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Les petits rats sous le Coutelas , Fairïe dans les entrailles de Luskan
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efermant sa main sur celle tendue de la jeune demi-elfe, le sourire de l’Elian s’accentua. Une fois mise sur pied, il l’a ceintura de ses bras l’aidant dans un premier temps à maintenir son appuie sur les murs humides des souterrains. Ce n’est que lorsque l’Elian fut certain que la jeune demie-elfe tenait debout, qu’il s’en écarta.
Un petit bond en arrière, lui suffit à s’écarter de la jeune créature. Les mains dans le dos, son large sourire toujours aux lèvres, il examina avec plus d’attention la guerrière, le buste penché légèrement en avant. Les yeux de Fairië s’arrêtèrent quelques secondes sur la lame qu’elle portait, à n’en pas douter elle devait posséder quelques compétences martiales, mais cela l’Elian n’y prêtait guère attention.-(Elfique) vous verrez ! Lorsque le chant de ma douce chanteuse résonnera dans ce lieu, vous vous sentirez nettement mieux. En attendant … Reposant son poids sur son pied droit, l’Elian se lança dans un tour sur lui-même axé sur son talon droit auquel il ajouta un salut théâtral. -(commun) je me nomme Fairië Atala. Bondant le torse, les points sur les hanches le tout fort grotesque, il reprit. Grand et célèbre aventurier de profession. R elâchant sa pose, il leva l’index gauche en l’air accompagné d’une moue réprobateur. Bon je vous l’accorde, vous n’avez peu être pas encore entendu parler de moi. Mais sa ne serait tarder ma jeune amie. Car … tournant son index vers Zéphyr. Ma Douce chanteuse et moi étions justement en train de travailler sur notre formidable épopée. Son large sourire franc revenu, il continua après avoir de nouveau joint ses mains dans son dos. Mais également Grand explorateur encore inconnu, je vous le concède encore. Mais bientôt mon nom figurera sur toutes les cartes de Faerun. A ses mots son rire franc s‘éleva de nouveau. Puis prenant un air sérieux presque grotesque, il posa son index gauche sur sa bouche. Mais pas un mot ma jeune amie ! Sinon d’autre personne s’enticheront de ce projet. Puis levant les yeux, il sembla se rappeler d’une chose. Mais étant donné que je ne vous ai encore rien dit sur notre épopée, vous ne pourrez donc pas l'ébruité. Marquant une légère pause, le front plissé en proie à d’intense réflexion, il reprit fixant le sol. Mais donc pour que vous puissiez l’ébruiter il faudrait avant tout que vous sachiez que je pars à la découverte de l’île aux rubis sinon ce que je viens de dire n’a aucun sens. Relevant la tête en direction de la jeune demi-elfe, son large sourire revenu il continua son monologue sans fin. Dans tout les cas, remettez vous vite sur pied. L’aventure continue … Terminant sa phrase par l’index levé en guise d’encouragement, il semblait maintenant n’attendre qu’une chose. Reprendre son épopée dantesque … mais se rendait-il compte de la situation dont laquelle se trouvait la jeune demie-elfe ? rien n’était moins sûr aux yeux de l’Elian.
Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … » Extrait du journal d'Halrim CaecPour trois sœurs trois vives épées; La première sera d'ivoire; La deuxième forgée de l'or le plus rare; La troisième dans un pli de granit sera taillée; la première "Juste Vieillard" est nommée; A "Pressant Dard" répond la deuxième arme; Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de charme Est une lame affamée s'appelant "Liberté". WHELDRAKE - Ballades de la FrontièreFairië Atala
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Maître des Exilés
Chambre 29
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Les mots de Fairïe avaient trouvé leur chemin jusqu’au cerveau meurtri de Sphinx et tandis qu’ils y prenaient pied, pléthore d’images, de sons, d’odeurs et de sensations y revinrent en masse, manquant l’emporter une fois de plus dans un repos salvateur. D’Eauprofonde, elle était remontée vers le Nord, à la recherche de réponses à des questions qu’elle ne parvenait pas à formuler en des termes précis. Elle voulait savoir pourquoi sa vie d’avant avait si tristement explosé en éclats, pourquoi tous ses repères lui avaient été pris de la sorte et, dans cette quête, avait fait le choix d’aller voir plus loin.
A l’approche de la Cité des Voiles, elle avait suivi un groupe de voyageurs qui espéraient –d’après leur dire, elle doutait à présent que quoi que ce soit qu’ils lui aient dit fut autre chose qu’un mensonge- rejoindre Padhiver. Ils avaient acquis sa confiance en lui conseillant d’emprunter un chemin moins conventionnel que la route de commerce, strictement surveillée par une garde suspicieuse à la solde de la Tour de l’Arcane qui l’aurait mise au cachot pour la simple faute d’être une étrangère aux oreilles trop pointues. Les égouts, lui avaient-ils dit, constituaient de loin le chemin le plus sûr et, à défaut de meilleur plan, elle les avait crus. Leur présence rassurante lui avait permis d’y pénétrer sans se faire repérer, lui montrant par exemple le danger de ce sol traitre et glissant.
Au troisième changement de direction, alors qu’elle avait perdu tout sens de l’orientation et du temps, un d’eux, Hagon si son souvenir était bon, s’était retourné vers elle et l’avait assommée pour tenter de la dévaliser loin des regards. Pour une raison qui lui échappait totalement, il n’en avait pas eu l’occasion et avait fui, la laissant pour morte, avec la totalité de son équipement.
La tête lui lançait et elle en était quitte pour une grosse bosse mais n’avait rien de plus grave au premier coup d’œil, si bien qu’elle aurait déjà pu se relever si elle l’avait souhaité.La masse informe était bel et bien un corps, qui arrachait à sa gorge ses premiers mots et semblait vouloir s’arracher à ce sol froid et humide. Un sac à ses côtés, une belle lame, l’étrangeté aurait pu surprendre et nul doute que Zéphyr se posait une foule de questions sur la nature et la raison de la présence de cette créature à cet endroit dans cet état.
A la différence de Fairïe, elle se montrait prudente, prête à réagir s’il s’agissait d’un piège, s’assurant, à chaque pas qu’aucun autre n’était caché dans un renfoncement ou à quelque distance dans un des autres embranchements. C’eut été comble de malchance de faire deux malheureuses rencontres en si peu de temps mais la prudence avait tout son sens.
- Non mon bon ami dansant, elle n'en a pas besoin, mon chant ne soignera pas son trouble, il semble que ce soit autre chose. Regarde, elle n'a pas la moindre plaie, tout au plus une bosse.
Elle secoua la tête, agitant des grelots qui - chose étrange dont Fairïe ne se rendit compte qu'à cet instant - ne semblait s'ébruiter que selon son bon vouloir. Elle conclut en écartant les bras : - "Et si tu choisis de l'emmener avec toi, ainsi soit-il! Bien qu'il restera au Capitaine Bansh le droit de choisir de l'emmener ou pas. Il n'est pas à cheval sur ce genre de principes mais une dame, sur un navire ..." Elle rit de son charmant rire étincelant et secouant la tête, reprit le chemin du marché.- Et trouvons de ce pas un remède mon ami !
" Par delà les brumes "
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La tête de Sphinx lui tourna. Toute c’est information qui lui revenait en plus de lui déclencher une tempête dans le crâne ne lui plaisait pas du tout. Trahis, qu’elle idiote elle avait fait. Elle se stabilisa et attendit quelques secondes pour que sa tête ne lui fasse put autant voir le monde comme un manège, ces souterrains étaient glissant elle ne voulait donc pas se précipité et chuter … à nouveau.
Quant elle le senti elle releva la tête ver les personnes présente doucement afin que le tournis ne la reprenne pas. Elle les observa, un œil averti put voir de la méfiance en Sphinx. Elle fixa sont attention après quelques instants d’étude des lieux et des personnes sur l’étrange individu qui disait se nommé Fairië Atala qui se lança dans un monologue qui n’arrangea en rien sont mal de tête. Elle comprit ce qui était expliquer surtout le fait qu’il n’était ni connu ni célèbre mais le désirai ardemment d’après ses dire et qu’ils savaient comment sortir d’ici pour surement rejoindre un port d’après les dire de la chanteuse.
-(commun) Je me prénomme Sphinx Aodren. Merci de votre aide. Je peux peut être vous être utile. Elle se redressa pour reprendre sont assurance et ses yeux se firent de nouveaux plein de volonté et de détermination. Et sans vouloir vous froissé madame. Braquant ses yeux sur la chanteuse. Vous êtes également une femme pourquoi vous prendre a bord et pas moi ?
Elle regardait la réaction des personne présente elle se méfiait, bien sur, Sphinx venait déjà de se faire avoir une fois alors pourquoi pas deux. Elle reprit une dernière fois là parole avant que toute réponse sorte de leur bouche.
-(commun) Puis je savoir, également, si l’un de vous connaitrez un dénommer Hagon ?
Cette phrase était lancer presque innocemment avec un certain détachement mais pour un œil averti, une personne qui ne regarde pas que la surfasse, un petit rictus de colère au nivaux de ses lèvres et un léger flamboiement du regard définissait clairement ce Hagon comme une personne qu’elle n’appréciait vraiment que peut.
Suite à ses dires elle attendit la sentence avenir. Allaient-ils la laisser croupir ici ou lui permettre de venir ? Quoi qu’il advienne Sphinx restai avec une attitude aussi fier que peut l’être une personne méfiante qui viens de se faire avoir part un premier groupe et qui est perdu donc plus ou moins a la merci d’un nouveaux groupe, dont elle ne sait rien, pour sortir d’ici. De plus des questions la harcelaient. Pourquoi n’avait t’elle pas était détroussé ? Que faisait c’est personne ici ? Et de qu’elle remède parlait la femme au grelot ? Sphinx préféra pour le moment se taire chaque chose en sont temps les réponses viendraient surement.
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aisant des tous petits bonds, pied joint, sur lui-même, on aurait clairement pu identifier l’Elian à un enfant attendant sa sucrerie et cela jusqu’à ce que Zéphyr décida à nouveau de reprendre le chemin de la surface. Trop excité à l’idée de reprendre sa folle épopée, l’environnement de l’Elian se ferma à lui, comme à son habitude, si bien que la présentation de la jeune demi-elfe et même la voie de sa douce chanteuse ne purent percer les murs instables de la conscience du psion. Ce n’est que lorsque Sphinx demanda de se joindre à eux, que Fairië sortit de nouveau de son cocon. Stoppant sa série de petit bond, il fit une enjamber pour se tenir qu’à quelques centimètres du visage de la guerrière. Sa tête légèrement de côté, son sourire habituel, la jeune demi-elfe pouvait maintenant discerner un léger éclat dans les yeux de l’Elian. -(commun) La question ma chère n’est certainement pas de savoir si vous nous serez utiles ou non. Mais … à ce mot il leva l’index droit entre son visage et celui de son interlocutrice … de savoir ce que vous, vous voulez faire. Marquant une légère pose il se contenta, les yeux toujours braqués dans ceux de son interlocutrice, de lui asséner un grand sourire emplit d’une profonde franchise. Une petite pirouette lui suffit à se retrouver dos à elle. Marchant à tout petit pas autour d’un cercle imaginaire il continua. Car voyez vous, toute la question se trouve posée en ces termes. Que voulez vous faire ? Voulez vous écumer les mers ? Partir à la découverte de nouvelles contrées ? Ou peu être croiser le fer face à des étrangers pour prouver vos compétences ? Vous vengez ? Ou que sais-je, piller, voler, assassiner et bien d’autre. Cette dernière phrase sur le ton de la neutralité, donnait tout un sens quand à la vision du monde que Fairië pouvait s’en faire. Stoppant sa progression au sein de son cercle imaginaire, il s’immobilisa face à la demi-elfe. Vous possédez le don le plus précieux qu’une personne dispose. La liberté … à ces mots ses bras s’ouvrirent en direction de Sphinx. La liberté de choisir le chemin que vous souhaitez. Sans un mot de plus, il se tourna vers Zhépyr lui emboitant le pas et lassant tel quelle la jeune guerrière à ses choix. M archant en cadence, imitant de façon sur jouer la cadence de marche d’un soldat, il ne put se retenir de nouveau de faire entendre sa voix.-(commun) vous savez ma douce chanteuse… vos grelots vous vont à ravir …
Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … » Extrait du journal d'Halrim CaecPour trois sœurs trois vives épées; La première sera d'ivoire; La deuxième forgée de l'or le plus rare; La troisième dans un pli de granit sera taillée; la première "Juste Vieillard" est nommée; A "Pressant Dard" répond la deuxième arme; Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de charme Est une lame affamée s'appelant "Liberté". WHELDRAKE - Ballades de la FrontièreFairië Atala
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Sphinx ne fut pas surprise de ne pas obtenir de réponses vu la spécificité des personnes ici présente. Quant Fairië se mit à faire des petits bonds et des gestes farfelus elle se retrouva entre plusieurs sentiments contradictoires. Tous d’abort l’énervement, il faisait le pitre alors que la situation ne si prêtait pas forcément. Ensuite l’amusement, il fallait bien l’avouer malgré tout il le faisait bien et, voulut ou pas, cela la détendait un peu. Un sourire léger se déclina sur son visage même si pour finir un peu de d’épit face a la folie quasi certaine de cette personne se mêla encore a ses ressenti.
Quant il commença à parler elle l’écouta comme elle avait toujours écouté la pluspart des personnes,atentivement. On peut toujours y tirer leçon, renseignement, ou simplement une bonne histoire.
¤ Une liberté. J’en ai une sans en avoir. Il faut que je trouve qui a tué Darék et pourquoi. Je dois maintenant retrouver aussi ce Hagon histoire de lui montrer que l'on ne trahi pas sans en subir un moment ou un autre les conséquences. Pour le moment je dois sortir d’ici. ¤
Quant elle releva la tête ils étaient en train de reprendre leur chemin elle leurs emboita donc le pas sans dire mots pour le moment.
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Maître des Exilés
Chambre 29
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Zéphyr rit à la gentille remarque de Fairïe puis se tourna vers la demoiselle, levant au ciel comme pour lui signifier, en un secret de fille à fille, de ne pas apporter trop d'attention à la folie de l'Elian : - "Et bien, très cher Sphinx, il se trouve que le capitaine est un ami de vieille date ... et que jamais au grand jamais je n'irai mettre un pied sur son navire ! Le Cuivre-Feuille, un bien singulier navire pourtant !" Elle rit à nouveau et c'était comme une cascade prenait naissance dans un amas de roches et y faisait fleurir autant de fleurs.
- Il y a plus d'un âne à s'appeler Hagon. Pourquoi cherches-tu le tiens? Si il est passé par ici, il y a fort à parier qu'on le croise au marché lui aussi, nous ne sommes plus très loin et c'est le seul point d'intérêt dans cette zone des égouts. Vous entendez? Même si il était encore impossible de savoir d'où et de qui, il y avait en effet du bruit, et peut-être même un peu de lumière mais sans doute au détour d'un coude ou de plus. Il sembla à l'ouïe elfique de Sphinx que les sons étaient plus aigu que ce qu'on aurait du entendre à Luskan. De l'agitation peut-être.Zéphyr chuchota quelque chose et les derniers danseurs lumineux la quittèrent dans une valse aérienne vers un couloir de plus en plus éclairé. Celui qu’ils empruntaient maintenant n’était plus divisé en deux par une voie d’eau et ils purent se déplacer sans plus craindre de se cogner ou de glisser de se tenir penchés.
Ils débouchèrent alors sur un couloir de vingt pieds de large (6m) au centre duquel coulait une véritable rivière souterraine occupant la moitié de la largeur là où le précédent canal était rempli d’une eau quasi stagnante chargée d’immondice. L’odeur y était moins forte encore, le sol semblait même entretenu, le plafond, vouté, était plus haut aussi et à distances régulières, sur la gauche, dans des cavités creusées dans la maçonnerie, des lampes tempête apportaient un éclairage remarquable pour un tel endroit.
De loin on pouvait voir des tissus colorés d’échoppes temporaires, des tonneaux, des caisses, des planches en travers de la voie d’eau, des ouvertures plus large d’un côté et de l’autre et … la source de l’agitation qu’ils avaient perçus et qui maintenant résonnait clairement : Des gens se battaient entre les obstacles dont certains brulaient à l’odeur et la fumée qui s’en dégageaient déjà contre une masse grouillante de créatures, peut-être des rats ... Sur la rive en face, trois humanoïdes de petites tailles, encapuchonnés de pourpre, fuyait. Leurs manteaux étaient sales de sang autant que de crasse et abimés en plusieurs endroits. Un éclair d’énergie bleuté crépita, suivi d’une nouvelle série de cris. Des gens hurlaient au milieu de bruits de verres brisés, d’éclaboussures …Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Jet de Perception auditive de Sphinx : 19(dé) +3 = 22 Jet de Perception auditive de Fairïe : 14(dé) -1 = 13 Jet de Perception auditive de Zéphyr : 2(dé)+ ? = ? … et d’une étrange mélodie que l’excellente ouïe de Sphinx fut la seule à percevoir. Un son de flute lui semblait-il.
" Par delà les brumes "
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Sphinx écouta la demoiselle qui s’adressait à elle. Pourquoi cherchait-elle ce Hagon. Elle lui répondit sans plus attendre.
- Comprendre et peut être suivant ses dire lui faire tâté de ma lame afin qu’il comprenne que je ne suis pas personne a pardonné les attaque déloyale et le fait que l’on me dupe. Voilà pourquoi je cherche se fameux Hagon…
Elle arrêta sa phrase qui commencer a pointé sur une colère grondante envers la personne qui l’avait abusé, des bruit aigu, lointain, attira ses oreilles peut être le fameux marché dont venait de parler la demoiselle. Quelle ne fût pas sa surprise de découvrir la scène qui se déroulait en ces lieux.
Une agitation, oui, mais surtout une panique. Dans se qui aurait pu être un marché, noir peut être bien, régnait un chaos sans nom. Sphinx vit d’étrange forme vêtus de rouge encapuchonnés. Non pas vêtu de rouge, du sang voilà pourquoi ils avaient cette couleur. Elle se concentra tenta de comprendre la situation. C’est alors que ses oreilles, comparativement pour certain a celle d’un animal a ouïe fine, se mit à réagir. Un bruit de flûte qui a part un barde jouerai de la flûte dans un moment pareil. Il fallait ouvrir l’œil et tenter de savoir ce qui ce passai. Si elle le pouvait elle aiderait certaine personnes pris dans cette folie pleine de sang, de cris et de pleures. Sphinx se retourna vers ses compagnons d’infortune et leur dit :
- Vous entendez quelqu’un joue de la flûte. Etrange non ? et puis il y a eux. Finit elle part dire en désignant les forme encapuchonner.
Elle devait agir elle devait se concentrer comprendre la situation et agir en conséquence. Une batail se préparait surement. Elle ne voulait, cette fois, ne pas se faire avoir. Non ! Tous ses sens en alerte épée en main elle avait bien la ferme attention de ne pas se faire encore avoir.
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Aventurier
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a scène qui se jouait devant lui n’insufflait guère de considération de la part de l’Elian. Et alors qu’un chaos régnait dans le marché sous terrain, Fairië se contenta avec un sourire immense de fanfaronner en petits bonds sur les dalles devenues praticables. -(commun) Sa y est mes chères amies nous pouvons enfin nous déplacer librement. Alors que son attention se focalisait sur de simples dalles sèches, le carnages qui continuait ne lui faisait ni chaud ni froid, continuant sa dance en tournoyant sur lui-même.
Ce n’est que lorsqu’il entendit le son crépitant d’un éclair qu’il daigna enfin regarder autour de lui. Son sourire toujours aux lèvres, tapotant d’excitation du bout de ses doigts.-(commun) Assistons nous là à une de ces batailles épiques opposant les forces du bien contre les forces du mal. D’ailleurs … Cette situation me rappelle un passage d’un livre que je lisais en compagnie de Gorbnick Pierrefendue. Puis levant l’index pour se souvenir de quelques choses. A ce bon bon Gorbnick, vous saviez qu’ … Fairië stoppa son monologue lorsqu’il entendit la jeune Sphinx. Vous nous dites qu’une personne jouerait de la flûte. Stoppant sa réflexion, il tendit l’oreille. Ma jeune ami je n’entends malheureusement rien. La déception pouvait se lire sur le visage de Fairië. Moi qui me faisait une joie d'entendre de nouveau la douce mélodie d’une flûte. Puis quelques secondes lui suffirent pour évincer ce sentiment et de nouveau son radieux sourire fit place net. Levant le bras droit, il décrocha sa lourde lame d’un mouvement sec du poignée, relâchant ainsi la pression des lanières de cuirs ceinturant son arme. Un bruit strident retentit à travers les murs du sous sol lorsque l’imposante lame toucha les dalles. Droit sur ses appuies, son imposte lame reposant face à lui au sol tenu par ses deux mains. Il regarda les combats d’un œil distrait. -(commun) Je cherche uniquement à trouver Elarig. Ma liberté n’est pas mis en jeu. Les mots étaient dits et les intentions sous-jacentes dévoilées. Et son large sourire franc n’accentuait que davantage le mal-être que pouvaient ressentir ses compagnons de fortunes. Telle était Fairië Atala.Prépare son action. si un rat l’attaque, Fairië portera une attaque. La priorité étant mise sur le rat sanguinaire.
Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … » Extrait du journal d'Halrim CaecPour trois sœurs trois vives épées; La première sera d'ivoire; La deuxième forgée de l'or le plus rare; La troisième dans un pli de granit sera taillée; la première "Juste Vieillard" est nommée; A "Pressant Dard" répond la deuxième arme; Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de charme Est une lame affamée s'appelant "Liberté". WHELDRAKE - Ballades de la FrontièreFairië Atala
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Au loin, le combat faisait rage et, malgré les considérations pacifiques dont elle avait déjà fait part à l'Elian, Zéphyr fut surprise de ne pas voir les aventuriers bondir pour participer à la rixe.- Un son de flute dis-tu ma jeune amie? Et que penses-tu des cris de détresse des victimes de cette nuée? Il ne s'agit plus là de combattre un animal sur son territoire, il s'agit de sauver des vies! Cœur fier! Et la Hin de laisser jaillir dans sa main droite une dague au pommeau muni d'un rubis étincelant et de bondir au cœur du combat! Au passage, elle se saisit d'une lampe tempête, créant une nouvelle zone de semi-pénombre. Le curieux son de flute était audible de tous maintenant, plus facilement de savoir quel bruit trouver au milieu du fracas, et il semblait qu'un autre son, tout aussi déplacé naissait au milieu des cris de douleur et de peur. La barde chantait, sur un rythme proche de celui de la flute mais s'en détachant singulièrement sur certaines notes pour surclasser la musique.
Avec ou sans eux, le combat se poursuivait, il leur appartenait d'écrire leur nom comme spectateurs ou acteurs de cette scène. Aucun rat ne vient vers vous. La nuée avance d'une case, Zéphyr est en AA7 (Le plan est sur le sujet HRP si vous ne l'aviez pas vu ). Vous présentant encore mes excuses pour cette longue attente.
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Il fallait intervenir c’est vrai. En se débarrassant des ses rats et de se rat alphas tous particulièrement ils pourraient passer et ils aideraient les personnes présente ici. -Vous avez raisons madame nous devons intervenir ! je suis avec vous du moins pour cette batail. Sont épée presque aussi grande qu’elle a la main elle s’avança afin de faire face et de combattre ces créatures. Une idée lui vint les tonneaux en feu pourrait les aider a les repousser la ils le voudraient. Les rats ne sont pas très friant de se genre de chose. Sphinx regarde les alentour et tente de trouver le moyen de faire rouler les tonneau en feu en direction des rat afin de les faire reculer pour mètre une parti de personne a l’abris. Puis vois pour se mêlé a la batail.
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