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Les Ombres de la Prophétie, Azzédar, Eithelval, Krayt, Nxebz
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Vétéran des Royaumes
Aucune chambre
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MJ
Huitième jour de la Flétrissure dans l'Année de la Magie Sauvage (8 Eleinte 1372) Lieu : Port de Port-Ponant Temps : Couvert Moment : Soir
Nxebz : Bluff : 15(Dé) + 9(Compétence) = 24 contre DD ? Grand humain : Attaque de contact au corps à corps : 9(Dé) +3(Attaque) = 12 contre Nxebz CA : 2(Dé) +5(Dex) = Réussite Grand humain : Jet de lutte : 15(Dé) +2(Force) = 17 contre Nxebz CA : 14(Dé) -2(For) = 12 = Réussite Grand humain : Intimidation : 3(Dé) + 2(Compétence)+4(taille) = 9 contre Nxebz : Test de niveau ajusté : 6(dé)+1(niveau)+2(Bonus sagesse)+0(Bonus contre la peur) = 9 = Réussite Enmorien : Psychologie : 10(Dé) + 2(Compétence) = 12 contre DD ?
Narration
Enmorien
Adaptant son pas à celui de la voyageuse, Dalian la mena au travers des rues principales, évitant les endroits les plus sombres. Après tout, l’humain portait une simple tunique et ne semblait même pas armé. Bien entendu, il n’était pas impossible qu’il ait des capacités cachées ou qu’il puisse compter sur la magie, mais il semblait judicieux d’éviter les problèmes. Suivant une des grandes avenues de la cité, les deux compagnons passèrent devant le fortin principal de la garde avant de bifurquer dans des ruelles secondaires. Enfin lorsqu’ils arrivèrent, Enmorien put observer une maison en pierre assez simple, dépourvue de fioritures. Seul un écriteau en bois ornait le devant de la bâtisse. On pouvait y lire : « Faeltris Elaansar, Scribe. » . Une petite note en dessous telle une signature laissant présager de l’esprit du propriétaire. - Ecrire c’est le pouvoir de transmettre -.
Enmorien y pénétra à la suite de son guide et y découvrit une maison sobre, ou l’odeur du parchemin et de l’encre se mêlaient subtilement. Emmenée le long d’un petit couloir jusqu’au salon, l’halfeline rencontra enfin celui qui deviendrait peut être son mentor. C’était en effet un elfe de la lune, vêtu d’une longue et simple robe de coton rabattue et resserrée à la taille par une petite cordelette de tissu. Il avait un visage au teint pâle encadré par des cheveux extrêmement fins et d’une blancheur pure. Tout chez le scribe inspirait l’ancienneté et le respect qui se devait de lui être du, pourtant c’était un elfe à l’incroyable longévité, et il était loin d’avoir vécu suffisamment d’années pour être considéré comme un ancien parmi les siens. Cette information se confirma immédiatement, lorsque celui-ci dévisagea Enmorien. Une lueur brillait dans son regard, une soif insatiable. Mais un sourire aimable balaya ce signe de reconnaissance. Et tranquillement installé dans un fauteuil, les jambes croisées et un verre de vin à la main, il détailla l’halfeline de la tête aux pieds.
Il l’invita ensuite d’un geste à s’asseoir en face de lui tandis que Dalian, d’une main habile, aidait l’apparente prêtresse de Kelemvor à se délester de ses affaires de voyage. Le serviteur ne manqua pas de prendre la carafe posée sur la table basse et de verser un second verre de vin pour le lui offrir. Le maître des lieux pris alors la parole.
- Dame Enmorien, vous voici donc. Comme vous le savez, je me nomme Faeltris Elaansar, un scribe parmi d’autres dans cette intéressante cité de Port-Pônant. Je vis ici depuis de nombreuses années, mais l’intérêt que cette ville suscite est toujours aussi grand. Vous l’apprendrez sans doute bientôt. Mais trêve de bavardages sur ma modeste personne… Parlez moi de vous jeune halfeline.
Sa voix mielleuse et paternelle invitait la sagespectre à répondre en toute confiance...
Nxebz
L’espace d’un instant, le grand humain et l’halfelin se regardèrent surpris. Comme s’il s’interrogeaient du regard « chercher quelqu’un ?! », mais le doute qui se reflétait dans les yeux de l’autre, leur fit revenir à la raison. Aussi l’humain, imposant aux yeux du gobelin réagit avec vivacité, empoignant d’une main ferme la tunique du pauvre petit aventurier. Sa première idée fut bien sur d’échapper à cette poigne, mais la facilité et la force avec laquelle l’humain le décolla du sol pour approcher son visage menaçant l’interrompit quelques secondes.
- Maintenant tu vas arrêter de jouer et me dire ce que tu sais ! Un gobelin de plus ou de moins ça pèse pas lourd sur cette terre...
Dans sa main gauche étincela l’éclat d’une courte lame.
Krayt
Couture esquiva la remontée sauvage de l’orogue et s’empressa de repousser la plaque d’égout, ignorant dans un premier temps les remarques du gros barbare. Puis ils se relevèrent tous les deux, l’humain époussetant d’un geste machinal ses vêtements. Alors levant la tête vers le visage ensanglanté de Krayt, il parla.
- T’as pas vu grand-chose dans tes grottes toi hein… Si c’était un Tyrannoeil tu serais un tas de poussière à l’heure qui l’est… Mais bon t’as raison, y a des pièces d’or à se faire, et on va être en retard. Viens !
L’humain trapu resserra sa cape autour de ses épaules renforçant son aspect de silhouette obscure que l’on se doit d’éviter au cœur de la nuit, surtout lorsqu’elle était accompagnée d’une montagne de muscles tel l’orogue qui le suivait… Deux pâtés de maison plus loin, ils arrivaient dans les docks, entrepôts et petites maisonnettes de pêcheurs et marins étaient désormais la norme. Mais Couture savait ou aller, et ce fut sans doute aucun cette fois qu’il emmena Krayt vers le point de rendez vous. C’était un petit cul de sac, une sombre ruelle fermée par un mur, au fond, assis sur une caisse en position surélevée se tenait sans doute le leader, tandis qu’une petite vingtaine d’hommes se tenaient autour trépidants d’impatience. Parmi ceux-ci des humains pour la plupart, quelque exotiques coloraient le paysage. Trois solides demi-orques dévisagèrent Krayt avec une sorte de respect teinté d’une vague de mépris dans le regard. L’orogue incarnait toute la puissance qu’ils auraient pu avoir et à la fois était la cause de toutes leur douleurs, car leur sang était impur. Un peu plus loin adossé contre un mur a proximité du « chef » se tenait un grand humanoïde, il faisait deux bon mètres, mais d’une carrure assez fine, couvert de poils et avec un véritable museau à la place du visage : Un gnoll.
Interrompant le silence de l’observation, le chef de la bande sauta à bas de sa caisse et approcha de Couture.
- Te voilà enfin… Je vois que t’as ramené un ami solide avec toi. C’est bien ça.
D’un claquement de doigts autoritaire et hautain il ordonna quelque chose, et aussitôt un petit humain chauve à l’air vicieux apparu lançant deux petites bourses aux nouveaux venus.
- En route ! La fête va bientôt commencer.
Eithelval
Une étincelle d’avidité illumina le regard d’Erlaine lorsqu’elle aperçut l’éclat de l’or posé sur le rebord de la cheminée. Elle observa a nouveau le mulan le détaillant plus ouvertement, et sourit. Cela signifiait tacitement l’accord, sans aucun doute. Ensuite, dans un silence explicite et empli d’échanges par les autres sens, elle l’aida le plus agréablement possible à s’allonger dans le bon bain chaud. Et enfin, signifiant son départ elle brisa le calme langoureux qui s’était installé.
- Vous vous souviendrez de cette nuit beau seigneur…
Un dernier sourire plein de promesses et elle s’éclipsa, sans oublier de faire disparaître d’une main leste la pièce d’or délibérément posée. Bien entendu.
Eithelval, Krayt, Nxebz
Nxebz, les yeux fixés sur la lame qui approchait dangereusement de son visage ne vit pas l’halfelin s’éclipser... Et soudain des bruits de pas interrompirent l’humain et l’éventuelle réponse du petit gobelin. Une petite troupe d’une vingtaine d’hommes approchait. L’halfelin aux cotés de celui qui menait le groupe semblait lui chuchoter quelques informations. Les solides gaillards avaient pour la plupart tout du brigand, et pire encore, parmi eux se trouvaient un gnoll et un immense orque, un orogue pour être précis. Ces gars là ne semblaient pas venir pour faire dans la dentelle.
Aussi brusquement qu’il l’avait attrapé, le grand humain reposa le gobelin au sol, le tenant toujours par un bras, pour ensuite se retourner vers celui qui semblait être son chef. Lui aussi humain, deux immenses balafres lui parcourant les joues de la commissure des lèvres presque jusqu’au oreilles. Enfant, son sourire s’était sans doute vu agrandi… Et ce dernier sourit, ajoutant une impression inconfortable. Après s’être assuré de l’attention de tout le monde il se mit à parler, s’adressant en particulier à l’humain sur un ton moqueur.
- On prend pas les petits, pas assez rentables... Par contre, il est trop tard pour le lâcher...
Il se pencha vers le visage au nez proéminent de Nxebz et lui chuchota une menace à peine voilée.
- Tu suis le mouvement et si t’es utile t’auras peut être une récompense en plus de ta vie… Sinon on te perce tout de suite.
Déjà impressionné par le sous-fifre, ces nouvelles paroles sonnèrent comme un danger de mort imminent dans le cœur Nxebz. Il l’observa se redresser, et le chef de bande reprit la parole.
- Ecoutez moi tous, les hommes sains et solides sont les plus chers… Et on les prend vivants… Alors débrouillez vous juste pour ne pas les tuer...
Quelques hommes se dispersèrent encerclant le bâtiment tandis qu’une grande partie du groupe se positionnait devant la porte d’entrée de l’auberge. Dans la salle principale de celle-ci l’inquiétude monta d’un cran, de nombreuses, trop nombreuses, silhouettes passaient devant les fenêtres en un effet de lumière répété. Une légère tension se fit sentir, quelque chose allait se passer ce soir.
Bien au chaud dans son bain, le mage thayen était à des lieues de se douter de quoi que ce soit, bien qu’il semblait être d’une nature prévoyante, les promesses de la nuit étaient bien loin de ce qui se préparait au même moment à l’extérieur. Et soudain un brouhaha innommable s’éleva provenant de la pièce principale. L’assaut était donné, ils entraient...
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Aventurier
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Le jeune homme avait quitté des yeux Erlaine au moment où l’accord était conclu. C’est avec plaisir qu’il senti les main de la jeune femme le dévêtir lentement. Ses mains douces, quoiqu’un peu rugueuses en raison de son emploi de serveuse ne déplaisaient pas au magicien. Les vêtements retiré un à un sans précipitation rajoutant du charme au déshabillage. Eithelval se dit que la jeune femme devait donner le meilleur d’elle afin sans doute d’obtenir un supplément mais il oublia bien vite cette pensée négative qui dénaturait l’instant. Et il fut conduit dans l’eau chaude, juste un peu trop, il allait même demander de la refroidir mais ses paroles furent stoppées par les lèvres d’Erlaine, lui faisant oublier toutes autres sensations. Une fois assis dans la bassine, les mains expertes de la serveuse, caressèrent les différents muscles du jeune homme donnant un avant goût de la nuit qui s’annonçait. Puis Erlaine posa la tête d’Eithelval entre ses seins avant de lui donner le baiser de séparation.
C’est dans cette position qu’il était, laissant la chaleur du bain le délasser, faire disparaître la fatigue, les courbatures du voyage. Une détente qui le fit sombrer dans un demi-sommeil ponctué de rêve, de souvenir de jeunesse dorée. Il y avait comme de la magie dans l’air, si bien que la médiocrité de l’endroit disparu pour laisser place à l’imaginaire. Jusqu’à ce que des cris provenant de la salle voisine brise l’enchantement, le ramenant brutalement à la réalité, transformant l’eau chaude et agréable en liquide froid et sale.
"Bande d’alcoolique dégénéré !!" Grogna Eithelval en reprenant peu à peu ses esprits, la bouche pâteuse. Ca les bruits lui annonçait qu’une bagarre de taverne avait lieu dans la salle principale. Le jeune homme se releva et quitta le bain qui n’avait plus d’intérêt un fois le charme rompu. Et c’est là, qu’il perçu que quelque chose de plus grave se passait à quelques pièces de lui. Car il venait d’entendre crier une femme, un cri de peur et non de colère. Alors il se baissa et saisit son étui à parchemin, s’emparant prestement, sans erreur d’un rouleau qui pouvait assurer sa sécurité en cas de grave problème. Et tout en écoutant l’évolution des évènements voisins, il attacha l’étui à sa taille. Il prit même une seconde pour sourire de la situation, sa frêle silhouette humide vêtu simplement d’un étui à parchemin pouvait paraître ridicule mais un fois e plus il repoussa cette pensée parasite pour prendre rapidement une décision.
Il fit le calme dans son esprit afin de poser le problème. D’ailleurs y avait-il un problème ou bien juste un affrontement de saoulards qui dégénérait à coté. A quelques pièces de lui. Mais si jamais on venait ici que pourrait-il faire ?
*Venir ici !!! *S’exclama t-il. Et il bondit vers la porte qu’il essaya de bloquer tant bien que mal avec ce qu’il avait sous la main en plus de mettre en place un potentiel loquet. Ainsi il aurait plus de temps pour mieux comprendre la situation, si on cherchait à forcer cette porte. Puis il disposa les sceaux d’eau proche de l’entrée, juste pour que le premier qui entrerait trop brusquement se prennent les pieds dedans et il se plaça dans le coin de la pièce, du coté de l’ouverture de la porte. Ainsi l’intrus ne le découvrirait encore une fois, pas tout de suite car il lui faudrait regarder dans l’angle mort de la porte.
Il enfila sa robe avec toujours en main son précieux parchemin. Mais loin de s’inquiéter il se demandait s’il n’avait pas été un peu hâtif. Quoique dans tous les cas, une bagarre pourrait être profitable à un quelconque voleur avide de s’en prendre au riche voyageur plongé dans son bain. Ainsi quand il serait prêt, il verrait ce qu’il envisagerait pour la suite…..
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PNJ
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Ou qu’il aille, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, l’orgue aimait marcher avec arrogance, tête découverte pour que touts puissent voir son faciès et sa hache posé nonchalant sur son épaule. Le peu de gens qu’il croisait, s’écartaient ou détalaient devant lui et cela lui procurait une extrême jouissance. Après quelques minutes de marche dans les rues sombres de port ponant, le duo se dirigea dans la ruelle où les attendaient tout un groupe très hétéroclite. Parmi eux Krayt croisa trois demi orques, qu’il toisa avec mépris. Puis son attention se fixa sur le gnolle et resserra à la hampe de sa hache. Krayt réalisa qu’il n’était pas là pour combattre tout ce joli petit monde, quand un humain, certainement le chef de ce groupe prit la parole.
Tout en fouillant le contenue de la bourse de ses gros doigts, l’orogue se demandait bien ce qu’il allait devoir faire avec toutes ces personnes, mais une chose est sûr, il y allait avoir du grabuge. Suivant le cortège, Krayt sentait monter en lui l’envie de tuer, il sentait déjà l’odeur et le goût du sang qui allait recouvrir « fracasse ».
Le groupe stoppa et l’orogue bouscula un peu ceux qui le précédaient. Il leva la tête en grognant afin d’apercevoir se qui se passait et découvrir un humain tenant un gobelin.
- Tu perceras personne humain! Et encore moins ce gob.
Krayt s’avança au milieu du groupe, écartant de ses grosses mains, ceux qui se trouvaient devant jusqu’à se trouver devant l’homme et le gobelin.
- Il restera avec moi, sous ma protection. J’m’en porte garant!
Dit-il en s’interposant entre les deux individus.
- Bon! C’est donc une chasse à l’homme qu’on va faire! Le p’tit souci, c’est qu’faut pas tuer et ça, c’est pas dans mes habitudes, mais on f’ras un petit effort!
Le groupe se remit en route en direction d’une grande bâtisse qui semblait être une taverne dont l’intérieur grouillait d’une activité débordante. Krayt décida de ranger sa lourde hache dans son dos, car s’il la gardait à la main, dans l’euphorie du combat, il ne pourrait résister à l’envie de s’en servir. C’est donc à main nue qu’il pénétra dans les lieux. Sur sa face était accroché un sourire carnassier qui en disait long sur ses pensées meurtrières
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Serveur Loufoque
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La frayeur de la situation dans laquelle s’était fourré le gobelin disparut immédiatement quand le mot « récompense » fut prononcé. Le sourire du gobelin s’étira alors tout son large, et l’idée de chasser des futurs esclaves dans l’auberge en compagnie de brigands attisa sa curiosité. Il fut entièrement débarrassé de ces craintes et souffla un grands coup lorsque l’Orogue lui proposa sa protection. ¤Ouhou! Avoir une chance pareil c’est à peine croyable! Avec ce gros bourrin à mes cotés, y a moyen que je me ramasse un bon petit pactole si ça ce trouve! Un garde du trop personnel! Et il a l’air plus que dangereux! Voila une aubaine qui ne se reproduira pas! Il va falloir que Nxebz en profite un maximum! Tsssst!¤
Il s’approcha de l’ orogue et lui glissa l’air de rien quelques mots à l’oreille:
-Merci beaucoup pour la protection que tu m’offre, Guerrier! Je me disais. . . Quitte à rester ensemble dans le feu de l’action. . . Ça te dirais pas qu’on rentabilise au maximum cet assault? Capturer des hommes, c’est bien joli, mais le patron de ce taudis à du faire un bon chiffre aujourd’hui, si j’en crois le nombres de clients présents tout à l’heure. . . On pourrait le retrouver et partir avec la caisse? De toute façon je crains fort qu’après notre passage il ne reste plus grand-chose de cet endroit. . . Alors tu marches avec moi? Cinquante - Cinquante!
Les yeux du gobelin pétillaient de joie à l’idée de l’or qui coulerais bientôt à flot dans ses mains.¤Tsst! Voila une affaire qui va rapporter gros!¤
Le gobelin sortit son arbarlete et l'arma avec un carreau.¤Bon, faut juste que je fasse gaffe à pas me faire assomer, ça m'arrive trop frequement ces derniers temps!¤
Manuel ici et fiches vierges là. Des problèmes avec ta fiche ? Tu peux t'aider de ceci. Choisis ta région natale en fonction de ta race parmi celles-ci.
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Mercenaire
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uivant prudemment Dalian, Enmorien tenta de remémorer les chemins et passages empruntés. Mais, dans l'osbcurité, reconnaître les allées et rues d'une cité étrangère s'avéra une épreuve trop difficile, et la halfeline dut bientôt reconnaître qu'elle n'y parviendrait pas.
Quand elle arriva devant Faeltris Elaansar, celui-ci lui fit immédiatement une bonne impression. Celle d'un homme beaucoup plus puissant et beaucoup plus dangereux qu'il n'y paraissait, et dont le pouvoir résidait plus dans les mots que dans la force ou la magie.
Un instant, Enmorien se sentit en toute confiance envers lui. Elle se surprit soudain à vouloir parler sans sa prudence habituelle. En un instant, la paranoïa de la halfeline se réveilla, mais un amusement contenu envahit la fausse prétresse. Elle convint qu'il serait agréable de collaborer avec un tel 'maître'.-Je crains ne connaître de Port-Ponant que de nombreux contes et récits. Lança non sans air malicieux Enmorien. "Et bien sûr les quelques rues pour venir jusqu'ici, quoi que ce ne soit que de nuit. Mais peut-être est-ce justement de nuit que la ville est la plus... fascinante, non? Toujours est-il que j'ai hâte que vous me fassiez découvrir cette cité réputée aux quatre coins de Faerûn." Posant sa voix et son regard avec une lenteur calculée, la halfeline prit le verre et le porta à ses lèvres. Mais n'en but pas une goutte, en parfaite paranoïaque qu'elle était. Elle espérait simplement que son manège passerait inaperçu.-Enfin, je suis ravie de vous rencontrer, maître Elaansar. Adressa-t-elle à son hôte avec un sourire charmeur. "Je suis Enmorien Talassalande, une prétresse qui parcourt Faerûn pour transmettre la Sainte Parole. Je crains qu'il n'y ait pas grand chose d'autre à énoncer sur ma petite personne. Je suis venue directement d'Halruaa pour vous retrouver suite aux indications d'un contact de mon ordre. Et je dois bein vous avouer que je suis impatiente de connaître la raison de ma présence ici..." Enmorien reposa le verre en regardant attentivement son interlocuteur. Beaucoup de choses allaient dépendre de la réponse, et il était inimaginable pour la fausse prétresse de louper la moindre information qui en émanerait, mot, tic ou attitude...
« Aujourd’hui ou demain, tu peux avoir besoin de mon aide, de ma présence, de mes conseils. Ne refuse pas la main tendue. » Réputation 5Fiche
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PNJ
Aucune chambre
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Krayt jubilait dans cette mêlée, au corps à corps, il distribuait de gros coups de poing et de baffes afin d’assommer sans blesser gravement les humains et en même temps gardait un œil sur Nxebz, lui ouvrant la marche vers le comptoir de l’auberge afin d’y dérober la caisse de la journée. La proposition que le petit gob lui avait faite avant d’entrer ne pouvait être refusée. L’orogue n’avait aucun scrupule à voler ou à prendre quelque chose qui lui faisait plaisir par la force. Et la diversion du raid ne pouvait que mieux satisfaire ce vol. De plus, attaquer ces humains qui vivaient sous la servitude d’hommes riches comme des moutons, méritaient le sort que leur réservaient les loups de ce monde. Cela lui rappelait aussi les raids qu’il faisait avec sa tribu en outreterre contre les drows qui s’approchaient un peu trop de leurs cavernes.
Dans la cohue de la rixe où l’on entendait crier, pleurer, supplier et agoniser les hommes et les femmes, Krayt lançait de sa grosse voix caverneuse des ordres au gobelin afin de le guider au mieux et éviter qu’il ne se fasse piétiner par tous.
- Court! Là sous la chaise! Attention! Passe à droite! Non l’autre droite!
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Vétéran des Royaumes
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MJHuitième jour de la Flétrissure dans l'Année de la Magie Sauvage (8 Eleinte 1372) Lieu : Port de Port-Ponant Temps : Couvert Moment : SoirEnmorien : Escamotage : 10(Dé) + 6(Compétence) = 16 contre Faeltris : Détection : 15(Dé) + ?(Compétence) = ? Nxebz : Fouille : 13(Dé) + 0(Compétence) = 13 contre DD ? Nxebz : Estimation : 7(Dé) + 0(Compétence) = 7 contre DD ? Nxebz : Jet de sauvegarde : 3(Dé) + 2(Volonté) = 5 contre DD ? = Echec Krayt : Jet de sauvegarde : 10(Dé) -1(Volonté) = 9 contre DD ? = Echec Chef : Jet de sauvegarde : 1(Dé) + 1(Volonté) = 2 contre DD ? = EchecNarrationEnmorienUn sourire à la fois compréhensif et malicieux illumina le visage de l’elfe. Montrant alors sa coupe d’un geste élégant, il prononça ces quelques paroles de circonstance, mais parfaitement à dessein. | | - Excellent n’est ce pas.
Il posa à son tour son verre sur la petite table basse. Une lueur dans son regard laissait supposer qu’il commencer à apprécier cette nouvelle compagnie. Voilà longtemps qu’il n’avait pu pratiquer cet art et jouer avec les mots. Les personnes qu’il côtoyait le plus souvent étaient bien trop ignares et crédules, ça en devenait presque fade. Mais entre serviteurs du Seigneur caché, le jeu devenait tout autre.
- Oh, il est bien naturel que vous soyez impatiente Dame Enmorien, mais c’est là une émotion qu’il faut savoir contrôler...
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Un visage au teint pâle encadré par des cheveux extrêmement fins et d’une blancheur pure. Tout chez ce scribe inspire l’ancienneté et le respect qui se doit, pourtant c’est un elfe à l’incroyable longévité, et il semble loin d’avoir vécu suffisamment d’années pour être considéré comme un ancien parmi les siens. |
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Le regard du scribe changea subitement, le doux vieillard laissât place à un prédateur tissant sa toile et guettant sa proie avec une infinie patience. Et alors qu’il s’avançait dans une allure plus conspiratrice, Dalian alluma quelques bougies qu’il disposa savamment aux coins de la pièce. Lorsque la dernière fut mise en place, leurs flammes vacillèrent avant de prendre un ton violacé. L’atmosphère ainsi crée était propice au plus sombres discussions. Faeltris plongea son regard dans celui de l’halfeline détaillant le moindre de ses mouvements, se gorgeant de la moindre de ses émotions provoquée par la nouvelle ambiance. | | - La raison de votre présence ici est simple. M’apporter un soutien extérieur et faciliter notre tâche. Mais aussi apprendre à vous connaître vous-même, vos capacités, vos limites, vos peurs et vos désirs.
Sa voix, et son ton étaient devenus ceux d’un instructeur implacable. Il parlait rapidement et clairement.
- Vous n’êtes pas sans savoir que...
Le scribe prit une profonde inspiration et se recala confortablement dans son fauteuil, non sans oublier la coupe de vin qu’il reprit en main. Tandis que Dalian déplaçait légèrement une des bougies… Les explications semblaient terminées. Et, il reprit sur le ton de la conversation banale.
- Le temps ne joue pas en notre défaveur, donc nous pourrons nous occuper de tout cela très calmement demain matin... A moins que vous n’ayez d’autres désirs pour cette nuit.
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Un visage au teint pâle encadré par des cheveux extrêmement fins et d’une blancheur pure. Tout chez ce scribe inspire l’ancienneté et le respect qui se doit, pourtant c’est un elfe à l’incroyable longévité, et il semble loin d’avoir vécu suffisamment d’années pour être considéré comme un ancien parmi les siens. |
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D’un regard, il intima à Dalian de se tenir prêt à remettre en place ce qui était sans doute un rituel de protection contre la scrutation. Enmorien pourrait parler…Eithelval, Krayt, NxebzL’assaut avait été brutal, l’auberge ainsi envahie par une vingtaine d’hommes à la mine patibulaire avait figé tous les clients d’étonnement, qui pouvait avoir un intérêt quelconque à attaquer une simple auberge sans grande prétention à proximité du port. Mais les bandits semblaient déterminés, et lorsque leurs intentions devinrent claires, nombreux clients étaient déjà au sol après avoir reçu de bons coups à l’arrière du crâne. Et les plus combatifs des marins eurent rapidement à faire à quelques brigands aguerris, et aux forces de la nature du groupe. Et ce fut sans surprise que le gros barbare orogue bien que surveillant du coin de l’œil le discret gobelin se retrouva face à un solide humain barbu, les poings fermés en une position de combat. Mais un coup de tabouret volant plus tard, accompagné d’un fameux « Main droite, Main gauche », jeu souvent pratiqué par quelques races brutales, l’humain se retrouva gisant inconscient.
Au milieu de la cohue, Nxebz guidé par Krayt s’approchait de plus en plus du bar tant convoité. L’e malheureux derrière le bar, qui n’était pas l’aubergiste d’après les souvenirs du gobelin, ne tarda pas à faire un vol plané sous la puissante poigne de l’orogue, laissant l’arrière du comptoir à disposition du petit roublard… Il profita d’un petit instant pour farfouiller dans tout le tas de verres, de bouteilles, de torchons et de fûts, et trouva rapidement juste sous le bar un petit coffret encore ouvert, l’éclat de l’argent était presque omniprésent, seul un tout petit éclat doré, et d’autres plus rougeâtres scintillaient au milieu des piécettes, une bonne cinquantaine à première vue…
Dans la salle principale, quelques cris enragés s’élevaient ça et là, lorsque le sang coulait, les marins quant à eux n’hésitant pas à utiliser dagues et sabres lorsqu’ils en possédaient… Mais le nombre, et le chaos du combat étaient en faveur des brigands. Et assez rapidement la résistance décrut.
Alors que l’orogue s’en donnait toujours à cœur joie, malgré quelques bosses et autres coups de chaise reçus, quelques uns des brigands semblaient s’organiser, sous les ordres du chef, le gnoll et deux demi-orques sortaient les corps inconscient de la plupart des clients. Un rapide coup d’œil par la fenêtre aurait permis de voir un chariot posté juste devant l’auberge dans lequel étaient empilés les corps… Et étrangement, le calme régnait dehors, aucun signe de la milice ou de voisins curieux.
Mais ce même calme était loin d’être rétabli dans la pièce principale de l’auberge, les brigands commençant à se disperser dans l’établissement en quête de menu butin. Et ils ne furent pas longs à s’intéresser à la porte de la pièce dans laquelle était Eithelval. Une première tentative pour l’ouvrir échoua, une deuxième plus volontaire fit sauter le loquet et le malheureux pénétra avec fracas dans la pièce. Mais sa détermination fut vite balayée lorsqu’il se prit les pieds dans le seau, et qu’il perdit l’équilibre, l’envoyant tête la première dans la baignoire. La petite pièce exiguë, emplie de vapeur n’était pas adaptée à des mouvements brusques… Tymora souriait encore au mulan, aucun intrus ne vint se faufiler à la suite du premier… Du moins pour l’instant…
Il sembla y avoir un instant de répit. Rapidement brisé par une courte déflagration, accompagné d’un râle d’agonie. De nouveaux cris agitèrent l’auberge, certains enragés, d’autres apeurés, et parmi tout ceux là, la voix d’un des brigands parvint jusqu’aux oreilles du thayen. Il accourait descendant les escaliers vers le chef de bande, non loin duquel se tenait Krayt, et Nxebz fouillant encore quelques poches.- Chef, chef !! Il y a un mage là haut ! Il vient de griller Marol !! On a à peine ouvert la porte qu’un mur de flammes nous a sauté dessus ! Deux autres gars ont foncé dans la pièce mais je crois qu’il les a eu aussi… Qu’est ce qu’on fait chef ?!! L’humain paru réfléchir un instant observant son subordonné totalement affolé par la puissance de la magie… D’ailleurs les magiciens chétifs pour la plupart n’entraient pas vraiment dans le cadre posé par son employeur.- Laissez le ou il est, et si il ne nous cherche pas de noise, il peut même partir… Un rire méprisant s’éleva de l’étage, une voix que parvint à reconnaître Eithelval, le mystérieux ensorceleur. Et tandis que l’homme descendait lentement les marches, une à une, il maintenait en respect chacun des brigands en les fixant dans le fond des yeux.
Furieux le chef beugla un ordre.- Bousillez le moi ! On va voir qui c’est qui va rigoler ! Quatre hommes se portèrent au contact, lame dehors, prêts à l’éventrer, mais ils furent quelques secondes trop lents. Une véritable explosion souffla tout ce qui se trouvait autour de l’ensorceleur. Les quatre hommes se retrouvèrent au sol, agonisants, et le mobilier environnant détruit. Même pour le puissant Krayt, cet humain à l’étrange tatouage légèrement rougeoyant sur le visage avait quelque chose d’intimidant, une prestance qui inspirait la puissance, c’était là un effet indubitablement magique, mais il était difficile de rester de marbre face à une telle présence. L’humain au tatouage continua d’avancer lentement.- Je partirais quand je l’aurais décidé… En attendant, tout ton manège m’intéresse… Quelqu’un te donne des ordres n’est ce pas... - Oui. Le chef de bande tentait tant bien que mal de garder un air digne et autoritaire, mais sa voix le trahissait. Et il n’était pas dit que les autres présents puissent parler d’une manière plus assurée si ils avaient eu à prendre la parole.- Mènes moi à lui, il pourrait éventuellement m’apporter quelque chose... L’humain eut un regard circulaire avant de replonger son regard dans celui de son interlocuteur, quelques centimètres à peine plus petit, mais la différence ressortait pleinement en cet instant.- Refuse et tout cet endroit brûlera, avec toi et tout tes hommes ! Le ton était sans appel. Pourtant l’oreille dressée d’Eithelval perçut une légère fausse note… La magie était bien entendu capable de raser l’auberge, voir la cité toute entière... mais... Rares étaient ceux à utiliser une telle puissance et à passer inaperçus.
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Les bruits provenant de la salle principale traversaient les murs. Les premiers cris, hurlement avaient été rapidement remplacé par des bruits qui ne laissaient aucun doute au magicien sur le fait qu’il y avait bien plus qu’une bagarre de taverne à coté. Puis, rapidement l’ambiance se calma, un temps avant d’entendre des pas dans le couloir. Quelqu’un tenta de pousser la porte et fut stopper par le loquet mais un bref instant car sous une nouvelle poussée violente, l’individu bondit dans la petite pièce pour venir s’écrouler dans le piège rapidement placé. Eithelval s’attendait à voir pénétrer à la suite un autre homme mais des cris d’alerte regroupa semble t-il les assaillants dans la salle commune. Le jeune homme glissa un oeil dans le couloir pour savoir si celui-ci était vide et rapidement trouver un chemin vers l’extérieur profitant de la diversion inconnue pour s’enfuir. Mais en regardant vers le lieu de rassemblement il vit passer l’homme tatoué rencontré peu de temps auparavant. C’était lui qui devait être à l’origine de la diversion et l’attitude qu’il affichait indiquait clairement qu’il ne craignait pas la situation. C’est sans doute cet excès de confiance qui poussa Eithelval vers la grande salle pour en appendre plus sur les évènements mais surtout sur cet homme qui lors de leur rencontre affichait une attitude désinvolte. Arrivé à l’angle de la porte, le magicien ne pu voir de sa position que partiellement la gestuelle de l’ensorceleur avant qu’il ne réplique et carbonise les quatre assaillants grimpant une nouvelle fois dans l’estime et l’intérêt du jeune homme.
Puis l’échange verbal entre le porteur au tatouage rougeoyant et ce qui apparaissait comme être le chef des attaquants installa un silence pesant dans la pièce comme s’il fallait un petit plus pour faire basculer la balance d’un coté ou de l’autre. Et Eithelval avait perçu une ouverture pour devenir l'allié d’un homme pas aussi puissant qu’il semblait le dire. Et sans même un regard vers l’autre extrémité du couloir et une éventuelle porte de sortie, le jeune homme non sans avoir glisser dans sa manche le parchemin trop voyant et souffler pour s’éclaircir les idées avança dans la pièce lentement d’un pas sans précipitation comme sur de lui. Le magicien décida que la meilleure et seule attitude à avoir était celle qu’il avait souvent vu sur le visage de son maître et que l’homme au centre de l’attention de tous tentait d’afficher presque avec succès. Il avança tranquillement, regardant l’ensemble des personnes rassemblé, ne s’attardant pas sur l’ensorceleur comme s’il le connaissait. Eithelval remarqua rapidement l’orogue près du comptoir, une force de la nature qui pouvait devenir le rouage qui entraînerait la perte de l’individu au tatouage. Car bien que de puissant combattant, les orogues n’étaient pas connu pour la finesse de leur jugement et pensaient à tort que leurs muscles pouvaient leurs permettre de vaincre tous les obstacles. Le magicien savait déjà que faire si celui-ci devenait belliqueux et un sort vint se placer au premier plan dans l’esprit du thayen.
Puis comme s’il s’adressait qu’à l’ensorceleur sans s’occuper des autres personnes présentes mais parlant assez fort pour être entendu de tous et attirer l’attention sur lui créant ainsi un nouveau danger pour le chef et un trouble supplémentaire. Il dit calmement tout en chassant de la main droite une poussière imaginaire de sa manche.
"Comme c’est ennuyeux de toujours devoir démontrer qu’une épée ne fait pas tout. En tout cas ceux dans l'arrière salle ne seront plus un ennui. Je vois qu’ici les explications ont été plus flamboyantes :" Annonça Eithelval affichant un sourire satisfait et un brin supérieur.
Et portant son regard sur le chef toujours hésitant il haussa légèrement le ton : "Alors vas-tu nous conduire rapidement à ton chef ou tenter une nouvelle action pathétique ?"
Et puis comme si la réponse ne l’intéressait pas ou pour confirmer qu’une action de cet homme ne pouvait pas l’atteindre, les yeux du magicien se tournèrent vers l’orogue et dans le langage presque parfait de celui-ci :
".tnemom nob ua ecrof ruel resilitu tnevas iuq xuec à emmos etrof enu retroppar tiarruop esohc euqleuq ec à repicitrap ta"
Le jeune magicien savait avoir trouvé le bon argument pour intéresser le puissant orque. Car il était reconnu que l’argent était pour eux un puissant stimulant morale. Maintenant il attendait lui aussi toujours aussi calme la moindre réaction et surtout, il ne fallait pas pousser un grand soupir de soulagement, si l’homme fléchissait sous les nouveaux arguments.
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Mercenaire
Aucune chambre
Aucune gemme
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ne conversation des plus intéressantes, sans aucun doute, mais aussi des plus frustrantes venait d'être prononcée. Intéressant car des noms, des rôles et des objectifs y avaient été définis avec une clarté limpide et une concision millimétrée. Un potentiel énorme était ainsi étalé à l'esprit de la halfeline, qui entrevoyait l'ampleur de l'opportunité avec vive délectation. Mais frustant car le tour de passe-passe magique, probablement destiné à protéger des oreilles malfaisantes, interdisait une quelconque réponse de la fausse prétresse. Même si Dalian sembalit se tenir prêt à remttre le sceau en place. Et celle-ci mourrait justement d'envie d'interroger le scribe. Pour éviter de montrer sa suspiscion au grand jour, Enmorien se contenta d'une unique question, attendant que la protection fut remise en place.-Et puis-je savoir pour quel "service" la cellule a fait appel à vos services? Tout ceci semblait trop beau. Beaucoup trop beau. La paranoïa d'Enmorien soupçonnait le traquenard et relevait la moindre zone d'ombre dans le discours du scribe. Et, hélas, celles-ci étaient nombreuses. Dans un effort de courtoisie autant que par prudence, la halfeline ne montra rien de ces impressions et sourit d'un air contenté. Baissant légèrement son visage et appuyant son regard, elle joua une variation de son attitude pour en accentuer le côté mutin et conspirateur. Rien que pour voir comment réagirait Faeltris. La dernière remarque de celui-ci avait marqué la jeune halfeline, qui entrevoyait un moyen de pression et de soutirer plus d'informations.
Croisant négligeamment les jambes, la halfeline pencha la tête de côté et lança une oeillade appuyée à l'elfe.-Peut-être effectivement pourriez-vous contenter d'autres désirs, maître scribe. Lança-t-elle d'une voix douce comme de la soie. "Ce fut un long et éprouvant voyage solitaire depuis le Sud..."
« Aujourd’hui ou demain, tu peux avoir besoin de mon aide, de ma présence, de mes conseils. Ne refuse pas la main tendue. » Réputation 5Fiche
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PNJ
Aucune chambre
Aucune gemme
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C’est avec un sourire non dissimulé et un regard jubilatoire que l’orogue distribuait à tout va, manchettes, baffes et coups de poings à tous les humains se trouvant à sa portés. Il se soupçonnait même d’avoir assommé un ou deux gars de sa propre équipe. Mais qu’importe, il devait se maîtriser à chaque instant pour réduire la puissance de ses coups afin de ne pas entendre craquer les vertèbres et les crânes ennemis. De plus il fallait qu’il continu de garder un œil sur Nxebz. Il ne savait rien de se petit gobelin, si ce n’est qu’il devait être vil et fourbe comme tous les êtres de sa race!
L’orogue, occupé à vider les poches d’un corps inerte releva la tête à l’arrivé d’un homme étrangement sur de lui. Krayt ne put réprimer un frisson qui s’accentua par l’effet pyrotechnique de celui-ci. Il s’essuya du revers de la main la bave qui en coulait et se leva. L’appréhension quelque peu passé, l’orogue était prés à se faire un peu roussir pour écraser la face de l’arrogant, surtout après avoir entendu le chef de bande perdre la face devant l’inconnu. Montrer sa peur, même aussi minime qu’elle soit ne pouvait être envisageable aux yeux de l’orque. Le chef était un faible et n’avait donc aucun droit sur lui à part celui de mourir comme un lâche. Il resserra ses doigts sur la hampe de sa lourde hache mais hésita quand au choix de son action. A l’instant présent, le danger venait de l’inconnu et c’est donc sur lui qu’il fit le premier pas. Ce fut à ce même moment qu’un deuxième magicien fit son apparition dans un style théâtrale. Krayt s’arrêta net.
¤ Putain! Z’ont choisis leur auberge eux! Tu vas voir qu’y a un séminaire de mago mégalo¤!
Attendant une réponse du chef et surtout l’ordre de les briser menu, Krayt fixait les deux hommes dans l’espoir de trouver une faille et de s’y engouffrer. Ses deux grands yeux jaune s’exorbitèrent lorsqu’il entendit Eithelval lui parler dans sa langue natal des profondeurs presque parfaitement. Se ressaisissant rapidement afin de ne pas laisser son désarroi se voir il décida de laisser sa curiosité de coté et alla à l’essentiel.
- Une forte somme d’argent! Tu m’intéresse surfard! Et pour avoir ce pactole, je suppose qu’il faut que j’te laisse vivre? Laisse moi réfléchir un peu.
Prenant un air pensif, les yeux tournés au plafond et se grattant le menton, l’orogue ne mit pas longtemps à faire son choix. Il se tourna en direction du chef des brigands, il le montra du doigt et s’adressa au groupe.
- C’est votre chef, ça! Un homme qui fléchit devant une menace et bégaye comme un péteux! Il ne vaut pas plus que cette pièce de cuivre. Hurla-t-il en lançant un piécette rougeâtre sortie de sa bourse."Prenez Couture comme chef et vous serez payez une pièce d’or de plus par action faite! Ne réfléchissez pas, j’vous en laisse pas le temps".
En deux grandes enjambées, Krayt se rua sur le chef et lui abattit « Fracasse » sur la tête.
Krayt perd une pièce de cuivre Krayt attaque à la hache
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