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> ۝ Les petits rats sous le Coutelas ۝, Fairïe dans les entrailles de Luskan
écrit le : Vendredi 30 Mars 2012 à 23h41 par Atlas
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Le temps que l’Elfe se lance à l’assaut, Zéphyr était déjà au contact. Elle dansait d’une grâce surnaturelle, accompagnant sa danse d’un chant glorifiant Akadi et même dans le chaos du moment, il lui sembla que tout était possible au côté d’une telle danseuse. Elle lança la lanterne sur les rats empêtrés dans ce qui restait de la toile d’une échoppe, l’huile et la flamme se propagèrent aussitôt, blessant des rats qui, soudain reprirent l’attitude normale des vermines : fuir le danger évident d’un feu.

Face à une nuée, frapper d’un coup d’épée ou de dague aurait eu autant d’effet que de frapper dans l’eau, et tenter de traverser la nuée aurait signé son arrêt de mort immédiat, elle n’aurait rien pu faire contre autant d’incisives tranchantes prêtes à tout pour avancer … mais il y avait fort heureusement une cible qu’il lui était loisible d’affronter de sa lame efficacement et qui cherchant une faille dans la défense de feu bondit au dessus de la rivière. De son côté. Sphinx prit la créature de dos, aussi gênée que les défenseurs par ses congénères de moindre taille et toute entière dirigée vers le cœur du marché.

Attaque : réussite, le rat sanguinaire se retourne vers Sphinx

La lame mordit la chaire du rat géant et dans un cri immonde lui fit face, prêt à se venger pour cette attaque.

Le son de flute était maintenant évident, même pour Fairïe qui n’avait pas souhaité se lancer dans la curée, tout comme le chant du Marchand de Vent qui tentait toujours de surpasser la musique sans plus de succès.

Profitant du feu qui enflammait toujours plus de tonneaux, caisses et fragments d’échoppes comme d’un bouclier efficace, les marchands et visiteurs fuyaient comme ils le pouvaient, abandonnant ce qu’ils ne pouvaient emporter rapidement. Blessés y compris. A chaque fois qu’un rat se trouvait brûlé, il plongeait dans la rivière et fuyait en contre-sens, soulignant, si c’était encore nécessaire, le caractère surnaturel de la scène. Pour celui qui aurait pris le temps d’analyser froidement la situation, le marché avait été sauvé par ceux qui avaient préféré incendier une partie de celui-ci, il y avait fort à parier qu’aucune autre méthode n’aurait pu fonctionner.

Le combat n’en était pas terminé pour autant, la fumée commençait à se densifier, les barrières de bois et de feu à s’affaiblir et le nombre de créatures à bondir contre elles contre tout instinct de survie risquaient bien de finir par passer au travers.

Plus inquiétant encore, les rats n’étaient pas seuls à affronter les marchands : plus loin, une créature courbée, dans l’eau jusqu’à la taille, plus terrifiante encore que le rat sanguinaire dont elle copiait les traits, faisait face à trois hommes qui tentaient tant bien que mal de le garder en respect et de permettre à un autre, dont le manteau gris à capuche cachait les traits, de réaliser les gestes complexes d’un sort, projetant un nouvel éclair bleuté … et ce joueur de flute qui n’était visible nulle part.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Vendredi 27 Avril 2012 à 14h35 par Fairië Atala
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es coudes reposant sur le pommeau de son épée, Fairië ne broncha pas devant les scènes de violence qui lui faisaient face. Bien au contraire, il semblait perdu dans les méandres tortueux, très tortueux, de son esprit. Regardant d’un œil distrait le combat, il était évident qu’il était en proie à un questionnement de toute importance et aucunes réponses ne semblaient s’offrir à lui. Un long soupir sortit de sa bouche, enfoui sous les cris de terreur et le crépitement des flammes.

Ce n’est qu’après quelques secondes de réflexion, que l’Elian décida enfin de bouger. Soulevant son imposante lame, il la plaça sur son épaule droite. Marchant comme ci de rien n’était au côté de sa douce hin …
Une fois à ses côtés, son large sourire réapparut aussitôt, mais mêlé cette fois d’une pointe de timidité et d’embarras
.
-(commun) Dites moi ma chère, j’ai une question qui m’est venu à l’esprit dont je ne connais guère la réponse… comment fait-on pour revendiquer une île ? … voilà j’ai pensé et repensé à la chose. Mais je ne vois absolument pas comment pouvoir revendiquer la chose. Posant les yeux sur les combats, il reprit. Pourtant si je veux construire ma petite auberge il va bien falloir que ces terres m’appartiennent ? Son long soupir réapparut de nouveau. J’aurai du le demander au capitaine. Il doit certainement le savoir. Levant l’index en l’air. Oh ! ce Elarig pourrait aussi certainement m’aider. A ces mots, l’Elian posa un regards tout autre sur le combat qui faisait rage. Ma chère, nous devons vraiment passer au plus vite pour rencontrer cet homme.

Fairië regarde inspecte autour de lui. Toute chose pouvant servir à mettre le feu. Flasque d’huile, lanterne … si j’ai bien compris les rat vont de gauche a droite, mais sont bloqués par les flammes en colonne Q du plan. Si Fairië trouve quelques choses d’inflammable, il y mettra le feu et le jettera en S5.
Sinon il attend gentiment en V3 que la situation évolue en V3.



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
Extrait du journal d'Halrim Caec

Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
La deuxième forgée de l'or le plus rare;
La troisième dans un pli de granit sera taillée;
la première "Juste Vieillard" est nommée;
A "Pressant Dard" répond la deuxième arme;
Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de
charme
Est une lame affamée s'appelant "Liberté".

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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Vendredi 04 Mai 2012 à 22h06 par Atlas
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Trouver du comburant dans ce fatras était facile, tantôt un voile déchiré, du bois, des jarres d’huiles et autre et très vite Fairïe pu se saisir d’une perche accrochée à un morceau de tissus et d’en faire une torche improvisée aussitôt allumée. A grand renfort de moulinets, l’Elian lança son flambeau au travers de la nuée. Mais bien que son geste fut parfait et particulièrement bien pensé, la marée de rongeurs continuait son œuvre de destruction.

La Hin ne put que secouer la tête pour lui répondre, le visage résigné comme de celle qui a déjà compris qu'il ne servait à rien de tenter de raisonner le déraisonnable mais surtout parce qu'elle ne cessait de chanter.

Au-dessus du tumulte, un second chant se fit entendre, en réponse à la mélopée de Zéphyr, le renforçant jusqu’à effacer la curieuse musique que Sphinx avait perçu.


Et la musique s’arrêta tout à fait. Le temps semblant se suspendre de même.

Un battement de cil plus tard, les rats reprirent aussitôt l’attitude que l’on pouvait attendre de tels rongeurs : la peur, l’individualisme, l’instinct de survie qui pousse à fuir aussi vite que possible ce feu qui leur carbonisait le poil sur la peau.

Le rat géant avait plongé dans le canal central et avait très rapidement disparu sous l’eau pour se mettre à l’abri, hors de vue des aventuriers et des défenseurs de ce qu’il restait du marché, laissant un filet de sang sombre derrière lui.

La créature humanoïde était prostrée, tremblante, toujours tenue en respect par le groupe qui avait fait front et sauvé ce qu’il restait à sauver.

Quand la grande majorité de rats encore capable de se déplacer fut partie, les marchands qui n’avaient pas fuis tentèrent tant bien que mal d’éteindre le feu qui les avait protégés, créant toujours plus de fumée, et faisaient le compte de leurs pertes.

Dans un renfoncement, un corps bougeait à peine … son compte risquait d’être beaucoup plus difficile à faire.

Allongé dans une posture improbable, Sphinx reconnut un des voyageurs du groupe d’Hagon. Son regard vitreux, sa bouche entre-ouverte, son visage couvert de plaies, et aussi brulé que le reste de son corps ne laissait aucun doute, le fil de sa vie avait été tranché net. Et il y avait fort à parier qu’Hagon était passé par là.



" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Dimanche 27 Mai 2012 à 22h25 par Fairië Atala
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n son strident retentit de nouveau contre les parois rocheuses du marché sous terrain. Juste un homme frêle trainant une lame démesurée derrière lui. Réajustant les boucles de cuir des lanières ceinturant sa lame, il l’agença de nouveau à sa place.
Son large sourire éclairant toujours son visage en direction de la Hin.
-(commun) Et bien ma jeune amie, il semblerait que le chemin nous soit de nouveau ouvert pour trouver Elarig. J’ai vraiment hâte de le rencontrer. A ces mots, l’Elian sautilla de nouveau sur place comme à son habitude. Prenant un air sérieux. Je dois vraiment lui demander pour la revendication de mon île … je dois tout faire en ordre. Cela m’ennuierait ma douce amie, que l’on vienne me chercher problème. Continuant son questionnement irréel au vu de la situation, il sautilla de pied en pied, à travers les cadavres de rats et d’hommes.

Tournant la tête vers Zephyr, il reprit de sa voie enjouée
:
-(commun) peu être que ces hommes seront sans doute ou trouver Elarig vous ne pensez pas ?

Les mains jointent derrière lui, il avança en sautillant en direction du petit groupe d’homme. Non sans avoir poser un regard désintéressé sur la créature humanoïde. Et malgré le drame, Fairië arborait encore et toujours ce sourire franc et radieux qui en cet instant semblait presque choquant. Mais cela n’était certainement pas quelques choses que pouvait comprendre le Psion. Et c’est malgré tout comme cela qu’il alla à leur rencontre.
-(commun) Veuillez m’excuser Messieurs, connaitriez vous un certain Elarig. Je suis à sa recherche. Il est ... un silence suivit d’une claque que l’elian s’adressa de lui-même sur le front. Puis un rire franc sortit de ses lèvres. Se tournant vers la Hin, il reprit. Ma douce amie, je ne sais même pas à quoi notre futur compagnon peut ressembler. Puis se retournant de nouveau vers ses interlocuteurs. Quoi qu’il en soit je dois vraiment le trouver.

Une nouvelle fois l’Elian montrait son étrange personnalité. Mais que pouvait-il faire d’autre. Nous sommes ce que nous sommes …



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Jeudi 31 Mai 2012 à 00h18 par Sphinx Aodren
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Quant Sphinx reconnu la personne elle eu un sourire crispé. Une pensée lui vint.

¤ Et bien il aurait du se méfiai après il m'a dupé alors pourquoi pas d'autre ¤

Elle s’approcha du corps poser la comme un pantin désarticuler sans le corps avait du être cacher après un nouveau tour pendable de cette être sans vergogne qui se fait nommer Hagon. Ce qu'entrepris de faire Sphinx a se moment la pouvait paraître morbide et déplacer mais elle n'avait que faire du regard des autres, dés lors elle commencer a inspecter le corps de l'homme et a fouiller les poche et tous se qui pouvait l'être un indice peut être lui permettrai de retrouver se Hagon de de lui faire payer ce qu'il avait fait et puis de toute façon il n'avait plus besoin de se qu'il avait sur lui.
Quant elle entendis la vois du drôle d'être qu'était l'un de ses compagnon de voyage pour le moment elle se redressa afin de porter oreille a se qui se disait tout en continuant sa besogne.


Elle ne savait pas grand chose sur eux après tout mais il lui avait plus ou moins tendu la main alors elle décida que un de ses jour elle paierai cette petite dette.

Une fois le corps fouiller méticuleusement elle se redressa et regarda les alentour si quelqu'un avait besoin d'aide elle tenterai de l'aider.

¤ les personne présente après tous ne sont pour rien en se qui met arrivé¤

Tout en passant en revu l’endroit dévasté elle observai chaque personne une idée venait de la frapper et si il était encore parmi eux. Il y avait un faible chance mais bon ou du moins si quelqu'un le connaissais. Pourquoi ne pas faire comme sont compagnon de route. Sphinx s’approcha du groupe de personne et les interpella :

- Veuillez m'excuser mais je recherche un personne du nom de Hagon.

La jeune femme se lança dans un descriptif et fini part pointer du doit le corps dans le coin afin de leurs signaler qu'il avait un rapport avec cette homme. Une fois fait elle scruta chaque visage chaque réaction afin de voir si quelqu'un n'aurai pas une réponse a lui fournir.



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écrit le : Dimanche 03 Juin 2012 à 09h30 par Atlas
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Il y eut un flottement, répondant à l’attitude complètement décalée de Fairïe. Et à la plus improbable réponse à sa question qu’elle eut pu espérer. La masse prostrée tenue en respect par le groupe qu’ils avaient rejoint poussa le beuglement monstrueux d’une bête qui se sait perdue et n’a plus même la force de lutter contre son funeste destin.

Après quelques interminables secondes pendant lesquelles elle ne cessa de se contorsionner, la bête subit une transformation qui semblait lui déchirer les entrailles, ses os craquant de manière sinistre, sa fourrure se raccourcissant comme si chaque poil était une aiguille s’enfonçant d’elle-même dans son corps torturé.

Puis il y eut un râle, un soupir, et guère plus que le corps d’un homme, nu, brulé par endroit par le feu et au moins un éclair magique, endormi dans la posture fœtale censée lui apporter la paix.
Un des trois hommes en arme, rangeant son épée fine au fourreau, sembla contrarié puis lança avec un sourire en coin : -
« Un rat-garou, je te dois une pièce d’argent … »

Un autre, la tête légèrement penchée sur le côté regardait le pauvre homme avec un air condescendant. Il était évident que le garou souffrait de sa terrible malédiction : - « Cité des Voiles qui voit les racontars de marins avinés prendre vie. »

Le troisième restait alerte comme si le combat pouvait reprendre à tout instant et l’arcaniste de conclure : - « C’est une chance cela dit qu’un chanteur ait eu la clarté d’esprit de briser la musique du joueur de flute, il y a décidément trop de rats à Luskan. »

La Hin acquiesça, cherchant quelqu’un du regard. Quand elle croisa celui de Sphinx, elle secoua la tête. Personne n’avait pu voir vraiment ce qu’elle avait fait, elle-même n’avait vu que de loin la terrible transformation.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...


- Je ne sais pas où est ton Hagon mais voilà notre Elarig… Sacré Bansh … Qu’une créature étrange soit supposée vivre quelque part qu’il essayera toujours d’en faire un des siens …

Les rares marchands rassemblant leur bien n’accordaient aucune attention aux deux groupes d’aventuriers jusqu’à ce que l’un d’eux s’exclame : - « La vieille Myrthe ! De l’aide quelqu’un avant que Kelemvor ne l’emporte ! »

Le corps presque sans vie qu’ils n’avaient qu’aperçu dans un renfoncement et avaient oublié aussitôt dans l’action du combat avait un nom qui raisonna dans l’esprit de Fairïe : le marché de la Vieille Myrthe, c’était bien là que Bansh lui avait dit de trouver le marin.



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écrit le : Mardi 05 Juin 2012 à 20h35 par Sphinx Aodren
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Sphinx ayant pris les pièces d'argent et de cuivre sur le corps et ayant eu une réponse négative sur la personne qu'elle cherchai se reportant a examiner les alentour.
Quant elle entendis l’appel au secours elle réagit assez promptement. En effet ayant quelque base de premier secoure elle pourrait peut être secourir la personne blessé enfin fallait-il l’espère.
Sphinx une fois proche de la vieille Myrthe comme elle était nommé apparemment elle commença a examiner ses blessure afin de savoir quoi demander ou déchiré si besoin était. Une prière légère pouvait s'entendre. Une prière a Selune pour qu'elle soutienne cette personne là blessé et guide ses doigts afin de la soigner. Puis elle demanda a haute et clair voix si des personne ici avaient une connaissance dans la médecine ou des soin quelconque. Quant elle en aurait finit avec cette personne et qu'elle se serait assuré qu'elle s'en sortirai elle chercherai le moyen le plus rapide de sortir de cette enfer de dédale de retourné au grand air là ou elle pourrait voir Selune briller dans le ciel de sa douceur exquise. Là ou elle pourrait respirer a plein poumon sans avoir d’odeurs nauséabonde lui laisser un arrière goût de dégoût et ou elle pourrait reprendre sa route sans avoir a se fier a qui que se soit.
Tout en épongeant le front de la dame et lui administrant de sont mieux se quel pouvait et savait elle pensa que jamais du moment de la tragédie qui l'avait fait prendre les chemin elle n'avait pu faire confiance ou eu une amitié réel avec qui que se soit. Enfin se n'était pas le moment de sa laisser aller il fallait agir et elle agirai au mieux.


Sphinx fait un jet de premier secours pour tenter d'aider la vieille Myrthe.



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écrit le : Mercredi 13 Juin 2012 à 17h04 par Fairië Atala
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e silence engendré par le questionnement du Psion eu comme simple effet d’agrandir son large sourire. Plongeant son regard de jade sur chaque interlocuteur, il attendait une réponse à sa question qui pour lui, lui semblait compréhensible. Lorsqu’il vu que sa question ne trouverait aucune réponse, son sourire se transforma en une petite moue.

Alors que la discussion continuait sans lui, comme à son habitude, l’Elian martelait maintenant les pavés du marché en un petit cercle. Les traits fermés et exagérés, il en était à son troisième tour lorsqu’un prénom retentit dans sa tête, provenant de la douce voix de sa chanteuse.

¤ Elarig …¤

Stoppant net sa progression, il fixa sa jeune amie posant ses yeux sur le Rat-garou. Lentement un large sourire se redessina sur les traits du Psion. S’ensuivit son éclatant rire cristallin que Zéphyr pouvait maintenant reconnaitre. Il bondit d’un seul instant vers le rat-garou, se retrouvant côte à côte avec les hommes d’armes. Applaudissant du bout des doigts comme il en a l’habitude, Fairië ne put s’empêcher d’effectuer quelques petits bond sur lui-même puis s’immobilisa aussi net pointant son index gauche vers le visage du Rat-Garou.

-(commun) TROUVE !! Adressant son large sourire vers Zephyr il continua dans sa direction. Ma jeune chanteuse vous êtes formidable. Moi qui me croyait devant un mur infranchissable. Vous éclairez de nouveau mon chemin de votre lumière éclatante.

Dépassant les hommes d’armes en clopinant joyeusement comme si de rien n’était, il vint se positionner à hauteur d’Elarig. S’accroupissant à hauteur du demi humain, il éleva sa voix.
-(commun) Monsieur Elarig ! Poussant de son index droit l’homme au sol comme le ferait un enfant. MONSIEUR ELARIG ! j’ai besoin de vous pour trouver mon île ! Mettant plus de force dans son index. Réveillez vous Monsieur Elrarig … DEBOUT !




Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
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écrit le : Mardi 19 Juin 2012 à 21h54 par Atlas
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- Ton ami payera-t-il les dégâts que cette créature a provoqués ?

Le guerrier qui venait de répondre était aussi cynique qu’amer. D’y porter attention on pouvait se rendre compte que sa manche droite était trop sombre que pour ne l’être que d’être mouillée par l’eau de l’égout. En poursuivant l’observation, on pouvait remarquer que la main qui tenait son épée portait la teinte rougeâtre reconnaissable du fluide vital. Bien qu’il dût être cruellement blessé pour perdre autant de sang, la poigne sur son arme était intact et rien dans ses traits ne laissait supposer la moindre douleur. De la colère, et quelque chose qui tenait de l’envie de poursuivre son combat en achevant le corps nu à ses pieds mais rien de plus.

Le deuxième de poursuivre, son arme d’Hast lui avait permis de le tenir en respect sans en subir le moindre coup : -
« J’ai entendu parler de ton ami. Un grand singe de ce qui se dit. S’il n’était Frère de la Côte, il aurait déjà eu une dague entre les omoplates. Luskan n’aime pas les étrangers et celui-là cumule les a priori. »

Le troisième, celui qui avait pris la créature brisée en pitié, avait hoché de la tête en direction du mage quand il avait entendu la supplique de Sphinx de l’aider à soigner la vieille dame.

Test de Premier Soin de Sphinx : 14(dé) +2 = 16 : La vieille Myrthe est stabilisée.

Test de Premier Soin de Sphinx pour aider à lutter contre le poison : 20(dé) +2 = 22 : La vieille Myrthe n’est plus infectée.


La pauvre dame portait un grand nombre de morsures dont certaines étaient déjà gonflées de la crasse des égouts ou de l’infection des rats. Elle avait dû tomber à la renverse, son grand âge ne lui permettant pas d’y faire face, et s’était visiblement cassée la jambe dans sa chute mais le plus impressionnant était son regard, blanc, vitreux, dérangeant pour celui qui n’avait jamais croisé un … aveugle.

La guerrière lui avait nettoyé ses plaies visibles à l’aide du morceau de tissus le plus propre qu’elle ait pu trouver et d’eau claire et positionné sa jambe de telle sorte qu’elle ne la fasse pas plus souffrir. Elle était intervenue in extremis. Quelques instants plus tard, son esprit aurait quitté son corps brisé.

Celui qui la rejoint sortit de sa besace une fiole bleutée facilement reconnaissable, marquée des deux mains bandées du symbole d’Illmater. Lui soufflant quelques mots rassurant à l’oreille, il lui en fit boire le contenu, décrispant le visage parcheminé et terminant de nettoyer les multiples plaies dont elle souffrait. La blessée s’endormit aussitôt.


- Laissons-lui un peu de temps pour se reprendre, nous n’avons soigné que son corps.

Le dernier des défenseurs, le mage, n’était pas en reste. De son mieux, bientôt rejoint par Zéphyr, il aidait les marchands à déblayer les dégâts, à réarranger les étals, leur distribuant plus de réconfort qu’autre chose, chassant le chaos comme il le pouvait.

- Le contre-chant fut difficile mais c’était une excellente idée, merci, nous y serions tous restés. As-tu repéré le musicien ?

- Non … malheureusement pas … il devait utiliser une flute des égouts, j’en avais déjà entendu parlé mais jamais vu à l’œuvre. Elle permet de commander aux rats.

Le mage hocha la tête pour signifier qu'il comprenait.
Bizarrement, Fairïe restait seule à côté d'Elarig, et ce dernier commençait à se plaindre de son réveil douloureux.



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écrit le : Lundi 25 Juin 2012 à 08h48 par Fairië Atala
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es deux genoux sur le menton, Fairië continuait de fixer Elarig comme si de rien n’était. Attendant son réveil, il avait cependant porter son regard de jade sur les deux hommes encore debout face à lui. Son esprit, pour le moins atypique ne parvint cependant pas à discerner la colère chez l’individu blessé, malgré une description méthodique de sa personne. Le sang lui coulant de son bras blessé, les traits si caractéristiques d’une personne voulant en découdre. Malgré tout ces indices à porter du regard scrutateur du Psion, rien n’y faisait, il était comme une machine dont certains engrenages manquaient à son bon fonctionnement.

Adressant son large sourire d’accoutumé aux deux hommes, comme toutes réponses. il reposa sa tête sur ses genoux. Fixant Elarig, il continua de le pousser de l’index.

-(commun) Allez Monsieur Elarig, Bansh nous attend. Et j’avoue que j’ai hâte de naviguer en compagnie du capitaine. Mais pour ça, nous avons besoin de vos connaissances. Alors hop ! on se lève. Posant les yeux tout autour de lui, toujours son sourire aux lèvres. Il poursuivit son monologue tout bas. De plus je dois dire Monsieur Elarig que je n’aime guère cette ville. Surtout après que le capitaine m’a fait part de certaine chose concernant cette citée. Regardant d’un air songeur l’homme nu. Je dois vraiment vous remettre sur pied. Levant son regard de jade, il vit sa belle chanteuse non loin. Son large sourire illumina de nouveau ses traits tatoués. Je crois que je sais comment y parvenir.

Dépliant ses jambes, lissant les plies de sa jupe, les prémisses de la maladie commençait maintenant à se faire sentir et de légers tremblements commençaient à entraver sa gestuelle. Son franc sourire toujours présent, il se positionna d’un petit bond, à coter des deux hommes d’armes.
-(commun) La liberté de pouvoir faire ses propres choix est primordial et je pense que Monsieur Elarig n’a pas eu le choix de faire ce qu’il a fait. Si vous tentez de le tuer maintenant vous entraverez sa liberté de choisir s’il veut mourir ou non …

Puis laissant les deux hommes, il continua son avancé en direction de sa jeune ami. D’une démarche pour la première fois saccadée, il parcourra le marché sans poser un seul regard sur les survivants. Traversant d’une traite, il rejoignit le mage et Zéphyr.
-(commun) Ma belle amie, j’ai décidemment encore besoin de vous. Pourriez vous chanter de votre douce voix un air pour remettre sur pied notre Elarig. Et … un spasme vint ponctuer sa phrase. Comme vous le voyez ma douce, je commence à ne pas me sentir très bien. J’ai besoin d’un remède contre la morsure de ce rat de tout à l’heure.

Malgré l’importance de ses propos, son large sourire continuait toujours d’être présent. Comme si la mort ne lui venait en aucune façon à l’esprit. Mais était ce peu être la cas.



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