Exondation

Ce n’est pas Oscar, mais bien Yar qui répondit à la question posé par Baelsul.

-Ne vous sous-estimer pas Baelsul, vous venez de traverser une étape de votre vie sur Toril beaucoup plus éprouvante que bien des guerriers aguerris. Bref, l’anneau du pendentif de terre est fait d’un métal rare, très rare, il a beau semblé banale, mais ne l’est pas. Ici, dans la citée interdite dans la grande tour des marais, s’y trouve des bassins de naissance et pour qu’ils fonctionnent, chaque bassins doit être ouvert par une clé qui elle doit être construite avec un métal en particulier, il y a treize bassins en tout et il en reste un à ouvrir. De plus, l’anneau se doit d’être fermé avant sa transformation, mais cela est le travail des alchimistes à Oscar ainsi que des bassins.-Il prit une pose et continuait.

-Pour ce qui est de la Roue d’argent qui tourne sans fin, il y aura toujours des missions soyez en certain, et le médaillon que je vous ai offert me permettra de vous rejoindre quand bon me semblera. –

Le balancier décroisait ses jambes puis se levait et invitait les convives à se joindre à sa marche, kyu suivit en n’oubliant pas de prendre une cuisse de dindon sauvage. Ils n’eurent pas à marcher bien longuement, ils se déplacèrent sur la droite de la grande table dans les noirceurs insondable devant eux puis une lueur fit apparaître un murs orné de millier de cadre en feuille d’or. Le mur semblait infini vers les hauteurs et infini d’un coté et de l’autre. Ils marchèrent le long du mur vers la droite en direction du foyer puis tous purent constater que chaque images ou portraits, étaient animé. Pour les portraits, les yeux suivaient les marcheurs et pour les paysages il était visible que le vent faisait bouger les feuilles des arbres, l’eau des rivières coulait paisiblement ou une tempête faisait rage laissant voir le tumulte d’un tel évènement sur la nature. Soudain, Ina y reconnu le grand Saule de Thüldae et sa myriade de gardiens. L’image était splendide, comme si elle y était, de plus elle y reconnu certain membres qui déambulaient tout bonnement puis à côté presque la même scène, mais visiblement dans une époque différente. Non loin, Baelsul reconnu Lunargent dans toute sa splendeur et là, ils comprirent l’immense richesse que possédait Yar.

Oscar auprès d’eux s’éclaircît la voix puis sur un ton d’explication poursuivait.


-Vous voyez là une magnificence rare, et vous comprendrez qu’il vous soit possible de traverser l’un des tableaux que vous voyez présentement. Ceci sera un passage sans retour et si jamais vous voudriez refaire le voyage inverse, il vous faut utiliser le pendentif que Yar vous a remis, mais sachez qu’il vous faudra être au même endroit que vous êtes apparut et y boire le contenu du pendentif. Je vous le déconseille. L’aller est d’une simplicité déconcertante, par contre, boire le contenu du pendentif pour revenir ici, vous sera fatal. Fatal pour votre existence connue, bien certainement une fois ici, vous serez toujours en vie, mais ne pourrez jamais retourner dans votre trame d’origine. Alors ne l’utilisez quand cas d’extrême besoin au mieux ne le faite jamais.-
Terminait-il en mettant l’accent sur le dernier mot. Yar visiblement énervé poursuivit plus enjoué.

-Je l’utiliserais sans peur si j’étais vous. Il est certain que d’avoir une vie éternelle n’est pas fait pour tout le monde, mais au fils du temps nous trouvons toujours un moyen de s’y plaire. –

Oscar se tournait précipitamment vers son maître les yeux écarquiller de stupéfaction. Il restait sans mot un moment, ce qui fit éclater de rire le balancier puis le majordome ajoutait.

-Monsieur, je, je me vois stupéfait de votre vérité, jamais vous, vous n’aviez divulguée une telle information auparavant.-
Yar souriant répondit

-Oscar, nous n’avons pas ici des membres communs, ils ont quand même répondu à mon appel et de plus réussi à me libérer, alors je ne vois pas pourquoi, cette fois, je cacherais la vérité. Il nous faut bâtir une relation de confiance, n’est-ce pas Ina, Baelsul, Kyu ?-

Le majordome restait muet de surprise et en même temps un sourire apparut étirant ainsi ses commissures. Se retournant vers Ina il l’invitait auprès d’un cadre, où visiblement, y était peint l’entré de la grotte du fort des portes de l’enfer. Ina y perçu quelques membres des gardiens sylvestres, dont Maïkan auprès de sa meute. Plusieurs blessés s’y trouvaient et il semblerait que le gros de l’affrontement était chose du passé. Le cadre s’agrandissait pour se déposer au sol puis une légère brise sortie de l’image animée, il était temps de retourner. Avant qu’Ina puisse passer Yar la remerciait encore une fois ainsi qu’Oscar et le plus inattendu, Kyu avec une adresse et une douceur incroyable vint l’enlacer de ses puissants bras, les pieds de la druidesse quittèrent le sol un moment et le moine laissait une larme couler sur sa joue gauche. –Au revoir Ina et merci.-

Dans l’âtre de la cheminée les flammes laissaient voir Calcifer qui lui fit un clin d’oeil. À ses côtés, le jeune Lunargentait qui ressentit que le temps était aussi venu.

Ina reçut avec surprise la remarque de Baelsul. Elle ne s’attendait certainement pas à cette réflexion de sa part. Modeste comme il était, ce qui était plaisant pour les autres, il venait simplement de rabaisser ses capacités et ses faits d’armes.

-Des compétences suffisantes ? Si par-là tu veux dire que tu a été touché par un dieu et porté une amure démoniaque en restant vivant pour raconter l’histoire, et bien je ne sais pas bien quel genre de compétences on peut attendre de quelqu’un !

-Oui Thuldae est en haute foret. C’est un endroit sûr où tu pourras te reposer aussi longtemps que tu le souhaiteras. Au risque de paraitre prétentieuse, tu y seras mon invité et de ce fait tu auras tout le loisir de découvrir la cité, ses habitants et ses environs. Je connais certains bardes qui seront plus que ravi que tu leurs raconte notre histoire.

Une fois arrivé devant le mur des portails, comme elle venait de le nommer dans sa tête, elle ne pu que s’émerveiller devant tant de possibilités. Elle qui voulait maintenant découvrir le monde avait tout à portée de main. Elle n’aurait eu qu’un pas à faire ou presque pour se retrouver dans des contrées perdues aux quatre coins de Faerune.

La remarque sur le principe de vie éternelle de Yar fit cependant tiquer la jeune humaine. Le principe elle le connaissait et peu de créatures pouvaient se vanter de pouvoir vivre éternellement. Même les elfes finissent par mourir. Mais surtout le principe de vie éternelle était un peu contre nature à l’exception des dieux peut être. Il pouvait cependant y avoir plusieurs exceptions qui sortait de ses connaissances. Elle se fit la réflexion qu’en d’autres circonstances elle aurait pu se retrouver adversaire de Yar. D’autant qu’il rétablit l’équilibre aussi bien pour la lumière que pour l’obscurité. Frissonnant, elle chassa l’idée de se retrouver face à lui en combat.

Elle voulait poursuivre cette histoire de dragon car ces créatures la fascinaient. Pourtant l’appel de la maison était encore plus fort que son envie d’en rencontrer de vrais.

Tout ce temps, elle n’avait pas réalisé qu’elle devrait dire au revoir à Kyu et Calcifère. La fin d’une aventure souvent ne signifiait pas des adieux pour elle grâce à la confrérie. Ce n’était certes pas une première, mais c’était tout de même toujours particulier. Elle ne s’attendait en tout cas pas a ce que ses pieds ne touchent plus le sol quand le grand semi lui donna une étreinte d’une douceur improbable comparé à sa taille. Etreinte qu’elle lui rendit autant qu’elle put.

-Garde ces larmes pour le jour où nous nous reverrons si ce jour arrive, lui dit elle en essuyant cette orpheline au creux de sa joue, merci à toi de nous avoir trouvé et aidé tout au long de cette histoire. Nous ne se serions pas allés loin sans toi, aussi divin que soit Baelsul maintenant.

Elle jeta un regard au concerné, lui adressant un faible sourire. Elle rendit également le clin d’œil à l’élémentaire de feu, persuadée qu’elle le recroiserait certainement un jour.
Elle fit mine se rhabiller après l’’étreinte de Kyu, probablement pour cacher un certain malaise de partir.

-Messieurs, je crois que nous sommes amenés à nous revoir sous peu aussi ce ne sont que des au revoir. Ce fut un honneur de vous croiser, mais aussi le truc probablement le plus étrange qui me soit arrivé. Oscar, merci pour cet accueil. Votre sens de l’hospitalité fait honneur à votre maison.

-Yar, Xyarv, balancier… une telle rencontre ne figurait pas parmi ce que j’envisageais pour mon avenir, je suis néanmoins contente de vous avoir croisé. Pour la prochaine réincarnation, envisagez une forme…autonome à la naissance ? On se reverra sous peu j’en suis certaine. Votre existence recèle encore de nombreuses histoires qu’il me tarde de découvrir, pourtant en tant que simple humaine, je vais d’abord opter pour une bonne vieille flemme pendant quelques jours. Je garderais ce pendentif avec soin en attendant votre appel.

Ina scrutait à travers le cadre qui l’amènerait auprès des siens. Des blessés et des disparus dont il faut s’occuper. Soupirant à la fois de bonheur de retrouver les siens de façon, à priori durable, et de peine de devoir quitter cette réalité fascinante bien que dangereuse, elle s’avança vers le passage.

Toujours surpris par l’importance des objets, missions et lieux décrits par ses hôtes Baelsul resta coi. Il ne savait pas vraiment qu’en penser et encore une fois s’interrogea intérieurement sur sa place à lui ou à d’autres aventuriers plus expérimentés. À la remarque d’Ina il sourrit bien entendu, mais au fond de lui il savait

Malgré tout il avait accepté le médaillon, peut-être qu’a défaut de renouer avec sa famille il poursuivrait ? Ou alors ses capacités magiques nouvellement découvertes se développeraient au fur et à mesure, comme une forme de retour au source beaucoup plus spirituel le liant à ses ancêtres.

À l’invitation, le demi ne se fit pas prier deux fois pour emboiter le pas à ses hôtes, Kyu et Ina. Incroyablement surpris par le spectacle, on aurait dit que le repaire de Yar possédait une fenêtre et peut-être même une porte d’entrée vers tout un tas de lieux ! C’est en effet ce qui fut confirmé immédiatement, une porte certes, mais à sens unique.

Ina, fit une belle description de Thuildae, enfin suffisamment alléchante pour que le demi-elfe accepte l’invitation. Dans le fond il avait hâte de découvrir des habitants de la haute-forêt, leur mode de vie qui le rattachaient encore une fois à ses ancêtres druides et elfes de cette même zone du monde.

« C’est avec plaisir que j’accepte ta proposition. Ta description de Thuildae me donne envie de sauter au plus vite au travers ce tableau, dit-il avec un enthousiasme peu ordinaire pour lui et qui trahissait son exitaction.

À la mention du liquide, Baelsul se promit à lui-même de ne jamais le boire, l’immortalité et l’emprisonnement éternel n’était pas dans l’ordre naturel des choses et ça heurtait son esprit.

Plus solennel que son amie, le lunargentais adressa néanmoins un large sourire tout en donnant une franche embrassade a Kyu puis Calcifer, les remerciant pour leurs conseils, soins, attention et surtout pour leur chaleureuse compagnie. Il fit de même en direction de ses hôtes sans s’étendre plus, étant donné le fait qu’il n’était pas vraiment a l’aise dans de telles situations. Puis il s’empressa d’imiter Ina, se rapprochant de leur future destination.

A faire dire, il n’était pas malheureux de ne pas se retrouver seul immédiatement. Après l’intensité des évènements qu’ils avaient vécus ensemble, il avait du mal à imaginer comment il pourrait de nouveau s’acclimater a une vie plus calme, plus proche de ce qu’il avait connu avant.

7 Mirtul 1373

Les aux revoir réalisé, Yar eu un sourire aux dires de la druidesse puis attendit que l’un et l’autre puisse passer le portail avant de soupirer de nouveau d’ennuis.

Pour Ina et Baelsul qui avait décidé de retourner dans la haute forêt l’entré dans le portail fut aisé, mais le passage en fut autrement et ce fut Ina qui trouvait ce dernier plus problématique. À un moment cette dernière s’aperçut qu’elle commençait à vouloir bifurquer dans l’étroit passage cylindrique dans lesquels ils évoluèrent, comme si le couloir voulait l’expulser puis une lueur apparut au niveau du pendentif que Yar leur avait remit puis une stabilisation s’effectuait sans que la druidesse puisse disparaitre une fois de plus dans une autre dimension. Pour Baelsul le passage fut bref et sans anicroche pouvant même voir l’ensemble du voyage qui ressemblait étrangement à celui qu’ils avaient emprunté pour venir à la cité interdite.

À la fin du voyage une ouverture apparut et celle-ci donnait dans un épais buisson végétal dense. L’archer en sorti facilement sans avoir de haut le cœur, mais la druidesse en arrivant remis à la terre le contenu du repas dernièrement avalé. Ceci ne manquait pas à la vigilance d’un gardien sylvestre non loin qui d’une pointe de javelot vint arrêter l’avancé de Baelsul.

La surprise rapidement passé, le gardien sylvestre reconnu Ina, celle qui avait disparut depuis un long moment déjà, mais que sont chef, Maïkan venait de parler la veille et qu’il avait vue apparaitre rapidement plongeant dans le lac quelque temps auparavant. Pour lui c’était simple, ils avaient utilisé un portail du lac à l’extérieur, mais il trouvait étrange qu’il y ait eut un certain moment avant qu’ils ne ressortent, d’ailleurs il manquait le demi-orque avec eux. Sans se poser plus de question il interpella Maïkan à venir les rencontrer et proposait au duo de l’accompagner auprès du petit campement de fortune, ou gisait ici et là, des blessés par dizaine.

Maïkan s’approchait en leur expliquant que la menace des drows était, tout comme la menace des orques, terminé. Les drows avaient payé cher leur intrusion dans la haute forêt et il semblait que la matrone ait put fuir avec sa garde personnel. Maïkan semblait furieux et un bref instant Ina et Baelsul eurent un regard suppliant, comme si l’homme loup voulait poursuivre la chasse avec eux, mais il semblait comprendre que la fatigue et leurs parts avaient été grandement réalisés. Maïkan expliquait la bataille qui avait sévit et le grand nettoyage qu’ils avaient entreprit pour faire régner l’équilibre dans le nord-est de la haute forêt et le soir venu ce dernier allait faire ses aux revoir au duo ; il partait avec une petite compagnie de gardiens sylvestre à la chasse à la matrone disant qu’elle avait oublié un objet et que grâce à ce dernier qu’ils la retrouverait facilement.

Les soins et l’aide que le duo apportait étaient salvateurs et ils durent rester quatre jours et quatre nuits accompagné et sécurisé par Turlang et ses proches. Le moment venu de partir ils furent accompagnés de Turlang puis une fois bien en sécurité du fort des portes de l’enfer, ils purent emprunter les sentiers qui les mèneraient à Thüldae et pour Bealsul ce fut fort probablement le plus beau voyage de son existence. Si Lunargent avait ses beautées incomparables, la haute forêt n’avait d’égale nul part ailleurs. La luxuriante végétation et sa faune remarquablement extraordinaire lui ravivaient l’esprit, le corps et fortement son âme. Il ressentait en lui une paix jamais connue jusqu’a ce jour. Cette forêt respirait le respect et lui donnait l’inspiration artistique qu’il aimait depuis peu. Puis après quelques jours de marche quand même ardu, ils rencontrèrent un druide pour le moins étrange, il discutait dans son langage secret avec le druide qui les accompagnait ainsi qu’avec Ina, puis l’étrange les menait vers une grotte naturel où dans ces dédales de couloir sinueux arrivèrent dans un passage qu’Ina et Baelsul reconnurent sans peine, c’était une veine du dragon de la Silverwheel. Une journée de marche seulement après, ils arrivèrent non loin du grand Saule.

En approchant un comité d’accueille les attendaient avec toute la joie des retrouvailles. La druidesse se fit accueillir par Isorion, heureux de retrouver celle qui avait disparut dans le portail pour la citée blanche. Il était certain qu’une grande réception typiquement sylvestre se préparait et que les bardes se savoureraient de l’histoire que le duo présent avait vécus, mais avant Isorion qui avec son regard princier, ordonnait à Ina de lui raconter dans les moindre détail l’aventure qu’elle avait subit, et ce en présence des plus hautes instances de Thüldae. Isorion fut prit en main et il lui fut offert un logement dans les haute cimes du Saule, l’endroit était plus que formidable, tout simplement magique et naturel. Il avait tout le temps nécessaire pour se reposer de cette aventure qu’il venait de traverser et il rencontrait un elfe des bois barde qui semblait avoir des millénaires et qui lui en apprit plus sur une partie de ses racines.

Vivre à Thüldae était vivre hors du temps et des problèmes, les semaines passèrent agréablement et l’aventure qu’ils avaient traversé leur semblait déjà loin, mais les bardes chantaient de plus belle et plus loin cette épique quête d’une druidesse des gardiens sylvestres du nom d’Ina, de l’archer chanteur Baelsul aux noble racines qui avait été habillé d’un démon et touché par un dieu et d’un duo énigmatique composé d’un moine fou demi-orque du nom de Kyu secondé d’un élémentaire tout aussi mystérieux, Calcifer.

Par respect pour l’un des membres des gardiens sylvestre, Isorion avait demandé à Ina de taire l’épisode ou ils avaient sut pour le fils bâtard d’Yvhann de Yössmar, Xale et de son demi frère Jehans. Isorion apprendrait au belliqueux L’y Aegisir des gardiens errants la nouvelle. Connaissant son tempérament foudroyant, Isorion serait en mesure de contrôler les ardeurs intempestives du druide-rôdeur.

Baelsul avait le choix, soit de rester auprès des gardiens et même d’en devenir un membre, car il avait grandement fait ses preuves et pourrait sans problème devenir un gardiens sylvestre en règle dans l’une des branches de son choix ou il continuait son chemin en quête d’une vie qui lui plairait.


« Ce qu’il y a de plus pitoyable au monde, c’est, je crois, l’incapacité de l’esprit à relier tout ce qu’il renferme. Nous vivons sur une île placide d’ignorance, environnée de noirs océans d’infinitude que nous n’avons pas été destinés à parcourir bien loin. Les sciences, chacune s’évertuant dans sa propre direction, nous ont jusqu’à présent peu nui. Un jour, cependant, la coordination des connaissances éparses nous ouvrira des perspectives si terrifiantes sur le réel et sur l’effroyable position que nous y occupons qu’il nous restera plus qu’à sombrer dans la folie devant cette révélation ou fuir cette lumière mortelle pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d’un nouvel obscurantisme. »

Du guetteur mystique, Yar.




Fin de l'aventure. ; )

Sun.