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Les collines miroitantes, Introduction : Owéor
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Habitant des Royaumes
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Son compatriote l'avait réprimander dès son arrivé, puis il l'avait totalement ignoré. Il prit son temps pour s 'habiller, ce qui énerva quelque peu Owéor, qui serra un peu plus fort son arc pendant un court instant, juste le temps de laisser passer cette frustration. Toutefois, malgré la non-gène du barbu, cette situation était plus plaisante qu'au départ, déjà le gnome n'était plus nu, et il n'était pas hostile. essaya-t-il encore de placer, avant que le gnome ne lui recoupe la parole, mais cette fois ci pour l'inviter à partager son déjeuner.
Owéor commençait à perdre patience, le temps était précieux lors d'une disparition, et cet énergumène, lui en faisait perdre.. Le gnome entreprit de fouiller dans son sac, en sorti quelque chose, et fit deux pas en direction d'Owéor. Par prudence, car il ne savait toujours pas à qui il avait affaire, il se recula de quelques pas, pour laisser sortir le gnome, tout en étant pas trop proche de lui.
Quand l'autre eu finit de s'activer pour faire un feu, et mis le thé à chauffer, Owéor baissa enfin son arc, et le remis en bandoulière sur son dos, et il s'approcha doucement du feu, tout en ne quittant pas le gnome des yeux. Il se plaça face à lui, en prenant soin de mettre le feu entre eux deux, toujours par précaution.
Enfin, sentant qu'il pouvait finalement décrocher deux mots sans se faire ignorer et couper, il se remit à parler, à une certaine vitesse, de peur d'être encore coupé : - ’ ’ Tout en parlant, il avait approché ses mains du feu, pour se réchauffer un peu avant de repartir dans la fraîcheur du jour et à sa quête.
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Habitant des Royaumes
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Ah, la fougue de la jeunesse, jamais le temps de s'assoir pour discuter avec les ainés. Et le malandrin n'avait, qui plus est, pas sortit le moindre biscuit pour accompagner le thé! De plus il semblait vouloir repartir dès que possible. Feezby, ne voulant pas perdre l'occasion de discuter avec l'un de ses congénères, se décida enfin à l'écouter vraiment. Abasourdi par ce qu'il entendit, mais surtout inconscient qu'il aurait pu avoir l'information plus tôt si il avait laissé parler le nouveau venu, il oublia de parler en gnome pour en revenir au commun, langue qu'il pratiquait bien plus depuis de nombreuses années.
-Comment? Une disparition? Mais enfin, jeune homme! Il fallait le dire tout de suite! Vous n'avez pas idée de rester là assis au près du feu à vous réchauffer alors qu'un pauvre chien et son maître son perdu dans la nature! Plus un seconde à perdre! Il faut que nous nous mettions au travail tout de suite. Mais rien ne sert de courir, il faut d'abord relier tous les indices!
S’étant approprié la quête, le vieux moine c'était d'office joint à l'équipe de recherche. Naturellement, sans même demander si on avait besoin de lui ou pas. Le thé n'ayant pas été encore infusé, il se versa un verre d'eau chaude, puis se leva pour faire les cents pas en réfléchissant à haute voix, tout en se caressant la barbe. Il ignorait à nouveau son interlocuteur.
-Reprenons, un homme à disparut, avec son chien, à proximité du moulin. Je suis arrivé dans la soirée hier, je n'ai rien vu depuis. Il a plu, peu être reste t'il des traces facilement repérables? Pourquoi n'iriez pas voir si vous ne trouvez pas quelques choses dans les environs jeune gnome? vous seriez bien aimable. Pour ma part je vais demander à mon hôte pour savoir si il ou elle n'a rien vu durant la nuit.
¤ Aaah ses jeunes, toujours à rester planter là a attendre qu'on leur dise quoi faire, heureusement qu'il est tombé sur quelqu'un comme moi pour reprendre la situation en main!¤
Et sans plus d'explication, l’insupportable petit bonze bois son godet cul sec, et rentre à nouveau dans le moulin. Il hulule en direction de l'oiseau nocturne qui avait presque réussi à s'endormir et essaie de lui soutirer quelques renseignement, essayant d'attirer son attention. En quelques gestes et bruitages, il essaie de lui faire comprendre ces quelques termes: Chien, deux taches sur les yeux, une oreille coupée, vu quand? ou? quelle direction? Vu humain? quand? ou? quelle direction? Si toi sait, moi donner viande.
¤Enfin moi donner viande... je demanderais a mon nouveau compagnon de lui en donner, j'ose espérer qu'il se sert de cet arc pour la chasse.¤
Utilisation de communication avec les animaux de la forets.
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Habitant des Royaumes
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Son compagnon ayant enfin daigné l'écouter parler, celui-ci se rendit compte de l'urgence de la situation. Mais plutôt que s'excuser, il rejeta la faute sur Owéor, qui se mit à grincer des dents. Cet énergumène allait finir par rendre sa journée bien moins sympathique.
Malgré tout, cela faisait une aide supplémentaire pour sa recherche, et il n'allait pas cracher dessus, il s'abstint donc de tout commentaire, pour ne pas perdre plus de temps que celui déjà perdu. Son comparse n'avait croisé personne depuis hier soir, donc le chien n'était pas rentré dans le moulin, et l'homme qui avait disparu la veille non plus.
¤ Satané vieillard. Le respect des plus jeune dans tout ça ? Bon, au moins on avance, c'est déjà ça de pris. Personne ici depuis la veille au soir. Peut-être vais-je trouver des indices à proximité¤
Sur cette réflexion, et pendant le monologue du gnome, il commença à s'éloigner, lorsque celui-ci en rajouta une couche en lui demandant d'aller chercher des traces aux alentours. Cela crispa encore un peu plus Owéor qui ruminait dans son esprit.
¤ Fait-ci, fait ça... Ce serait déjà fait si tu était moins excentrique.. Vraiment un drôle de personnage.. Je comprends pourquoi il à pas croiser de gnome depuis longtemps, ils doivent l'éviter comme la peste. Puis je sais quoi faire, je suis plus un enfant.¤
Arrivé à quelque pas du moulin, il en fit le tour, puis des tours de plus en plus large, comme ci il faisait une battu, mais de façon circulaire, afin d'avoir le plus de chance de ne louper aucune trace. Il s'agenouillait, approchait son oreille du sol, observer toute les traces au sol, touchait la terre, puis repartait un peu plus loin et réitérer son manège. Tout en faisant son inspection, il mit le sifflet à la bouche et siffla, par à coups, tout les cinq pas. Si la recherche ne donnait rien, peut être que ce raffut allait attirer le chien, ou le mari qui entendrait le son de son sifflet. A moins que ça ne rameute autre chose, ce qui serait plus gênant.
Utilisation du don pistage.
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Mystique de la canopée
Chambre 20
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Owéor & Feezby Nookburry Les arbres s’ébrouaient sous le vent, lâchant une pluie de feuilles frissonnantes. L’aube achevait de rosir sur les remparts des Contreforts de la Terre. Instant où le soleil perçait en ouvrant le vert des lichens, rouille des écorces, soufre des feuilles mortes. Gnome des champs et Gnome des mines, à défaut d’amabilités, s’étaient finalement coordonnés pour travailler sérieusement à la recherche des deux portés disparus. Chacun ayant sa méthode pour parvenir à résoudre cette affaire, ils se séparèrent un instant. Feezby En attendant quelques gémissements, le rapace nocturne qui se reposait, s’éveilla du haut de sa vieille tour, il ouvrit un œil, puis le second. En faisant beaucoup de mines avec la tête et en secouant ses longues plumes gris cendrés qui coiffaient le sommet de sa tête, l’animal des bois hua en retour.
Le hibou des lieux solitaire et ruinés, venait de passer la nuit en veillant, sans pouvoir sortir sous le tumulte de la tempête qui avait frappé avec violence le paysage nordique. Au grand damne du volatile, aucun rongeur n’avait eu la bonne idée de venir partager cet abri de fortune pour satisfaire sa faim. Ainsi, outre les préoccupations alimentaires et un manque de sommeil certain, Feezby n’eut de la part de son nouvel ami à plumes, aucune réponse pertinente à ses nouvelles préoccupations. Le moine n’était même pas certain qu’il sache ce qu’était un chien ou un humain. A la vérité, la logique elle-même voulait que le volatile en sache autant que le Gnome. Owéor Le petit rôdeur allongea le pas tout en scrutant la terre meuble, il s’usa les yeux à continuer de décrypter son environnement avec sa méthodologie habituelle. Le chasseur de vermines mit un genou à terre pour examiner des empreintes qu’il découvrait. De nombreuses traces imparfaites ou partiellement effacées par les intempéries. Ces traces lui permettaient de comprendre comment les animaux terrestres de la région s’étaient adaptés à leur milieu. Il trouva aux abords d’une souche des crottes molles et violacés, avec de petits grains ronds, preuve que des renards avaient récemment marqués leurs territoires après s’être gavés de baies sauvages. Quelques pas supplémentaires, et il était certain de débusquer un terrier.
Le marcheur, penché sur les traces, les effleurant du doigt, sentait poindre en lui l’inspiration et l’espoir de surprendre l’animal. Le chasseur avait l’instinct qui veillait en lui, n’oubliant pas la sensation euphorisante procuré par l’interruption du gibier, mais il s’éloignait du sujet principal. Aucune trace de botte ou de patte canine.
Il ne ralentit pas le rythme pour autant, sifflotant dans l’appeau disproportionné pour ses petites lèvres de Gnome. Après quelques minutes de recherche, un mouvement attira soudainement son attention. A dix mètres à peine, entre un monticule de roches et de larges pins à crochets, il aperçut soudain une silhouette en mouvement et reconnut le pelage blanc et sable d’un chien. Un aboiement acheva de le convaincre de cette présence. La taille d’un chien de selle, deux oreilles pointues montrant des irrégularités. Cette fois, il n’y avait plus de doute possible : c’était bel et bien celui qu’il cherchait.Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Pistage - Survie 13(d20)+7 = 20 (réussite, mais s'il y avait des traces, elles ont disparues)
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Habitant des Royaumes
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Pendant son inspection, Owéor trouva des pistes, mais vers du gibier ou d'autres animaux de la forêt, mais pas pour les disparus. Ici, des traces de lapin, un peu plus loin une souris chassée par une belette, enfin des crottes de renard, avec la certitude de la présence d'un terrier à proximité. Ces découvertes encourageait le rôdeur car cela prouvait que l'on était bien dans un lieu où la chasse était possible, donc Geilund avait du passer par là. Même si aucune preuve n'était disponible pour le moment.¤ Au moins, en cas de soucis, on sait que on peut se sustenter par ici. Maintenant trouvons nos deux disparus¤ Après sa dernière examination, il se redressa et souffla une fois de plus dans le sifflet, et vit que des branches se mirent à bouger. Il siffla à nouveau, un peu plus fort, et cette fois-ci ce fut un aboiement qui lui répondit. Il s'approcha donc de cette direction, et trouva un chien qui ressemblait fort à la description de Rexus, et qui avait réagi au sifflet. A cette vue, il failli pousser un crie de joie, mais s'abstint pour ne pas effrayer la bête. Il s'éloigna doucement du lieu où il était pour prévenir son compagnon de sa trouvaille.¤ Il va voir que je sais me débrouiller. Espérons que ses recherches auront quand même mené quelque part, ça aiderait bien. ¤ A proximité de l'entrée, il toussota pour signaler sa présence et déclara : -A l'extérieur, toutes les traces de passage de Geilund ont disparu, commença-t-il avant d'ajouter victorieux, mais j'ai trouvé Rexus, le chien. Espérons qu'on puisse se servir de lui pour trouver le mari. Il réfléchit un instant, avant d'ajouter gêné, en se triturant les mains.
-Mais par contre, comment allons-nous lui faire comprendre notre demande, la femme qui m'a chargé de cette mission ne m'a pas donné d'affaire appartenant à Geilund, du coup on peut pas lui donner un truc à flairer pour commencer. Et puis, il faut voir si il accepte de nous aider. Sa joie venait de descendre d'un cran, il venait de se rendre compte d'avoir oublié quelque chose d'important dans sa hâte d'aider la dame. Et sûrement que son comparse allait profiter de cette erreur pour critiquer de nouveau le jeune gnome, mais il n'avait pas dit son dernier mot. Il se détourna et reparti en direction de l'animal. Arrivé à proximité, il entreprit de faire une série de mouvement tout doucement, pour montrer qu'il n'était pas menaçant, lui parlant d'une voix douce. -Je suis ton ami, je suis à la recherche de toi et ton maître, n'ai pas peur. Utilisation d'empathie sauvage. Lancers... Owéor - Empathie Sauvage : 9(d20) + 1(niv.) = 10 vs DD15 ~ Echec
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Habitant des Royaumes
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Déçu du peu de résultat que lui avait apporté son "dialogue" avec le rapace, le vieux moine soupira, et lui souhaita bonne nuit, ou plutôt bonne journée. Lorsque soudain, des aboiements, se firent entendre. Il en profita pour associer "chien" avec l'aboiement, au cas ou il comprendrait mieux à présent. Lorsqu'il fut sur de ne plus rien tirer comme information, il repris conscience de son environnement et entendit son nouvel ami toussoter à l'extérieur. Sortant du moulin, les bras croisés, mains enfoncées dans les manches opposés, il afficha son sourire le plus chaleureux. Et, fait rare, il écouta le rôdeur, en regardant le molosse dans son sillage, sans le couper une seule fois. Comme quoi, il était parfois capable de ce concentrer lorsque la situation le nécessitait.
-Bien, bien! Je vois que vous avez eu plus de succès que moi jeune Gnome! Pour ma part, je n'ai guère eu de succès avec notre ami haut perché, je ne suis pas sur de m'être bien fait comprendre. Et en parlant de ça, je pense qu'avant de nous faire comprendre de ce nouvel animal, vous devriez vous en faire un ami. Vous avez l'air doué avec les animaux, je le sens. Donnez lui à manger peu être, ou à boire, si il cherchait son maître depuis longtemps il se peu qu'il soit affamé. Lorsque la confiance sera établie, je suis persuadé qu'il se fera comprendre de lui même!
S’assaillant à une distance respectable, pour ne pas paraitre menaçant pour le chien, il en profita pour engager une conversation plus amicale avec son cousin.
-Oh, j'y pense, dans la précipitation, nous n'avons pas fait les présentations! Je me nomme Feezby Nookbury, enchanté de faire votre connaissance. Et vous êtes?
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Mystique de la canopée
Chambre 20
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Owéor & Feezby Nookburry Le petit chasseur de vermines s’approcha du chien en le saluant avec calme, se mettant à sa portée pour atténuer ses éventuelles craintes quant au contact de bienvenue. C’était un bel animal d’un âge avancé, la poitrine large et fournie d’un épais pelage de couleur fauve, le corps robuste et allongé d’où jaillissait une queue rude, épaisse et garnie de longs poils. Sa tête, ornée d’une paire d’yeux dans lesquels brillaient des prunelles d’un bleu tendre, laissait entrevoir un certain degré d’intelligence. Sa gueule largement fendue était armée de fortes dents et ses oreilles, comme l’humaine l’avait indiquée, étaient hautes et pointues, revêtues d’une peau délicate et dont l’une d’elle était partiellement meurtrie.
Mais ce n’était pas là les seuls stigmates qu’il portait. De vieilles entailles parcouraient son front plat qui diminuait graduellement pour aboutir sur une fine truffe noire. Une longue empreinte couturée semblait sillonner son flanc droit du trapèze au fessier. Sans être expert en la matière, le Gnome devinait que l’animal avait passé une longue partie de sa vie aux courses et à poursuivre les chevreuils, les cerfs et les lièvres rapides. Ces marques étaient probablement les vestiges d’une rencontre avec un horrible sanglier. Outre de vieux stigmates, très rapidement, il devint évident qu’il y avait un problème. L’animal était visiblement nerveux, réticent et anxieux. Owéor tenta d’influencer les choses instinctives et essaya de le faire se concentrer sur quelque chose d’autre que sa nervosité en le flattant un peu. Subtilement, il lui demanda obéissance, tenta de le soumettre, de focaliser son attention afin d’obtenir sa confiance, loin des situations qui, autrement, l’aurait rendu irritable, instable et inquiet.
Mais rien ne semblait y faire, l’animal tourna sur lui-même, huma le sol tapis d’épines et de feuilles, se mit à gémir et agita la queue. Rexus réagissait à peine à son propre nom, probablement attiré par le sifflet mais ne présentant aucun intérêt particulier pour les deux petits êtres.
Soudain, alors que le rôdeur achevait son analyse, perdant probablement patience, le chien aboya puissamment, deux fois, comme mût d’une autorité implacable. Tout à coup, il s’élança telle une fusée fauve, galopant à travers les végétaux desquels il venait tout juste d'émerger.
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Owéor commençait ses mouvements pour rendre Rexus docile. Il commença par lui parler, puis se mit à genoux, mit une main au sol, toucha l'herbe verte, la prit dans ses mains et l'approcha du chien.
Pendant cette manœuvre, il avait remarqué de vieilles blessures sur le chien, qui au final ne devait pas seulement être un animal de compagnie, mais un gagne pain supplémentaire pour ses propriétaires, ou du moins à un moment de sa vie.
Son compagnon se présenta, et Owéor se rendit compte qu'il ne s'était pas présenté également. Il parla à son collègue à voix basse, en maintenant le regard sur le chien, en essayant de garder un contact visuelle en bougeant la tête au même rythme que le chien.
-Je me nomme Owéor, je voyage pour découvrir le monde et ses merveilles. Et vous, comment vous êtes vous retrouvé ici ?
L'animal se montrait difficile, il semblait nerveux et bougeait beaucoup la tête, et s'agitait, comme si il avait du mal à tenir sur place. Le gnome entreprit donc de faire des petits sons afin d'attirer le regard du chien, tout en maintenant le regard sur lui, et lui parla pour le calmer.
-Hola, tout doux mon grand, on ne te veut pas de mal. Calme-toi, on est la p...
Soudain, le chien tourna sur lui-même, brusquement, surprenant le gnome qui en perdit le fil de sa phrase, et eu un mouvement de recul.
¤ Il est vraiment agité, imprévisible. Peut-être qu'un peu de nourriture le calmera.. ¤
Le gnome se redressa, se tourna vers son compagnon, mais avant qu'il n'ait pu ouvrir la bouche, Rexus aboya fort. Owéor se retourna vivement, prend à recevoir une morsure, mais vit seulement le chien courir à toute vitesse dans une direction. Il s'adressa à Feezby, tout en commençant à le suivre, en parlant de vite.
-Le chien avait l'air perturbé, quelque chose doit l'intriguer la bas, nous ferions bien de le suivre, et vite avant qu'il ne nous sème.
Et il accéléra le pas pour ne pas perdre le chien de vue.
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Habitant des Royaumes
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Toujours assis en tailleur, le moine regardait son nouvel ami examiner le chien tout en lui répondant.
-Comment je me suis retrouvé ici? Et bien figurez vous que c'est très simple. En marchant bien entendu! hihihi Et je crois que nos but convergent, découvrir le monde est aussi l'une de mes ambitions!
C'est alors que le canidé se retourna en aboyant en filant à travers les broussailles comme une flèche. Tel un ressort, le vieux chauve se propulsa de ça position assise à celle d'un coureur. Il dépassa le jeune Owéor d'une manière assez impressionnante pour quelqu'un de son age et de sa stature.
-Vite! Ne le perdons pas de vue!
Dit il alors que la boule de poil était déjà hors de vue. Il s'en aperçu qu'une fois arrivé au premier buisson, incapable de savoir dans quelle direction la bête était parti, il entreprit de faire un demi tour en boucle, cette fois au petit trop pour se retrouver derrière le rôdeur.
-Hum, mes yeux ne sont plus ce qu'ils étaient... et si vous passiez devant?
Utilisation de mon don pour courir à +3m par round
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Mystique de la canopée
Chambre 20
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Owéor & Feezby Nookburry Gnomes des mines et Gnomes des champs n’eurent de choix que de se laisser guider à travers le paysage. Une légère brise agitait doucement les herbes hautes. Suivant son flair, Rexus traversa une série de conifères, d’hêtres et de bouleaux, puis longea un escarpement rocheux qui débouchait sur une vaste colline. Suivre la piste semblait pour ce chien, un jeu tant il s’élançait avec confiance.
Les deux randonneurs marchaient derrière lui d’un bon pas sur les sentiers du terrain boisé. Ils parvinrent tant bien que mal à suivre, perdant progressivement de la distance au rythme du rôdeur. Tout à coup, à une trentaine de mettre en surplomb, le grand chien se mit à ralentir et s’immobilisa un instant au sommet du coteau, son pelage blanc et fauve brillait sous un rayon de soleil. Il gratta le sol puis redressa la truffe en observant le ciel clair béant au-dessus de la crête dentelée des montagnes. Il fit mine de bailler en ouvrant large sa gueule et poussa la provocation jusqu’à s’étirer nonchalamment puis sans plus attendre, il repartit et disparu hors de portée de vue, sans même adresser un regard à ses poursuivants.
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