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Le Bois de Chondal , (Début de quête pour Eldon Gandépine)
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NARRATION
jour inconnu, moi de la Marée estivale année de la magie sauvage ( Flammerige 1372) Lieu : Inconnu, à proximité du Bois de Chondal Temps : Ciel Dégagé, vent fort. Moment : Journée environ 19h00
Il se rappelait juste avoir tenté de suivre les elfes au sein de la forêt. Et après trou noir… Il était maintenant à nouveau au bord de la route avec les autres Halfelin rescapé à contempler les cadavres fumant de la caravane esclavagiste. Quelques-uns de ses compatriotes essayaient de remettre en état plusieurs roulottes afin de pouvoir retourner chez eux. D'autres s'étaient disposés en guetteur de part et d'autre de la route, pas question pour tout ces Halfelins de retourner à l'état d'esclaves, le peuple vaillant s'était mit au travail sitôt libéré. Aussi beaucoup avaient ramassés armes et matériels, partageant entre tous les objets récupérés dans les coffres. Heureusement, ou malheureusement les humains ne s'étaient pas contentés d'une simple rafle d'esclave, mais aussi à un pillage, si bien que certains objets étaient adaptés à leur taille. Avant de partir dans la forêt Eldon avait lui récupéré un peu de matériel un cimeterre, une étrange dague, une armure, et autres menus objets… Puis il était certain de s'être rendu en foret. Il s'y était passé quelque chose dans les bois, pourquoi était-il à nouveau ici? En plus de cela l'heure avait sacrément tournée, les elfes avaient attaqués vers midi et là c'était déjà le soir. Mais peut-être pas? Il ne savait plus, les autres Halfelins ne semblaient pas étonnés de sa présence ici. Alors qu'il se redressait une Halfelin plutôt âgée se dirigea vers lui.
«Ah tu t'es enfin remis, quand on a réussi à sortir de nos cages tu était sur le bord de la route inanimé. Ça va? Je me présente je suis Djamili Rouleflots, j'habitait sur la grand place. Et toi qui es-tu? Tu as l'air d'avoir pris part aux combats vu que tu es équipé non? On auras peut-être besoin de ton aide pour retourner en Luiren. On sait pas combien de jours il nous faudra pour retourner chez nous, au moins cinq, et si les hommes de cette contrée sont sûrement de la même espèce que ceux qui nous on capturé, ça ne sera pas chose aisée…» Puis elle le regarda dans les yeux, son regard était insondable et ses yeux vert brillaient au milieux des rides ternes de son visage. «Hum… A moins que tu n'ai une autre idée en tête, je te sent fougueux et prêt à l'aventure. Retourner en Luiren risque de te contraindre à reparcourir deux fois ce chemin si tu veux connaître le vaste monde. Il ne se passe jamais grand-chose en Luiren. Si c'est la voie que tu choisis l'un d'entre a vu une pancarte indiquant une ville pas loin. Mais personne ne parle la langue de ce pays, donc nous n'en savons pas plus. Vu que ce sont des elfes qui nous ont secouru Loed, c'est un géographe, pense que cette forêt est le bois de Chondal.»
Elle s'arrêta de parler un instant autant pour reprendre son souffle que pour laisser la parole au jeune Halfelin.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Au fond de lui Eldon remercia ca déesse d’être encore en vie il est vrai que sa perte de connaissance aurait put lui couter chère au milieu des combats ; mais par chance il était encore en vie et près à assouvir sa curiosité. La vielle femme en face de lui ne se trompé pas sur ce point là. Il avait envie de vivre libre de partir à l’aventure très loin de ce pays où il n’avait subit que malchance et malheur.
¤ Que vais-je faire partir à la poursuite des elfes dans cette forêt de Chondal ou aller au village dont m'a parlé Djamili ? Humm Le village et une décision plus sage je pourrai me reposer et me ravitailler pour reprendre des forces et mes recherches plus tard. Détrousser quelques personne malhonnêtes me permettra aussi de refaire grossir ma bourse. ¤
-Je vais aller en ville indiquez moi où je pourrai trouver cette pancarte je vous pris et merci encore pour tout ces renseignements.
¤ Je vais me déplacer sans aucun bruit jusqu’à la ville ce sera plus prudent ¤
Tente des jets de déplacements silencieux.
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NARRATION
jour inconnu, moi de la Marée estivale année de la magie sauvage ( Flammerige 1372) Lieu : Inconnu, à proximité du Bois de Chondal Temps : Ciel Dégagé, vent fort. Moment : Journée environ 19h00, puis environ 23h00
La vieille femme indiqua le lieu ou l'on avait vu la pancarte, elle se trouvait à une intersection. La flèche était tournée de manière évidente dans le sens de la route la mieux entretenue qui longeait la forêt. L'autre chemin se dirigeait vers les champs, il semblait être emprunté plus rarement l'herbe y étant souveraine. Après quelques derniers échanges de politesse, des bénédictions et des encouragements réciproques les halfelins se séparèrent, Eldon partit seul en direction de la ville, tandis que les autres retournaient vers leur Luiren natale. Tous savaient que quelque soit le chemin suivit il serait long et dangereux.
La nuit était déjà tombée quand Eldon aperçut les premières lueurs du village. La petite bourgade était installé en bordure de route à un endroit où celle-ci s'écartait suffisamment loin de la forêt. Visiblement la plaine entre la forêt et le village servait de frontière entre deux mondes, l'herbe y était coupée, et quelques caillou blanc occupaient le sol a espace régulier. Prudent, Eldon s'approcha à pas feutré du village. Il était ceint d'une muraille: une palissade posée contre un remblais de terre haut comme deux homme, une porte était creusée et un chemin de terre menait de la route au village en passant par cette unique porte. Quelques guetteurs accomplissaient leur tour de ronde tandis que tout le village dormait. Tout le village? Non, un petit établissement à l'intérieur des mus et à proximité de la porte semblait encore résister à la tombée de la nuit et au cycle de repos. Des cris de joie, des rire, des chants paillards, d'autres plus poétique, des paris… On pouvait l'entendre depuis l'extérieur.
L'halfelin n'eût aucune difficulté à approcher du village, les hautes herbes le dissimulait à merveille, le vent fort couvrant ses bruits de pas et le mouvement qu'il provoquait dans les herbes hautes. De plus les gardes semblaient bien plus inquiété par la proximité de la forêt que par ce qui se passait du côté de leur champs. Deux hommes étaient en faction au dessus de la porte close pour la nuit.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Eldon savait que son choix était pour lui le plus judicieux d’entre tous. Cette bourgade lui convenait à première vue parfaitement. A entendre les bruits intérieurs de ce village les gens devait avoir fréquemment l’habitude de faire la fête la nuit tombé. Pour le petit roublard en herbe c’était une situation qu’il affectionnait beaucoup. L’alcool devait couler à flot dans ces soirée il était donc encore plus simple pour l’halfelin de détrousser certaines personnes disons un peut trop fortuné ou arrogante. Pour pouvoir ce joindre à la fête il ne restait plus qu’à trouver une façon d’entrer dans le village.
¤ Ces deux gardes on l’air méfiant vis-à-vis de ce qu’il se passe à l’horizon en lisière de forêt je me demande ce qui peut bien les inquiéter comme ca ce ne serait tout de même pas les elfes. Qui sait tous est possible. Je me sens en forme et il faut que je rentre dans ce village j’espère pouvoir passer entre ces portes vu la couleur du ciel au dessus de moi la nuit est tombé depuis un bout de temps. Les gardes l’ont fermé pour la nuit, je pense qu’il m’ais interdis d’entrer. Cela me rappelle mon enfance quand mes parents ne voulaient plus me faire entrer chez eux lorsque la nuit était déjà tombée ; pff famille ingrate haaa je suis enfin parti de ce lieu mais je suis encore trop près de cette terre. ¤
Après avoir rêvassait allongé dans l’herbe en repensant au début de son aventure et à son enfance l’halfelin se concentra de nouveau et décida, non pas sans danger d’aller toquer à la porte du village et de questionner ces gardes. C’était la solution la moins périlleuse et pour Eldon il était hors de question de passer la nuit dehors seul sans protection. D’un pas souple et ample il rejoignit la route et commença à ce rapprocher du village avec de la détermination dans le regard. Arrivé prés de la porte Le hin cria haut et fort et distinctement « Bonsoir » aux deux gardes.
¤Que ma première négociation commence je vais leur faire impression. ¤
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NARRATION
jour inconnu, moi de la Marée estivale année de la magie sauvage ( Flammerige 1372) Lieu : Inconnu, à proximité du Bois de Chondal Temps : Ciel Dégagé, vent fort. Température: 25° Moment : Soirée environ 23h00
Les deux gardes en faction au sommet de la porte sursautèrent au son de la voix du jeune halfelin. Puis ils regardèrent tout deux dans la direction d'Eldon, comme intrigué par l'évènement.
-Un instant. S'exclama l'un d'eux avec un accent très étrange, il y eu un murmure. Eldon ne put distinguer clairement le visage des deux hommes, mais il lui sembla qu'un des deux souriait. Soudain l'un d'eux semblait prendre un ton plus grave. Et les deux hommes prirent un air grave, une torche proche déformant les ombres de leurs visages leur donnait un air encore plus lugubre. Soudain la torche fut éteinte par l'un des deux hommes. L'un des deux hommes pris son arc tandis que l'autre, javeline à la main se tourna le regard inquiet vers l'Halfelin.« Dis nous petit tu viens d'où comme ça? Parce que vois-tu des ptits gars comme toi il en traîne pas beaucoup à l'extérieur à cette heure ci. Et encore moins qui viennent demander l'hospitalité.»
Tandis qu'il s'exprimait, le deuxième garde ne cessait de scruter l'herbe aux alentours de l'halfelin. Et si les bruits de la taverne se faisaient toujours entendre, Eldon ne put qu'entendre celui plus lourd, d'un groupe d'homme approchant sur la route de l'autre côté de la porte. Visiblement le village était sur ses gardes. Des voix se firent entendre, mais le langage utilisé restait inconnu à l'halfelin. Les propos semblaient rapides et inquiets, et parfois sec et court. Nul doute qu'on parlait de lui, mais en quels termes?
Deux autres hommes montèrent aux créneaux. Visiblement mieux équipés que les précédents, l'un portait un étrange casque, une armure d'écaille faite d'un métal splendide. Trois javelines pendaient dans son dos. Il jeta lui aussi un regard sur la plaine. L'autre était vêtu de bleu, le visage presque caché par une immense capuche. Il ne semblait pas posséder d'autre arme que son bâton. Mais celui-ci superbement décoré ne laissait aucun doute, l'homme était un mage. Celui-ci regardait fixement Eldon, il ne jeta aucun regard sur la plaine alentour, toute son attention était rivée sur l'halfelin.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Pour Eldon nul doute que ce mage et ce guerrier ne transigerai pas pour le laisser entrer. Ils étaient bien mieux équipés et quelque chose lui disait qu’un halfelin aussi banale que lui n’aurait pas put les faire se déplacer aussi facilement .Pour ne pas mourir très vite dans d’affreuse souffrance le semi homme évita de mentir au mage.
¤ Nul doute que ce mage peut lire dans mes pensée ou détecter si je ment ou pas. ¤
Eldon hésita à parler intimidé par tous ce beaux monde réunis en haut de la palissade mais il fallait dire quelque chose, plus l’attente augmenter plus la tension augmenter elle aussi. ¤ Pourquoi ce guerrier regarde partout aux alentours d’un air inquiet et ce mage qui me fixe intensément pas facile de parler dans ces conditions.¤ Il se décida cependant à parler d’une voix suffisamment audible pour ses interlocuteurs et pour ne pas répéter.
_Bonsoir à tous, je suis un halfelin du pays de Luiren je cherche refuge pour la nuit dans ce village et du ravitaillement. Je me ferai le plus discret possible et je ne cherche pas à semer la discorde. J’ai fuit une menace et je suis seul puis je entrer?
Après avoir parler le silence se fit et le hin patienta. Étrangement il ne se sentait pas très en sécurité l’espace vide situé derrière lui lui paraissait hostile.Le silence, l'obscurité, rien de visible, Le roublard hésita à craquer un de ses batons de lumière pour se rassurer. Mais il ne céda pas à la peur; l'envie de ne pas gaspilller son baton et de parêtre courageux devant ses interlocuteurs lui fit changer d'avis. ¤ Vivement que ces portes s’ouvres je n’aime pas cette situation.¤
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jour inconnu, moi de la Marée estivale année de la magie sauvage ( Flammerige 1372) Lieu : Inconnu, à proximité du Bois de Chondal Temps : Ciel Dégagé, vent fort. Température: 25° Moment : Soirée environ 23h00
Un long silence se prolongea suite aux propos du Halfelin, jusqu'à ce que le mage se mette à parler, toujours dans cette même langue inconnue du Halfelin. Son ton neutre ne laissait percevoir aucune émotion. Mais son interlocuteur marqua lui un air bien différent, tout d'abord la consternation. Il alterna son regard entre le mage puis l'halfelin, puis le mage. Enfin il posa une question sur un ton d'étonnement, à l'arcaniste. La réponse silencieuse de celui-ci, un simple haussement d'épaule fit partir le guerrier aux trois javelots d'un éclat de rire bruyant. Il parla brièvement à ses hommes, lesquels se mirent aussi à rire un instant. Puis, il fit monter quelques archers aux créneaux.
Le calme et la tension revinrent rapidement, et se fut le bruit lent du bois que l'on coulisse, celle du grincement des chevilles de fer, l'halfelin entendit une autre lourde porte s'ouvrir. Visiblement il y en avait deux à la suite, cela lui sembla très étrange, mais soit. Puis la grande porte qui se tenait devant lui fut à son tour entrouverte afin de laisser passer l'halfelin. Eldon ne se fit pas prier pour entrer, l'immensité nocturne et silencieuse derrière lui agissant comme le poids du destin en jouant sur ses peurs. On ferma la grande porte derrière lui, les hommes, voyant qu'aucune attaque n'avait lieu prirent une mine rassurée, avant d'escorter le vaillant à l'intérieur du village.
Le village était splendide, et calme en apparence. La plupart des habitations en terre étaient semi enfouie et sans étages. Les toitures de chaumes laissaient en quelques endroit passer la fumée des habitation. De nombreuses écuries étaient disposées vers la porte. Porte qui fut refermée avec empressement juste derrière Eldon. Les seuls bâtiment en pierre étaient l'auberge, haute d'un étage et dont le toit était recouvert de tuile d'ardoise. Sont architecture tranchait énormément avec le reste du village, car c'était aussi l'un des rares bâtiments possédant des fenêtres, une enseigne, et une marche pour en atteindre l'entrée. L'autre bâtiment en pierre était ce qu' Eldon nomma mentalement "caserne". Le premier niveau ne comportait aucune fenêtre, et la porte était étrangement située en hauteur, seul une échelle permettait d'y accéder. Un peu plus haut on pouvait y voir des fenêtres étroites. Mais aucune lumière ne sortait de se bâtiment.
Le guerrier aux trois javelots descendit accompagnés du mage. Les deux hommes discutaient dans leur langue inconnue. Visiblement la suspicion était à nouveau de mise car le guerrier envoya une bonne quantité des hommes présents sur le tour de ronde. Seul restaient devant la porte quatre soldats, le mage et le guerrier. Visiblement l'Halfelin ne pourrait pas se reposer de sitôt.
- Heum… pardonnez mon insistance, mais la situation de ce village est tendue ces jours-ci. Et nous ne pouvons nous risquer à accueillir quelqu'un comme vous par une journée pareille. Voyez vous, une caravane se dirigeant vers notre village aurait été attaqué bande ces sournois d'elfes.
L'homme laissa un moment planer le silence, essayant de faire comprendre à l'halfelin la situation dans laquelle le village se trouvait.
- il est aussi un fait que je ne comprends pas. Si tu viens de Luiren comme tu dis, cela signifie que tu as fait un long voyage par la route. Or si tu viens de la route tu ne serais très certainement pas seul, ou alors déjà mort. Or tu n'es ni l'un ni l'autre moitié d'homme. Et même si tu avais tenté cet exploit de voyager seul. Les gens de ton espèce présent dans ces contrées ne sont jamais des voyageurs. Ils traversent plutôt la région des chaînes aux poignets. Je réitère donc mes questions. Qui es-tu, d'où viens-tu, et pourquoi es-tu ici?
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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