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> ۝ Les petits rats sous le Coutelas ۝, Fairïe dans les entrailles de Luskan
écrit le : Mardi 03 Juillet 2012 à 05h58 par Atlas
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Zéphyr se retourna vers le Psion le regard plein de tristesse, de la crainte d’être arrivée trop tard, peut-être pour la vieille dame, peut-être pour autre chose, Fairïe eut été bien incapable de le dire.

Le décalage entre la situation et l’attitude de l’aventurière ne l’étonnait déjà plus, quand elle secoua la tête c’était en réponse à la demande de soin.

- Ma foi n’attire pas la grâce des dieux mon ami, et j’ai déjà trop joué de la toile que pour pouvoir soigner qui que ce soit par son intermédiaire. Voici celle qui aurait pu vous aider tous les deux, il lui faut le temps de récupérer.

L’homme qui avait rejoint la barde et offert la potion de soin à la vieille dame renchérit : - « La vieille Myrthe est une guérisseuse de talent, elle pourrait guérir l’infection de la morsure de rat si tu lui laisses un peu de temps. Il y a peu de maux qui lui soient inconnus mais votre Elarig souffre de lycanthropie. C’est tout autre chose … Au mieux, elle pourra te donner une piste mais en aucun cas l’en soustraire. »

Le marchand qui avait donné l’alerte se frottait les mains sur sa toge qui avait dû être précieuse avant d’être partiellement brulée, mordue, arrachée. Il essayait de se donner un peu de contenance et de reprendre le dessus maintenant le danger passé. Par réflexe, il avait écouté la discussion et trouvé, par habitude, le moyen de satisfaire un client potentiel.

- Je peux vous aider mon bon monsieur ! Nombre de mes marchandises sont invendables, le temple ne voudra pas plus me les reprendre… et nous vous sommes redevables, nous aurions pu perdre plus encore.

S’écartant de quelques mètres et cherchant dans les débris un flacon intact, il revint presque aussitôt avec une mince fiole noircie mais apparemment entière.

- Voilà pour vous. M’aiderez-vous à retrouver ce qui peut être sauvé de ce désastre ?

D’un geste ample, il indiqua la zone dans laquelle il avait fouillé. A défaut de vendre ses produits en or ou en argent, il espérait bien recevoir une aide.

Fairïe reçoit un antidote.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Jeudi 05 Juillet 2012 à 08h31 par Fairië Atala
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e flacon en main, Fairië adressa son large sourire habituel à son bienfaiteur.
- (commun) Et bien Monsieur le marchand, vous venez certainement de m’épargner une longue douloureuse et atroce agonie. Portant sa main droite sur le cœur et de son autre bras il battit l’air de geste théâtrale. Grâce à vous ma formidable épopée n’est pas encore finie et mon île m’attend toujours.

Effectuant une révérence exagérée comme à son habitude, il porta à ses lèvres la potion buvant son contenu d’un trait. Avait-il au moins pensé une seconde que cette fiole pouvait contenir autre chose qu’un simple remède … rien n’en était moins sûr. Une fois la fiole vide, il se retourna en direction de sa belle amie.
-(commun) Il semblerai ma belle chanteuse que notre épopée est encore loin d’être terminée. Finalement le monde connaitra bientôt notre petit secret. Grimaçant un clin d’œil comme à son habitude, exagéré, il reprit. Ce bon marchand m’a apporté son aide, je me dois de lui apporter la mienne en retour.

Un petit geste de la main en signe de salut, il rejoignit en petit bond l’échoppe de son bienfaiteur, ou du moins ce qu’il en restait. Son visage illuminé par son sourire il éleva de nouveau la voix :
-(commun) c’est la moindre des choses que je puisse faire. Puis claquant la paume de sa main droite sur son front. Quel mal élevé je suis, mon bon Rigo Pierrefendue m’aurait déjà mit un coup de pied aux fesses. Je vous remercie pour votre gentillesse. Appelé moi Fairië le grand … posant son index sur son menton les sourcils foncés … non Fairië le conquérant ... non plus. Que diriez vous de Fairië … croisant les bras il émit une moue réprobateur. Il va vraiment falloir que je travaille dessus. Puis d’une fraction de seconde, son visage s’illumina de nouveau. Appelé moi simplement Fairië pour le moment.

Retroussant les manches de sa tunique, il se mit à triller ce qui pouvait être encore sauvé des décombres.


boit antidote



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
Extrait du journal d'Halrim Caec

Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
La deuxième forgée de l'or le plus rare;
La troisième dans un pli de granit sera taillée;
la première "Juste Vieillard" est nommée;
A "Pressant Dard" répond la deuxième arme;
Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de
charme
Est une lame affamée s'appelant "Liberté".

WHELDRAKE - Ballades de la Frontière


Fairië Atala
 
 
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écrit le : Mardi 17 Juillet 2012 à 21h07 par Atlas
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Fairïe aidait de son mieux. Bien que ses efforts n’allaient que rarement dans le même sens que celui du marchand ou des autres aidants, il participait de son mieux et cette aide fut appréciée au dessus de sa valeur.

Il fallut encore quelques longues minutes avant que la vieille Myrthe ne soit à nouveau totalement lucide si tant est qu’on puisse parler de lucidité pour une telle personne. Ses premiers propos –on leur expliqua qu’il en était toujours ainsi- étaient difficilement compréhensibles, tout en énigmes, en mélange de pensées et d’idées rarement directement liées à ce qu’on pouvait lui demander.
Elle n’était pas sénile pour autant et de l’avis des visiteurs du marché, il n’y avait personnes à des lieues à la ronde plus savante dans le traitement des maladies, empoisonnements, malédiction et autres afflictions. Et sa cécité ne lui cachait pas tout, que du contraire.

- « Le chant des vagues grince dans mes oreilles ! Quelle … drole d’étoile que voilà. Oh. Hihihi. Merci petite sang-mêlée ! D’où te vient la bénédiction de ton sang ? De ta mère ? C’est vide dans ton esprit, tu ne dois pas le savoir toi-même. Ohoh. Merci quand même, on ne cherche pas la branche de l’arbre qui porte le fruit qui donne le jus n’est-ce pas ? »

Le Rat-Garou se relevait seulement, ses yeux balayant les lieux sans les reconnaitre. Pour celui qui le regardait avec attention, on pouvait lire dans son regard gris une tristesse, une douleur plus que physique et un mélange de rancœur et de culpabilité. Il fut conduit docilement près de la vieille, tête basse il n’osait affronter le regard accusateur de personne. Malgré son regard mort, elle le pointa aussitôt du doigt : - « Tu portes les traces de tes larcins maudits ! Pirate qui se réfugie dans un nid de rats hihihi ! »

Elle riait, d’un rire désagréable au bruit d’os grattant la pierre. Elarig déjà tout sauf fier, manqua de s’effondrer sur place. Il avait pris conscience de sa nouvelle nature et du poison qui coulait dans ses veines et savait pertinemment comment l’affliction lui avait été communiquée.

- Mais je ne peux rien pour toi petit rat et je n’ai pas la bonté d’âme des lunatiques. Va donc leur rendre visite à leur si belle gemme du nord et dis leur que tu viens de la part de la vieille Myrthe ! hihihi ! Ne soit pas surpris de leur réponse, ils ne me connaissent pas aussi bien que je les connais. Mais ça coute et pour ça, il faudrait … oh ! Toute une île, c’est mignon !

Et elle s’arrêta soudain, comme plongée dans une intense réflexion, comme bougonne d’avoir été dérangée.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Jeudi 26 Juillet 2012 à 16h49 par Fairië Atala
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près plusieurs minutes à trifouiller dans les décombres, malgré l’effort le Psion ne semblait pas trouver sa tâche si désagréable que ça, a voir son large sourire toujours présent et une ballade sifflante provenant de sa bouche. Bien entendu un long monologue avait, au préalable, été fait par Fairië pour expliquer le pourquoi du comment …

Et lorsque la vieille Myrthe redonna, de nouveau, signe de vie c’est en quelques clopinements qu’il alla rejoindre le groupe. Alors que pour un grand nombre de personne, ce type de discours pouvait sembler pesant voir agaçant, il en était tout autre pour Fairië qui semblait prendre un grand plaisir a l’écouter, au vu de son rire cristallin qui résonnait et de ses applaudissements du bout de ses doigts. Le seul bémol fut le rire de la vieille Myrthe qui tira les traits du Psion.

Malgré l’attitude plus qu’explicite qu’arborait le pauvre Elarig, il en était tout autre pour Fairië qui, bien évidemment, ne se rendit compte de la situation. Et c’est en sautillant sur place, marquant son excitation qui leva de nouveau la voix après celle de la vieille dame. Posant son regard et son large sourire vers elle.


-(commun) Je dois dire ma chère Madame Myrthe que vous m’éblouissez. Excepté je dois l’avouer, votre rire. Je pense que vous dégagerez davantage de mystère avec un rire plus posé. Vous savez ! Vous plairiez beaucoup au clan Pierrefendue, je vous le garantie. Et c’est toujours avec son large sourire que l’Elian continua sa discussion aberrante au vu de la situation. Se tapotant le nez une seconde il reprit d’un ton théâtrale en direction d’Elarig, ponctués par de grand gestes des bras. Toi ! le sang mêlé qui se refugie parmi les siens, ton aide s’avère indispensable à la découverte d’une pépite bercée par les flots ! Viens sang mêlé, viens avec moi, et chevauchons en compagnies de … marquant une pause il semblait chercher quelques choses … l’homme poilue. Regardant sa belle chanteuse, il haussa les épaules puis revint à Elarig continuant d’un ton théâtrale exagéré. Et marquons de nos noms l’histoire ! Nos destins sont maintenant liés, Viens … Viens avec moi et trouvons de ce pas cette fameuse gemme du nord.

Clôturant enfin son monologue, il clopina sur place d’une jambe à l’autre tout fier de lui pour enfin s’arrêter aussi sec. Levant les yeux vers les personnes présentes il reprit :
-(commun) excusez moi … quelqu’un a une idée de ce qu’elle veut dire par la gemme du nord … éclatant d’un grand rire, il attendait à priori une réponse.



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
Extrait du journal d'Halrim Caec

Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
La deuxième forgée de l'or le plus rare;
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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Jeudi 02 Août 2012 à 22h34 par Atlas
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La vieille Myrthe dressa la tête vers Fairïe, reniflant comme un animal cherchant à identifier la source d’une odeur désagréable : - « Parce que tu penses qu’il y a matière à rire ? Les rats se reproduisent trop vite, c’est affreux. Et le sang-mêlé c’est l’autre, le rat n’a rien de bon dans son sang. Non, vraiment. »

Il y avait matière à ce que les deux s’entendent tant ils étaient semblables sur leur capacité à passer instantanément d’un sentiment à l’autre. Elle semblait maintenant se rendre compte qu’elle était dans un égout et que dans d’autres circonstances, elle aurait pu gouter à une vie plus facile que celle d’une vieille femme forcée de se cacher.

Elarig ne comprenait absolument rien de ce que venait de lui lancer le Psion et se demanda si la folie ne l’avait pas finalement emporté entre l’aveugle et cet inconnu sautillant. D’un regard implorant, toujours honteux, il passait de Sphinx à Zéphyr, aux aventuriers qui lui avaient fait front et même aux marchands, à la recherche d’un rocher de raison dans cette océan d’incompréhension.


- Mon bon Phaerïe … je pense que tu mélanges plus encore la soupe de notre soigneuse …

Zéphyr planta son regard dans le sien dans l’espoir d’attirer sa pleine attention et d’éviter qu’il ne reparte dans une autre tirade théâtrale avant qu’elle ait terminé.

- Je ne connais qu’un endroit que l’on appelle la Gemme du Nord, c’est Lunargent. C’est un bien long trajet, très loin de l’Île-aux-Rubis. Tu vas devoir choisir tes priorités et garder à l’esprit qu’Elarig est à présent un lycanthrope avec tout ce que ça représente en dangers potentiels. Il le sait mais sait aussi le peu de chance qu’il a de trouver quelqu’un pour l’aider à s’y rendre.

Enfin, l’intéressé prit la parole : - « Je n’attends rien de vous et ne connais pas cet homme poilu mais si j’ai une chance de rembourser ma dette, je vous suivrais en enfer, ça ne sera pas pire que ce qui m’attend ici. »

Le mage responsable de ses brulures le reprit sans prendre de gant : - « Sois-en sur … Nous ne t’oublierons pas même si je te plains pour la malédiction qui t’affecte. »

Tandis que le marché reprenait son apparence d’avant l’attaque, les aventuriers, dans un salut de circonstance à la barde et aux marchands, quittèrent les lieux par une échelle qui devait les mener à la surface. Le guerrier blessé manqua en tomber mais ne grogna même pas tandis qu’un de ses compagnons le soutenait pour l’aider à grimper. Sphinx connaissait cette attitude martiale, le refus de soins magiques pour se souvenir qu’il devait s’améliorer encore pour éviter d’être blessé à nouveau.

Sphinx n’avait pas avancé dans ses recherches. D’Hagon elle n’avait retrouvé qu’un compagnon sans vie et pas la moindre piste qui puisse la rapprocher de Darek et de ses assassins. Pour ses agresseurs, il lui restait pour seule idée qu’ils aient pu partir vers Padhiver comme ils lui avaient dit l’avoir prévu... à défaut de mieux…

Une autre possibilité s’ouvrait à elle, de partir à l’aventure avec le fantasque Psion –si ce fameux Bansh l’acceptait-, une aventure bien plus périlleuse que celle d’affronter des rongeurs.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Vendredi 14 Septembre 2012 à 16h34 par Fairië Atala
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’air glacial de la cité de Luskan lui fouetta le visage contrastant avec la chaleur des sous terrains. Attendant que ses acolytes sortent à leur tour, il s’adressa avec son large sourire a sa douce chanteuse :
-(commun) Très chère, je regrette presque notre escapade dans ces sous-terrain. S’emmitouflant, que d’avantage, dans son manteau il reprit. Mais remarqué je n’ai guère envie de me retrouver de nouveau avec ces gros rats. Les traits de son visage se tirèrent une fraction de seconde , puis se tournant en direction d’Elarig. Pardonnez moi, mon ami, en parlant de « Gros rats » je ne voulais pas vous vexer. Puis éclatant de son rire particulier, il reprit d’un ton théâtral. Mes amis ! maintenant que nous avons terrassés du mal et survécus à notre épopée sous-terraine, il est temps, je pense, de rejoindre notre capitaine.

Marquant une pause, il commença de nouveau sa dance étrange, sautillant d’un pied à l’autre marqué par le cliquetis de son imposante lame.
-(commun) Je ne sais pas pour vous, mais je pense que nous devrions tout d’abord nous entretenir avec notre bon Bansh. Après tout c’est notre capitaine… levant l’index en l’air en guise de rassemblement il continua d’un ton chantant. Allons y mes amis ! ma belle chanteuse, pouvez vous nous indiquer la route ? je dois dire que je suis quelques peu perdu. Finissant sa phrase par son large sourire.



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
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Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
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La troisième dans un pli de granit sera taillée;
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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Lundi 24 Septembre 2012 à 13h05 par Sphinx Aodren
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Sphinx observait se taisait et regardais les scène le théâtre qui se jouai devant elle. Une pièce grotesque avec des personnage certes aux en couleur. Envers les aventuriers mage et guerrier qui était présent elle éprouvai une pointe de respect chose dont elle n’avait pas pour habitude.
Un peut de pitié pour se garou et une bonne dose de méfiance, et avec tous sa toujours une incompréhension de ses infortunés compagnon de route. Après tous sa, laissant entre de bonne mains la vieille dame aussi curieuse que Fairië pouvait l’être, elle s’engagea a la suite du guerrier blessé pour enfin sortir de ses souterrain.


Une fois a l’air libre malgré sont fond glacier elle respira a plein poumons.
¤ Je ne peut continuer avec c’est drôle de personnage il sont bien sympathique mais je ne pense pas arriver un jour a les comprendre et j’ai bien assez de mes propre ennuis s’en en ajouter des leur qui m’échappe totalement qui plus est.¤

Quant le groupe d’aventurier sorti elle les laissa s’entretenir. Puis avec un pas décider et se tenant devant eux elle leur dit :
« je tient a vous remercier de l’aide apporter et espère que , quel qu’elle soit, votre quête sera couronner de succès. Je ne vous retiendrai pas plus longtemps et m’en vais retourner a mon propre chemin. »
Après cette tirade elle laissa échapper un léger mais charmant sourire et les salua d’une légère révérence du buste avant de tourner les talon et de se diriger vers la première auberge qui pourrai lui permettre de se détendre et reposer quelque peut au calme afin de décider la suite de sont voyage.



MIEUX VAUT MOURIR DEBOUT QUE VIVRE A GENOUX !!!

Fiche de Sphinx Aodren
 
 
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écrit le : Mercredi 26 Septembre 2012 à 21h40 par Atlas
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Zéphyr avait rit, d'un rire cristallin, chantant, doux et brillant à la fois, puis de sous sa cape reprenant une allure de nuit étoilée, elle disparut, laissant Fairïe seul ou presque.

Voilà que la demi-elfe, elle aussi, avait finalement fait le choix de chercher ailleurs l’aventure et de ne plus guère souffrir d’une rencontre aussi colorée fut-elle, sans doute trop éloignée de ses propres recherches ou encore trop attachée à l’idée qu’un jour, il le fallait, elle retrouverait les assassins de Darek.

Ni Bansh, ni aucun autre Frère ne la pleurerait de n’avoir pas même eu l’occasion d’en apprendre l’existence. Une page se tournait sans enluminure pour Sphinx.

Par instinct ou autre chose, les pas de Fairïe le ramenèrent à l’entrée du Coutelas, Elarig derrière lui, tel une ombre tremblotante cherchant avec une crainte non dissimulée le visage de Séluné dans le maelstrom du ciel nocturne. Au dehors plus personne ne cherchait à les suivre quand bien même ils s’en furent inquiété. La nuit était mauvaise, le sol glissant serait bientôt boueux et froid, retenant les imprudents de ses mains tendues pour les faire choir et les recouvrir de sa triste couverture brune et blanche.

Les vitres opaques de fumée et de graisse ne laissaient apparaitre qu’une pâle luminescence jaunâtre, c’est à peine si les sons trouvaient leur chemin au travers de la lourde porte close.

Quand ils franchirent la porte, la chaleur leur revint soudain, rougissant leurs joues et remplissant leurs yeux de larmes les empêchant de voir tout de suite le regard noir et les dents serrées des plus proches de l’entrée. La salle était bondée.

Arumn accueillit le Psion aussitôt, le poussant à entrer plus profondément dans son établissement, vers une table à laquelle se dressait une masse qu’il ne pouvait que reconnaitre.


- Je suis content de te revoir l’ami, et le capitaine le sera plus encore. Son humeur était tombée aussi bas que possible, il était temps que Tymora lui sourit à nouveau.

--------------------
Arumn est le tenancier de l’auberge du « Sabre d’Abordage » à Luskan


De ne pas le connaitre de la sorte, le tenancier n’accorda aucune attention visible à l’homme qui l’avait suivi de près, une des dames de salle s’en chargerait.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Jeudi 27 Septembre 2012 à 16h32 par Fairië Atala
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es traits du visage tirés par la tristesse, il se laissa guidé par Arumn à travers les lieux. Durant son retour, il n’avait cessé de penser à sa jeune chanteuse, elle allait lui manquer c’était certain. Il n’avait même pas pu jouer de conserve avec elle. Et lorsqu’il releva la tête, c’est un visage souriant que Bansh pouvait de nouveau discerner. La tristesse balayée par un mélange de joie et d’excitation, c’est en clopinant d’un pied à l’autre qu’il alla rejoindre avec engouement son capitaine.

Et c’est avec un dernier saut pied joint, qu’il atterrit en face de l’humanoïde. Se tenant droit comme un « i » , imitant un genre de soldat :

(commun) Fairë Atala, capitaine ! Au rapport !

Puis sans laisser le temps a Bansh de prononcé un mot, il se laissa tomber sur la chaise, son imposante lame à ses côtés. Fixant le gorille, Fairië possédait comme a son accoutumé son large sourire, les yeux pétillants, une longue histoire allait certainement attendre Bansh :
-(commun) Mon capitaine, ravie de vous revoir de nouveau ! je dois dire que cela n’a pas été de tout repos, mais au combien distrayant … tapotant le bout de ses doigts comme à son accoutumé lorsque l’excitation le gagne. Ne laissant aucun répit au pauvre capitaine, il continua.. Ma formidable épopée a commencé sous cette taverne, suivant ma douce chanteuse à travers les égouts de Luskan, nous avons été attaqué par de gigantesques rats comme vous n’en avez jamais vu. Avec d’énorme dents ... Fairië se mit a mimer le combat. Ma douce chanteuse en a fait fuir un. Quand un moi j’ai du malheureusement occire l’autre. Dans cette fougueuse bataille épique, j’ai été blessé à la jambe, mais là encore ma belle chanteuse me sauva la vie. Continuant sans la moindre pause. Nous avons ensuite continué à travers les égouts, et nous sommes tombés sur une demoiselle du beau peuple. Regardant le plafond, se tapotant le l’index sur son menton. Ou bien était-ce une demi elfe ? je ne m’en souviens plus. Balayant avec sa main , il continua. Quoiqu’il en soit, nous avons continuer notre épopée et sommes tombés nez à nez dans une épique bataille … De nouveau le Psion se mit a remuer frénétiquement ses bras, mimant la scène, les combats… ma douce chanteuse et moi-même nous nous sommes battu avec courage contre une horde de rat, avant que tout ne revienne au calme. puis j’ai fait la connaissance d’une vieille dame vraiment sympathique … une moue se dessina sur son visage … mais avec un rire, capitaine, vraiment effrayant. Puis nous somme remontés et je suis de retour.

Son monologue finit, il empoigna la chope du capitaine et se rinça longuement avec. La reposant avec un large sourire, il continua :
-(commun) Oh oui c’est vrai ! je vous ai ramené Elarig aussi… penchant son buste vers le capitaine, la main devant sa bouche … il s’avère que notre homme est un rat géant … fixant le capitaine il lui asséna un clin d’œil … si si je vous assure. Mais ce pauvre Elarig n’a pas l’air très très joyeux. Ou est –il d’ailleurs ?





Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
Extrait du journal d'Halrim Caec

Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
La deuxième forgée de l'or le plus rare;
La troisième dans un pli de granit sera taillée;
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