Sur la route de Elk, arrêt "bivouac"

Orodreth vit ses amis prendre place près du feu. Puis, à son grand étonnement, ce fut un genasi de feu qui vint répondre à ses questions. Il en avait déjà entendu parlé à plusieurs reprises mais n'en avait malheureusement jamais vue de ses propres yeux. Passé sa surprise, il fut très content de pouvoir être en face de l'une de ces races plutôt très rare. Celui-ci répondit aux questions de l'elfe par d'autres questions. Bien que Orodreth ne connaissait pas trop l'origine de la tempête, il avait sa petite idée sur le sujet. Dans une légende locale qu'il connaissait, il était dit que c'était un blizzard provoqué par des disputes constantes entre deux dieux : Talos et Aurile. Bien qu'il ne pu être certain de la vérité de cette légende, il y croyait un peu. Autre possibilité, ce pouvait tout simplement être le propriétaire de la voix qui les avait accueilli, qui aurait invoqué ce phénomène. Il en fit part au visiteur.

-Et bien mon bon monsieur, bien que je ne connaisse pas parfaitement l'origine de cette tempête, je peux quand même vous dire qu'une légende locale raconte qu'elle est créé par des disputes constantes entre deux dieux : Talos et Aurile. Je ne sait malheureusement pas si elle est authentique. Voilà ce que nous savons.

Puis, un lien se fit dans sa tête... «Vent de feu», mais bien sûr, cela pouvait être l'individu qui était devant lui. Il se demanda si ses compagnons avaient déjà faient le lien et n'osaient pas le demander. Il décida d'agir.

-Désolé monsieur, mes je me rend compte que nous ne connaissons pas votre nom et que vous connaissez les nôtres, puis-je le savoir, si ce n'est pas trop indiscret, bien sûr. Ah, au fait, vous n'avez pas répondu à ma question, y a-t-il une place où nous pourrions nous reposer et manger. Car nous sommes très fatigué des épreuves que nous avons dut traverser. Peut-être pourrions nous reprendre cette discussion demain lorsque nous serons plus frais et dispos.

Il adressa son plus beau sourire au genasi en attendant sa réponse.

Nanaki était assez intrigue par la voix qui le hanté toujours. Mais le soulagement qu’il éprouvait et tellement intense qu’il place de coté ces angoisses. Il voulait savourer une bonne peinte ! Pour évacuer tout le stresse qu’il avait accumuler durent ce long voyage. Les craintes pour ces compagnons dont certain n’aurait pas survie à cette tempête.

¤ Je pense que seul un ou 2 membres du groupe aurait pu survivre à cette sacre tempête ! ¤

Nanaki prêta sont attention au prêtre de Kossuth. Il lui semblait assez sympathique mais il ressentait une certaine crainte car il lui semble que c’était un Genasi de Feu. Face à l’inconnue il ne sait pas comment réagir et il préfère laisser Orodreth s’en occuper pour collecter les informations. Il regardait les autres membres et il pouvait y discerner leur enthousiastes d’avoir trouvé un lieu de repos.

!Nanaki!

MJ

Le Genasi aimait manifestement les histoires : il but vos paroles jusqu'à la dernière. Quand il eut bien compris de quoi vous parliez, il ne put s'empècher de rire, avec un léger ton de moquerie, ce qui fit émaner quelques flammèches de sa bouche -un effet innofensif quoique amusant.

- Savez-vous que cette histoire est un conte que l'on raconte ici aux enfants, depuis que ces tempêtes sont notre lot quotidien ? Néanmoins, vous ne devez pas être loin du vrai...Ces blizzards sont d'une intensité vraiment peu commune, et cette hisoire de voix me trouble, pour tous vous dire.

*Il s'arrêta un instant, d'un air comme solennel*

- La tempête devrait se calmer d'ici l'aube. J'aimerais vous demander une faveur : pourriez-vous demander aux villageois, quand ils seront rentrés chez eux, s'il n'ont une idée, ou aperçu quelque chose ?

Il se tourna vers le brasier central, alimenté par la Volonté du Seigneur flamboyant, ainsi que par une floppée de meubles, qui ne serviront plus à personne. En effet, les villageois brulaient depuis plusieurs jours tout ce qui pouvait être utiles à leur survie.

- Cette situation devient insupportable...Les villageois, en plus de devoir jeter aux flammes tout ce qu'ils possèdent, doivent se contenter de très peu de nourriture, et il ne nous en restera plus beaucoup...J'ai certes le pouvoir d'en créer un peu chaque jour...Mais ce ne sera jamais suffisant pour un village. Que faire...?

Il s'en alla alors, et un baillement général vous informa qu'il était temps de vous reposer. Les villageois vous aivaient donné quelques couvertures. Vous vous installiates dans un coin de la pièce, pas trop loin du feu, et sombriez vite dans le sommeil, en repensant à ce qui vous était arrivé aujourd'hui...et à ce qui se passera demain.

(...)

Alors que la nuit était bien avancée, vous entediates des bruits de pas près de vous. En ouvrant les yeux, vous pouviez apercevoir le genasi qui s'approchait de vous. Il s'accroupit, et vous dit :

- Je viens d'apprendre que le Fort du Sud a été abandonné, et qu'il est encore plein de vivres ! De quoi nous nourrir tous plus d'une semaine. J'ai besoin d'aventuriers de votre trempe pour m'aider. Vous m'accompagnez ?

Coleria, dont l'ouïe était extrêmement developpée leva la tête en entendant les pas du genasi. Lorsqu'il proposa au groupe de l'accompagner, elle sentit la chaleur qui s'émanait de lui lui fouetter la figure. Elle se releva lentement, se débarassa des couvertures et se mit debout en silence.

Elle toisa le prêtre et dit d'une voix calme :

- Ce serait avec joie que j'aiderai ces villageois.

¤ C'est surtout le meilleur moyen de savoir si tu es bel et bien la personne que nous recherchons. Si c'est bel et bien toi, notre tâche sera plus facile... ¤

Elle tourna la tête vers le groupe légerment somnolant, et recupera ses affaires posées au sol. Elle secoua en passant Reverie et Alaric afin de mieux les réveiller.

Elle s'approcha d'une table, s'y assit tout en attendant patiement le réveil complet de ses compagnons.

- Je ne sais pas si mes compagnons veulent me suivre, car j'ai été la cause de bien des souffrances durant cette tempête mais... Quand partons-nous? dit-elle en souriant.

¤ En espérant qu'ils aient eu la même idée que moi, ce sera toujours mieux d'être nombreux si cet homme est bel et bien "Vent de feu"... ¤

Entendant les bruits de pas d'Hyrvan, Aidan ouvrit un oeil et écouta ce qu'il se dit entre l'elfe et le genasi de feu. Le prêtre de Tempus avait gardé de vielles habitudes des champs de batailles; entre autres, avoir le sommeil léger afin d'être à même de réagir que ce soit a une menace ou l'ordre d'un supérieur. Bien qu'il ait pu paraître assoupi, il était désormais alerte et sur ses deux pieds.Il signifia ainsi son accort tacite avec Coleria

-Le temps de réveiller les autres et de me préparer, et je suis a vous.Dit-il tout en baillant, bien qu'il fut alerte son corps demandait du repos.

¤Douze ans que je fais ce métier et mes réveils sont toujours aussi difficiles. Tempus, guide ma main de ta volonté, aide moi à équilibrer la bataille pour ces villageois¤ dit-il en prenant son médaillon entre ses mains

Aidan se dirigea vers Orodreth et Nanaki pour les réveiller, puisque Coleria s'occupait de Reverie et Alaric. Arrivé à la hauteur d'Orodreth et Nanaki, Aidan tapota légèrement les bottes d'Orodreth puisque les elfes sont sensé avoir le sommeil léger et frappa franchement dans celles de Nanaki.

-Allez debout là dedans, le devoir nous appelle.

Le prêtre de Tempus se tourna vers Coleria.

-je ne sais pas pour nos compagnons mais pour ma part je viendrai, pour aider les villageois et puis tu sais bien qu'il n'est pas bon que je te laisse vagabonder ainsi. dit-il en lui rendant son sourire.

L'homme s'attablàt et prit dans son sac des restes de provisions qu'il installa au milieu de la table, puis attaqua un morceau de viande séchée, en attendant que les autres se lèvent.

Je n'aime pas voir les quêtes mourir, et comme je pense que vous êtes absents à cause de la rentrée, je vais tout de même continuer!

Coleria resta de marbre, même si elle riait intérieurement suite à la remarque d'Aidan. Elle l'observa manger en pensant :

¤ Au moins, on sera deux optimistes. Maintenant, ce serait bien qu'il en soit de même pour les autres... ¤

L'Elfe se trouvait non-loin d'une fenêtre. En tendant l'oreille, elle entendit le souffle du vent se fracasser contre les murs des habitations d'Elk. La tempête demeurait, mais Coleria avait l'impression qu'elle s'était quelque peu accalmée.

Elle observa le Genasi du feu, ce Hyrvan Ny'Herjj, qui était resté droit au milieu de la salle. Elle ne pouvait s'empêcher de le regarder, fascinée. Toute cette chaleur qui s'émanait de lui... était-il réellement celui qu'ils cherchaient?

Elle sauta de la table où elle s'était assise, et marcha avec la démarche souple d'un félin à travers la pièce. Elle se rapprocha du feu, où les faibles braises crépitaient lentement. En les regardant, elle se rapella du jour où elle l'avait rencontré... Un simple humain, bléssé, agenouillé près d'un feu tel que celui-ci. Coleria l'avait ravivé, puis avait guéri le jeune homme. Le lendemain, ils se quitèrent, et elle ne sut pourquoi desormais chaque jour, chaque heure, chaque nuit, ce souvenir l'accompagnait.

¤ Ne pensons plus au passé. Ce présent risque d'être dangereux, et il vaut mieux se noyer dans cette tempête que dans ce souvenir. ¤

murmura-t-elle...

Edit Nienor : Ben, personellement je suis là...Mais bon, une quête à deux trois joueurs alors qu'elle en comportait 6...Je vais recontacter les autres, sinon je posterai demain.

Nanaki venait de se faire réveiller par Aidan. Il avait enfin dormi un peu prêt convenablement. Il voyait que certain de ces compagnons était entrain de se lever mais Aidan et Coleria était déjà debout autour d’une table. Nanaki étira ces muscle engourdi. Il avait son bras gauche qu’il lui faisait mal. Une ancienne blessure qui avait du mal à guérir.

¤ Cela me passera ! ¤

Il entreprit d’aller voir Aidan et Coleria à la table :

- Bonjour, bien dormi ? Alors il y a du nouveau ?

Nanaki remarqua la présence du Genasi. Il était toujours aussi inquiet qu’avant. Mais il se sentait plus apte à réagir en cas de problème.

- Hyrvan, comment allez vous ? Vous me semble bien soucieux. Désirez vous de l’aide ?

Bon, ben vu qu'il n'y a plus personne depuis quatre jours... désolée, je sais bien qu'avec le cours, les révisions et tout ça, ce n'est pas facile d'avoir du temps libre pour aller sur le forum... Mais bon je continue.

Coleria tourna le dos au feu et se rapprocha de Nanaki qui venait de se réveiller.

- Es-tu prêt, tout comme nous, demanda l'elfe, à aller aider ces pauvres villageois affamés?

¤ Et surtout es-tu prêt à te tenir sur tes gardes, es-tu prêt à attaquer au moindre geste suspect, es-tu prêt à te méfier d' Hyrvan? ¤

L'elfe de la Lune gardait un oeil sur ses deux autres compagnons qui s'extirpaient du sommeil avec difficulté. Elle quitta Nanaki et Aidan s'un pas rapide avant de s'arrêter devant une table tout prêt de Reverie, Orodreth et Alaric.

L'elfe regarda attentivement le sommet d'une amoire plaquée contre le mur, non loin de la table. Elle voyait une petite masse sombre. Son ouïe extrêmement fine l'avait alertée d'une préscence vivante.
Sans aucun bruit, elle sauta sur la table et tendit la main au-dessus du meuble. Elle sentit quelque chose et le saisit avec grande délicatesse. Son visage s'attendrit soudainement. Dans ses mains, un jeune Petit Duc huhulait des cris apeurés. Comment était-il arrivé là, Coleria ne le savait pas et s'en moquait. Ce qui lui importait à présent, c'était ce petit et frêle ange de plumes, qui semblait tétanisé par la peur.

- Ne crains rien... chuchota Coleria. Avec moi, tu es en sécurité.

La jeune elfe caressa le plumage de l'oiseau, qui semblait apprécier ce geste. Coleria desserra ses mains, et le hibou vînt se percher sur sa tête. L'elfe sourit.

¤ Et alors? Tu veux bien m'adopter? ¤

- Désormais, dit-elle au Petit Duc d'une voix solennelle, tu te nommeras Dulhaï et te seras mon adjoint! Content?

Dulhaï émit s'envola de sa tête pour se poser sur l'épaule de sa nouvelle maîtresse et se frotta contre sa joue. Décidement, elle plaisait aux animaux...

Je veux bien mais bon à trois, seuls, on va tourner en rond huhu... Même si je en poste pas toujours je surveille le topic de près

Aidan fut heureux de voir que Nanaki avait aussi rapidement émergé par rapport au reste de ses compagnons. Finalement certains elfes devaient avoir le sommeil plus lourd que d'autres. Il se leva, prit une ration et la tendit à Nanaki

-Tiens! Le bonjour mon ami, même si je ne sais pas si ce sera le cas. Notre brulant ami nous demande de l'aide pour ravitailler le village. Si tu viens avec nous tu as tout interet à prendre quelques forces. Le prêtre tendit l'oreille vers l'extérieur. Le gémissement du vent ne semblait pas s'être calmé Parce que m'est avis que le temps va pas nous aider des masses pour notre petite excurtion...

Alors qu'il disait cela il suivait du regard Coléria qui se dirigeait vers le reste de la troupe, plus ou moins fraîche. Pour l'instant tous trois avaient de la chance, ils semblaient s'être rapidement remis des mésaventures de la veille. Il finit par se diriger vers leur couche histoire de les réveiller une bonne fois pour toute. Son mouvement fut brusquement stoppé, heureusement por Orodreth cela dit en passant, par un hululement qui emplit la pièce. Aidan se retourna brusquement, assistant à la création d'un nouveau compagnon de route... une chouette ou un hibou à ce qu'il pouvait voir...

¤Bon ben avec tout ce boucan ils ont du finir par émerger, non? Et en cas on pourra peut-être se séparer en deux groupes, l'un restant au village pour protéger et aider les villageois...¤ Amusé il se dirigea vers le nouvel ami de Coléria

-Charmant ! Tu fais les présentations?

Je suis encore là!

Coleria se retourna vers Aidan. Elle lui sourit et jeta un regard au petit hibou, qui observait, amusé, le prêtre de Tempus.

- Bien sûr! Je te présente Dulhaï, mon nouvel adjoint!
Petit huhulement de ce dernier... Et, Dulhaï, je te présente Aidan!

Le hibou s'envola de l'épaule de Coleria, lui laissant de légères griffures sur l'épaule. Il vînt se percher sur la tête d'Aidan et huhula bruyament.

- Je pense que c'est sa manière de dire qu'il a compris!

L'elfe sourit en regardant l'animal. Il semblait regarder derrière elle. Soudainement, Dulhaï s'envola et vînt voleter autour de la tête d'Hyrvan. Il poussait de grands cris, comme pour alerter sa maîtresse.

- Dulhaï!

Coleria s'élança, et attrapa fébrilement le rapace.

- Voyons, ça ne se fait pas!!!

Elle se retourna vers Hyrvan et lui dit :

- Complètement désolée je ne sais pas ce qu'il lui a pris! Sans doute l'avez-vous effrayé, sans vous offenser!

¤ Ou peut être a-t-il décelé quelque chose de suspect... ¤

- Bon... Je vois que nos compagnons sont un peu longuets... Quand commençons-nous notre quête? Parce que là, on ne rajeunit pas...


Désolée mais c'est vrai...