capitaine, il voulait entrer dans se cabine et lui foutre une grosse raclée. Mais il décida de ne pas le faire car il ne voulait pas aggraver la situation de son frère et de lui même, déjà que les esprit étaient tendus à cause de ce qu'il c'étais passer au quai, il ne voulait pas être jeter à l'eau. Il décida donc d'aller visiter le bateau et d'aller boire un bon coup, même si il pouvait seulement boire de l'eau.
Thörimor se promena sur le bateau, et quand il vit un marin, il lui parla :"Bonjour, je suis Thörimor, je suis un voyageur recruté par le capitaine, et j'aimerais savoir où mon frère et moi allons dormir, et pouvez-vous m'indiquer où se trouve la cambuse s'il vous plaît ? C'est le capitaine qui ma dit de demander à l'un de ses marins, et comme je viens de vous voire, je viens vous demander de l'eau...
Thörimor était très inquiet, car ces marins l'inspiraient guère confiance.¤hmm... Par Moradin, vivement que l'on retourne à la terre ferme, car je n'aime pas du tout ce bateau, il m'inspire qu de la crainte, je doit être sur mes gardes, je n'aime vraiment pas la tête de ces marins, et encore moins leurs comportement, je suis sur que ce marin va encore m'envoyer balader.¤
Thörimor regarda le marin droit dans les yeux, en attendant une réponse...

Lune avait depuis longtemps rangée sa pipe, mais était restée au sommet du mat afin de ne pas avoir à participer au corvées. Comme à son habitude, elle tâcherait de trouver une excuse auprès du capitaine. Elle était en paix là où elle était, et ne désirait pas que cela change.

Une fois la côte vraiment disparue et le Carmaella engagé dans une vitesse de croisière, Lune se décida à descendre du pont. Elle ignora les regards lorsqu'elle descendît et chercha des yeux le capitaine. Non pas pour le rencontrer, mais plutôt pour l'éviter. Elle décida de rejoindre le responsable à la barre.

De tous les postes disponibles sur un bateau, celui du "pilote" avait toujours été son préféré. Elle avait l'impression, une fois à la barre, de ne faire qu'un avec le vaisseau, maître du moindre de ses mouvements. Elle était bien consciente que la barre à elle seule ne sufisait pas à donner un tel pouvoir, mais cela n'empêchait la chaire de poule de s'emparer de sa peau. A ce poste plus qu'à tout autre, elle se sentait être quelqu'un d'autre, une personne incroyablement forte.

Elle s'approcha du marin qui tenait le gouvernail. Avec toute la gentillesse du monde, elle l'observa de longues
minutes, un regard d'enfant admirant un puissant guerrier. C'était un autre de ses trucs. Jouer la comédie, faire que l'adversaire vous sous-estime... Après un temps elle s'approcha de lui, posant sa main gantée sur celle du marin.

-Excusez moi, messir... C'est beaucoup vous demander mais... J'ai toujours voulu essayer de tenir "les rennes"! Juste une minute, s'il vous plaît!

Izdriil, voyant que son frère n’avait rien à ajouter et partit, il n’en fit pas de même. Il voulait parler au capitaine, alors il lui parlera. Même si l’adversaire était plus fort et plus intelligent que vous-même, il ne fallait jamais baisser les bras. Tel était une des devises qu’apprit le guerrier. C’est donc avec insistance qu’il lança au capitaine.

« Hum… Monsieur le capitaine, j’ai effectivement quelque chose à vous raconter, et ce n’est certes point important ! Bien. Je ne vois nulle part l’intérêt de faire la plonge sur un bateau, de plus que c’est la première fois que nous prenons la mer…Hum. Nous ferons la plonge, mon frère et moi bien sûr, mais cela ne durera pas toute une journée…Vous avez seulement précisé la plonge et aucune autre chose, ce qui nous laisse comprendre que le reste des journées à venir où nous ne ferions donc pas la plonge, nous sera libre...Ai-je bien raison ? Mes qualités de guerrier sont réelles, tout comme celles de mon frère, alors je voulais savoir si vous nous donneriez autre chose à faire et que cela soit payé…Prenez cela comme une demande Monsieur le Capitaine, nous vous serions reconnaissant, Hum…Sur ce je file, prévenez moi de votre réponse, nous n’attendons plus que le repas pour pouvoir commencer à travailler !"

Le nain recula de peur que le capitaine énervé ne lui saute dessus. Il s’avança vers le bord du bateau. Il regardait d’un côté puis de l’autre, d’un côté la mer infinie et de l’autre Padhiver qui s’éloignait et qui devenait plus petite. L’impression nouvelle émanait en lui. Il se sentait libre, et très calme. Il n’avait pas le mal de mer et était plutôt à l’aise. Des milliers de choses lui venaient en tête, comment allaient ils s’en sortir, qu’allaient ils devenir et comment demeurons ils sur ce bateau ? Il n’en savait rien, mais était fier et très content. Quelques secondes plus tard il alla rejoindre son frère qui discutait avec un marin du Carmaella.

Gayaephel était dans un espace noir. Il n'y voyait rien. Il avançait vers une lumiere qu'il apercevait au loin, une fois rendu à l'exterieur de ce qu'il reconnut vite comme une grotte, il s'emerveilla de constater qu'elle était à mi-hauteur d'une falaise surplombant un magnifique océan. Il respira un grand coup, sourit, et se fit un plongeon de plusieur centaines de pieds dans la mer.Il était dans un état extatique alors qu'il nageait sous l'eau au milieu des algues. Soudain, il s'apaercut que quelquechose ne tournait pas rond: Il ne pouvaiut plus respirer sous l'eau!!! Il essayat de remonter à la surface , paniqué, mais les algues le retenait par les pied!

Il se reveillat en sursaut, tiré de son cauchemard par un homme qui s'avera etre le contre-maitre. Ce dernier lui hurlait de retourner au travail et qu'il n'avait rien à faire ici.

Encore tout troublé par son cauchemard, Gayaephel entendait à peine les paroles de l'homme qui le conduisit jusqu'au pont. Avec des gestes mécaniques, Gayaephel se mit à sa tache, tout en se demandant encore la signification de ce rêve.

¤J'ai toujours respirer sous l'eau, aussi loin que je me souvienne. Jamais je n'es penser que ce don pourrait un jour défaillir. Quelle que soit la réelle signification de cette vision, elle ne peut annoncer que de mauvaises choses.¤

Imzel se tourna vers le marin qui l’avait accompagné jusqu’à la vieille porte de sa cabine.

- Bah, ce doit être l’autre femme qui a la clef. Elle doit croire que cette cabine lui est réservée. Ah, c’est d’jà bien qu’on n’soit pas avec vous...dit elle d’un air amusée, adressant un clin d’œil au marin pour ne pas le froisser. Mieux valait ne pas se faire d’ennemis. Imzel se fichait d’être appréciée ou non, mais elle ne voulait pas se faire remarquer...Pas de cette manière en tous cas.

La proximité des autres marins ne l’aurait pas dérangé de toute manière. Combien de fois c’était elle retrouvée allongée dans un hamac, au milieux d'hommes puant la sueur et ne ratant pas une occasion pour tenter une approche maladroite. Quelques mains baladeuses c’étaient d’ailleurs retrouvées estropiées, privant le capitaines des navires passés d’une bonne main d’œuvre durant quelques jours.

Une envie subite lui prit de vouloir crocheter la serrure de la porte.¤Une serrure si archaïque et si ancienne qu’un gosse y arriverait.¤ Avec une simple épingle à cheveux, rien de plus facile pour ses doigts agiles. Mais mieux valait refouler ses instincts de cambrioleuse pour le moment.

Elle repartit sur le pont en chantonnant une vieille chanson
«Quinze hommes sur le coffre de l’Homme mort…
Yo-oh-oh ! Et une bouteille de rhum !
La boisson et le diable ont perdu le reste
Yo-ho-ho ! Et une bouteille de rhum ! »

La côte s’éloignée peu à peu, se fondant avec l’horizon, tandis que le silence de la mer gagné le navire. Seul les cris du quartier maître mêlés au chant des mouettes se faisaient entendre.
La jeune humaine se décida à ne pas perdre plus de temps.¤ Tant pis pour la cabine, je ne vais pas m’amuser à courir après une clef alors qu’on a b’soin d’moi. On verra ça plus tard.¤

Elle s’approcha du quartier maître, claquant ses bottes contre les lattes du pont.
-Désolée pour mon retard mon quartier maître. Il est plus que temps pour moi de prendre poste. J’attends vos ordres.

Fin de l'aventure.