Ô capitaine, mon capitaine...

Kilrhin regarda Llewelyn en souriant:

"Je crois que nous n'aurons pas besoin de faire le tour du quartier. Je t'empris, les dames d'abords." Il lui tint la porte et lui fit signe d'entrée.

Aprés un sourire, elle se mit en marche:

- Quelle galanterie... Mais il semblerait que notre cher capitaine ne soit pas trés apprécié... Pourquoi d'aprés toi ?

Elle marchait toujours quand elle posa une question cruciale:

- Au fait, il est bien gentil, mais ils sont où ses appartements ?

Kilrhin s'arreta alors.

"Ba, oui, c'est vrai ca, il sont ou."

Puis repensant à la premiere question.

"Je pense que son alcoolisme n'est pas apprecié de tout le monde , voila tout."

Elle haussa les épaules à son argument:

- Bah c'est assez fréquent dans la garde d'une grande ville, ça ne m'étonne qu'à moitié.

Elle observa un peu les locaux:

- Bon si cette caserne est à peu prés construite sur le même modèle que les autres, les appartements des gradés devraient être par ici, dit-elle en empruntant un escalier.

Kilrhin la suivit sans broncher.

"Si tu le dit. Jusqu'a maintenant tu n'a pas fait grand chose d'inutile alor, je te suis."

Snivir et Sans-nom arrivèrent dans le quartier nord, les indications qu'ils avaient reçus durant leur déplacement leur avait été fort utile, finalement, ils arrivèrent devant la caserne...

"Frappont pour voir s'il y a quelqu'un... " proposa Snivir.

Le paladin acquiera, puis alla de suite frapper deux coups a la porte.

Élios après sa sortie de l'auberge et marcha un bout de temp. Il se mit à réfléchir sur ce qu'il devait faire. Ses finances son basse et il risquait d'être vite à sec. Alors, il devait trouver un endroit où l'on engagerais un mercenaire mais se ravisa en pensant qu'il serait mieux de prendre un emploi d'on il serait sur que le patron est honnête. Il alla ver la caserne de la ville. Une foi devant les gardes il dit.

-Bonjour, je viens voir votre capitaine.

Llewelyn et Kilrhin continuaient toujours dans le corridor et arrivaient au pied d'un escalier:

- Je suis honorée de tant de confiance, dit-elle d'un ton ironique. Bon, eh bien, vu que tu me fais autant confiance, elle regarda en haut de l'escalier, on monte !

Arrivée en haut:

- Bon... On ne va pas marcher encore pendant 107 ans...

Elle fit un clin d'oeil à son compagnon et se mit à élever la voix pour appeler:

- Capitaine Orlpar ! Capitaine Orlpar !

Kilrhin se mit à rire et l'accompagna alors.

"Capitaine eveningfal", cria-t-il à son tour.

D'une porte où, après vérification, était inscrit sur une étiquette métallique le nom ci-dessous mentionné... :
"Bureau Eveningfall"
...s'ouvrit brutalement pour ensuite laisser apparaître ledit capitaine, le teint quelque peu empourpré.

- Mais qu'est-ce que c'est que tout ce bordel nom de dieu ! J'attends des...

Ses yeux se posèrent inmanquablement sur la demi-elfe ainsi que sur son ombre qui répondait au nom de Khirhlin.
Il troqua son ton criard contre de plates excuses :

- Hum... C'est donc vous qui jappez d'la sorte ? Ma réputation n'est plus à faire, n'en rajoutez pas en immitant les demeurés... On m'a prévenu de votre visite, entrez.

Il laissa passer ses deux invités avant de refermer la fameuse porte.
A l'intérieur, demeurait un effroyable chaos : de la paperasse sans dessus-dessous, des livres empilés comme une vache aurait l'habitude de le faire, bref, la pagaille reignait en maître et le capitaine semblait très bien s'en accomoder. Il débusqua deux chaises qui sortaient droit de derrière un tas de tableaux abominablement négligés, et les déposa en face de son bureau. Orlpar prit place dans la sienne après avoir légèrement poussé les objets qui gêneraient réellement la discution.

- Ca m'fait plaisir qu'une aussi ravissante femme vienne me rendre visite. Et dieu sait qu'c'est pas tous les jours. Mais l'prochain coup, prévenez moi à l'avance de manière à ce que j'range tout ça...
Enfin bon... vous êtes venu pour quoi tous les deux ?