|
|
Sundabar - 'Mornes allées', les bas quartiers, Enquête dans les bas-fonds
|
Gardien des mystères
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
3 ème jour de la Seconde Chevauchée de Marpenoth durant l’année de l’Entropie – Au crépusculeNarration Ne connaissant pas la cité, étant arrivé depuis peu, il avait dû demander le chemin pour se rendre aux bas-quartiers. Chaque cité d’ampleur possédait un de ces territoires malfamés où la pègre sévissait généralement plus que n’importe où ailleurs dans la ville. Souvent abandonnés des gens qui peuvent se le permettre, ces quartiers renferment la plupart des habitants n’ayant que peu de revenus ou vivants de trafics illicites. Dans la cité de Sundabar, on faisait référence à ce quartier simplement comme sous le nom de « Mornes allées ».
Les gens étaient assez nombreux dans les étroites rues, beaucoup de vendeurs à la sauvette déballaient rapidement d’un manteau des objets hétéroclites, tandis que d’autres faisait l’effort d’établir un semblant d’étalage pour leurs clients. Les odeurs fortes de fritures des vendeurs ambulants se mêlaient aux voix fortes et souvent ordurières pour plonger le visiteur dans une ambiance très populaire. L’allure martiale de Va’sil avec son pourpoint de cuir clouté contrastait suffisamment avec les badauds pour que ceux-ci s’écartent tout de même quelque peu à son approche, apparemment bien décidés à ne pas avoir de problème avec quelqu’un qu’ils devait associer à un homme de main.
|
|
|
|
|
|
|
|
Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Va'sil cherchait parmi la populace de ce quartier miteux, quelqu'un qui pourrait l'aider.
¤Ca me rappelle Eauprofonde! excepté que... c'était tout de même plus joli!¤
Les gens s'écartait à son passage, se méprenant visiblement sur sa véritable identité. Voyant cela, Va'Sil eut une idée. Ulkir Un-Oeil était probablement quelqu'un de connu. Le voleur essaya de trouver un mendiant ou bien un marchand un peu en retrait de la masse de personne présente. Lorsqu'il en eut trouver un il s'adressa à lui sans aucun détour.
- Toi, est-ce que tu connais Ulkir Un-Oeil?Prêt à toute éventualité, le voleur gardait la main non loin de sa dague J'ai 2 pièces d'or pour toi si tu peut me mener à lui. Si tu ne le sais pas, tant pis pour toi, mais je ne te conseil pas de me mettre sur une fausse piste!
|
|
|
|
|
|
|
|
Gardien des mystères
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Va’sil Intimidation (9+0= 9) contre psychologie marchand ( ?) = ? Va’sil Renseignements (14+4(circonstance)= 18) NarrationLe vendeur ambulant qu’avait choisi Va’sil recula d’un pas, tentant de jauger l’individu qui venait ainsi l’aborder en le rudoyant quelque peu, puis se ravisa aussitôt à l’évocation des deux sous d’or qui lui étaient promis en cas de coopération fructueuse. Ses yeux brillaient d’une fièvre palpable. Il prit le jeune voleur par le bras et l’attira un peu plus en retrait, s’adressant à lui dans un murmure. - Chut messire ! Trop parler d’or et de vilaines personnes en ces lieux pourrait vous attirer bien autre chose que des puces ou des poux… Ulkir Un-Œil ? Aheum… Je sais que ce bougre traîne souvent avec un certain Goren Malentrue, un matois pas très ‘propre’ dans ses affaires et je sais dans quel endroit y se pourrait que vous les trouviez. Peut-être qu’en me mettant mon or dans le creux de la main cela me permettra de mieux penser ? Il tendait sa main sale et tremblante à l’abri des regards et souriait d’un sourire gâté.
|
|
|
|
|
|
|
|
Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Va'Sil s'approcha du marchand à la main tendue. Le voleur ayant besoin de ces informations déposa, dans la paume de l'homme, deux pièces d'or, ainsi qu'une troisième en argent. Le roublard fixait le marchand dans les yeux et lui dit en chuchotant
"Et maintenant, dit-moi ce que tu sais."
Le voleur savait bien ce que représentait de l'or pour un pauvre vendeur ambulant qui se tenait devant lui. Il serait prêt à dire tout ce qui se disait pour gagner cet or, ainsi fallait-il se méfier des informations aquises de cette manière. Le voleur trouva un moyen ingénieux de s'assurer la véracité des informations du marchand. Tapotant sa bourse de manière à faire cliqueter les pièces d'or entre elles, Va'Sil dit au marchand
"J'ai une troisième pièce d'or pour toi si tu peut me mener jusqu'à eux. D'autre parts, si tu sais quoi que ce soit qui pourrait m'intéresser sur ces deux hommes, j'ai largement de quoi te récompenser."
|
|
|
|
|
|
|
|
Gardien des mystères
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Narration L’homme empocha rapidement les pièces et les fit promptement disparaître dans une de ses poches, mais eut un tic nerveux à la requête de Va’sil, la peur se lut alors dans ses yeux. - Euh… Vous accompagner ? Ah, vous savez il n’est guère bon pour mes affaires que je sois vu à mener qui que soit voir quoi que ce soit, hein ? Vous comprenez ? Donc je vous indique la route et après, il fit un geste court et rapide de la main comme pour chasser quelque chose d’invisible, je ne vous connais plus… Je ne veux pas d’ennuis avec ce Goren, c’est une brute à la tête une bande de malfrats, très peu pour moi, merci. Et je vous donnerai ce conseil gratuit, vous devriez faire de même. Mais puisque vous voulez savoir où il est votre borgne, vous le trouverez dans une petite gargote : La sirène muette. Il y cuve son vin la plupart du temps quand il est pas en train de traîner avec la bande. Le vendeur ambulant indiqua ensuite la direction à prendre pour rejoindre l’établissement au nom pittoresque. Va'sil a perdu 2 pièces d'or et 1 d'argent.
|
|
|
|
|
|
|
|
Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Va'Sil n'était guère surprit par la réaction du marchand ambulant. Seulement, il aurait préféré ne pas entrer seul là-bas. Heureusement pour lui, si cela tournait mal et qu'on le capturait, son anneau lui permettrait d'appeler à l'aide. Le voleur laissa le marchand à son commerce et suivit la direction décrite par le marchand.
¤Ce Goren serait-il derrière la menace qui plane sur la compagnie?¤
Les hypothèses se bousculaient dans l'esprit du roublard qui se demandait comment est-ce qu'il pourrait approcher son informateur si le criminel était aux alentours. Va'Sil finit par opter pour la réponse habituelle: "J'improviserai!"
Le jeune homme marcha jusqu'à la taverne indiquée par le marchand. Alors qu'il marchait, il se servit, pour la toute première fois de son anneau magique. Il contacta le scribe Théodus Gauchecrampe.
¤ Je sais où est le borgne, il traine avec des malfrats à la sirène muette, je vais avoir besoin de renforts devant la taverne ¤
Le voleur passa son chemin, il ne pouvait rester planter devant la taverne, au cas où ce serait surveillé, il décida donc de marcher un peu plus loin et d'attendre de voir s'il aurait une réponse. Dans un cas comme dans l'autre, il reviendrait quelques minutes plus tard.
Va'sil utilise l'anneau 'Murmure des Marches' et transmet un message
|
|
|
|
|
|
|
|
Gardien des mystères
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
NarrationA son passage devant la 'Sirène Muette' le jeune roublard pu constater que les carreaux de la fenêtre faits de culs-de-bouteille ne laissait malheureusement rien entrevoir de l’intérieur de la taverne. Son anneau semblait avoir bien fonctionné, ayant effectivement bien émis une faible lueur alors qu'il l'avait utilisé. Comme il s'y était préparé, rien ne semblait se passer en retour, ni présager une réponse.
En cet instant, il comprenait toute l'importance que prenait la signification des idéaux de la confrérie: des Frères jamais ne se trahissent, en l'autre ils croient autant qu'en eux-même. La confiance, tel était le maître-mot de cette leçon que le voleur allait devoir apprendre... Une notion nouvelle pour lui qui n'avait, jusqu'alors, dû compter que sur ses propres forces pour survivre.
Autour de lui de nombreux marchands et clients étaient rassemblés non loin de l’entrée de la Sirène muette. Au pas de la porte un homme en guenilles sales mendiait, crachant sans vergogne après les passants qui l’ignoraient. Lorsque Va’sil était passé à ses côtés sans lui accorder plus de valeur qu’aux dizaines d’autres avant lui qu’il avait rencontré sur son chemin, il avait maugréé après lui, proférant des malédictions sur des générations de sa future descendance.
|
|
|
|
|
|
|
|
Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Va'sil qui venait d'envoyer sa demande de renforts et d'avoir la "certitude" que chacun de ses héritiers mâles aurait de fortes tendances à tomber amoureux de d'autres hommes, ainsi que le mendiant le lui avait promis en le maudissant. Sachant qu'il n'aurait certainement pas de réponse provenant de Theodus et confiant que des secours l'épaulerait à sa sortie de la taverne, Va'sil entra. Il avait pitié du mendiant révolté contre la population de Sundabar qui l'ignorait. en temps normal le voleur aurait laisser de bon coeur une maigre pièce de cuivre au vieillard. Malheureusement dans les bas-fonds où ils se trouvaient cela pouvait être dangereux de faire preuve de compassion. Le jeune voleur d'Eauprofonde ne voulait pas se retrouver avec une bande de sans-abris au basques en quête de pitance. Ainsi, faisant la sourde oreilles au malédictions du mendiant, Va'sil pénetra à la Sirène muette.
|
|
|
|
|
|
|
|
Gardien des mystères
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Narration Depuis le peu de temps que Lino marchait dans les ruelles de Mornes-allées, nombre de gens l’observaient déjà, tant sa différence avec la plèbe était évidente. Néanmoins son aspect de solide gaillard et la très connue irritabilité des nains avaient dû suffire pour que personne ne lui cherchât des noises. Revers de la médaille, dès qu’il faisait mine d’avancer vers quelqu’un afin de demander sa route, on reculait par précaution. Visiblement, les gens du quartier avaient appris à éviter de marcher sur des ‘ornières’ dont ils ne pourraient pas se dépêtrer ensuite.
Après quelques errances sujettes aux regards espions des badauds alentour, la paladin put déchiffrer au loin l’enseigne miteuse en bois sur laquelle était peinte une sirène portant les mains à sa gorge.
Va’sil, quant à lui, passait le seuil de la porte lorsqu’il eut la sensation d’un vent soufflant dans sa tête, la voix de Théodus lui parvint alors comme portée par cette brise : « Un frère nain, seul renfort possible, est en route pour te rejoindre à la taverne ». Le jour tombait, pourtant, à l’intérieur le peu de lumière obligeât le roublard a demeurait quelques instants sur le seuil afin que ses yeux s’habituent à la pénombre.
La salle a proprement dite accueillait pas moins d’une dizaine de tables pouvant recevoir un cinquantaine de personnes. Fort heureusement, à cette heure-ci seul une douzaine d’individus étaient présents, mais il semblait évident qu’ils désiraient conserver une certaine intimité, agglutinés qu’ils étaient dans les coins de la pièce. On pouvait avec distinction repartir les clients en trois groupes : deux hommes conversaient seuls éloignés de tous, un groupe de quatre étaient quant à eux tout au fond de la pièce proche d’un escalier menant au premier étage, non loin une tablée de six plus animée celle-là était le centre d’une partie de dés où les participants parlaient fortement. Avec le peu d’éclairage, il était difficile de noter l’apparence précise des individus.
Derrière le comptoir, face à la porte, un homme malingre était accoudé et regardait le jeune voleur dans l’embrasure, un torchon passé sur son épaule. Une odeur de cuisine grasse se diffusait, comme imprégnée dans les boiseries, les murs et les meubles de l’endroit.
|
|
|
|
|
|
|
|
Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
|
|
|
Ayant pénetrer dans l'auberge, Va'sil inspecta les environs. Il vit les deux hommes attablés qui semblaient plus calme, isolés du reste des gens.
¤Peut-être serait-ce Goren et Ulkir? Échangeant au sujet de je ne sais quelle sombre combine?¤
Poursuivant son inspections, il vit le quatuor agglutiné près des escaliers
¤Je ne crois pas que mon borgne fasse partit de ce groupe, mais sait-on jamais...¤
Son regard continua jusqu'à la bruyante table des joueurs qui semblait bien s'amuser
¤Ils ont l'air moins louche que les deux hommes du début, mais ils sont au moins plus faciles d'approche¤
Le regard du voleur s'arrêta sur le tavernier, qui l'examinait en retour. Le voleur avait perdu suffisament de temps comme ça à examiner la clientèle de l'homme, Va'sil se dirigea vers le tenancier et lui dit:
- Bonjour! Je voudrais une bière! puis, sur un ton plus discret il demanda au tavernier, pourriez-vous m'indiquer qui est Ulkir-Un-Oeil? je dois lui parler.
Ne se sentant pas très à l'aise, le roublard attendait la réponse du commerçant.
|
|
|
|
|
|
|
Suivre ce sujet
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’une réponse est faite dans ce sujet et que vous n’êtes pas présent sur les forums.
S’abonner à ce forum
Pour recevoir une notification par e-mail lorsqu’un nouveau sujet est créé dans ce forum et que vous n’êtes pas connecté.
Télécharger / Imprimer ce sujet
Télécharger ce sujet dans différents formats ou afficher une version imprimable.
|
|
|