Le Sud-Est..., A la recherche d'indice dans la forêt...

[Le début est la]

MJ


L'aventure allait semble-t-il enfin commencer pour une partie du groupe, les quatres allaient maintenant certainement etre confrontés à maints danger, qu'il faudra surpasser.
Le soleil brillait intensement dans le ciel, une belle journée commençait, mais comment allait-elle se finir?

La louve marchait devant eux lentement pour l'instant, il semblait qu'elle se soit rendu compte qu'il manquait encore un membre de se nouveau sous-groupe qui avait été creer si rapidement, il y a peu.

Les aventuriers et Marquise commençait à s'éloigner de l'auberge, puis alors, elle s'arreta, regardant derriere elle. Elle s'asseya fixant des ses yeux d'un vert profond l'entrée de l'auberge semblant esperer en voir sortir rapidement l'elfe manquant.

Enfin Uhlas avait rejoint les trois compères qui étaient déjà sur le chemin du départ. En effet, la louve avait ralentit le pas en attendant le retardataire, ce qui avait irrité Elgoan. ¤Encore un petit contretemps, décidément, on ne sera jamais parti ! Enfin, maintenant que tout le monde est là, le départ me paraît imminent. Nous allons bientôt savoir où cet animal va nous conduire et ce qui nous attend…¤

L’excitation de l’aventure envahit le corps affûté de l’elfe d’or. Il allait connaître l’action, le combat, parcourir également le monde et découvrir sans aucun doute des choses qu’il ne soupçonnait même pas d’exister…

Maintenant qu’ils étaient tous réunis, l’elfe du soleil regardait intensivement Marquise comme pour l’inciter à reprendre la route. Plus aucun obstacle ou contretemps ne s’opposait aux aventuriers avide d’aventure… ¤Si quelqu’un ici ressent le besoin de satisfaire quelque besoin naturel maintenant, je le tue sur place. ¤ Même s’il était de nature patient, celle-ci avait tout de même ses limites….

Le groupe était déjà sortit lorsque Ulhas les rejoints. Les trois aventuriers suivait marquise, la louve du demi-orque. La belle journée qui s'offrait à eux serait bénéfique à tous, sauf peut-être à leurs ennemis. Les bois et l'air frais revigorerait les rodeur et bien qu'ils n'ait pas d'affinités particulières avec la forêt, Elgoan et Elen'ira ne détestaient certainement pas non plus de s'y trouver. La louve les guiderait jusqu'à... en fait personne ne le savait. le sang-mêlé les avaient mis en garde quant à la présence de nombreux ennemis et c'était à peu près tout ce qu'il avait dit.
*Mais quel peut bien être le pouvoir que ce Petiot exerce sur cette louve? l'a-t-il dressée? serait-ce un druide?* L'idée que le demi-orque fasse parti du grand cercle druidique semblait absurde à l'elfe, comment un être ayant de la difficulté à parler le commun pourrait être membre d'un ordre aussi sélectif. Puis une idée lui vit en tête, peut-être la nature sauvage du semi-orque l'approchait davantage que l'on pourrait le croire de la nature. Cela semblait plausible mais la théorie demeurait toujours farfelue pour l'elfe des bois. réfléchissant au possibilités Ulhas ne vit pas une racine qui se dressait sur son chemin. il faillit trébucher mais se rattrapa juste à temps et évita la chute. chassant les histoires de druides et de demi-orque de son esprit, il se concentra sur la route, quel belle fin aurait-il s'il s'étalait de tout son long face à un orque armé jusqu'au dents!

Enfin, le groupe était formé et ils étaient en route vers l'inconnu. Ils suivaient Marquise, en silence.
*Marquise... que drôle de nom pour une louve...pour un cheval passe encore.*
Le silence lui pesait et elle ne savait pas trop comment le rompre. Elle songea qu'elle se retrouvait seule avec trois hommes et que cela pourrait s'avérer dangereux pour elle, mais balaya aussi vite cette idée. Ils avaient tous l'air d'hommes d'honneur, il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. Le cas échéant, elle avait toujours un ou deux sorts en réserve. Finalement, n'y tenant plus, elle rompit doucement le silence.

-"Euh... désolée, mais voyager sans discuter me pèse. Quand, je suis seule, je n'ai pas vraiment le choix, mais là..."

Elle fit un vague signe de la main.

-"Alors dites-moi, vous êtes tout trois des hommes aguerris n'est-ce pas? Vous n'auriez pas une petite anecdote à raconter?"

Elle parlait d'une voix légère, cachant son malaise. ELle se donnait l'impression de jacasser comme une pie, une ecervelée.

Ulhas marchait d'un pas sur, mais détentu, la louve les guidait et quitte à voyager ensemble, aussi bien apprendre à connaitre ses compagnons. Une idée que semblait partager la magicienne étant donné la question qu'elle venait de poser aux trois hommes. Ulhas se fit un plaisir de lui répondre le premier.

- Pour ma part j'ai peu voyager. J'ai fait quelques voyages pour rencontrer de la famille, plus particulièrement dans la haute forêt et à Eauprofonde. Plus jeune, je devais approcher la cinquantaine, je me suis rendu avec mon père dans le nord et j'y ai vu la cité des splendeurs. Je ne m'y sentais pas vraiment à mon aise vu ma nature plus "forestière" disons le, mais je dois avouer que cette métropole a de quoi impressioner quiquonque! J'aurais bien aimer aussi voir la cour elfique dans la région des vaux, mais la menace Drow dans ces bois me laisse hésitant, j'aimerais bien visiter cet endroit mais à quoi bon s'y rendre si l'on ne sais pas si on reviendra? Donc pour résumé j'ai asser voyager en compagnie de mes parents et lorsque j'ai atteint un siècle d'Existence j'ai commencer à fourbir mes armes pour partir quelques années plus tard à l'aventure seul, comme un loup solitaire...

Le rodeur se fit silencieux, comme s'il se remémorait des souvenirs qu'il préférait garder pour lui-même. Il attendait aussi que les deux autres hommes leur raconte leur histoire.

La remarque d’Elen’ira arracha Elgoan à ses pensées, plus préoccupé par la reprise de la marche que par animer un peu le groupe. Il ne s’était même pas rendu compte de l’énorme silence qui régnait actuellement.

¤Une anecdote demande-t-elle, mais je n’ai pas réellement d’histoires à raconter…¤ Il refouilla dans sa mémoire… En 119 ans d’existence, il avait bien une anecdote à raconter ! C’est alors qu’Uhlas prit la parole. Lui aussi s’était rendu à Evereska…

« Personnellement, j’ai également peu voyagé. J’en ai même connu qu’un, mais pas des moindres. En effet, j’ai quitté avec ma famille, quand j’étais jeune, Eternelle-rencontre depuis l’assassina de notre bon roi par les drows. On avait pour projet de rejoindre Evereska, la plus belle cité du monde, vous en conviendrez, mon cher ami, s’adressa-t-il à Uhlas. Un voyage long et fabuleux… En outre, je me retrouvais sur le grand océan qui nous séparait du continent. Que de belles sensations j’ai ressentis en ces temps reculés… Voyager sur la mer, c’est ce que je vous souhaite à tous ! Nous arrivâmes alors à la Porte de Baldur, une ville fortifiée que je considère extraordinaire ! Il fallait voir toute l’activité qui y régnait. Il y avait des aventuriers partout. De plus, c’était la première fois que j’en voyais, car je n’avais jamais quitté jusqu’à présent mon île. Il n’est pas difficile d’imaginer mon étonnement à la vue de cette ambiance si particulière. J’ai même eu l’occasion d’assister à des bagarres entre nains et barbares assez comiques.

Mais j’étais encore loin de mon but, et il fallait repartir. Je considère que c’est véritablement ici que j’ai vécu ma première aventure. En effet, la suite du voyage consistait à traverser le marais de Chélimbre, un lieu peuplé de créatures sanguinaires que vous ne soupçonnait même pas l’existence… Et nous n’échappâmes pas à ce qui devait arriver… Des gobelins nous avait tendu une embuscade au couché du soleil et nous combattîmes toute la nuit. Le bilan était lourd, trois de nos hommes étaient morts au combat. Un jeune également est tombé sous mes yeux, et je n’ai pus le défendre à cause de mon manque d’expérience. Tout le monde était, par ailleurs, blessé légerement ou gravement, suivant les cas. D’autres sont morts quelques jours plus tard, sur le chemin, avant de voir la cité des elfes. Ils ont en effet succombé à leurs blessures trop graves…

Après un mois de marche à travers les marais, les collines d’Evereska étaient enfin à porté de vue, à notre grand soulagement. Je ne vous cache pas que nous dûmes encore combattre quelques créatures qui s’attaquaient à notre caravane. Et c’est ainsi qu’au bout de mes 110 ans, je vis la plus belle cité du monde, qu’est Evereska, et que tout le monde devrait voir au moins une fois dans sa vie, n’est-ce pas Uhlas ? J’y ai vécu 5 ans avant de parcourir le monde à la recherche d’aventures et de trésors…

Si je vous dévoile toute mon histoire, car je sais que certains ne comprendront pas mon exhibitionnisme de mon histoire personnelle, c’est tout simplement parce qu’il me paraît stupide de vous cacher des événements de ma vie, alors que nous sommes un groupe d’amis, enfin je le pense, et que je suis persuadé qu’aucun de nous s’attardera à nous assassiner dans notre dos… De plus, je trouve cela même plus judicieux de connaître l’histoire de chacun, afin de mieux se connaître et mieux se comprendre…
Assez parlé de moi à présent ! Je suis sûr, dame Elen’ira, que votre histoire personnelle est bien plus intéressante que celle d’un vieil elfe du soleil, qui a vécu pas mal de choses pour un si jeune âge… »

Après avoir monopolisé la conversation pendant un certain temps, il regarda la louve en espérant qu’elle reprenne rapidement son chemin.

Elen'ira écoutait avec attention les récits d'ulhas et d'Elgoan, ébahie par leurs aventures. Mais quand Elgoan lui retourna la question, elle se rembrunit.

- Vous savez, je n'ai pas grand chose à raconter, hélas.

Se rendant compte de ce que sa réponse pouvait avoir de terriblement incomplête, elle avala se salive et entama son récit.

- Je suis née dans une des forêt de Faerun, laquelle exactement, je ne saurais vous le dire. J'ai beaucoup voyagé et vu maintes cités merveilleuses telles qu'Evereska... Mes parents ne tenaient pas en place... Quans ils sont morts, j'ai décidé de trouver un mage afin qu'il me prenne sous son aile et m'enseigne son art. Puis, je suis partie à l'aventure. J'ai voyagé avec maintes caravanes de marchands, assurant leurs sécurités par quelques sorts mineurs. Mais je n'ai jamais vraiment vécu une aventure extraordinaire...

Elle se tut. Sa voix avait tremblé à l'évocation de la mort de ses parents. Elle n'était pas encore prête à leur livrer tous ses secrets... Elle sourit d'un air navré à Elgoan.

- Vous voyez, ma vie est bien plus ininteressante que la vôtre.

Elgoan lui rendit son sourire :

« Ce n’est pas parce qu’un passé est moins riche en événements qu’il est moins intéressant, au contraire ! Rien que le fait d’avoir vu Evereska rend une histoire intéressante, croyez-moi. Il lui fit un clin d’œil. De plus, je suis persuadé que vous ne le pensez pas. Vous avez, comme je le constate, affronté également la mort, et c’est une expérience à ne pas négligée, même très importante. En effet, le fait d'avoir vécu cette expérience change considérablement une personne, en bien comme en mal, et elle n'et jamais facile à vivre... Enfin, je suis persuadé que votre vie a été riche en émotion, même si vous ne le dîtes pas… »

Il ne voulait pas l’offenser, ni la brusquer, mais en même temps il sentait que parler de ses parents lui était difficile.

En outre, Marquise ne semblait toujours pas motivée à reprendre la route, ce qui déçu Elgoan. ¤Il est peut-être temps de partir maintenant, même si on a notre temps…¤

Gastibelza, qui avait au début beaucoup hésité car il était très intimidé par l'elfe lunaire, entendant ces récits d'aventure forts alléchants, il s'approcha du groupe pour faire part des siennes.

-Et bien... je vais contribuer à la suite de récit du groupe, même si mes aventures ne sont pas aussi trépidantes que celles de mon ami ni même que celles de madame, mais je vais vous les conter quand même. Je suis né il y a 23 ans, jeune garçon insouciant, sans cesse amoureux, je n'attendais rien de la vie. Mais j'ai grandi, mes parents sonts morts, mes amis sont partis, je ne pouvai rester seul. J'ai pris mes affaires et j'ai quitté mon village natal. Sur les routes j'ai rencontré un vieil homme qui m'a appris la base des lois du combat et m'a appris à tirer. Un jour, fatigué des leçons, je suis parti, et je suis arrivé là ou j'ai rencontré pour la deuxième fois mon cher ami. Mais d'embuscade et d'histoire farfelue, il n'yen a jamais eu dans ma vie et j'en suis bien désolé pour vous car vos oreilles ne sont sans doutes pas encore repues d'aventures chevaleresques.

Il se tut. Durant tout le trajet qu'il avait parcouru seul dans sa vie, il avait souhaité qu'on le laissa tranquille, qu'il ne rencontra personne. Mais aujourd'hui il aurait voulu avoir vécu des embuscades d'orques, des attaques de trolls... Bien sur il aurait pu mentir à ses compagnons pour donner de lui une image d'homme fort, d'homme mur. Mais cela n'était pas dans sa nature. Bouillant intérieurement contre le destin, il souriait à ses compagnons pour donner une impression de jovialité.

J

Le groupe avait repris la marche à la suite de marquise qui marchait devant eux d'un pas ni lent ni rapide, elle semblait ne pas vouloir les épuiser tout de suite.
Les compagnons avaient commené à se raconter des histoire sur leur passé et de temps à autre la louve tournait le museau pour fixer celui qui avait pris la parole, de la malice plein ses yeux jaunes.
Le soleil brillait toujours autant dans le ciel, mais un leger vent venait de se lever, il avancçait a present dans la foret en direction du Sud-Est avec aisance. L'herbe était basse, les branches des arbres ne génaient pas le passage, l'avancé était fluide.

Plus ils s'enfoncaient dans la foret, plus la louve ralentissait le pas et plus le vent devenait fort...
De puissant cris retentirent soudain, des ours, puis des loups.
Marquise s'elança alors dans la direction des cris, laissant sur place les aventuriers par sa vitesse impressionnantes. A present son hurlement c'était mélé à ceux des autres loups.
Des bruits de combat, des cris d'ours...
Quelque chose droit, devant derriere un mur de feuille et d'arbre ce passait et cela avait attiré rapidement la guide du groupe, qui avait déja traversé le mur et qu'ils n'appercevaient plus.