Un artefact au pic de la Dame, Artor postule pour l'Assemblée.

Artor reprit l’artefact avec un certain désappointement, il le rangea délicatement dans son étui nacré et le fourra dans une des multiples poches de sa cape. En effet il n’avait pas vraiment apprécié que l’objet soit vu et touché par des inconnus. Le magicien était des plus soucieux, sa conversation avec la grande prêtresse ne facilitait pas ses décisions, et il était dans la plus totale confusion sur ses agissements futurs. La petite chansonnette du barde inconnu l’avait quelque peu surpris et le regard du magicien transperça bientôt du regard l’étrange humanoïde.

Le visage d’Artor était des plus maussades, il digérait toujours mal la perte des deux jeunes et le faite qu’il doit répondre de sa mission en présence des étranges hôtes du monastère le crispait quelque peu. L’extravagant paladin, toujours à son habitude fit des siennes, incapable de ne pas se faire remarquer, devant la remarque sage du brave halfelin, Artor d’un air tout paternelle prit donc la parole :

"Hum…Si vous pouviez arrêter ses enfantillages, ce seraient des plus remarquable. Nous somme dans un lieu saint et la violence est bannie. Chère druidesse vous n’êtes pas ici dans votre forêt et j’espère que vous vous abstiendrez de vos civilités barbares. Darkurt nous sommes ici en invité et j’espère que par la suite vous cesserez d’importuner les hôtes de la grande Dame. Suivez moi Bekaf, Galvor et Darkurt nous avons a parler, je n’aimerai pas que notre mission secrète ce laisse entendre a de parfaits inconnus…"

Artor et le petit groupe s’isola des autres inconnus et le magicien reprit :"Cette dague est un artefact mythique, pour l’instant il m’est tout a fait inconnu et je compte bien en percer les mystères. Ma mission et de le ramener a l’Assemblée, vous n’avez pas besoin d’en savoir plus sur les réels souhaits de la grande Dame. Mais d’après ces dires des moines du Temple auraient trouvé cet objet à proximité du monastère, dans des ruines antiques…"

Le mage laissa planer un silence pesant et après s’être réhumidifier la gorge continua :
"Je ne vous cache pas que cet endroit m’intéresse au plus au point, je ne vous réexplique pas que ses ruines appartenaient sûrement au défunt mage du Pic de la Dame et tout porte a croire d’après mes déductions que ce lieu recèle d’autre objet en tout genre, une bonne raison de rester plus longtemps ici. Tout d’abord nous allons rester cette nuit, elle m’est nécessaire pour que je regroupe toute les informations sur cet artefact, pour l’instant je vous demanderai de vous reposer et d’éventuellement vous préparer a des quelconques imprévu fourbissez vos armes et mémorisez vos sorts, je vous ferez part de mes recherches rapidement…"

Artor et le groupe revint là ou étaient les trois inconnus et le magicien s’avança vers le barde :"Mon brave ménestrel, puis-je vous parler en privé cela prendra quelques minutes.. ?"
Il mit sa main dans le dos du barde et l’accompagna dans sa chambre ou tout deux s’installèrent sobrement. Le regard du mage étudia l’étrange spécimen, de nature elfique celui-ci était des plus charismatique, mais Artor le dévisagea complètement avant de commencer la conversation :
"Hum…hum alors comme ça vous êtes un fervent défenseur et admirateur des légendes ? Peut-être pouvez vous m’étayez sur vos aptitudes envers la Toile ? Savez vous quelques choses de cet artefact ?"

¤Je ne suis pas juge en ces lieux mais frapper un animal de la sorte, ça ne se fait pas !!! Ils sont devenus aussi ridicule l’un que l’autre mais quelle est l’importance de cette querelle face à celle d’Hannuka, de la merde de gnolls à coup sûr. En tout cas, c’est le loup qui en a pati et il s’en souviendra. Et moi aussi d’ailleurs !!! J’espère qu’il ne lui a pas cassé la queue, ça doit être douloureux de se la faire écraser. Mais revenons à nos gloutons, heu moutons. Ils me fatiguent et me perturbent à force. Tiens, mais pourquoi il me fait un clin d’œil l’autre, c’est quoi ce pervers. C’est quand même pas ces quelques mots qui l’ont excité à ce point. Je n’ai même pas chanter. Remarque il est vrai que dans ma bouche certaines paroles deviennent presque mélodie. Et l’autre maintenant qu’est ce qu’il me veut…¤
Le Barde, très surpris par un contact si proche et tant de familiarité soudaine de la part d’Artor, sursauta légèrement. En son souvenir, c’était la première fois qu’un humain portait la main sur lui de la sorte. Il se ressaisit et suivit le mage dans sa chambre. Une fois sur place il singea les faits et gestes du magicien qui le dévisageait de la tête aux pieds. Puis s’apercevant du ridicule qu’occasionnait la situation, cela l’amusa et il entama la conversation en imitant sa voix soucieuse :
- Hum..hum oui en effet je confirme vos dires. Avant d’enchainer de manière plus solennelle" Mais nous ne nous sommes pas présenter. Je suis Vinistani Lähmee Tribäle, fils de Ani-Krynesti Aÿr Tribäle le Barbare, protecteur de la tribu des Invisibles et de Lan-Wilnesta Elïa Makülan La Rodeuse. Alors ainsi une partie des armes de la légende n’est plus poussière. Sur cet artefact, je ne sais rien et ne m’en intéresse guère. Les armes magiques ce n’est pas mon bol de salade préféré. J'ai appris à vivre sans. Mais ici, je ne suis pas chez moi et la Toile peut s’avérer utile parfois. Pourquoi l’avez vous en main et pourrais-je me rendre à l’endroit de sa découverte ? En tous cas remercier La dame au Fouet de son hospitalité.

L'elfe sauvage faisait le tour de la chambre en parlant se sentant un peu à l'étroit, une envie de se dégoudir les jambes était maintenant perceptible.

-Vous qui aviez l’aire d’être un homme cultivé, j’aurai apprécié de ne pas tomber sur un ignare de plus croyant que les druides sont tous dans la foret, sont des barbares envers les humains et ne savent rien de la vie en société.

Iliana dit ces paroles alors que le dénommé Artor s’éloignait d’elle.

-De plus si la violence avait été autorisée Nephenie aurait mangé votre chien comme dessert. Je lui ai demandé de se tenir en publique, faites donc de même avec votre bouffon puisque vous semblez être le chef.

Crachant ces paroles comme du venin, elle avait un ton méprisant. Elle était vraiment déçue pas l’ignorance de cet homme qui paraissait intelligent et cultivé.

*Après tout, ce n’est qu’un homme.*

Après l’intervention de cet homme, Iliana était tout à fait refroidis de ce fou rire.

*Bon, on va pas se laisser déranger pas des imbéciles congénitaux, passons aux choses sérieuses*

S’approchant de Kotalic, elle lui parla doucement.

-Je suis navré de tous ces débordements de ma part. Nul n’était mon intention de troubler ces lieux, mais certaines attitudes me mettent hors de moi. D’ailleurs en parlant de ces lieux, je n’ai pas eut l’occasion de voir beaucoup de ce monastère. Serai-ce possible que vous m’accompagniez dans les couloires pour me faire visiter ? Je suis de nature très curieuse et j’aimerais vraiment savoir tout ce qu’il y a à savoir sur cet endroit si mystérieux. De plus je n’oserai pas visiter seule, de peur de déranger.

Elle parlait doucement, avec un léger sourire, espérant que le frère Kotalic accepte de lui faire une visite guidée, ou mieux encore lui dise de se balader où bon lui semblerait.

Devant toute cette agitation venant de toute part, Kotalic demeura aussi statique que silencieux. Il n’osa pas s’asseoir un instant ou alors broncher devant les invitées qui déjeunait et spéculait sur cette dague qu’il avait sûrement déjà côtoyer auparavant de toute façon… Le fait d’avoir des infidèles qui fourmillaient un peu partout, n’importe comment dans le monastère l’offusquait toujours au plus haut point, en particulier ceux qui traînaient avec eux de sordide animal ! Louchant toujours vers cette Artor qui l’intriguait, il se permettait de douter de ses principes ou alors de ses compétences à ramener l’objet de grande valeur à l’Assemblé ! ¤Et si cette homme se faufilait ailleurs avec le poignard, et s’il se perdait en chemin ? Après tout, ils ont tardés longuement avant de se montrer le bout du nez… J’ose espérer que dame Shamrass en tiendra compte¤

Le loviate eu presque envie de se faire entendre, lorsqu’il vu tout ces gens tripoter la dague avec aussi peu de minutie, mais lorsque le barde éclata de stupeur à la vue des runes, le prêtre se rétracta, intéressé par la chose. Tendant l’oreille vers la discussion d’Artor et de ce même barde, Kotalic fit mine de rien et demeura toujours muet tel une taupe. À l’affût d’une quelconque visite de sa maîtresse, ou alors de chaque informations pertinente s’évaporant des paroles du mage et de ‘son’ elfe...

Interpellé par la druidesse, il ne pu se concentrer bien plus longtemps sur la conversation malgré ses vaines tentatives. ''Ce monastère n’est en rien intéressant à être visité. Je vous serai gré de bien vouloir profité de ce moment pour vous approvisionner, je ne pourrais vous confirmer quand vous aurez à partir…'' Dit alors calmement de sa toujours aussi sérieuse voix, le frère Kotalic. Inspirant profondément, il prit un instant pour bien déshabiller du regard cette femme qui lui parlait, de manière bien évidemment, furtive. Il se passa la main avec rudesse sur son épaule gauche de manière à soulager un muscle tout crispé, et servit un petit sourire à coin à la druidesse pour ensuite détourner son attention vers ceux qui discutait de l’objet tant convoité…

Artor c'était retiré avec l'elfe sauvage chanteur, et Iliana parlait avec Kotalic et Soveliss, surement morte de honte. Le jeune Illuskien parcouru la pièce des yeux, ignorant la remarque du vieux Galvor puis se décida à se diriger vers Bekaf.

Il sortit sa pipe, jetant un bref regard autour de lui, ne sachant trop si l'on pouvait fumer dans un endroit pareil. Il se souvint avec un vague sourire des remontrances que lui faisait le père Dully lorsqu'il le prenait à fumer dans la chappele du compté.

Le paladin soupira. Cela lui paraissait une éternité qu'il avait quitté le nid familial, et le mal du pays commença à le prendre.

Il baissa alors les yeux vers Bekaf, qui se tenait en face de lui.

-He bien, nous voila tout les deux.Il marqua une pause, soupira e nouveau, puis un sourire se forma sur ses lèvres.Que diriez-vous d'allez vous balader un peu? Notre mage de chef s'est retiré sans nous donner plus d'explications, nous pouvons donc considerer que nous avons quartier libre!

Darkurt se pencha vers l'halfelin, avec un regard malicieux, puis lui chuchota à l'oreille:

-Entre nous, je commence à me lasser de ces murs humide et cramoisi, un petit peud'air me ferait le plus grand bien! Nous ne nous éloignerons pas trop, juste le temps de visiter un peu les alentour!

Il prit le bras de son compagnon et le tira vers la sortie.

Artor avait parlé à Darkurt, et le paladin semblait calmé. Le petit groupe s'isola et le magicien expliqua la mission. Manifestement, ils auraient un peu de temps pour aller fouiner dans les ruines, cela semblait d'ailleur intérésser Artor.

¤ Un petit tour dans ces ruines serait une bonne chose, il y aura sans doute des trésors enfouis là-bas, de quoi remplir un peu nos bourses. Et les magiciens y trouveront de quoi épencher un peu leur soif de savoir. ¤

- Artor, auront nous le temps de visiter un peu les extèrieurs, afin de nous rendre là où a été trouvée cette dague. Le lieu recèle sans doute d'autres objets et des secrets y sont probablement cachés.

Mais l'halfelin n'obtint réponse, Artor sortait déjà, soucieux et décidé à interroger le barde sur sa découverte. Seul Dartkurt et la druidesse était présents désormais, ainsi que le prêtre. Toujours à l'écoute de ce qui se passait, Bekaf écouta attentivement le druidesse qui d'adressait à Kotalic, ainsi que le réponse de celui ci.
Darkurt vint intérrompre l'halfelin dans ses pensées, le saisissant par la bras. D'un geste souple mais décidé, Bekaf se dégagea et regarda le paladin.

- Maitre Darkurt, je ne suis pas un enfant que l'on promène, et si vous vous avisez de tenter de ma trainer à nouveau comme un vulgaire sac, votre visage s'ornera d'une belle cicatrice. Les aventures que nous avons partagées vous l'on épargnée pour cette fois, mais je ne tolèrerais pas que vous recommenciez. Quand à votre idée de visite, nous sommes ici des invités et comme vous avez dû l'entendre, nous ne pouvons aller ou nous voulons.
Les conseils d'Artor sont sages et je vous suggère de les suivre. Je vais pour ma part finir mon repas tranquillement et profiter des quelques instants de repos qui nous sont offerts. Vous devriez en faire de même. Je crois que ces derniers jours ont été difficiles pour vous, je vous ai observé, peut-être devriez vous vous retirez et rendre hommage à votre dieu, et vous rappeller les pourquois de votre engagement.

Bekaf retourna alors vers la table et s'installa tranquillement, il tourna ensuite la tête en direction de la druidesse

- Dame Iliana, veuillez excuser Artor, la route, la fatigue et les pertes que nous avons subies l'auront perturbé. Nous savons tous le travail remarquable que font les druides, et ce que nous devons à ces ardents défenseurs de la nature. Si vous le désirez vous êtes la bienvenue à cette table afin de partager ce repas.

MJ

Si Lorthalae Shamrass s'était immobilisée un instant, surprise par la réaction de Lähmee devant la dague, son attention fut très vite accaparée par le spectacle offert par Darkurt et Iliana. Un rictus méprisant se dessina sur ses lèvres alors qu'elle dévisageait le paladin. La piètre opinion qu'elle avait de la prestation offerte par le disciple de Lathandre se lisait clairement sur son visage. Pour la haute maîtresse du fouet, il était évident que jamais un adepte de Loviatar se laisserait aller à ces tristes extrémités, ce qui traduisait bien la suprématie de la Déesse sur les bellâtres.
Voyant ses différents invités commencer à s'éloigner chacun dans leur coin, elle commanda d'une voix sèche à Kotalic : "Frère, vous êtes autorisé à conduire ces personnes dans les endroits communs du monastère ou à l'extérieur. Veillez seulement à ce qu'ils ne s'éloignent pas trop tout seul, il y a encore énormément d'hobgobelins dans la région, sans compter la vieille mine... S'il leur prend envi de continuer leur déplorable spectacle, veillez à ce qu'ils ne souillent pas ce lieu saint. Je retourne à la chapelle prier Loviatar. Les voies de la Vierge de la Souffrance sont difficile à comprendre, j'ai du mal à croire que l'Assemblée puisse vraiment nous aider, quand je vois la nature de ses émissaires..."
Sur ces paroles un peu amères, la prêtresse quitta la petite pièce et s'éloigna rapidement, les laissant un peu indécis sur la conduite à adopter.

Dans sa chambre, Artor essayait de questionner plus avant le malheureux Lähmee Tribäle mais il était évident que l'elfe sauvage n'en savait pas plus à propos de cette arme. Tout ce qu'il pouvait affirmé était que le fameux nom gravé dessus, 'Dillarel', était étroitement lié à une légende qui courait sur le Pic de la Dame comme étant celui d'un archimage ayant eu des problèmes de coeur. Le barde était assez excité à l'idée de vérifier le bien fondé de cette histoire. Il regrettait que le magicien, dans son empressement à l'emmener avec lui, ne lui ait pas laissé le temps de se renseigner plus précisément sur l'endroit où cette arme avait été trouvée. Enfin, il fallait souhaiter qu'Artor soit assez fort pour, au moins, arracher une partie du mystère de l'objet car, pour le moment, exceptée une forte aura de magie, aucune propriété fantastique n'était visible.

Artor assit les jambes croisées sur son lit, afficha une certaine déception. Il avait espéré mieux du brave ménestrel mais comprenant qu’il n’avait plus rien a retiré de l’elfe, celui-ci ne voulu pas paraître désobligeant et répondit d’un geste nonchalant à son interlocuteur :"Hum…veuillez m’excuser en effet j’ai oublié de me présenter, c’est à croire que mon brave paladin déteint sur moi…" Le mage poussa un rire étouffé par sa main, trahissant les tics d’un citadins coutumiers des usages. Artor se releva délicatement et ouvrit sa porte en conduisant le barde à l’extérieur et reprit toujours de sa voix grave et calme :

"Appelez moi Artor, j’ai apprécié cette petite conversation avec vous j’espère que durant mon séjour ici vous me ferez a nouveau profiter de vos talents. Sur le lieu concernant cet objet des plus précieux, je vous en ferai part quand j’aurai la certitude de mes sources. Pour l’instant prenez cela comme une proposition, en effet les montagnes Nethères risque d’être dangereuses pour un groupe aussi restreint que le notre et votre présence sera des plus rassurantes. Ainsi je vous contacterai d’ici là pour mettre au point ma démarche…"

Le mage et le jeune elfe revinrent vite sur leurs pas, ou étaient resté le reste du groupe, après avoir raccompagné Lähmee, Artor s’avança au milieu des hôtes. Après avoir lancer un regard apaisant à Bekaf, il s’approcha de la grande Dame avant que celle-ci ne parte et du moine Kotalic et lui demanda :"Ô grande Dame j’aimerai vous faire part de quelque chose. En effet l’Assemblée semble intéressé par la découverte de cet étrange artefact, et j’ai eu l’ordre de part les membres du collège dirigeant d’enquêter sur le sujet. Bien sûr j’ambitionne votre aide, car cette contrée m’est plus qu’inconnu et j’aimerai que vous me prêtiez un de vos membres dans le rôle dangereux de guide. Je ne vous cache pas que Kotalic peut y prétendre et que ces capacités ne sont pas à mettre en doute…"

Artor après avoir informé la grande prêtresse de son séjour rallongée au monastère, il avait peur de provoquer son courroux. En effet il savait que celle-ci voulait rapidement l’aide de l’Assemblée, et cette quête ne ferai que ralentir ses espoirs. Le mage n’était pas dupe, le monastère était dans un état des plus sommaire, il soupçonnait que celui-ci ne pouvait essuyer une seconde attaque de la sorte. Et Artor ne comptait pas s’y attarder trop longtemps, en tout cas pas sans avoir fouillé ce qui l’intéressait tant. Quoi qu’on dise la curiosité des mages étaient vraiment maladive…

¤Mais c’est quoi ces tics, il a des puces ou quoi !!! Il s’attendait à quoi, que je lui fasse une adapation de la chanson de la légende à l’envers. Tiens oui ça serait une bonne idée ça !!
Dans un ménage à trois, un amant est en trop,
Sorcellerie, violence, tous les moyens sont bons
Pour arriver au but, détruire les illusions,
Et pour finir de trois, arriver à zéro.

Hurk, huurk, c’est un très bon début pour une fin en fait.¤

Pour en savoir un peu plus, Lähmee n’avait pas vraiment le choix. Il devait intégrer ce groupe. Ce qui était vraiment pas une décision trés sage mais bon sage il n'était. Il suivit Artor et se positionna dans un coin éloigné des bougies qui schlinguent. La façon dont il avait dit mon paladin l’avait un peu interloqué. Il ne serait pas le pantin de ce magicien. Il regardait tour à tour le reste du groupe dans les yeux en essayant de mettre un nom sur chaque visage ou gueule. Il se leva finalement pour aller renifler une nouvelle fois ces drôles de lumières. Ca y est l’odeur commençait enfin à ne plus tellement le déranger. Quand la voix de la Dame au fouet retentit, il avait retenu, extérieur, Kotalic, puis Assemblée et nature des ses émissaires. Il prononça quelques que chose en elfique sur un ton mélodieux.
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-Ne vous en faites pas, j’ai l’habitude de ce genre de méprises, mais même en en ayant l’habitude elle sont irritante. J’espère qu’il n’aura pas trop mal prise ma remarque. En tout cas pour moi c’est déjà oublié.

Iliana d’abord déçu par la réaction du frère Kotalic, fut d’autant plus ravie des paroles de la dame au fouet.

*Chouette, une visite guidée. Par contre c’est dommage qu’on n’aille pas partout. Enfin ça m’empêchera pas de me tromper de porte une foi ou deux. Hehehe.*

Avant que la dame au fouet ne quitte la salle, elle réussit à lui glisser un mot de remerciement chaleureux. Par contre cette idée de rencontrer des hobgobelins ne l’enchantait guère.Elle pourrait peut-être se démener avec un ou deux mais pas plus. Cependant elle avait vraiment envie de visiter les moindres recoins de ce monastère en piteux état. Et cette vieille mine. Le ton de la dame était très prometteur.

’ ’

Terminant sa phrase sur un clin d’œil complice avec sa compagne, elle se releva et attendit que Kotalic prenne les devants pour commencer la visite.

Pendant ce temps, le mage avec qui elle avait eu un accrochage revint dans la pièce avec le chanteur a la dague qui refit un tour de la salle.
Visiblement ce dénommé Artor avait l’intention de rallonger son séjour parmi les moines du monastère. De cette façon, elle pourrait finir sa première mission et ensuite, en apprendre un peu plus sur ce qu’elle avait vu comme choses étranges aujourd’hui.