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Un artefact au pic de la Dame, Artor postule pour l'Assemblée.
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le chef de colonne semblait impatient de prendre le départ. La présence de nouveaux assaillants, alertés par les survivants, semblait l'inquiéter. Le eptit groupe se remit donc en route au milieu de la troupe. Bekaf avait remit l'épée et la potion à Darkurt, gardant les quelques pièces et gemmes sur lui. Suivre le groupe ne fut pas des plus facile et l'halfelin fut assez heureux de pouvoir distiguer ce qui ressemblait à une cité, manifestement peu épargnée par les combats.
¤ Hummm, de rudes combats ont eu lieu dans le secteur. J'espère que nous serons tout de même en sureté entre ces murs. Un peu de repos fera le plus grand bien à notre groupe.¤
Le groupe arriva ensuite dans la salle ou se trouvait la grande maîtresse Lorthalae Shamrass. L'accueil ne fut pas réellement chaleureux, mais peu importe, l'essentiel était d'arriver à bon port. Demain, l'inquiétude passée, l'humeur serait sans doute meilleure.
- Mes salutations, et veuillez excuser notre retard, les routes ne sont pas très sûres et nous avons dus en découdre avec quelques orques. Nous sommes nous aussi très fatigués et allons prendre un peu de repos avant de vous retrouver demain. Je vous souhaites de passer une bonne nuit.
Puis il se tourna vers le Frère Kotalic.
- Frère Kotalic, si cela est possible, nous prendrions bien une petite collation avant d'aller nous reposer. Ainsi nous pourrions en profiter pour discuter un peu, notamment de ce qui se passe ici. Qu'en pensez vous ?
Je n'ai nul autre but que celui d'assouvir mes désirs. J'aime l'ombre et la nuit. Ce qui était à toi est à moi, maintenant...
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Initié des Arcanes
Aucune chambre
1 gemme
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Artor avait suivit avec un certain soulagement la cohorte, celle-ci bienvenue avait apaisé les coeurs. Le brave mage songeur, n'était pas très loquace et sur son visage venait d'apparaître quelques rides profondes signe que celui-ci était soucieux. Le groupe avait avancé bon train, arrivé au Temple, Artor face à l'acceil froid des religieux grommela quelques mots dans sa barbe et bien que la grande maitresse semblait intimidante, Artor d'une voix essouflé et fatigué répondit non sans une pointe de cynisme :
"En effet Dame Lorthalae, nous somme fatigué et devant tant d'amabilité, je pense que notre entrevue aura lieu demain, car je n'aimerai pas etre maladroit et donner piètre impression de l'Assemblée, surtout face a une personne aussi renommée que vous. Mais vous savez que notre groupe a subit un choc violent et veuillez pardonner notre apathie, sachant que votre impatience aurait pu couter plus de deux vies, j'espère que ce n'était pas votre souhait !?"
Artor sur cet brève altercation, de mauvaise humeur, se retourna vers le groupe et leur hôtesse : "Bekaf veuillez m'excusez mais je n'ai pas le coeur à parler ce soir, je vous verrai demain au matin, car la nuit est sombre et non propice à la conversation pour ma part. Sur ce bonne nuit mes braves..." Sortant de la pièce, le mage prit la direction du couloir et ferma sa porte violemment. Avisant un prêtre, il lui comanda séchement de le conduire dans la chambre qui lui était réservée et suivit l'homme sans faire plus de commentaires. A l'intérieur on pouvait distinguer les chambres spartiates du monastére, Artor ne s'en plaignait point. Il remercia quand même ceux-ci de lui avoir prévu une bassine d'eau chaude accompagné d'un savon parfumé. Le mage savoura cet instant de tranquilité et de sécurité, bien qu'il savait que prématurément il n'en profiterai pas bien longtemps. Après avoir finit sa toilette, il dépoussiéra son grimoire et consigna dedans quelques écrits. Après avoir coucher sur le papier ce qui le tracassait, il mémorisa ses sorts routiniers et s'installa sur le lit de paille pour un sommeil lourd depuis bien longtemps...
On ne peut pas être un Mage sans avoir au moins une fois dans sa vie connu le sentiment de pouvoir.
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Ly'Aegisir
Aucune chambre
1 gemme
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Lähmee allait d'une bougie à l'autre. Il reniflait les lumières dans un va et vient permanent, montant ainsi qu'il n'était pas habitué à des lieux clos.¤Ho, tiens, Madame est fatiguée, elle voudrait peut-être un petit massage aussi, humm, non, je pense plutôt qu’elle préfère le fouet, la cochonne !!! Bon, aller trêve de plaisanterie, mais qu'est ce que je fais dans ce merdier, oui ça sent pas bon par ici, mais pas bon du tout !!!¤ Arrivé la veille au célèbre Monastère du Pic de la Dame, du moins ce qu’il en restait. Lähmee avait suivi un chemin très long et parsemé d’embûche. Les Montagnes Nétheres n’étaient pas de toute tranquillité mais l’elfe avait l’habitude de survivre dans des milieux bien plus inhospitaliers. L'état du hameau hébergeant la tour noire lui valut des pensées mitigées:¤Mais que c’est il s’est passé ici. Ils ont été assaillis ou quoi, ça craint dans le coin. Et puis c’est quoi cette odeur !!! Mais ça pue c’est pas possible. Ca doit-être l’autre type là. Ha mais non ça vient de la bougie. C’est bizarre, ils ont de la bourre de laine dans le pif ou quoi. Ca chlingue, il doit y avoir autre chose, c'est pas possible, un rat crevé. A moins que ce soit pour masquer une autre odeur.¤ La légende de Pic de la Dame, mélange d’idylle et de combat avait piqué sa curiosité de barde bien évidemment. L’envie d’en vérifier sa véracité l’avait emporter sur les mises en garde de sa tribu de s’éloigner si loin des siens. Mais Lähmee n’était pas de nature très sage, cela était bien connu. Est-ce que ça allait lui servir de leçon, nul ne le sait encore pour l’instant? Il avait une petite idée derrière la tête pour terminer cette complainte car elle lui paraissait comme inachevée. Edit Mikaïl J'ai corrigé un peu ton post pour le faire mieux correspondre à la chronologie de l'histoire. Ton récit doit commencer au moment où j'arrête le mien. La remarque est vraie aussi pour les autres joueurs : ne vous contentez pas de paraphraser avec d'autres mots ce que j'ai déjà écrit.
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Aventurier
Chambre 22
Aucune gemme
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Iliana était maintenant au monastère du pic de la dame. Elle était arrivée la veille, on lui avait montré ses quartiers, plus ou moins confortables, à l’image du reste du monastère. En effet, ce monastère aurait bien mérité une grande retouche selon elle, mais elle n’était pas là pour faire les décorations. Elle se trouvait avec d’autres personnes qui étaient arrivées avant elle, et la grande prêtresse au fouet prometteur. Au début, un peu timide et surtout observant tout le monde pour se faire une idée de chacun, elle ne parlait pas, et restait plongée dans ses pensées. Elle repensait à tout ce qui s’était passé depuis son départ de Padhiver. Elle avait suivi la trace de ses parents sur le chemin que les marchands de la région lui avaient indiqués. Selon eux elle n’avait plus que quelques jours de retard. Quelques jours de retard, au lieu de 2 ans au départ de Darromar. Cette idée lui avait fait une peur incommensurable. Elle pourrait les rattraper sans se forcer, mais que ferait-elle en les voyant. La tête pleine de ces questions, elle les avaient suivis en direction de Sundabar. Marchant dans les forets assez inquiétantes pour une femme seule, elle avait rencontré un homme du nom de Foragus Malempoigne, avec qui elle avait longuement discuté au cours de leur voyage commun vers Sundabar. Mais c’est quand même avec un léger sentiment de s’être fait avoir qu’elle s’était engagée dans une compagnie de la région des marches d’argent : la compagnie des marches. Cet homme aux coutumes qui paraissaient étranges a la jeune femme avait pris son nom et lui avait donné rendez-vous au bastion pour compléter son entrée au sein de cette compagnie. Arrivés à Sundabar, ils s’étaient séparés. Lui était retourné au bastion et elle à la recherche de sa famille. Ce ne fut pas très difficile de retrouver leurs traces dans cette ville, malgré sa taille habituelle de quatre membres.Une famille comme la sienne ne passe pas forcément inaperçue, surtout si son imbécile de frère est toujours le même qu’avant sa fugue. Elle les trouva dans un quartier assez tranquille, montant leur campement. Elle était restée une bonne partie de l’après midi à les observer, mais ne les approcha qu’en fin de soirée. Elle commença par aborder son petit frère qui était en train de ranger les affaires pour la nuit. Il y eut un grand moment d’angoisse où elle n’était pas sûre qu’il la reconnaisse, mais après un instant, ils étaient dans les bras l’un de l’autre. Ils s’étaient retrouvés après toutes ces années. Son père, attiré par le rafus, arriva en trombe et ne fut autant surpris de revoir celle qui se disait sa fille que la louve qui l’accompagnait. Malheureusement lui n’était pas d’aussi bonne humeur que son fils le plus jeune. La surprise passée, il finit par articuler une seule phrase avant de s’en retourner dans la caravane. « Ma fille est morte, il y a bien longtemps, lorsqu’elle s’est en allée de la maison » Une foi parti, ce fut au tour de sa mère de la voir, et de la reconnaître. Quelle mère n’aurait pas reconnu son enfant, même après tout ce temps ? Elle lui aurait bien sauté dans les bras aussi, mais son mari avait un œil sur elle et elle dut se retenir. Elle se contenta de lui dire ces deux simples phrase, mais qui resteront gravés a jamais dans sa mémoire. « Va ma fille, je t’aime encore, deviens ce que tu rêve d’être, reviens nous après. D’ici là j’aurai peut-être raisonné ton père » Disant ces paroles avec une larme, elle entra à son tour dans la caravane. Et pour finir, revenant d’on ne sait ou en ville, son grand imbécile de frère arriva. Il n’avait effectivement pas changé. Toujours aussi bête et stupide. Il ne lui prêta d’attention que pour lui dire cette unique phrase :
« Ouai, c’est bien toi, toujours amie des bêtes, allez dégage, t’as plus rien à faire ici » Et il s’en fut, sans rien ajouter de plus.
Elle termina la soirée avec son petit frère, à flâner dans les rues et à se raconter leurs aventures passées.De par sa nature encore joueur, il apprécia particulièrement le concours de la barde qui les aida à trouver le borgne. Tout se termina au petit jour lorsqu’ils se dirent au revoir aux portes de Sundabar, quelques jours plus tard, après avoir passé tout leur temps ensemble. Les regardant partir, elle se sentit libérée et sereine, prête à passer a autre chose. Cette autre chose, elle en avait déjà fait une partie, avec Foragus dans la foret. Elle retourna donc au bastion de la compagnie pour finaliser son entrée dans ses rangs. Ce fut plus rapide que prévu. En quelques jours, elle était intégrée dans une des nombreuses phalanges que lui avait conseillé Foragus, et encore quelques jours plus tard, sa première mission lui était confiée, en tant que sœur des marches. Ainsi, après un voyage non sans danger depuis Sundabar - il faut avouer que les montagnes Néthères ne sont pas les plus sures de Faerun - elle arriva aux portes du monastère du pic de la Dame.
Un peu perdue dans ses souvenirs, elle secoua la tête. Revenant sur terre, elle décida de rompre la glace avec les gens alentours, tout particulièrement ce prêtre qui était présent près d’elle. Elle conversait tranquillement de tout et de rien avec le prêtre depuis quelques instants, quand un groupe d’aventurier arriva, mettant assez rapidement la maîtresse des lieux en colère. Prétextant une grande fatigue, cette dernière s’éclipsa sans plus de civilités pour les autres avec elle qu’un bref mot d’excuse et un départ avec le chef de la patrouille qui venait de rentrer.¤Et bien, cela c’est ce que j’appelle du franc parler.¤ Un des aventuriers arrivé depuis peu s’éclipsa rapidement aussi, laissant un autre parler avec le prêtre avec qui elle créait des liens. Il demandait un petit repas avant d’aller se coucher, ce qui rappela a Iliana qu’un bon repas, elle n’en avait pas eut depuis le midi, et ainsi elle décida d’y remédier. N’ayant pas fait grand chose de sa journée à part flâner de ci de là, elle était encore assez en forme pour jouer les indiscrètes avec l’aventurier qui venait d’arriver. S’incrustant dans la conversation sans autre forme de procès, elle lança : « Ca c’est une très bonne idée que d’aller manger un morceau. Kotalic et messire, accepteriez vous que je me joigne à vous pour ce repas, je n’aime pas être seul pour manger le soir. » Feignant une moue d’enfant avec un léger sourire en coin, elle regardait à tour de rôle les deux personnes qu’elle venait d’interpeller. La louve, elle, était toujours couchée a terre, mais avait levé la tête à l’arrivée des aventuriers et depuis elle regardait de ci de là, bien sagement, attendant que sa compagne lui dise de la suivre. Etant en public, elle était forcée d’être obéissante pour ne pas poser de problèmes, mais elle n’en avait pas moins envie d’aller courir un peu partout et fouiner là où elle pourrait. Cependant elle non plus n’aurait pas été contre un bon repas. Ainsi elle restait attentive à ce qu’allaient dire les deux hommes. Waw, j'espere qu'il n'y a pas d'incoherence, en tout cas, c'est probablement le post le plus long de ma cariere...
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Loviate
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le loviate avait demeuré silencieux tout du long, ne bronchant pas même aux paroles déplaisantes de l’impudent qui avait osé questionner la grande prêtresse… ¤Quel affront ! Par la sainte Vierge des Douleurs il aura tôt fait de goûter de mon fouet s’il s’y reprend par deux fois !¤ Kotalic n’appréciait pas particulièrement de voir des infidèles souiller ce monastère, mais jamais il n’aurait osé répondre aux ordres de sa maîtresse. Alors qu’il était là, bras croisés à attendre quelques instructions, il détaillait les nouveaux arrivages comme il le pouvait et en les étiquetant tous sans exceptions.
-Comme il vous plaira. Glissa-t-il doucement à dame Shamrass qui sortait alors de la pièce, accompagnée d’un laquais et suivit de près par cet Artor de l’Assemblé… Relevant la tête, après sa révérence en guise de politesse pour sa supérieure hiérarchique, frère Kotalic s’adressa prestement et d’un ton sérieux au petit homme qui l’avait déjà interpellé : ''Poser les questions et je répondrai si je le puis.'' Se détournant des regards inquisiteurs des nouveaux venus l’espace d’un bref instant afin de s’avancer de quelques pas vers la sortie de la salle, le prêtre trapu se permit d’ajouter : ''Par ici, je vous pris. Je vais tâcher de vous trouver un petit quelques chose…'' Sans regarder derrière lui, le robuste clerc s’en alla vers les cuisines, certain qu’aucuns des visiteurs ne tenterais de lui fausser compagnie, à l’intérieur de son monde à lui…
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Suivant le petit groupe, Soveliss se dirigeait vers les cuisines où, semblait-il, il serait possible de prendre un repas. Il avait fini par enfin arriver à ce monastère. Ça avait été une longue route, selon lui. Il était partit de chez lui en quête de puissance et dans le but, bien sûr, de retrouver son frère. Il se disait que ce dernier avait peut-être été attiré par les possibles parchemins magiques pouvant être trouvés dans la région de ce fichu monastère. Après tout, c'était pour cette raison que Soveliss s'y était également rendu . Malheureusement, rien n'avait été trouvé jusqu'à maintenant. Il savait aussi que sa petite soeur était aussi partit en ce moment pour sa propre épreuve dans le monde des humains. L'elfe s'ennuyait de sa famille. Il avait entendu parler de ce monastère dans une taverne. L'homme lui avait dit que ce monastère était bâti sur un ancien site Néthéril. Cette même source lui avait dit que les habitants de ce royaume aujourd'hui disparu avaient développé de nouvelles façon de lancer des sorts et créer des objects magiques ou même des créatures artificielles. Mais, jusqu'à maintenant, ne trouvant toujours rien, il avait l'impression que quelqu'un c'était moqué de lui.¤En plus de ne rien trouvé, me voilà maintenant en compagnie d'une humaine et d'un elfe sauvage. Normalement ça ne me dérangerait pas trop d'être en présence d'humains mais en ce moment, j'aurais vraiment envie de tuer quelqu'un. Et un elfe sauvage. Non mais...¤ Il continuait à se plaindre interieurement. Habituellement, il tolérait très bien la présense d'autre personnes, peut importait leur race mais, là, il cherchait depuis, celon lui, trop longtemps.¤Dans toute ma carrière de mage, jamais je n'ai cherché aussi longtemps. Rien de ce qu'on cherche n'est trouvable ici. Ces humains sont trop désorganisés. Finalement, je vais prendre un bon repas et un peu de repos. Je vais essayer de me montrer sympathique avec quelqu'un, ça me changera les idées. Ensuite je vais aller me coucher.¤ Aux cuisines, il vit la jeune humaine avec qui il parlait précédemment. Le reste du groupe se joignit à eux. Ils semblaient tous se rappeler qu'ils avaient faim. Soveliss s'avança donc au milieu d'eux et demanda : Pourrais-je m'asseoir avec vous pour manger. Je suis exténué et affamé.'' L'esprit préoccupé par la magie de Nétheril, le magicien prévoyait de questionner le prêtre pour essayer de trouver un de ces fameux parchemins. J'ai essayé de faire un post long pour ne pas trop paraître misérable à coté d'Iliana Edit Mikaïl J'ai un peu modifié ton post pour le faire coller un peu plus à la situation présente. Je sais qu'il n'est pas facile d'intégrer une quête en cours, mais tout cela ira mieux très bientôt. Edit Soveliss: Malheureusement tu t'est permi d'ajouter des fautes d'orthographe a mon magnifique message... Non mais je suis tout offensé. (merci d'avoir améliorer mon post).
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le premier reflexe du paladin, une fois arrivé au monastère, fut de chercher un mirroir pour pouvoir faire état de sa coiffure et de son apparence. Malheureusement pour lui, leur escorte les mena tout droit dans une tour sombre, ou ils durent gravir des escalier, épreuve qui sembla interminable au pauvre Darkurt.
Le jeune humain regarda de droite à gauche, détaillant la pièce, puis fini par jugé qu'il la trouvait lugubre. Moins lugubre en revanche, deux femmes se trouvait dans la pièce, la première semblait être leur hote, et son fouet dissuada Darkurt de tenter toute approche. La seconde n'était pas spécialement à son goût, et le loup qui trainait à ses pieds devait porter de nombreuses puces et autres germes de maladies, ce qui le répugna au plus haut point. Il remarqua enfin les autre hommes, mais à peine le temps de jeter un regard sur eux que le mot « manger » frappa à ses oreilles, et il poussa une exclamation de joie. Un soupir de dépit s'en suivit quand il repensa à l'escaier sans fin qu'il aurait surement à redescendre, et un grognement de dégout quand il comprit que la louve allait apperement les accompagner dans leur repas.
¤ Quelle sorte de femelle peut donc supporter une telle compagnie??¤
Il était en train de se dire que ce ne pouvait être qu'une fille de paysans habituée à la crasse, ou encore une fille de forestier, lorsqu'il s'aperçut que le groupe partait vers la nourriture sans lui.
« -Hé attendez-moi! »
Il courut pour rejoindre les autres dans les cuisines, où il s'affala sur une chaise, éssoufflé, tentant désperement de reprendre sa respiration. Décidement ce monastère puant n'était pas à son goût : peu de femmes, ou alors peu engageante, et des chemins à en faire des arrêts cardiaques.
Soudain, quelquechose attira son attention. Quelque chose de brillant, d'utile, et surtout, surtout, dont il avait besoin. Une casserole. Une casserole si propre que les images se reflétaient dedans. Dans un effort surhumains, il se précipita sur la casserole pour se regarder. Son image apparaissant à l'envers, il commença à tourner la tête, dans un sens, puis dans l'autre, jusqu'à ce qu'il se fasse un torticoli. Furieux de ne pouvoir se voir à l'endroit et de s'être fait mal bêtement, il relacha la casserole qui fit un bruit sourd en atteignant le sol.
Il retourna sur sa chaise et regarda le moine au longs cheveux qui les avait conduit aux cuisines :
« Toi le guide, j'éspère que tu vas nous trouver un bon repas, car on à beaucoup marché mes amis et moi! »
Puis il se tourna vers la druidesse, pointant le loup de son index:
« Et vous madame, cette bête vous appartient? Si c'est le cas vous pourriez au moins mettre ce sac à puce dehors, je ne trouve pas très hygiènique de faire manger à la même table les animaux et les gens civilisés! ».
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Aventurier
Chambre 22
Aucune gemme
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Iliana était assise tranquillement à une table attendant que le dîner soit servi, quand un homme, rustre de chez rustre, lui adressa la parole en lui parlant de la louve. Ses dires étaient secs et froids, avec une pointe de dégoût et un air méprisable sur le visage. Le regardant en haussant un sourcil, elle le dévisagea puis le scruta de haut en bas. Il avait beau avoir fait le malin devant une casserole, il aurait besoin d'un bon masque selon elle pour se trouver une fille ce qui fit que sa remarque sur Nephenie lui allait très mal. Restant calme, elle lui répondit avec un sourire insolent.
-Sachez monsieur l'avorton que ce, sac a puce, comme vous dites, est bien de ma compagnie.Que vu d'où vous venez, elle doit être bien plus propre que vous sachant que son dernier bain remonte a ce matin avec moi-même, et que si vous ne désirez pas être a la même table que les gens civilisés, grand bien vous en fasse, la porte n'est pas loin. Sur ce, si vous me permettez, j'aimerais dîner calmement avec ceux qui me sont agréables et non ceux qui dès leur entrée avant même de se présenter, ce qui serait la moindre des courtoisies, commencent à râler et déblatérer des fadaises sans queues ni tête et sans intérêt. Terminant sa phrase, elle fit un hochement de tête, toujours avec son sourire insolent et se tourna vers les autres. Nephenie quant à elle resta sans broncher derrière la druidesse et ne remarqua même pas que l'on parlait d'elle. Après tout elle n'avait pas de puces, ou si elle en avait, elle en avait sûrement moins que cette espèce d'homme en carapace.
*Non mais ou il se croit celui là.S'il pense que je vais me laisser faire il se fourre le doigt dans l'oeil, cet imbécile.Il me rappelle mon frère, ce qui n'est pas un compliment, loin de là.* Edit Mikaïl J'avais prévu de poursuivre rapidement, mais, en raison de l'idylle naissante entre Darkurt et Iliana, je vais vous laisser faire un peu plus de role-play entre vous Edit Iliana. c'est comme tu le sent. je n'attens plus q'une réponse du concerné avant de lui en mettre encor plus dans la vue....lol et Dark, je te rassure, il n'y a rien de personelle en rapport avec l'arene du Phenix. ici c'est entre Iliana et Dark et non entre toi et moi. bon courage elle est acide parfois.....
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Aventurier
Aucune chambre
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Galvor avait le pas lourd, il est vrai que son âge ne le rendait pas très endurant. Ses pieds traînaient, usant la cornure de ses bottes ce posèrent sur un sol de pierres dallées. Heureux d’abandonner le chemin sablonneux et escarpé des montagnes et d’enfin pouvoir espérer se reposer donna un certain entrain au vieux magicien. Le temple n’était pas réellement spectaculaire et comme Artor lui avait expliqué celui-ci venait d’essuyer une violente attaque qui rendait l’endroit précaire.
Galvor et le groupe venait enfin d’atteindre le Hall d’entrée où ils eurent l’accueil coutumier de politesse. La froideur de la grande prêtresse lui fit perdre sa bonne humeur, et il comprenait parfaitement la colère de son ami. Il le savait sage et calme, mais il ne pouvait blâmer sa réaction impulsive. Tout le monde était à cran et sûrement encore plus Artor de part son statut de chef. Il le vit vite s’éclipser, et compris son envie d’être seul.
Les yeux de Galvor s’attardèrent sur l’assemblée d’énergumène et les salua brièvement d’un signe courtois : « Enchanté messieurs et mesdames ! » Le vieux mage usé ne voulait pas s’attarder et son esprit clémander une bonne dose de sommeil. Prenant exemple sur son ami mage il prit la direction du couloir et s’installa dans une des chambres, fermant la porte à double tour derrière lui. Demain la journée promettait d’être crevante et Artor aurai besoin de ses conseils, bien qu’il savait que celui-ci était quelqu’un de brillant et d’une profonde expérience, même plus que Galvor… Il pouvait lui faire confiance…
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Aventurier
Aucune chambre
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Bekaf avait suivit le prêtre, il avait remarqué la présence de quelques personnes dans la salle et fut surpris de les voire suivre. L'halfelin s'installa à table, dans l'attente d'un repas mérité. Et une fois encore Darkurt se faisait remarquer. Décidément l'ordre des paladins avait bien changé."
- Ne vous offusquez pas, dame ...,j'ignore votre nom. Je me nomme Bekaf, et je parcours ces terres avec quelques compagnons. Dartkurt est un jeune chien fou, qui est sans doute un peu énervé, suite aux exploits qui furent les siens lors des dernières échauffourées que nous avons vécues. L'heure n'est plus aux querelles, mais au repos. Partageons donc ce repas ensemble, vous nous direz ce qui vous amène dans ces montagnes. Je vois que nous sommes nombreux autour de cette table. L'occasion nous est donnée de faire connaissance, profitons de ce moment de calme, quelquechose me dit qu'il sera de courte durée.
Puis l'halfelin se recula dans son siège, attendant la réaction de ses interlocuteurs et espérant que Darkurt retrouverait son calme. Bekaf aspirait à un peu de calme après le voyage tumultueux qu'il venait de faire. Il doutait de plus en plus de la fiabilité du paladin. Son comportement incontrolable pouvait mettre en péril le groupe, et les jours à venir nécéssitait une grande cohésion et une grande prudence.
Je n'ai nul autre but que celui d'assouvir mes désirs. J'aime l'ombre et la nuit. Ce qui était à toi est à moi, maintenant...
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