Chap ii / Les reflets des flèches d'argent

Heureux de retrouver Solveig, Lorindol ne manqua pas d'exprimer sa joie par un discret

- Loué soit la seldarine ! Le temps m'a semblé bien long depuis votre départ et je crois bien ne pas être le seul.-

Laissant Solveig reprendre son souffle, le mage lui signala cependant rapidement les bruits et mouvements repérés plus tôt.

- Le calme des lieux est impressionnant, même pour un rat de bibliothèque comme moi, le silence est oppressant plus vite nous serons en mouvement mieux je me porterai !-

Galvanisé par le retour du rôdeur et conscient que Shamar était seul depuis déjà trop longtemps, le mage mis ses pas dans ceux de Solveig et croisa les doigts pour que l'obscurité prochaine les protègent un peu.

Mentalement, Lorindol s'évertua à imprégner son cerveau des images de la ville, à lui imcomberait la charge de mettre à jour celle de bretheil.

¤ Bordel. ¤

Il avait eu de la chance d'éviter à cette saloperie. Il avait déjà entendu parler de ce genre de plantes, aussi vorace que le plus affamé des loups et bien plus fourbe. Il savait parfaitement que faire usage d'empathie face à ce genre d'ennemi était hors de question. Si certains végétaux était tout aussi émotionnelles que les bipèdes, ce n'était certainement pas le cas de celui-ci. Son épée elle était sortie, bloquée entre la roche et son bras. Mais il n'y avait rien de simple à utiliser ce genre d'armes dans un espace réduit. Et puis elle n'était pas dans le sens le plus utilisable. Sans acide, sans feu grégeois, il aurait bien du mal à l'éloigner. C'était typiquement le genre de situation où il aurait préféré enchanter son épée aux flammes que son armure. Enfin, il allait devoir jouer le tout pour le tout.

Il tourna la tête pour observer. Se lever, et dégager, vers la ville, si possible en collant un coup de lame sur la plante ? Ensuite, dès qu'il serait en mesure de chercher la souche, essayer de la détruire, pour que ses compagnons puissent passer ? Si seulement il avait appris les prières de flammes... Enfin, c'était peut être mieux, ça évitera de provoquer de la lumière. Toutes ces stratégies étaient belles pour un adversaire normal mais là, il serait en net désavantage dès qu'il tournerait le dos. Debout, il faisait une cible plus facile pour d'éventuels autres assaillants plus haut. Il n'était pas exactement un expert des roulades, mais la stratégie semblait la moins risquée, au moins.

Il plaqua sa lame au sol, il ne s'agissait pas de se l'enfoncer dans le ventre en roulant. Il chercha la sortie, pris son souffle et s'élança. Ses blessures dues à la bataille contre le géant étaient encore ouvertes et il dût serrer les dents pour ne pas crier de douleur lorsque quelques plaies se rouvrir et qu'il roula sur ses hématomes. La mort était dangereusement proche en ce moment. Après ça, il allait probablement prendre sa retraite.

---

Shamar effectue un magnifique (j'espère) roulé boulé pour essayer de se mettre hors d'atteinte des vignes. Et après faut qu'il trouve une torche !

Troisième jour de la griffe des tempêtes – année des dragons renégats
3 Tarkash 1373 CV
Lieux : Proximité des pics perdus - Haute-Forêt
Horaire : Fin de journée


Température la plus basse : -9 °C
Température la plus haute : 2 °C
Précipitation : Aucune
Vent : pas de vent
Humidité modérée la journée et forte le soir: pas de pluie
Phase de Séluné : 3ème quartier
Nombre de d'heure de Jour : 13 heures.
Nouvelle aube : 05 h 30.


MJ
Narration: Shamar

algré la fatigue de cette journée éreintante, Shamar gardait tous ces réflexes intacts. La vivacité qu'il fit preuve lui permit de ne pas tomber dans les griffes de cette vigne au combien dangereuse. Dos au sol, le rôdeur fit ce qu'il estima le plus judicieux et son acuité lui sauva probablement la vie. S'esquivant par une rapide roulade de côté, la végétation ne put rien faire pour le saisir et sa proie lui échappa ... pour le moment. Le chondathien choisit l'inconnu plutôt que l'étreinte d'un végétal à la sympathie relative. Il dégringola le long du talus rocheux fait de débris de la muraille. Il espérait bien repartir par le chemin qu'il avait utiliser pour monter ce tas de gravats mais malheureusement pour lui, c'est dans la rivière qu'il termina sa courte chute.
Rembourré par son armure, il ne sentit rien mais l'eau glaciale s'infiltra partout et refroidit instantanément l'entièreté de son corps. Lui qui avait réussi à éviter la chute dans la Dessarin plus tôt se retrouvait mouillé comme ces compagnons. Le léger courant le poussa contre la grille et il s'aida de cette dernière pour se relever. Son autre main se cramponnant également afin d'éviter de tomber de nouveau. Il fut troubler par le toucher de cette main de support et regarda de quoi il s'agissait. Il eut un mouvement de recul à la vue de son appui de fortune. Il s'agissait du crâne d'un cadavre dont les os étaient blanchis par le temps et le courant de la rivière. Bloqué par la grille, il n'irait pas plus loin. Se remettant de cette découverte, Shamar constata qu'autour du tronc se trouvait en bandoulière un objet intact, flambant neuf pour ainsi dire, qu'il connaissait. Il découvrit un fourreau magnifique renfermant la plus belle rapière qu'il n'avait jamais vu. Il reconnut les motifs elfiques et bien que peu initié à la magie, il n'eut aucun mal à comprendre les raisons d'une telle conservation. Il put la contemplait un moment puis écouta et scruta alentours pour connaître la présence d'ennemis ou pas. La tour au dessus de lui semblait toujours vide , rien autour de lui ne laissait présager d'un danger si ce n'était le bruit caractéristique de feuillages s’entremêlant, d'abord avec une certaine intensité puis relativement soutenue, pour enfin s'estomper.


MJ
Narration: Ademara, Elzear, Lorindol et Solveig

a nuit allait bientôt tomber et Solveig ne savait pas si c'était une bonne ou une mauvaise chose. Certes la nuit avait le mérite de mieux dissimuler mais elle n'était pas nyctalope alors que ces ennemis l'étaient ...

Solveig Silifrey

- Oui vous avez raison Lorindol mais ce mouvement intra-muros devrait nous rassurer ... ou pas. Toujours est-il qu'une fois le géant repéré, ils mettront un moment avant de penser à nous chercher à l'intérieur. Retournons auprès de Shamar au plus tôt afin de voir cette cité de plus près encore! -------------------- Cette femme aux cheveux cuivrés fait la fierté du cercle Meibon tant par son habileté à l’arc que par sa philosophie. Elle aurait fait une druidesse exceptionnelle si elle avait été initiée. Téméraire, d’une grande vivacité et aux multiples capacités, elle sait rapidement se rendre indispensable dans les moments les plus délicats.

Avec le même entrain et laissant leur fatigue de côté le groupe avança promptement, sous les frondaisons, à l'orée de la cité. Solveig n'eut pas le loisir d'entendre les bruits décrits par le mage, elles étaient toutes concentrées sur le chemin, à scruter alentours tout en essayant de faire le moins de bruits possibles. Ils arrivèrent rapidement à l'endroit où Solveig avait laissé Shamar mais étrangement il ne s'y trouvait plus.

Solveig Silifrey

-Peut-être a t'il réussi à passer de l'autre côté ... dit-elle d'un ton dubitatif avec une crainte difficilement dissimulable. Avançons afin d'en avoir le coeur net! -------------------- Cette femme aux cheveux cuivrés fait la fierté du cercle Meibon tant par son habileté à l’arc que par sa philosophie. Elle aurait fait une druidesse exceptionnelle si elle avait été initiée. Téméraire, d’une grande vivacité et aux multiples capacités, elle sait rapidement se rendre indispensable dans les moments les plus délicats.

Après avoir expliqué le déroulement de l'opération, elle s'avança la première et après les précautions d'usage se lança vers les murs de la cité, longeant la rivière. Elle arriva au pied du talus et d'un geste demandant aux trois elfes d'avancer en direction de la trouée afin de vite s'y infiltrer pendant que la voie était libre.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

jet de réflexe plante: 8d20+1 =>échec

jet d'orientation de chute :2d2
1=>retour à l'envoyeur
2=>la flotte
plouf

Maladie: DD12 vigueur; temps d'incubation: 1 jour avant: état fiévreux

Shamar: 11d20+7-2 vêtements mouillés => réusiite

- Bordel à cul de putain de bordel de...

Il avait lâché cette flopée d'insulte dans un souffle, en tombant dans l'eau. Il se releva en grognant, pestant sur sa maladresse quand il posa les yeux sur la rapière. Ne voyant pas de danger immédiat, il prit un temps pour l'examiner. Inutile d'essayer d'y comprendre quelque chose, la seule langue étrangère qu'il parlait était le gnome, et ce n'était clairement pas du gnome qui était gravé sur la lame. Cela dit, il avait suffisamment entendu d'histoires sur les des armes maudites pour se méfier. D'ailleurs, une lame abandonnée comme ça, au milieu de nul part, c'était plutôt étrange.

Alors, plutôt que de s'en saisir à main nue, détacha l'un des fourreaux, en gardant l'épée à l'intérieur, et saisi enroula la bandoulière à laquelle était attachée la rapière autour de la lame. Ainsi, il pouvait la transporter sans avoir un contact direct. En attendant, il observa, de loin, les lianes qui venaient de le chasser dans l'eau.

Maintenant, il regrettait de ne pas avoir acheté d'huile la dernière fois qu'il était passé en ville. C'eut été plus qu'utile, en l’occurrence. Ou mieux, de l'acide, les plantes n'aimaient que rarement l'acide, et ça avait l'avantage de ne pas prévenir d'éventuels ennemis. Au moment où il se rendait compte que sa propre hargne lui donnait un raisonnement assez éloigné de la philosophie qu'il embrassait habituellement, il se rappela aussi que ces ennemis, justement, n'était pas loin. Il tendit l'oreille. Il avait entendu le bruit produit par son végétal ennemi, mais ce n'était pas ce qui l'inquiétait, il doutait que ce genre de créature soit en mesure de se déplacer bien loin. Les orques, par contre...

S'accroupissant, il traça d’éphémères arabesques dans l'herbe, tout en réfléchissant. Il devait forcément savoir quelque chose sur ce genre de plantes. Idjak avait dû lui en parler, et puis, ce n'est pas comme si le Cormanthor manquait de saloperies de ce genre. Il devait y avoir une bonne façon de la détruire, ou de la mettre hors d'état de nuire. En fait, la deuxième solution serait la meilleure, si cette gardienne sylvestre pouvait rester en place après les avoir laisser passer, les suivants seraient ralentis.

Et puis, il vit ses alliés arriver. Et il sut qu'il fallait vite les rejoindre. En vitesse, il grimpa le talus et arriva derrière eux. Il savait que ce genre de mouvement risquait de les décontenancer un instant, puisque par habitude, il ne faisait guère de bruit, mais qu'importe.

- Attends Solveig !, dit il, impérativement, mais sans crier.Il y a une plante vivante là dedans. Ça m'a attaqué quand je suis passé. Ça n'a pas l'air de bouger de sa zone, mais je peut vous dire que ça pose un sacré problème quand elle essaye de vous choper à l'intérieur. Il faut qu'on s'en débarrasse avant d'essayer de passer. Et puis, j'ai trouvé une rapière en bas, gravé de symboles, elfiques, je pense, peut-être que l'un de vous pourrait l'examiner avec moi, avant d'avancer. Il est possible qu'elle soit utile.

Ce faisant, il montra la rapière suspendue comme un baluchon au bout de son épée posée sur son épaule.

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Connaissances (Nature) pour découvrir des choses intéressantes sur la liane, et Détection/Perception auditive pour percevoir une éventuel présence ennemi.

'inquiétude de ne pas trouver leur compagnon de route cessa rapidement. Interpellé par un Shamar dégoulinant mais semble t il en bonne forme, Lorindol eu l’œil attiré implacablement par l'objet en possession du rodeur.

La nature magique de l'arme ne faisait aucun doute.

Devant les explications de Shamar, Lorindol préféra commencé par un rapide coup d’œil à la plante ayant provoquer sa chute.

Ses premières investigations engagées, le mage proposa sont aide afin d'en savoir plus sur l'objet trouvé.

- Je me disais bien que rentrer dans la cité ne serait pas une mince affaire, nous voilà bloqué, décelez vous une autre entrée ? Peut on escalader la grille en contrebas et envoyer un grappin dans la tour proche ? Dans mon état de fatigue, je pense ne pas vous être d'une grande aide.-

jet de compétence : connaissance nature +10 identifier la plante et ses vulnérabilités
art de la magie +14
connaissance mystères +16 connaitre les caractéristique de l'objet

Troisième jour de la griffe des tempêtes – année des dragons renégats
3 Tarkash 1373 CV
Lieux : Proximité des pics perdus - Haute-Forêt
Horaire : Fin de journée


Température la plus basse : -9 °C
Température la plus haute : 2 °C
Précipitation : Aucune
Vent : pas de vent
Humidité modérée la journée et forte le soir: pas de pluie
Phase de Séluné : 3ème quartier
Nombre de d'heure de Jour : 13 heures.
Nouvelle aube : 05 h 30.


MJ
Narration: Tous

olveig et les trois elfes sursautèrent à l'arrivée impromptue de Shamar. Trop concentré qu'ils étaient à observer derrière eux et sur les hauteurs des murs qu'ils en oublièrent les éventuelles menaces à proximité. Tous étaient ravis de le revoir sain et sauf et ... étrangement plus mouillé qu'ils ne l'étaient eux mêmes.
Le rôdeur leur expliqua sa mésaventure et chacun tenta de puiser dans sa mémoire pour se rappeler une quelconque information sur ce type de végétaux. La plante se rapprochant le plus et qui était connue des rôdeurs étaient la liane chasseresse mais celle ci n'avait rien à voir au niveau comportemental avec cette dernière. Seul Lorindol put éclairer d'avantage. En effet il avait lu dans un ouvrage que les anciens elfes siluvanede connaissaient ou avaient créés des végétaux servant de protections. Ils les appelaient des vignes carnivores. Cependant que ces végétaux aient pu prospérer et se développer bien des siècles après la disparition des peuples les ayant installés, relevait d'un mystère bien trop grand pour être révélé par le gardien sylvestre.
Ces révélations du mage n'allait cependant pas aider à passer cette trouée qui se trouvait à quelques pas. L'obscurité tombait dangereusement et il se trouvait actuellement entre l'enclume et le marteau. Une situation des plus désagréables qui aurait pu prêter à sourire si leurs vies n'étaient pas autant en danger ! Mais que faire ... Le gardien des mystères avaient proposé des solutions mais aucunes n'étaient envisageables, il faisait trop sombre pour espérer découvrir une autre entrée et après une rapide observation, le mur était entièrement recouvert de ces plantes ...

Afin d’apaiser une atmosphère devenue électrique par la pression, Shamar montra sa découverte qu'il tenait avec suspicion au bout de sa lame. Ces compagnons se tournèrent vers cette lame et son fourreau et tous écarquillèrent les yeux. Ils avaient face à eux une des plus belles armes qu'ils avaient pu voir. Les motifs elfiques s'entrelaçaient de rinceaux de végétaux dans un style ancien rarement rencontrer par les trois elfes. Seul Lorindol sut leur en dire d'avantage en affirmant qu'il s'agissait d'un héritage d'Earleann. Maintenant à savoir si ce guerrier était bloqué depuis le temps des premières guerres de reconquête de la cité ou de la dernière tentative récente ... ou bien s'agissait il simplement d'un malchanceux visiteur comme Breithel ... Le mage ne put cependant pas dire quelle était cette magie qui débordait de cette lame mais qu'en état il n'y avait aucun risque à la tenir en main. Cependant il préconisa de savoir quelle était sa magie avant de l'utiliser en combat.

La discussion de l'arme passée, chacun se retourna vers le mur qui leur semblait maintenant plus infranchissable que jamais. Soudain Ademara eut une idée et se tourna vers ces compagnons:

-Tenez vous prêt à courir le plus vite possible vers le passage.

Aussitôt elle incanta un sort qui fut suivi d'un brouillard qui l'entoura à hauteur des genoux. Quand celui-ci se dissipa quatre babouins s'agitaient en attendant les ordres de leur créatrice. Solveig comprit de suite le plan de la prêtresse et avec un sourire ajusta son baluchon pour faire signe qu'elle était prête. Voyant que tout le monde l'était, Ademara envoya les macaques monter le talus en direction de la muraille. Avec l'agilité innée de leur race les singes s'approchèrent des vignes carnivores et chacun leur tour furent attrapé par les plantes. L'étreinte qu'exerçaient les plantes pouvaient paraître difficile à regarder mais c'était un prix à payer. Solveig passa à la suite suivit des autres et ils réussirent à traverser de l'autre côté du mur. Les appâts avaient remplis leur rôle! Solveig reprit son souffle et félicita la prêtresse avant de se tourner vers le joyau des siluvanede, Lothen. Ils furent tous éblouis par la beauté des lieux mais furent rapidement ramené au réel. Des bruits non loin se faisaient entendre, comme un discours ou une oration dans une langue gutturale qui commençait à bien reconnaître ...

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Art de la magie Lorindol:
5d20+14 =>échec

Ademara convocation de monstres niveau 3:
3d4+1= 4 monstres de niv1

Le rôdeur avait passé rapière et baudrier autour de ses épaules, suffisamment serrée pour qu'elle ne produise pas de bruit en se balançant. Avec l'aide des ses alliés, passer le mur végétal avait été plus simple que prévu. Et, de l'autre coté, pendant quelques secondes, il avait dû admettre que les constructions des anciens elfes étaient impressionnantes. Il avait déjà vu Myth Drannor, de loin, mais Lothen était plus sylvestre, plus brillante, plus... lumineuse. Quand bien même n'était elle plus que ruines.

Mais il n'était pas l'heure de faire du tourisme elfique. Ses oreilles s'accrochèrent vite sur les syllabes anguleuse du langage orque. Il ne le connaissait toujours pas, mais il l'avait suffisamment entendu depuis deux jours pour le reconnaitre.

Silencieusement, il dégaina son arc. Et, tout en s'accroupissant, il tendit l'oreille pour essayer de deviner où étaient leurs ennemis, et estimer leur nombre. Ce faisant, il observait également les alentours, pour voir si l'environnement pourrait leur être favorable. Sans trop y faire attention, sa main allait chercher une flèche pour l'encorder.

Ils n'étaient plus très loin du but, il ne s'agissait pas de flancher en route.

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Shamar utilise sa perception auditive pour localiser les orques et estimer leur nombre, et détection pour détecter d'autres éventuels ennemis ou des avantages tactiques (arbres prêt à s'écrouler, mur branlant, moyen de prendre de la hauteur...)

L'utilisation des créatures invoquées par Ademarra avait laissé admiratif le mage, sans cette intervention les moyens de rentrer se seraient montrés vain.

La difficulté effacée c'est avec un regard respectueux que l'elfe admira les réalisations de ses ancêtres.

Le moment de béatitude fut cependant de très courte durée, la "mélodie" du langage des peaux vertes lui fit rapidement reprendre conscience du danger et de sa mission.

Instinctivement, il chargea son rat de se diriger vers la source de ce raffut et de lui faire un rapport sur ce qu'il pouvait y voir.

- Je préfère laisser mon bon vieux Penn Du, déterminer ce qui produit ces bruits. La fatigue et mes maigres capacités de discrétion ne sont pas un avantage pour cette mission.-

- Je vous suivrai compagnons rôdeurs, passez devant.-

envoi Penn du vers la source du bruit,