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Sundabar - 'Mornes allées', les bas quartiers, Enquête dans les bas-fonds
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Gardien des mystères
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Narration Lino et Va’silLe tenancier maugréa mais s’empara bien vite des deux piécettes d’agent puis reporta son attention sur les joueurs de dés allongés au sol. Le roublard, assit à la table et encore sonné de son combat, tenta un coup d’œil sur le groupe des quatre hommes proches de l’escalier. ¤ OH !¤, s’exclama-t-il intérieurement lorsqu’il constata que les lascars avaient profités de la rixe pour prendre la poudre d’escampette. Le paladin encore un peu honteux d’y être allé si fort achevait de poser des points de contention à l’aide de chiffons sur les blessures ouvertes d’où sourdait encore du sang.KobaltLe roublard se frayait un chemin dans la foule des badauds qui commençaient à quitter le quartier ou rentraient chez eux maintenant que la nuit tombait. En effet, même s’il ne connaissait pas du tout la ville de Sundabar, Kobalt avait suffisamment l’expérience de ce genre d’endroit pour savoir qu’une fois le soleil couché, ce genre de quartier devenait encore plus dangereux qu’il ne pouvait l’être en journée. D’apparence commune, sa présence au sein de la populace n’avait pas été plus flagrante que celle de n’importe quel quidam arpentant ces ruelles crasseuses et sombres. Les étals pliaient bagages également, laissant planer un brouhaha confus tandis que les marchands s’interpellaient d’un côté ou d’un autre. Présentement dans ce lieu où la misère populaire était omniprésente, ce qui embêtait le roublard était son absence de la connaissance de la topographie pour savoir où commencer ses recherches.
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Frère-Rat
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Kobalt respira l'air du soir à pleins poumons. Le simple fait d'arpenter ces rues crasseuses et malodorantes réveillait en lui de lointains souvenirs... Les rues sinueuses de sa ville natale... Tant de bourses bien remplies à portée de main ! Il se reconcentra peu à peu sur le but de sa mission : il devait retrouver les deux zigotos portant un brassard bleu azur et les seconder de loin. A cet instant, il réalisa que sa tache était ardue, plus qu'il ne l'imaginait. Comment en effet retrouver un nain et un humain dans une aussi grande ville que Sundabar, d'autant plus qu'il ne connaissait pas du tout la ville ! Autant dire qu'il recherchait une aiguille dans une botte de foin... Cela dit, la perspective de devoir fouiner dans toute la ville ne lui posait aucun problème et l'encourageait au contraire. Il faudrait qu'il ait une chance pas possible pour retrouver le paladin et le roublard du premier coup. Mais tout d'abord, il lui fallait se restaurer et se reposer un peu : la nuit, les ruelles n'étaient point sûres, et il avait ordre de causer le moins de grabugge possible. Il caressa l'idée de contacter Théodus avec son anneau magique pour lui demandait si, éventuellement, il savait où les deux nigauds étaient allés se réfugier pour la nuit. Car il lui paraissait évident que les deux Confrères allaient passer leur nuit dans une auberge, car ils étaient peut-être un peu limités, mais ils n'étaient sûrement pas fous ni simples d'esprit... Ce faisant, il arrêta quelqu'un qui se hâtait dans la rue sombre qu'il arpentait. Il rabaissa sa capuche pour ne point l'effrayer, car la jeune personne semblait bien fragile... Il demanda :
_ Mille excuses, mademoiselle, pourriez-vous m'indiquer une bonne auberge, ou au moins une taverne ? Je suis un marchand itinérant du Thétyr à qui on a volé toute la marchandise sur les grandes routes. J'ai fait détaler les brigands mais j'ai perdu mon stock et mes compagnons dans la bataille. L'échange n'était pas équitable, si vous voulez mon avis, mais j'ai pu sauver quelques breloques sans importance comparé au préjudice que j'ai subi avec ma perte irréparable que constitue le vol de ma marchandise... M'aideriez-vous ?
Il avait espéré parler assez vite pour pouvoir l'embrouiller juste ce qu'il fallait pour qu'elle ne pose pas de question. Il attendit sa réponse avec un intérêt poli, et contempla la jeune fille qu'il avait arrêté, dans la pénombre croissante de la fin de journée.
Comme l'esclave n'a qu'un maître, l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens qui peuvent faire sa fortune.J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvelle c'est qu'on est pas amis. La bonne nouvelle, c'est que mon amitié est à vendre... Réputation 8,5
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Gardien des mystères
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Narration
Kobalt La jeune femme aux formes alléchantes paraissait évidemment surprise et gênée d’être ainsi arrêtée en pleine rue. Mais les manières polies du roublard eurent tôt fait d’avoir raison de sa méfiance première. - B…Bonjour, hé bien mon bon monsieur, vous me voyez désolée du triste sort qui vous accable. Peut-être pourriez-vous tenter votre chance dans une auberge d’un autre quartier de la ville… Elle se rapprocha un peu afin de parler plus bas. "Les Mornes-allées ne sont pas le meilleur endroit pour séjourner lorsque l’on est seul, sans protection et inconnu de tous… Vous voyez ce que je veux dire ? Sinon, si votre envie est de taquiner le sort messire, vous pourrez trouver la taverne de ‘la Sirène muette’ un peu plus loin." Elle lui indique la direction a prendre. "C’est là la plus proche taverne. Sinon pour une auberge, je vous conseille de vous avancer plus avant dans les rues et de redemander votre chemin. Dans tous les cas, soyez prudent." Elle lui sourit aimablement, attendant de voir s'il avait encore besoin d'aide.
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Kobalt prit quelques instants de réflexion, l'air absent. Il ne savait quelle décision prendre : allait-il se rendre à cette taverne ou devait-il au contraire s'enfoncer plus profondément dans les Bas-Quartiers de Sundabar ? Après un (très) bref instant pendant lequel il paraîssait indécis, Kobalt prit en défénitive sa décision très rapidement. Si il aimait les frissons et la montée d'adrénaline que procuraient le danger, il n'était pas casse-cou pour autant. Inutile d'aller jouer les têtes brulées dans les sombres allées des quartiers malfamés de la ville. Il fallait trouver un abri au plus vite. Malgré l'avertissement de la jeune femme qui lui disait que 'La Sirène muette' était assez mal fréquentée, une lueur s'alluma dans ses yeux. Les tavernes de ce genre étaient toujours remplies de gredins et de piliers de bars au courant de tout ce qui se passe dans le quartier... et ces ivrognes faisaient parfois de très bon informateurs, si on savait poser les bonnes questions et placer quelques piécettes dans les bonnes mains... *Il ne s'avérerait peut-être pas inutile d'y faire un petit tour.*, se dit le jeune roublard. Une taverne était en effet un lieu où tous les ragots et les rumeurs se racontaient, et le bouche à oreille, le meilleur des informateurs. Se tirant de ses pensées, il se tourna vers la jeune femme et lui adressa un large sourire.
_" Eh bien je vous remercie, mademoiselle. Votre présence sur mon chemin fut ma lumière, tant pour m'avoir indiqué le chemin de la 'Sirène Muette', dans la nuit tombante de cette journée, que par votre doux visage et votre...votre...Son regard se porta avec insistance sur la poitrine joliment rebondie de la jeune femme.Votre regard ! Je vous remercie encore et prends congé de vous, bien que cela me coûte, je vous assure ! Au revoir, vous ne pouvez plus rien faire pour m'aider, et vous en avez déjà plus que vous ne deviez.
Il fit une révérence et tourna les talons. Elle ne pouvait plus rien... Quoique...
En fait si, vous pouvez encore faire quelquechose pour moi...
Il s'approcha d'elle, lui flanqua la main aux fesses d'une manière affreusement virile et lui dit à l'oreille avec un clin d'oeil :
Si on allait essayer les paillasses de l'écurie de la 'Sirène Muette, hum ? Les breloques que j'ai réussi à sauver seront à toi après ça, qu'est-ce que t'en dis ?
Il n'eut pas le temps de se rendre compte de ce qui se passait : la belle lui flanqua une baffe qui lui fit tourner la tête, puis elle disparut sans mot dire.*Décidemment, je ne comprends rien aux femmes... Mais qu'est-ce que j'ai bien pu dire de si malsain ?*
Résigné, il entreprit donc de rejoindre la taverne.
Comme l'esclave n'a qu'un maître, l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens qui peuvent faire sa fortune.J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvelle c'est qu'on est pas amis. La bonne nouvelle, c'est que mon amitié est à vendre... Réputation 8,5
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Gardien des mystères
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J'ai modifié la fin de ton post, tu allais trop vite. Rappelle-toi que c'est moi qui décrit (comme pour la baffe mais ça je l'ai laissé car c'était drôle) Narration KobaltAprès quelques minutes à se repérer dans l’obscurité tombante des ruelles des Mornes-allées, le jeune et fripon roublard aperçu enfin la pancarte usée en bois annonciatrice de la taverne de ‘la Sirène muette’. Une jeune fille en était sortit en trombe comme si elle avait eut les enfers à ses trousses tandis qu’il en approchait. Partant à l’opposé de l’arrivée de Kobalt, il la vit promptement disparaître au coin de la rue. Alors qu’il s’apprêtait à franchir le seuil de la porte, le mendiant assis à côté, dos au mur, agrippa le pantalon du voleur d’une main à la poigne surprenante. - Que’ques pièces mon gars, que’ques pièces où les tiens seront damnés pour l’éternité ! Allez fait pas ton bourgeois qui ignore une pauv' homme comme moi ! Le bougre faisait un boucan de tout les diables, capable d'ameuter à lui tout seul le quartier entier. L’homme crasseux n’était guère différent des dizaines de ses congénères qu’il avait croisé avant d’arriver ici, mais celui-ci avait une lueur fiévreuse dans les yeux qui le rendait perturbant.
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Kobalt allait passer le seuil lorsque le mendiant l'apostropha. Le roublard se figea net, entre deux pas. Il pivota très lentement sur lui-même et baissa les yeux tout aussi lentement vers le vieillard pitoyable. Kobalt était passé devant sans y préter réellement attention, tant il ressemblait à un tas d'immondices. Il était dans des vêtements crasseux, et son visage se confondait avec ses habits ! * En voilà un qui se fait pas repérer dans ces lieux...* , ironisa le voleur en son for intérieur. Il réfléchit... Un mendiant voyait passer du monde, toute la journée. Il pouvait aisément tirer parti de la misère de ce tas de détritus. Encore fallait-il la jouer fine... Une idée germa dans sa tête... Il s'empressa de l'appliquer. Il se pencha vers le bonhomme et lui mit son épée sous la gorge de façon discrète. Il chuchota à l'oreille du mendiant :
_ Imbécile, nous sommes tous déjà maudits ! Mais votre fin sera bien plus terrible et plus vite arrivée que la notre. Nous, le Zentharim, contrôlons tout ! Et si tu ne veux pas mourir dans d'atroces souffrances, je te conseille de répondre à mes questions lentement, et à voix basse, c'est un conseil ! Bien, commençons : As-tu vu passer un nain et un humain, aujourd'hui, et par où sont-ils partis ? Ensuite, connais-tu un certain Ulkir-un-Oeil ? Réponds, et vite ! Ta vie en dépend ! Et pas d'entourloupe, je suis nerveux en ce moment, et je peux facilement faire des gestes brusques !
Il se tut, et attendit les réponses à ses questions, prêt à s'esquiver rapidement au cas où le loqueteux serait plus qu'il n'y paraissait...
Comme l'esclave n'a qu'un maître, l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens qui peuvent faire sa fortune.J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvelle c'est qu'on est pas amis. La bonne nouvelle, c'est que mon amitié est à vendre... Réputation 8,5
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Gardien des mystères
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Narration Kobalt Le mendiant écarquilla en grand les yeux lorsque Kobalt, tel un assassin, lui mit sa lame sous la gorge. Balbutiant au début sous l’effet de la peur, il finit par répondre eb lâchant une volée de postillon en pleine face du proche roublard. - Le…le quoi ? Z’êtes le quoi ? Mais… mais j’sais pas de quoi vous m’parlez ! Un nain ? et un homme ?! C’te barre c’est la moitié de la population de la ville, mon gars ! Laissez-moi, maintenant ! Dans son empressement à découvrir les informations qu’il escomptait, le voleur en avait oublié la mixité unique que constituait Sundabar entre les races naines et humaines. En effet la quasi-totalité de la cité tombait sous la régence de l’une ou l’autre des deux espèces. L’homme bien qu’apeuré ne semblait pas être du genre mouton passif. Il gesticulait malgré la menace pressante qui pesait sur lui et ne cessait de parler fort. Dans la rue, Kobalt constatait que le peu de passant qui circulait encore ignoraient la scène, visiblement habitués à se mêler de se qui les concernaient.
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Frère-Rat
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Kobalt se maudit intérieurement à la réponse du mendiant. Dans sa soif d'informations, il avait en effet oublié que les nains étaient monnaie courante, ici. Sans parler des hommes ! Il se demanda si il ne devait pas tuer le vieillard séance tenante. En d'autres circonstances, il l'aurait fait, sans aucun doute, mais il avait reçu des ordres bien prècis, il ne pouvait se permettre de désobéir au risque de se mettre toute une guilde à dos. Les yeux presque exorbités, le front ruisselant, Kobalt tenta de se maîtriser.*Tu vas crever, sale primate*. Il parvint à contrôler ses instincts au dernier moment, alors que sa lame pressait de plus en plus fort la gorge du vieux mendiant. Il se releva vivement, il avait totalement retrouvé ses esprits, à présent. Il regarda l'amas de détritus qu'était le vieillard décrépit d'un air franchement dégouté, et entrprit de passer la porte, considérant les options qui s'offraient alors à lui. Il aurait une chance de cornu si les drôles qu'il cherchait se trouvaient dans la taverne à cette heure-ci. Ils pouvaient être après tout n'importe où. Qu'à cela ne tienne ! Il les poursuivrait dans tout le quartier si il le fallait, risquant de les croiser à chaque coin de rue. Autre chose le tracassait... Si ils ne portaient pas leurs brassards ? Comment les identifier ? Il devrait alors se fier à son instinct, comme à son habitude...et à la chance ! Il passa le seuil, alors que le vieillard recommençait avec ses prévisions apocalyptiques sur sa lignée.
_Ma lignée s'arrêtera là, de toute façon : le génie ne se transmet pas, alors à quoi bon ? De toute façons, d'autres comme toi m'ont déjà maudits, imbécile...dit-il en soupirant.
Comme l'esclave n'a qu'un maître, l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens qui peuvent faire sa fortune.J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvelle c'est qu'on est pas amis. La bonne nouvelle, c'est que mon amitié est à vendre... Réputation 8,5
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Frère des Marches
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Va'Sil était assis sur une chaise, dans une taverne désertée de saoulard et autre vermines, où s'accumulait les corps de joueurs qui nourrissait une haine particulière contre les représentant de la loi et de l'ordre, comme le jeune voleur avait pu le constater quelques minutes plus tôt. Récapitulant mentalement les évènements qui avaient découlés d'une idée un peu absurde qu'il avait eu. Puis, la disparition quelque peu contrariante de l'homme qu'il devait interroger
*Ma première mission pour la guilde et je foire déjà... Je peut déjà commencer à me trouver un chariot qui repat vers l'Ouest... Peut-être qu'à Eauprofonde...*
Puis, L'humain fut frapper d'un éclair de génie. Il n'avait pas eu conscience de la disparition des quatre hommes car ils n'avaient probablement pas quitter l'auberge! Le quatuor se trouvait au pied de l'escalier, Va'sil aurit parié sa chemise que le borgne avait filé à l'étage au cours de la bataille. Décidant qu'il n'y avait pas une seconde à perdre, le voleur fit un signe au nain, pour lui faire comprendre quil grimpait à l'étage, et lorsque le tavernier fut trop occupé à sa tâche pour le remarquer ,le volur gravit le plus silencieusement possible les marches qui menaient aux deuxième étage.
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Gardien des mystères
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Narration KobaltLa porte ouverte, quel ne fut pas la surprise du nettoyeur en constatant le chaos qui régnait dans la taverne de ‘la Sirène muette’. Partout s’alignaient les traces d’un combat récent et, le sang et les corps gisant à même le sol témoignaient de sa violence. Pourtant parmi cette vision de désordre sanglant, deux hommes tentaient de prodiguer les premiers soins aux blessés dans un geste secourable. Un homme atteignant la cinquantaine pansaient les plaies, soutenu dans cette tâche par un nain robuste arborant une armure digne d’un soldat en guerre. A ses côtés reposait son arme dont la tête encore souillée semblait avoir servie il y avait peu. A bien y regarder, le brassard licorne de la compagnie était visible sur un des bras du membre du peuple vigoureux. Absorbés dans leur tâche les deux individus ne prêtèrent pas attention au nouveau venu. Dans la pièce, le mobilier éparpillé et renversé ne présentait que peu d’intérêt et seuls un grand comptoir et un escalier étaient suffisamment de taille à être remarqué. Du coin de l’œil, il eut le temps de voir un jeune homme s’éclipser par une porte en haut des marches. Va’silDiscrètement Va’sil passa la porte de l’escalier qu’il avait gravit à pas feutré. Même si le bois des marches avait émis quelques gémissements irritants, il avait compté sur l’occupation du tavernier pour être inaperçu. Désormais dans un petit couloir lambrissé qui sentait le renfermé, le jeune homme essayait de percer les ténèbres de la faible luminosité créée par une lame à huile accrochée au mur. A quelques pas sur sa droite une porte fermée apparaissait dans le mur. Environ cinq mètres plus loin, dans la cloison opposée à l’entrée de la grande salle, une autre porte se dessinait, béante. Aucun bruit particulier ne filtrait des lieux.
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